samedi 27 décembre 2014

Dés que

Dés que rien d'obligé ne m'occupe l'esprit, je pense à toi, aux manques que j'ai de toi et de ton amour.

Et, en cette période particulière, je suis également envahi par les anniversaires de K. et de E. que ton silence, ta non réponse à mon SMS me semble m'interdire de leur souhaiter

Et c'est terrible, terrible, terrible, parce que tu vois, tes mômes, je les aimes vraiment de tout mon coeur. Et ils me manquent terriblement.

Et c'est pas du chiqué ! Et c'est pas du semblant ! Et c'est pas de la prise d'otage ! Et c'est pas de l'instrumentalisation ! Et c'est pas de l'idéalisation, de la manipulation au sens où tu entends ce mot !

Et du plus profond de mon cœur, je ne pense sincèrement pas que cela leur ferait du mal que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. A toi non plus. A leur relation avec toi plus. A moi encore moins. Et je pense que eux aussi apprécieraient que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. Alors, tu vois, là encore, j'en pleure. Je suis parti me cacher pour en pleurer.

Et c'est d'autant plus terrible qu'alors que je sais bien que tu ne peux pas t'obliger à m'aimer, tu pourrais faire un autre choix concernant tes enfants.

Alors tu vois, dés que rien d'obligé ne m'occupe l'esprit, j'y pense, et je pars me cacher pour en pleurer.

Non ce n'est pas con !  Non ce n'est pas débile ! Non ce n'est pas dégueulasse ! Ce n'est que de l'amour

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