mardi 23 décembre 2014
J'arrive pas !
J'arrive pas ! J'arrive pas à ne pas être en boucle, dans ma tête, dans mes tripes, dans mon cœur, sur toi, sur vous, sur nous.
Tout de toi me manque toujours, et c'est terrible. Tout, tout, tout, tout !
Tu m'as dis quand tu as rompu et que je suis passé chez toi reprendre mes quelques affaire et que l'on s'est vu brièvement en tête, "fais gaffe à l'amour".
Je m'en veux terriblement de ne pas avoir su faire gaffe comme il l'aurait fallu, d'avoir d'une manière ou d'une autre, sans m'en rendre compte, engendrer en toi ce qui t'as conduit à décider de rompre. Même si je continue de penser que cela aurait pu être éviter si "tu m'avais mieux ouvert" les yeux". Qu'on aurait pu mieux/plus "fais gaffe", si on l'avait mieux fait ensemble, pour éviter cela.
Et je continues de croire que nous pourrions être heureux ensemble si seulement, si seulement, si seulement, tu pouvais y croire à nouveau. Que nous saurions cette fois éviter les écueils, ensemble.
Bref.
J'arrive pas non plus à ne pas penser à K. et E.
Tout d'eux aussi me manquent terriblement.
Ce midi, durant le repas, Lo a posé ses pieds, sur les miens, sous la table. Les souvenirs de cette chose là vécue avec E. et tout ce que je me souviens d'elle, et tout ce que je continue à éprouver pour elle, et tout le manque d'elle que je ressens m'ont envahis.
Je me suis levé de table pour partir..... pleurer, pleurer, pleurer dans "l'écurie" !
Très con ? Ce n'est ainsi que je le vis et les ressens. J'arrive pas ! A le vivre et le ressentir ainsi.
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