J'angoisse à l'idée de ce que tu penses de moi aujourd'hui.
Je voudrais tellement que tu me comprennes, ne serait-ce qu'un peu.
Et j'ai tellement peur que tu bascules dans la haine.
Je voulais tellement faire ma vie avec toi ! Mais j'ai tout fait de travers. Je n'ai pas été foutu de divorcer quand il le fallait. C'est sur les rails ; mais, tu me l'as dit : trop tard, trop tard, trop tard. Je n'ai pas été foutu de te montrer que la mère de mes enfants était mon passé, et toi, mon présent et mon avenir !
Dieu, si je trouvais comment faire, je voudrais tellement réparer, réparer, réparer. Et au lieu de cela, sans doute, faute de réussir à ce que tu ressentes l'immensité de ma bienveillance à ton égard et la beauté de l'amour que je te porte toujours ainsi que que la beauté de celui que je porte également toujours à K. et E., sans doute, je m'enfonce, je m'enfonce, je m'enfonce.
STP, stp, ne bascules pas, ne bascules pas dans la haine de moi !
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