lundi 15 décembre 2014

Pensées / J'en ai marre (nouvelle maj)

Pensées. J'en ai marre de penser à toi, à vous, comme çà ; cela me rend dingue !
Ou je suis dingue de penser encore comme ça, à toi, à vous.

Ou les deux ! Surement les deux, d'ailleurs. C'est l'histoire de l’œuf et de la poule....

Et toujours ton silence ! Qui, ce soir à nouveau, me transperce. Et que je ressens là, à nouveau, comme un mépris énorme, blessant au possible.

Et cette impossibilité  de m'adresser directement à toi sans que tu m'accuses  (facile !) de harcèlement !

Ne crois pas que j'exprime là une peur en liaison avec ton post FB sur la gendarmerie  de V.

Devant un tribunal, sans méchanceté aucune dans ce propos (mais avec une profonde certitude), je pense, me concernant, que je pourrais m'en sortir la tête vraiment haute.Mais je n'ai pas envie de rentrer dans ce type de pugilat. Parce que je ne me vis pas en guerre contre toi. Aussi par égard vis à vis de K. et de E. Alors, oui, je redouble d'attention pour qu'un "raz le bol" de ta part ne nous emmène pas dans une telle folie destructive.

Ce que j'exprime là (cette impossibilité  de m'adresser directement à toi...), cette douleur de ne pouvoir qu’espérer que tu liras sans jamais savoir ce qu'il en est, c'est une profonde frustration. Tant de choses que j'aimerais te dire de vive voix ! Tant de peine à ne pas savoir si tu sauras ou pas ce que j'écris là. Tant d'envie de t'entendre me dire de vive voix ce que tu as en tête les (rares ?) fois où j'occupe / préoccupe tes pensées.

Percevoir avec certitude (ou un minimum de certitude) à quel point, ou tu me méprises, ou.... je sais pas quoi, je ne comprends pas quoi.  Pouvoir ne pas / ne plus imaginer les pires de choses sur ce registre. Quitte à prendre justement en pleine gueule les pires des possibilités  que j'imagine  ! Et être au moins fixer là-dessus. Et réussir alors, peut-être, par la magie du dégoût, ou par la volonté de vivre "malgré tout", à changer de livre. Plutôt que de rester ainsi enlisé comme je le suis dans cet amour de toi qui se heurte aujourd'hui à un mur, opaque, terriblement opaque. Bref.

Quoi qu'il en soit, ce soir à nouveau, bonne nuit en pensées à K. et E.

Et bonne fin de soirée à toi, et bonne nuit ensuite à toi aussi, " quant même" ?

Oui ! Même si d'aucun / d'aucune me disent que je devrais plutôt "te haïr ou presque", bonne fin de soirée à toi aussi quant même, et bonne nuit ensuite à toi aussi. Même si, même si, même si....

Quelle candeur ai-je eu de croire que, toi et moi, ce serait "pour la vie", et au-dessus des contingences de nos vies ?!

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire