Toujours cette sensation d’oppression, et cette tristesse, et cette incapacité à me dire que tu n'as plus rien à me dire.
Peut-être ne me dis tu rien, ne m'écris-tu rien, simplement parce tu ne sais quoi me dire, quoi m’écrire. Compte tenu de ce que tu ressens, compte tenu de ce que je ressens. Et de l'écart entre les deux ?
Soit certaine cependant que tout / n'importe quoi m'irait mieux que rien !
Je t'imagines ce soir avec K. et E. chez vous, devant la télé.
Tu me manques tjrs autant ; vous me manquez tjrs autant. Et ton choix vis à vis de moi et de eux me blesse toujours immensément. Les boules....
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