Merci, merci, merci, merci et encore merci !
T'imagines pas le bien fou que cela me fait que tu aies accepté de remettre ces cartes d'anniversaire à K. et E. ! Merci, merci, merci, merci et encore merci !
Rassures toi, si tu as ces inquiétudes : je ne me dis pas que, du coup, je peux te solliciter encore et encore pour les voir comme je le souhaiterai. Je ne phantasme pas non plus sur l'idée que cela change quoi que ce soit concernant ton désamour. Je ne me dis pas non plus que c'est une "victoire" de ma part sur quoi que ce soit.
J'en suis simplement heureux, instant de bonheur d'avoir pu exprimer à leur égard, ce que je ressens à leur égard, et d'avoir pu le leur écrire, et que tu aies accepté qu'ils reçoive ce témoignage de l'affection que je leur porte.
Rassures toi, rassures-toi, encore : je saurais me tenir quand je les croiserai, quand je les reverrai. En dépit des maladresses (débordements ?) que j'ai peut être pu avoir ou donner l'impression d'avoir (je n'arrive encore pas bien à revisiter la totalité des ces souvenirs et à jauger/juger tous les comportements que j'ai eu), je ne mélange pas "toi et moi" et ce que j'éprouve pour eux. Tout en sentant /sachant parfaitement que ma manière de vivre, d'exprimer ce que j'éprouve pour eux doit éminemment tenir compte de ce que tu ne te sens plus éprouver pour moi.
Encore une fois, merci, merci, merci ; cette fin d'année va être à cet égard plus légère pour moi.
mercredi 31 décembre 2014
C'est dur (MAJ II)
C'est dur de pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir, pas savoir....
Comment gérer ce silence-là ? Comment ne pas mal gérer ce silence-là ?????!!!!! Pfffff Pffff Pffff
Tu sais, c'est terrible de se sentir aimer quelqu'un, de se sentir éprouver une profonde affection pour quelqu'un, et en particulier à l'égard d'enfants, et de ne pas se sentir libre de leur témoigner quelques marques de cette affection, alors que l'on pense qu'ils les recevrait de bon coeur.
Et de ne pas savoir si aucun des témoignages qu'on leur adresse arrive jusqu'à eux.
Il me semble aujourd'hui qu'il n'y a pas pire frustration !!!!
Comment gérer ce silence-là ? Comment ne pas mal gérer ce silence-là ?????!!!!! Pfffff Pffff Pffff
Tu sais, c'est terrible de se sentir aimer quelqu'un, de se sentir éprouver une profonde affection pour quelqu'un, et en particulier à l'égard d'enfants, et de ne pas se sentir libre de leur témoigner quelques marques de cette affection, alors que l'on pense qu'ils les recevrait de bon coeur.
Et de ne pas savoir si aucun des témoignages qu'on leur adresse arrive jusqu'à eux.
Il me semble aujourd'hui qu'il n'y a pas pire frustration !!!!
mardi 30 décembre 2014
Incertitude
Je me demande ce que me réserve la journée de demain :
A Noël, D m'a offert un petit livre "Les lois fondamentales de la stupidité humaine" qui classe les personnes en quatre catégories : les crétins, les stupides, les bandits, les intelligents.
Moralité : je ne suis pas un bandit.
En revanche, il m'apparait rétrospectivement, que, plein de bonnes intentions, et aveuglé par de multiples craintes et espérances mal placées (vis à vis de mon boulot, vis à vis de mes enfants), j'ai été un parfait crétin se comportant avec une grande régularité de manière complétement stupide !!
Et je me dit que c'est cela qui m'a fait perdre ton amour. Immense colère intérieure contre moi-même.
En revanche, non, pas "2 de tension" comme tu me l'as dit une fois !!! T'imagine pas toutes les quantités d'énergie que j'ai déployé en parfait crétin, plein de bonnes intentions, et aveuglé par de multiples craintes et espérances mal placées, toutes les énergie que j'ai gaspillé avec une grande régularité de manière complétement stupide.
C'est dur de se sentir avoir été très con ; l'estime de soi prends de sacrées baffes. Je ferais mieux à l'avenir ; je me suis juré de faire mieux à l'avenir (moins pire en tout cas !).
A un endroit donné, j'agis en me disant que c'est trop tard pour notre amour. A un autre...Pfff, je m’arrête là poiur ne pas te saouler une fois de plus.
Je te souhaite sincèrement quoi qu'il en soit de tout une bonne nuit, une nuit paisible.
- le plaisir intense de quelques mots d'E. , par SMS, par courriel, ou par téléphone, parce-qu’elle aura eu ma carte, et qu'elle l'aura appréciée, et qu'elle aura envie de me le faire savoir ;
- rien parce qu'elle aura eu ma carte ; mais ne souhaitera ni m'envoyer de courriel, ni de SMS, ni me parler au téléphone ;
- rien parce que la carte ne sera pas arrivée ;
- rien parce que tu ne lui auras pas donné la carte ?
A Noël, D m'a offert un petit livre "Les lois fondamentales de la stupidité humaine" qui classe les personnes en quatre catégories : les crétins, les stupides, les bandits, les intelligents.
- Crétins : ce que l'on fait coûte à soi et rapporte aux autres ;
- Stupides : ce que l'on fait coûte à soi et aux autres ;
- Bandits : ce que l'on fait rapporte à soi et coute aux autres ;
- Intelligents : ce que l'on fait rapporte à soi et aux autres.
Moralité : je ne suis pas un bandit.
En revanche, il m'apparait rétrospectivement, que, plein de bonnes intentions, et aveuglé par de multiples craintes et espérances mal placées (vis à vis de mon boulot, vis à vis de mes enfants), j'ai été un parfait crétin se comportant avec une grande régularité de manière complétement stupide !!
Et je me dit que c'est cela qui m'a fait perdre ton amour. Immense colère intérieure contre moi-même.
En revanche, non, pas "2 de tension" comme tu me l'as dit une fois !!! T'imagine pas toutes les quantités d'énergie que j'ai déployé en parfait crétin, plein de bonnes intentions, et aveuglé par de multiples craintes et espérances mal placées, toutes les énergie que j'ai gaspillé avec une grande régularité de manière complétement stupide.
C'est dur de se sentir avoir été très con ; l'estime de soi prends de sacrées baffes. Je ferais mieux à l'avenir ; je me suis juré de faire mieux à l'avenir (moins pire en tout cas !).
A un endroit donné, j'agis en me disant que c'est trop tard pour notre amour. A un autre...Pfff, je m’arrête là poiur ne pas te saouler une fois de plus.
Je te souhaite sincèrement quoi qu'il en soit de tout une bonne nuit, une nuit paisible.
lundi 29 décembre 2014
Angoisse
J'angoisse à l'idée de ce que tu penses de moi aujourd'hui.
Je voudrais tellement que tu me comprennes, ne serait-ce qu'un peu.
Et j'ai tellement peur que tu bascules dans la haine.
Je voulais tellement faire ma vie avec toi ! Mais j'ai tout fait de travers. Je n'ai pas été foutu de divorcer quand il le fallait. C'est sur les rails ; mais, tu me l'as dit : trop tard, trop tard, trop tard. Je n'ai pas été foutu de te montrer que la mère de mes enfants était mon passé, et toi, mon présent et mon avenir !
Dieu, si je trouvais comment faire, je voudrais tellement réparer, réparer, réparer. Et au lieu de cela, sans doute, faute de réussir à ce que tu ressentes l'immensité de ma bienveillance à ton égard et la beauté de l'amour que je te porte toujours ainsi que que la beauté de celui que je porte également toujours à K. et E., sans doute, je m'enfonce, je m'enfonce, je m'enfonce.
STP, stp, ne bascules pas, ne bascules pas dans la haine de moi !
Je voudrais tellement que tu me comprennes, ne serait-ce qu'un peu.
Et j'ai tellement peur que tu bascules dans la haine.
Je voulais tellement faire ma vie avec toi ! Mais j'ai tout fait de travers. Je n'ai pas été foutu de divorcer quand il le fallait. C'est sur les rails ; mais, tu me l'as dit : trop tard, trop tard, trop tard. Je n'ai pas été foutu de te montrer que la mère de mes enfants était mon passé, et toi, mon présent et mon avenir !
Dieu, si je trouvais comment faire, je voudrais tellement réparer, réparer, réparer. Et au lieu de cela, sans doute, faute de réussir à ce que tu ressentes l'immensité de ma bienveillance à ton égard et la beauté de l'amour que je te porte toujours ainsi que que la beauté de celui que je porte également toujours à K. et E., sans doute, je m'enfonce, je m'enfonce, je m'enfonce.
STP, stp, ne bascules pas, ne bascules pas dans la haine de moi !
Bonne journée à vous trois
Bonne journée à toi, bonne journée à K. et E. Bonne journée à vous trois.
dimanche 28 décembre 2014
Taxi 3... Quand une femme dit...
Quand une femme dit : "c'est....[NDR tout ce qui peut gâcher un amour] ou moi !"
Au moins, c'est clair, net et précis. Et l'on ne peut qu'aller au bout de soit même pour faire son choix. Et l'on ne peut ensuite, le cas échéant, que s'en prendre à soi-même ! Et j'imagine qu'alors, le cas, échéant, c'est plus facile à "digérer".
Mais, tu ne m'as pas offert cela ! Et celà en est d'autant plus dur pour moi.
Malgré tout cet amour qu'il me semble on se portait, tu as "préféré" n'exprimer qu'à demi mots tout ce qui te blessait, tout ce qui t'insupporter, et taire, au moins à demi mots, tes blessures, tes raz-le-bol, tes je-n'en-peu-plus, jusqu’à la mort de ta sensation d'amour, jusqu'à ta décision de rupture.
Si tu m'avais dit, d'une manière que je le comprenne (et je suis certain qu'il existe des manières que j'aurais pu comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), "c'est....[NDR tout ce qui a gâcher ton amour de moi] ou moi !", je suis certain que j'aurais réussi à faire ce qu'il fallait pour sauver ton amour de moi !!
Avec des "si", on mettrait Paris en bouteille ! C'est cela que tu penses, n'est-ce pas, à l'instant ! Et si sur ce coup-là, tu te trompais ? Et si, sur ce coup-là, j'avais raison ?
Je pense sur ce coup-là que, effectivement, tu te trompes. Je pense sur ce coup-là que, effectivement, j'ai raison : si tu m'avais dit, d'une manière que je le comprenne (et je suis certain qu'il existe des manières que j'aurais pu comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), "c'est....[NDR tout ce qui a gâcher ton amour de moi] ou moi !", je suis certain que j'aurais réussi à faire ce qu'il fallait pour sauver ton amour de moi !.
Es-tu plus heureuse aujourd'hui que quand nous nous aimions l'un l'autre ? Cela n'aurait-il pas valu le coup que l'on trouve le moyen de se battre mieux ensemble pour atteindre tout nos rêves d'au dessus de la ceinture ? Moi, j'y crois toujours
Aujourd'hui, oui, je ne suis qu'une ombre, un bateau en perdition dont je suis incapable de jauger du futur : totale épave en devenir, ou navire au milieu de la tempête qui retrouvera un cap, et un bon vent ?
Sans toi, je ne sais Avec toi, je le sais, je me retrouverais presque instantanément avec plus de force que je n'en ai jamais eu ! Phantasme peu coûteux ? Non, je ne crois pas.
Es-tu plus heureuse aujourd'hui que quand nous nous aimions l'un l'autre, et que tu commençais à bien vouloir envisager de commencer à croire en un long futur commun ? Qu'est-ce que j'aimerais que tu retrouves vis à vis de moi cet état là ! Qu'est-ce que j'aimerais que tu retrouves ce début de foi là ! Qu'est-ce que j'aimerais que que tu te sentes remettre en question tout ce qui a gâcher ton amour de moi, avec cette idée que, peut-être, toi, et moi, ça vaudrait le coup de, peut-être.....
Au moins, c'est clair, net et précis. Et l'on ne peut qu'aller au bout de soit même pour faire son choix. Et l'on ne peut ensuite, le cas échéant, que s'en prendre à soi-même ! Et j'imagine qu'alors, le cas, échéant, c'est plus facile à "digérer".
Mais, tu ne m'as pas offert cela ! Et celà en est d'autant plus dur pour moi.
Malgré tout cet amour qu'il me semble on se portait, tu as "préféré" n'exprimer qu'à demi mots tout ce qui te blessait, tout ce qui t'insupporter, et taire, au moins à demi mots, tes blessures, tes raz-le-bol, tes je-n'en-peu-plus, jusqu’à la mort de ta sensation d'amour, jusqu'à ta décision de rupture.
Si tu m'avais dit, d'une manière que je le comprenne (et je suis certain qu'il existe des manières que j'aurais pu comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), "c'est....[NDR tout ce qui a gâcher ton amour de moi] ou moi !", je suis certain que j'aurais réussi à faire ce qu'il fallait pour sauver ton amour de moi !!
Avec des "si", on mettrait Paris en bouteille ! C'est cela que tu penses, n'est-ce pas, à l'instant ! Et si sur ce coup-là, tu te trompais ? Et si, sur ce coup-là, j'avais raison ?
Je pense sur ce coup-là que, effectivement, tu te trompes. Je pense sur ce coup-là que, effectivement, j'ai raison : si tu m'avais dit, d'une manière que je le comprenne (et je suis certain qu'il existe des manières que j'aurais pu comprendre !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!), "c'est....[NDR tout ce qui a gâcher ton amour de moi] ou moi !", je suis certain que j'aurais réussi à faire ce qu'il fallait pour sauver ton amour de moi !.
Es-tu plus heureuse aujourd'hui que quand nous nous aimions l'un l'autre ? Cela n'aurait-il pas valu le coup que l'on trouve le moyen de se battre mieux ensemble pour atteindre tout nos rêves d'au dessus de la ceinture ? Moi, j'y crois toujours
Aujourd'hui, oui, je ne suis qu'une ombre, un bateau en perdition dont je suis incapable de jauger du futur : totale épave en devenir, ou navire au milieu de la tempête qui retrouvera un cap, et un bon vent ?
Sans toi, je ne sais Avec toi, je le sais, je me retrouverais presque instantanément avec plus de force que je n'en ai jamais eu ! Phantasme peu coûteux ? Non, je ne crois pas.
Es-tu plus heureuse aujourd'hui que quand nous nous aimions l'un l'autre, et que tu commençais à bien vouloir envisager de commencer à croire en un long futur commun ? Qu'est-ce que j'aimerais que tu retrouves vis à vis de moi cet état là ! Qu'est-ce que j'aimerais que tu retrouves ce début de foi là ! Qu'est-ce que j'aimerais que que tu te sentes remettre en question tout ce qui a gâcher ton amour de moi, avec cette idée que, peut-être, toi, et moi, ça vaudrait le coup de, peut-être.....
Et toujours, et toujours !!!!!!
Et toujours, et toujours, ton silence assourdissant que je ne réussis pas à gérer !!!!!!
Il y en a qui me disent que ton silence est compréhensible.
Moi je ne le comprends pas ton silence sur tout, tellement il me fait mal et tellement je crois que j'aurais moins mal sans lui. Et tellement je crois que tu pourrais le rompre sans t’accabler de douleurs immenses.
Quelles douleurs pour toi à rompre ce silence comparées à mes douleurs de ce silence ?
Ce n'est pas une accusation ; c'est une vraie question !
J'espère au moins que ton silence vaut le coup pour toi, vu ce qu'il me coute à moi.
Il y en a qui me disent que ton silence est compréhensible.
Moi je ne le comprends pas ton silence sur tout, tellement il me fait mal et tellement je crois que j'aurais moins mal sans lui. Et tellement je crois que tu pourrais le rompre sans t’accabler de douleurs immenses.
Quelles douleurs pour toi à rompre ce silence comparées à mes douleurs de ce silence ?
Ce n'est pas une accusation ; c'est une vraie question !
J'espère au moins que ton silence vaut le coup pour toi, vu ce qu'il me coute à moi.
Manque, douleurs.... (MAJ)
Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs. Manque, douleurs.
Manque, douleurs !!!!!!!!
Pourquoi n'entends-tu pas mes supplications, au moins celles à l'égard de tes enfants ?????
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
Pour gagner quoi ? Pour ne pas perdre quoi ? Pour éviter quoi ? Pour ne pas subir / faire subir quoi ??????????
Vraiment, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas.
Manque, douleurs !!!!!!!!
Pourquoi n'entends-tu pas mes supplications, au moins celles à l'égard de tes enfants ?????
Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ? Pourquoi ?
Pour gagner quoi ? Pour ne pas perdre quoi ? Pour éviter quoi ? Pour ne pas subir / faire subir quoi ??????????
Vraiment, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas.
Je ne te comprends pas !!!
samedi 27 décembre 2014
Dés que
Dés que rien d'obligé ne m'occupe l'esprit, je pense à toi, aux manques que j'ai de toi et de ton amour.
Et, en cette période particulière, je suis également envahi par les anniversaires de K. et de E. que ton silence, ta non réponse à mon SMS me semble m'interdire de leur souhaiter
Et c'est terrible, terrible, terrible, parce que tu vois, tes mômes, je les aimes vraiment de tout mon coeur. Et ils me manquent terriblement.
Et c'est pas du chiqué ! Et c'est pas du semblant ! Et c'est pas de la prise d'otage ! Et c'est pas de l'instrumentalisation ! Et c'est pas de l'idéalisation, de la manipulation au sens où tu entends ce mot !
Et du plus profond de mon cœur, je ne pense sincèrement pas que cela leur ferait du mal que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. A toi non plus. A leur relation avec toi plus. A moi encore moins. Et je pense que eux aussi apprécieraient que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. Alors, tu vois, là encore, j'en pleure. Je suis parti me cacher pour en pleurer.
Et c'est d'autant plus terrible qu'alors que je sais bien que tu ne peux pas t'obliger à m'aimer, tu pourrais faire un autre choix concernant tes enfants.
Alors tu vois, dés que rien d'obligé ne m'occupe l'esprit, j'y pense, et je pars me cacher pour en pleurer.
Non ce n'est pas con ! Non ce n'est pas débile ! Non ce n'est pas dégueulasse ! Ce n'est que de l'amour
Et, en cette période particulière, je suis également envahi par les anniversaires de K. et de E. que ton silence, ta non réponse à mon SMS me semble m'interdire de leur souhaiter
Et c'est terrible, terrible, terrible, parce que tu vois, tes mômes, je les aimes vraiment de tout mon coeur. Et ils me manquent terriblement.
Et c'est pas du chiqué ! Et c'est pas du semblant ! Et c'est pas de la prise d'otage ! Et c'est pas de l'instrumentalisation ! Et c'est pas de l'idéalisation, de la manipulation au sens où tu entends ce mot !
Et du plus profond de mon cœur, je ne pense sincèrement pas que cela leur ferait du mal que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. A toi non plus. A leur relation avec toi plus. A moi encore moins. Et je pense que eux aussi apprécieraient que je puisse leur souhaiter un bon anniversaire, leur parler et les voir de temps en temps. Alors, tu vois, là encore, j'en pleure. Je suis parti me cacher pour en pleurer.
Et c'est d'autant plus terrible qu'alors que je sais bien que tu ne peux pas t'obliger à m'aimer, tu pourrais faire un autre choix concernant tes enfants.
Alors tu vois, dés que rien d'obligé ne m'occupe l'esprit, j'y pense, et je pars me cacher pour en pleurer.
Non ce n'est pas con ! Non ce n'est pas débile ! Non ce n'est pas dégueulasse ! Ce n'est que de l'amour
Cette nuit....
Cette nuit, j'ai rêvé que cette nuit, tu faisais l'amour avec un autre que moi.
Évidement, c'est ton droit le plus stricte !
Cela n'en fut pas moins terrible dans tout mon être.
Je vous voyais en spectateur immatériel impuissant à empêcher cela,impuissant à prendre la place de "l'autre". Cauchemar dingue.
Évidement, c'est ton droit le plus stricte !
Cela n'en fut pas moins terrible dans tout mon être.
Je vous voyais en spectateur immatériel impuissant à empêcher cela,impuissant à prendre la place de "l'autre". Cauchemar dingue.
vendredi 26 décembre 2014
Toujours cette sensation
Toujours cette sensation d’oppression, et cette tristesse, et cette incapacité à me dire que tu n'as plus rien à me dire.
Peut-être ne me dis tu rien, ne m'écris-tu rien, simplement parce tu ne sais quoi me dire, quoi m’écrire. Compte tenu de ce que tu ressens, compte tenu de ce que je ressens. Et de l'écart entre les deux ?
Soit certaine cependant que tout / n'importe quoi m'irait mieux que rien !
Je t'imagines ce soir avec K. et E. chez vous, devant la télé.
Tu me manques tjrs autant ; vous me manquez tjrs autant. Et ton choix vis à vis de moi et de eux me blesse toujours immensément. Les boules....
Peut-être ne me dis tu rien, ne m'écris-tu rien, simplement parce tu ne sais quoi me dire, quoi m’écrire. Compte tenu de ce que tu ressens, compte tenu de ce que je ressens. Et de l'écart entre les deux ?
Soit certaine cependant que tout / n'importe quoi m'irait mieux que rien !
Je t'imagines ce soir avec K. et E. chez vous, devant la télé.
Tu me manques tjrs autant ; vous me manquez tjrs autant. Et ton choix vis à vis de moi et de eux me blesse toujours immensément. Les boules....
Coeur serré, ventre noué
Je repars là, pour Paris, avec les cadeaux d'anniversaire de K. et E. dans le coffre.
Et tu es tout prêt, et tu ne m'aimes plus, et tu ne veux plus de moi et tu ne veux pas....
Les boules. J'ai le cœur immensément serré et l'estomac noué comme c'est pas possible.
Si tu savais, si tu savais !!! Si tu pouvais percevoir ce que je ressens !
Et tu es tout prêt, et tu ne m'aimes plus, et tu ne veux plus de moi et tu ne veux pas....
Les boules. J'ai le cœur immensément serré et l'estomac noué comme c'est pas possible.
Si tu savais, si tu savais !!! Si tu pouvais percevoir ce que je ressens !
C'est dommage
"C'est dommage !" C'est vraiment le ressenti qui m'imprègne totalement à l'instant
C'est ton droit le plus strict de ne plus avoir voulu de moi parce que tu ne te sentais plus m'aimer, parce que tu ne m'aimais plus. Et, je sais que je dois le respecter.
Mais je n'arrive toujours pas à ne pas croire intensément que nous sommes profondément "amour compatible". Et je n'arrive toujours pas à croire, à ressentir que tout ce que j'ai fait, n'ai pas fait, ai été, n'ai pas été et qui a cassé ton amour était irrémédiable. Je n'ai pas su voir, comprendre manifestement à quel point des choses minaient, ont miné ton amour de moi. Mais je continue de penser que si nous avions géré cela différemment (et que ce n'était pas impossible, notre histoire aurait pu évoluer autrement.
L'expression "Jeter le bébé avec l'eau du bain " me vient à l'esprit. Je trouve qu'elle colle bien à ce que je ressens à l'instant. Et que..."C'est dommage !"
C'est ton droit le plus strict de ne plus avoir voulu de moi parce que tu ne te sentais plus m'aimer, parce que tu ne m'aimais plus. Et, je sais que je dois le respecter.
Mais je n'arrive toujours pas à ne pas croire intensément que nous sommes profondément "amour compatible". Et je n'arrive toujours pas à croire, à ressentir que tout ce que j'ai fait, n'ai pas fait, ai été, n'ai pas été et qui a cassé ton amour était irrémédiable. Je n'ai pas su voir, comprendre manifestement à quel point des choses minaient, ont miné ton amour de moi. Mais je continue de penser que si nous avions géré cela différemment (et que ce n'était pas impossible, notre histoire aurait pu évoluer autrement.
L'expression "Jeter le bébé avec l'eau du bain " me vient à l'esprit. Je trouve qu'elle colle bien à ce que je ressens à l'instant. Et que..."C'est dommage !"
jeudi 25 décembre 2014
Fou d'amour
Douloureux Noël ; je compte plus facilement les moments où je n'ai pas pensée à toi, pas penser à vous, que l'inverse.
Avec des moments où il me fallait m'enfuir pour cacher mes larmes.
C'est dingue ! Je n'arrive pas à extirper de moi l'amour que je te porte, l'amour que je vous porte et tous ces manques de toi, de vous qui me déchirent. C'est dingue !
Avec des moments où il me fallait m'enfuir pour cacher mes larmes.
C'est dingue ! Je n'arrive pas à extirper de moi l'amour que je te porte, l'amour que je vous porte et tous ces manques de toi, de vous qui me déchirent. C'est dingue !
mercredi 24 décembre 2014
S. et T. sont arrivés, S. et T. sont là, je devrais.... et pourtant...
S. et T. sont arrivés, S. et T. sont là. Mes propres enfants sont là, avec moi. Je ne devrais penser qu'à eux, être 100% avec eux. Et pourtant ! Je n'arrive pas vous chasser de mon esprit, des mes tripes, de mon cœur, ni toi, ni K. , ni E !
Vous y êtes en boucle !!!!!!!!
J'enrage !
A commencer contre moi.
Vous y êtes en boucle !!!!!!!!
J'enrage !
A commencer contre moi.
Noel, noel...
Je repense aux précédents Noel.
Je repense aux compléments de courses cadeau que nous avions fait une fois ensemble.
Je repense à chez ton père et ta mère, aux photos prises chez eux, en particulier celle que j'avais prise de toi, de ta mère, de ta sœur, et Lily.
Je vois tant d'amour dans ton regard d'alors.
Douleurs, larmes.
Je repense aux compléments de courses cadeau que nous avions fait une fois ensemble.
Je repense à chez ton père et ta mère, aux photos prises chez eux, en particulier celle que j'avais prise de toi, de ta mère, de ta sœur, et Lily.
Je vois tant d'amour dans ton regard d'alors.
Douleurs, larmes.
Une pensée pour Adri...
Je viens d'apprendre par le journal le décès de.... Adr. J.
Je ne le verrais plus remonter ou descendre la rue.
Pensées pour lui. Pensées pour toutes les fois où tu m'as parlé de lui, ne serait-ce que pour dire que tu irais où était allé chez lui, tel jour, à telle heure....
Pensées aussi pour toi, et ce que cela te fait à chaque fois, qu'un "client" comme lui part pour le grand voyage.
Samedi, de même que D., S. et L., je serais déjà reparti avec S. et T.
Pas de risque pour toi de m'y croiser si tu viens aux obsèques de A.
Je ne le verrais plus remonter ou descendre la rue.
Pensées pour lui. Pensées pour toutes les fois où tu m'as parlé de lui, ne serait-ce que pour dire que tu irais où était allé chez lui, tel jour, à telle heure....
Pensées aussi pour toi, et ce que cela te fait à chaque fois, qu'un "client" comme lui part pour le grand voyage.
Samedi, de même que D., S. et L., je serais déjà reparti avec S. et T.
Pas de risque pour toi de m'y croiser si tu viens aux obsèques de A.
mardi 23 décembre 2014
J'arrive pas !
J'arrive pas ! J'arrive pas à ne pas être en boucle, dans ma tête, dans mes tripes, dans mon cœur, sur toi, sur vous, sur nous.
Tout de toi me manque toujours, et c'est terrible. Tout, tout, tout, tout !
Tu m'as dis quand tu as rompu et que je suis passé chez toi reprendre mes quelques affaire et que l'on s'est vu brièvement en tête, "fais gaffe à l'amour".
Je m'en veux terriblement de ne pas avoir su faire gaffe comme il l'aurait fallu, d'avoir d'une manière ou d'une autre, sans m'en rendre compte, engendrer en toi ce qui t'as conduit à décider de rompre. Même si je continue de penser que cela aurait pu être éviter si "tu m'avais mieux ouvert" les yeux". Qu'on aurait pu mieux/plus "fais gaffe", si on l'avait mieux fait ensemble, pour éviter cela.
Et je continues de croire que nous pourrions être heureux ensemble si seulement, si seulement, si seulement, tu pouvais y croire à nouveau. Que nous saurions cette fois éviter les écueils, ensemble.
Bref.
J'arrive pas non plus à ne pas penser à K. et E.
Tout d'eux aussi me manquent terriblement.
Ce midi, durant le repas, Lo a posé ses pieds, sur les miens, sous la table. Les souvenirs de cette chose là vécue avec E. et tout ce que je me souviens d'elle, et tout ce que je continue à éprouver pour elle, et tout le manque d'elle que je ressens m'ont envahis.
Je me suis levé de table pour partir..... pleurer, pleurer, pleurer dans "l'écurie" !
Très con ? Ce n'est ainsi que je le vis et les ressens. J'arrive pas ! A le vivre et le ressentir ainsi.
lundi 22 décembre 2014
Aujourd'hui, la seule en fait qui...
Ce n'est pas avec elle que j'avais RDV hier...
Aujourd'hui, la seule en fait qui pourrait me faire "t'oublier", c'est finalement bien Es A.. !!!!
Deux heures que l'on chatte sur FB,sur la base au départ de mon RDV d'hier au soir (avec pas elle...).
Je ne sais pas comment cela c'est fait : toute armure, protection, faux semblant, non dit, tombés.... dans un "parfait' registre de "on se dit tout", directement, crument (si ce ce n'est cruellement, parfois), parce que l'on se sent/se sait (j'y crois !) assez "intelligent" pour, sinon comprendre, a minima, entendre ce qui est crié, au besoin vertement, pour être entendu. Sensations, je crois, partagées, d'être dans une confiance énorme, sinon absolue, l'un et l'autre, vis à vis à de l'un et de l'autre.
Pourquoi n'as-tu pas plus cru, toi, ainsi en mon intelligence ! A ma capacité à comprendre, si tu me mettais franchement les points sur les "i" (tout en saisissant que, apparemment, je suis un brin autiste....) !!! Qu'est-ce qui t'as traumatisé dans ta vie pour que cela ne fonctionne pas alors sur ce mode du 'on se dira tout'... alors que - je te l'avais promis (et même fait à mon corps défendant !), et je te l'avais demandé... Pourquoi, toi et moi, sommes nous retomber dans ce piège à con de l'incompréhension qui vident l'aquarium de (tout :-( ? ) l’oxygène nécessaire ?!!
Une évidence ce soir à mes yeux : elle (au moins !) se soucie profondément de l'impact de ces choix et de ces décisions, sur son compagnon, ses enfants, son entourage.... Il me semble en tout cas plus que toi....
"[...] C'est sur que je me suis habituée à lui.[...] S il y avait pas T. je te prendrais comme amoureux ! mais...[....] Si je le quitte, je le tue ! Je suis pas malheureuse avec lui Il m'aime vraiment, je le sais"
J'ai de la bouillie dans la tête et de la boue au fond cœur ! Toi, Elle, moi, son T. , et puis Tuba...
Et c'est certain que tu as été la seule (avec la mère de mes enfants !) à m'avoir pratiquer "durablement"et finir par dire "Stop !". Vous êtes deux à m'avoir juger invivable ! Suis-je irrémédiablement invivable ?
Aujourd'hui, la seule en fait qui pourrait me faire "t'oublier", c'est finalement bien Es A.. !!!!
Deux heures que l'on chatte sur FB,sur la base au départ de mon RDV d'hier au soir (avec pas elle...).
Je ne sais pas comment cela c'est fait : toute armure, protection, faux semblant, non dit, tombés.... dans un "parfait' registre de "on se dit tout", directement, crument (si ce ce n'est cruellement, parfois), parce que l'on se sent/se sait (j'y crois !) assez "intelligent" pour, sinon comprendre, a minima, entendre ce qui est crié, au besoin vertement, pour être entendu. Sensations, je crois, partagées, d'être dans une confiance énorme, sinon absolue, l'un et l'autre, vis à vis à de l'un et de l'autre.
Pourquoi n'as-tu pas plus cru, toi, ainsi en mon intelligence ! A ma capacité à comprendre, si tu me mettais franchement les points sur les "i" (tout en saisissant que, apparemment, je suis un brin autiste....) !!! Qu'est-ce qui t'as traumatisé dans ta vie pour que cela ne fonctionne pas alors sur ce mode du 'on se dira tout'... alors que - je te l'avais promis (et même fait à mon corps défendant !), et je te l'avais demandé... Pourquoi, toi et moi, sommes nous retomber dans ce piège à con de l'incompréhension qui vident l'aquarium de (tout :-( ? ) l’oxygène nécessaire ?!!
Une évidence ce soir à mes yeux : elle (au moins !) se soucie profondément de l'impact de ces choix et de ces décisions, sur son compagnon, ses enfants, son entourage.... Il me semble en tout cas plus que toi....
"[...] C'est sur que je me suis habituée à lui.[...] S il y avait pas T. je te prendrais comme amoureux ! mais...[....] Si je le quitte, je le tue ! Je suis pas malheureuse avec lui Il m'aime vraiment, je le sais"
J'ai de la bouillie dans la tête et de la boue au fond cœur ! Toi, Elle, moi, son T. , et puis Tuba...
Et c'est certain que tu as été la seule (avec la mère de mes enfants !) à m'avoir pratiquer "durablement"et finir par dire "Stop !". Vous êtes deux à m'avoir juger invivable ! Suis-je irrémédiablement invivable ?
dimanche 21 décembre 2014
Ca me rends vraiment dingue !
Hier soir, comme aujourd'hui, pas réussi à t'oublier ; t'es en boucle dans ma tête, mon cœur, mes tripes ! Je n'arrive pas passer à autre chose...
Ton désamour et tout ce qui va avec me rendent vraiment dingue !!!!!
Ton désamour et tout ce qui va avec me rendent vraiment dingue !!!!!
Aujourd'hui, l'amour que j'ai pour toi, cet amour dont je ne réussis pas à me débarrasser, cet amour que j'éprouve toujours pour toi , est, à force de douleurs et de rage, chargé de rancœur, d'aigreur, et de dégoût à l'égard de ce que me fait ton désamour, à l'égard de ce de ce que tu y associes par rapport à tes enfants, à l'égard de la manière dont tu me laisses me désagréger, sans rien tenter du tout, me semble-t-il, pour m'aider à m'en sortir. Pour l'heure, tes capacités d’altruisme et de compassion semblent clairement ne plus pouvoir s'appliquer à moi.
Aujourd'hui, dans mon être, j'aurais préféré ne jamais te connaitre plutôt que de vivre / subir / souffrir cela !!!
Et pourtant comme j'aimerais te voir, t'entendre, ne serait-ce que t'entendre me dire n'importe quoi !
Heureusement pour toi, tu ressens pas, tu ne perçois pas, tu ne comprends pas, tu n'imagines pas, l'intensité de ma souffrance ; sinon tu m’appellerais, m’appellerais, m’appellerais, m’appellerais, m’appellerais !!!!!
samedi 20 décembre 2014
Un endroit sympa pour ?
Question
"bête" : un endroit sympa dans Paris, sur a ligne RER A pour boire un premier verre, demain
soir, avec une "belle" ? A priori, genre pub anglais, avec de la musique, etc.
Tu vois : je fais des efforts pour 't'oublier' !!!!
jeudi 18 décembre 2014
Au bout du compte...
C'est quoi le sens / les envies de "bénéfice(s)" que l''on accorde / donne aux choses de notre vie ?
C'est quoi le sens / les 'envies de "bénéfice(s)" / les besoins d''évitement que l''on accorde / donne aux décisions que l'on prend / ne prend pas ?
Étant entendu (of course !) que chaque 'non choix" est un choix, effectué d'une autre manière....
Que chaque inaction est un acte, effectué d'une autre manière....
Que chaque silence est une "parole" (quoique souvent en la circonstance ambigüe !), formulée d'une autre manière....
Et qu'avoir "intellectuellement" la perception de ces chose là n'empêche pas nécessairement de se planter, dans la pratique !
C'est quoi le sens / les 'envies de "bénéfice(s)" / les besoins d''évitement que l''on accorde / donne aux décisions que l'on prend / ne prend pas ?
Étant entendu (of course !) que chaque 'non choix" est un choix, effectué d'une autre manière....
Que chaque inaction est un acte, effectué d'une autre manière....
Que chaque silence est une "parole" (quoique souvent en la circonstance ambigüe !), formulée d'une autre manière....
Et qu'avoir "intellectuellement" la perception de ces chose là n'empêche pas nécessairement de se planter, dans la pratique !
Point d'inflexion stratégique / après l'heure, c'est plus l'heure '(maj)
Ce soir, j'ai passé deux heures au téléphone avec une certaine Tuba (voir si curiosité mes contacts FB / lol, en te faisant aider au besoin par M....).
On va boire un pot ensemble avant la fin de l'année. + si + d'affinités (au moins dans ma tête).
J'ai revu aussi hier dans le RER Es. A (j'avais bien calculé l'heure...). C'est autre chose que la compassion FB ! Ton ombre et celle de son compagnon planaient sur nous.... Est-ce que des ombres comme celles-là cela s'efface ???)
Tu vois : je commence à faire des efforts pour tenter de t'oublier ; pour tenter de "te remplacer" ! Merci au jeune frère décédé de cette amie dont je "parlais" hier ?
Un joue, tu m'as dit, ou était-ce par chanson interposée, " fait gaffe à l'amour". Ce soir, j'ai envie de t'écrire : "Fait gaffe au train qui passe !". Pense s’y aujourd'hui, stp ! Ce serait trop con que tu n'y penses qu'alors qu'il soit trop tard, non ? Après, évidement, tu peux aussi y penser en te disant que tout est très bien ainsi, pour l'éternité !
La référence à Point d'inflexion stratégique, c'est celle de ces moments où il y a des moments de métamorphose, où "ce qui était vrai, avant, ne l'est plus."
A mes yeux, aujourd'hui, l'uen des pires choses qui pourrait nous arriver, c'est que tu regrettes ta décision de rupture mais seulement à un moment où il seraitt rop tard, parce que je serais ailleurs, dans une autre histoire. Parfaitement impossible ? Je te laisse juge.
Es-tu certaine d'avoir bien fait le tour de cette question ?
Cf mes réflexions d'hier, je n'ai pas le droit de ne pas tout tenter pour "aller de l'avant" dans cette vie-là.... au besoin, sans toi. Même si cela revient à remplacer une jambe coupée par une jambe de bois....
Au moins, continuer à marcher.... debout ! Mais si tu m'aimais à nouveau, avant qu'il ne soit "trop tard" , ce serait quand même mieux (je trouve) !
Qoi qu'il en soit (Celà devient un tic, on dirait !), bonne suite de nuit à K. et E., ainsi qu'à toi qui doit avoir à cette heure-là quittée ton canapé pour ton lit qu me manque tant, avec toi, en son sein, à mes cotés.
On va boire un pot ensemble avant la fin de l'année. + si + d'affinités (au moins dans ma tête).
J'ai revu aussi hier dans le RER Es. A (j'avais bien calculé l'heure...). C'est autre chose que la compassion FB ! Ton ombre et celle de son compagnon planaient sur nous.... Est-ce que des ombres comme celles-là cela s'efface ???)
Tu vois : je commence à faire des efforts pour tenter de t'oublier ; pour tenter de "te remplacer" ! Merci au jeune frère décédé de cette amie dont je "parlais" hier ?
Un joue, tu m'as dit, ou était-ce par chanson interposée, " fait gaffe à l'amour". Ce soir, j'ai envie de t'écrire : "Fait gaffe au train qui passe !". Pense s’y aujourd'hui, stp ! Ce serait trop con que tu n'y penses qu'alors qu'il soit trop tard, non ? Après, évidement, tu peux aussi y penser en te disant que tout est très bien ainsi, pour l'éternité !
La référence à Point d'inflexion stratégique, c'est celle de ces moments où il y a des moments de métamorphose, où "ce qui était vrai, avant, ne l'est plus."
A mes yeux, aujourd'hui, l'uen des pires choses qui pourrait nous arriver, c'est que tu regrettes ta décision de rupture mais seulement à un moment où il seraitt rop tard, parce que je serais ailleurs, dans une autre histoire. Parfaitement impossible ? Je te laisse juge.
Es-tu certaine d'avoir bien fait le tour de cette question ?
Cf mes réflexions d'hier, je n'ai pas le droit de ne pas tout tenter pour "aller de l'avant" dans cette vie-là.... au besoin, sans toi. Même si cela revient à remplacer une jambe coupée par une jambe de bois....
Au moins, continuer à marcher.... debout ! Mais si tu m'aimais à nouveau, avant qu'il ne soit "trop tard" , ce serait quand même mieux (je trouve) !
Qoi qu'il en soit (Celà devient un tic, on dirait !), bonne suite de nuit à K. et E., ainsi qu'à toi qui doit avoir à cette heure-là quittée ton canapé pour ton lit qu me manque tant, avec toi, en son sein, à mes cotés.
mardi 16 décembre 2014
Question de "devoir"
Une ex collègue, qui tente depuis des mois de me secouer, vient de perdre hier au soir son "jeune" frère (son seul frère) âgé d'une quarantaine d'années et quelques (crise cardiaque)
Et de m'asséner aujourd'hui : tu n'as pas la droit d'être malheureux, de rester malheureux.... TU ES EN VIE !!!!
En moi, milles injonctions contradictoires !
Devoir pour moi de me faire heureux ? Parce que mes douleurs ne sont rien comparées à la mort ? Parce que je n'ai, pas le droit de les laisser (les utiliser ?) à me tuer "petit à petit", ne serait-ce qu'à coup de clops, d'alcool, d'arrêt de footing, de mélanges alcool & tabac & café & anti-anxiolitiques & antidépresseurs & manque de sommeil & insistance à ton égard &incapacité à ne plus t'aimer et à ne plus aimer tes enfants .... ?
En moi, milles injonctions contradictoires, où je mélange tout, qui mélangent tout.
Bonne méditation à toi, à moi, et bonne nuit à K. et à E.
Phrase de ce soir d'une autre ancienne collègue : "Dis toi qu'aimer des enfants est la plus belle chose que l'on puisse faire pour eux et que toute leur vie ils s'en souviendront, en garderont une trace, une bribe qui les aidera, quoi qu'il en soit aujourd'hui du barrage entre eux et toi".
Bonne méditation à toi, à moi, et bonne nuit à K. et à E.
Et de m'asséner aujourd'hui : tu n'as pas la droit d'être malheureux, de rester malheureux.... TU ES EN VIE !!!!
En moi, milles injonctions contradictoires !
Devoir pour moi de me faire heureux ? Parce que mes douleurs ne sont rien comparées à la mort ? Parce que je n'ai, pas le droit de les laisser (les utiliser ?) à me tuer "petit à petit", ne serait-ce qu'à coup de clops, d'alcool, d'arrêt de footing, de mélanges alcool & tabac & café & anti-anxiolitiques & antidépresseurs & manque de sommeil & insistance à ton égard &incapacité à ne plus t'aimer et à ne plus aimer tes enfants .... ?
En moi, milles injonctions contradictoires, où je mélange tout, qui mélangent tout.
Bonne méditation à toi, à moi, et bonne nuit à K. et à E.
Phrase de ce soir d'une autre ancienne collègue : "Dis toi qu'aimer des enfants est la plus belle chose que l'on puisse faire pour eux et que toute leur vie ils s'en souviendront, en garderont une trace, une bribe qui les aidera, quoi qu'il en soit aujourd'hui du barrage entre eux et toi".
Bonne méditation à toi, à moi, et bonne nuit à K. et à E.
lundi 15 décembre 2014
Pensées / J'en ai marre (nouvelle maj)
Pensées. J'en ai marre de penser à toi, à vous, comme çà ; cela me rend dingue !
Ou je suis dingue de penser encore comme ça, à toi, à vous.
Ou les deux ! Surement les deux, d'ailleurs. C'est l'histoire de l’œuf et de la poule....
Et toujours ton silence ! Qui, ce soir à nouveau, me transperce. Et que je ressens là, à nouveau, comme un mépris énorme, blessant au possible.
Et cette impossibilité de m'adresser directement à toi sans que tu m'accuses (facile !) de harcèlement !
Ne crois pas que j'exprime là une peur en liaison avec ton post FB sur la gendarmerie de V.
Devant un tribunal, sans méchanceté aucune dans ce propos (mais avec une profonde certitude), je pense, me concernant, que je pourrais m'en sortir la tête vraiment haute.Mais je n'ai pas envie de rentrer dans ce type de pugilat. Parce que je ne me vis pas en guerre contre toi. Aussi par égard vis à vis de K. et de E. Alors, oui, je redouble d'attention pour qu'un "raz le bol" de ta part ne nous emmène pas dans une telle folie destructive.
Ce que j'exprime là (cette impossibilité de m'adresser directement à toi...), cette douleur de ne pouvoir qu’espérer que tu liras sans jamais savoir ce qu'il en est, c'est une profonde frustration. Tant de choses que j'aimerais te dire de vive voix ! Tant de peine à ne pas savoir si tu sauras ou pas ce que j'écris là. Tant d'envie de t'entendre me dire de vive voix ce que tu as en tête les (rares ?) fois où j'occupe / préoccupe tes pensées.
Percevoir avec certitude (ou un minimum de certitude) à quel point, ou tu me méprises, ou.... je sais pas quoi, je ne comprends pas quoi. Pouvoir ne pas / ne plus imaginer les pires de choses sur ce registre. Quitte à prendre justement en pleine gueule les pires des possibilités que j'imagine ! Et être au moins fixer là-dessus. Et réussir alors, peut-être, par la magie du dégoût, ou par la volonté de vivre "malgré tout", à changer de livre. Plutôt que de rester ainsi enlisé comme je le suis dans cet amour de toi qui se heurte aujourd'hui à un mur, opaque, terriblement opaque. Bref.
Quoi qu'il en soit, ce soir à nouveau, bonne nuit en pensées à K. et E.
Et bonne fin de soirée à toi, et bonne nuit ensuite à toi aussi, " quant même" ?
Oui ! Même si d'aucun / d'aucune me disent que je devrais plutôt "te haïr ou presque", bonne fin de soirée à toi aussi quant même, et bonne nuit ensuite à toi aussi. Même si, même si, même si....
Quelle candeur ai-je eu de croire que, toi et moi, ce serait "pour la vie", et au-dessus des contingences de nos vies ?!
Ou je suis dingue de penser encore comme ça, à toi, à vous.
Ou les deux ! Surement les deux, d'ailleurs. C'est l'histoire de l’œuf et de la poule....
Et toujours ton silence ! Qui, ce soir à nouveau, me transperce. Et que je ressens là, à nouveau, comme un mépris énorme, blessant au possible.
Et cette impossibilité de m'adresser directement à toi sans que tu m'accuses (facile !) de harcèlement !
Ne crois pas que j'exprime là une peur en liaison avec ton post FB sur la gendarmerie de V.
Devant un tribunal, sans méchanceté aucune dans ce propos (mais avec une profonde certitude), je pense, me concernant, que je pourrais m'en sortir la tête vraiment haute.Mais je n'ai pas envie de rentrer dans ce type de pugilat. Parce que je ne me vis pas en guerre contre toi. Aussi par égard vis à vis de K. et de E. Alors, oui, je redouble d'attention pour qu'un "raz le bol" de ta part ne nous emmène pas dans une telle folie destructive.
Ce que j'exprime là (cette impossibilité de m'adresser directement à toi...), cette douleur de ne pouvoir qu’espérer que tu liras sans jamais savoir ce qu'il en est, c'est une profonde frustration. Tant de choses que j'aimerais te dire de vive voix ! Tant de peine à ne pas savoir si tu sauras ou pas ce que j'écris là. Tant d'envie de t'entendre me dire de vive voix ce que tu as en tête les (rares ?) fois où j'occupe / préoccupe tes pensées.
Percevoir avec certitude (ou un minimum de certitude) à quel point, ou tu me méprises, ou.... je sais pas quoi, je ne comprends pas quoi. Pouvoir ne pas / ne plus imaginer les pires de choses sur ce registre. Quitte à prendre justement en pleine gueule les pires des possibilités que j'imagine ! Et être au moins fixer là-dessus. Et réussir alors, peut-être, par la magie du dégoût, ou par la volonté de vivre "malgré tout", à changer de livre. Plutôt que de rester ainsi enlisé comme je le suis dans cet amour de toi qui se heurte aujourd'hui à un mur, opaque, terriblement opaque. Bref.
Quoi qu'il en soit, ce soir à nouveau, bonne nuit en pensées à K. et E.
Et bonne fin de soirée à toi, et bonne nuit ensuite à toi aussi, " quant même" ?
Oui ! Même si d'aucun / d'aucune me disent que je devrais plutôt "te haïr ou presque", bonne fin de soirée à toi aussi quant même, et bonne nuit ensuite à toi aussi. Même si, même si, même si....
Quelle candeur ai-je eu de croire que, toi et moi, ce serait "pour la vie", et au-dessus des contingences de nos vies ?!
Bonne journée , bonne semaine
Dernière ligne droite pour K. et E. avant les vacances Noël.
Bonne journée , bonne semaine à vous trois.
Bonne journée , bonne semaine à vous trois.
dimanche 14 décembre 2014
Questions de hauteurs
En fait, c'est éternellement, toujours très simple :
Est-ce que tu es à la hauteur des limites de mes hauteurs ;
Est-ce que je suis à la hauteur des limites de tes hauteurs ?
La réponse me semble aujourd’hui, clairement : "non".
Dsl de ne pas être à la hauteur.
Est-ce que tu es à la hauteur des limites de mes hauteurs ;
Est-ce que je suis à la hauteur des limites de tes hauteurs ?
La réponse me semble aujourd’hui, clairement : "non".
Dsl de ne pas être à la hauteur.
samedi 13 décembre 2014
Tu te souviens ?
Le 13 avril 2012 à 21h17, tu m'avais écris :" J'avais envie.............. que tu écoutes de nouveau cette chanson sans sous entendus....................... Elle était "moi" il n'y a pas si longtemps. Bisous
Elodie Frege - La ceinture par val6210
Moi, je m'en souviens comme si c'était hier !
Et je pleure, je pleure, je pleure. Ne te moques d'un mec qui pleure seul chez lui. Ne te moques de moi !!
Je n'ai rien vu venir entre la dernière fois où tu m'a écris "Je t'aime", et ce seul week-end passé chez toi où nous n'avons pas dormi ensemble, pas fait l'amour ensemble.
Et même là, je n'ai pas mesuré la profondeur du malaise ! Tu disais que c'était ton bras.... Et moi, et moi, et moi, sur le coup, j'y ai cru ; je t'ai cru !
Jusqu'à ce que je repartes à Paris et que cela commence à tourner en boucle dans ma tête...
Souviens toi de ce 13 avril 2012 ! Quels enchainements entre ce que tu ressentais ce 13 avril 2012, et ta décision de rupture ?
Moi, je n'arrive pas à relier les deux, ce 13 avril 2012, et ta décision de rupture ! Et cela me rends fou de ne pas comprendre, pas comprendre, pas comprendre. De ne pas comprendre ce que je suis ou ce que j'ai fait, ou les deux, qui est irrattrapable, incorrigible, et dont tu ne m'as rien dit violemment, jusqu'à ta décision de rupture. Ce ne fut sans doute pas une simple "lettre à la Poste" pour toi ; mais perçois-tu le cataclysme que cela a été pour moi ?
Tu te protèges sans doute ; mais SOS, SOS, il parait (si j'en crois ce que M. m'en avait dit) que tu vas beaucoup mieux que moi. Dieu merci pour toi ! Es-tu vraiment à court de possibilités d'efforts pour moi sans te mettre en danger ? Ou n'est-ce qu'une histoire de confort (quelque part, égoïste ?) ou de mépris à mon égard ?
Je t'en prie. Ne me laisses pas ainsi seul avec ce pratiquement seul "tes petits travers ne m'amusent plus !". Que tu me laisses ainsi m'apparait tellement contradictoire avec l'amour que je te porte et l'amour que j'ai cru que tu me portais !
Que tu me laisses ainsi ; je crains de ne pas y survire autrement que sous la forme d'un zombie sombrant sur le tard dans quelque forme de schizophrénie. Avec un cœur totalement asséché. Tu t'en fous ?
Il y a des moments, qui sont loin de se faire de plus en plus rares, où, à travers tes comportements à mon égards depuis ta décision de rupture, j'éprouve la sensation d'être trahi par le genre humain - tout entier. Si toi que j'aime tant peut me faire ça, si toi qui je crois m'a aimé sincèrement , et connait ma détresse actuelle, peut me faire çà, en qui puis-je avoir confiance ?! Si toi tu peux me faire cela, ce n'est pas toi, ce n'est pas que toi qui est en cause ; c'est la nature humaine toute entière ! Parce que si toi tu peux me faire cela, n'importe qui d'autre peut me le faire, peut faire des choses qui me déchirent à ce point. Et ne rien faire pour atténuer la profondeur de mes blessures. Je t'en supplie, , à défaut de m'aimer encore, aides-moi à reprendre confiance dans le genre humain.
A défaut de m'aimer encore...
Vacances, été 2012.
Je me souviens de cette journée, et je regarde aujourd'hui. A la clef, terribles manques, douleurs et incompréhensions ! J'en pleure ; c'est con. Si mois après ta décision de rupture, j'en pleure. Et ce n'est pas qu'une façon de parler !
Je me répète.... Pour pouvoir avancer, sans me défier de toutes relations avec tout être humain, pour pouvoir réussir à tourner la page, pour pouvoir réussir à changer de livre, comment me satisfaire, avec mon âme et mon cœur déchirés, de ton "mes petits travers ne t'amusent plus" fourni en seule guise d'explication ?
Pour pouvoir avancer, sans me défier de toutes relations avec tout être humain, comment accepter d'être interdit de toutes relations avec tes enfants que j'ai appris à aimer, que j'aime, et dont je ne voit vraiment pas le mal que je pourrais leur faire, et dont rien ne me dit que je ne leur manque aucunement, ne serait-ce qu'un peu.
Bien sur que ILS N'ONT PAS BESOIN DE MOI ! Pour autant, ont-ils besoin de "NON MOI" ? Je veux dire par là ont-ils besoin qu'en quelque sorte, tu m'aies rayé de leur vie ?
Les concernant, la question, je pense, n'est simplement pas là pas dans cette notion de besoin.
Je n'arrive pas à gérer correctement ton / tes comportements, depuis ta décision de rupture. J'essaie sincèrement, pourtant ! Six mois déjà, et je continue de sombrer, à ne pas réussir à gérer correctement, et décision de rupture, et ton / tes comportements, depuis ta décision de rupture, et mon / mes comportements depuis ta décision de rupture.
A défaut de m'aimer encore, je t'en prie : essaies de prendre sur toi, sur tes colères, tes rancœurs, ta lassitude, ton raz-le-bol et, aides-moi. je t'en prie : apportes moi les mots qui manquent à ta décision de rupture et à tes rejets de mes demandes concernant K. et E..
L'absence de ces mots est terrible quand elle raisonne dans ma tête. Ne pas pouvoir poser du sens sur tout cela me fait perdre mille goûts à la vie. Sans ces mots, j'ai peur de ne jamais réussir à sortir de ce tunnel obscur et glacial, où je me détruit "lentement" ; mais surement. Je peine à imaginer que tu puisses avoir conscience du niveau de ma détresse, et me laisser ainsi me noyer, me noyer, me noyer, emporté par les flots de mon désespoir. Sans tenter de me tendre aucune perche. je t'en prie, aides-moi, au nom de ton amour d'autrefois.
vendredi 12 décembre 2014
Haïr ?
Quelqu'un m'a demandé : "Et, aujourd'hui, tu ...la haie ?" Ce serait peut-être plus simple. Mais, non ! je n'arrive à haïr que ce que l’on se fait. Mes mots, mes reproches, tes silences. Tes silences, tes reproches, mes mots. Nos incompréhensions. Nos colères.
Avec cette question lancinante : quels sont les comportements les plus destructeurs ? Les miens, les tiens ?
Peux-tu me dire , où, quand, je n'essaie pas d'être constructif ? Te haïr ? Dieu, non ! Je continue de t'aimer. Paradoxal assurément à l'échelle de ces derniers mois.
Avec cette question lancinante : quels sont les comportements les plus destructeurs ? Les miens, les tiens ?
Peux-tu me dire , où, quand, je n'essaie pas d'être constructif ? Te haïr ? Dieu, non ! Je continue de t'aimer. Paradoxal assurément à l'échelle de ces derniers mois.
jeudi 11 décembre 2014
Manque, manque, manque....
"Se rendre compte de son comportement
" xxxxx son ex copine commence au moment où cette dernière demande que vous arrêtiez de la contacter mais que vous continuez. Pour changer d’attitude, il faut se rendre compte de votre comportement. Ce n’est pas facile de se remettre en question mais c’est obligatoire pour que vous puissiez vous sentir mieux. Tout d’abord, regardez dans votre téléphone. Comptez le nombre de SMS que vous lui avez envoyé,Oui, c’est à petite échelle mais ça a du représenté beaucoup trop déjà pour votre ex. Après une rupture, il est important de laisser de la distance. Pour vous, ce fut une déchirure, je le comprends, mais pour elle aussi. Il ne faut pas que vous pensiez être le seul à être triste et désemparé. Ce serait égoïste d’imaginer cela. Vous avez été dépassé par les événements, noyé dans une profonde tristesse. C’est cela qui vous a forcé à agir de la sorte. Je ne dis pas que ce sont des bonnes raisons, mais on ne sait jamais comment on peut réagir lorsqu’on perd son partenaire."
Pfffffff .
Ok te concernant ! Mais pas vis à vis de K et E !!!!!
Réveil nocturne
Cauchemar... réveil.. pensées....
Je trouve bien cruel ce que tu m'inflige. Souhait néanmoins que toi au moins, tu dormes bien quand même en ce moment.
Me rendormir, me rendormir, me rendormir.
Je trouve bien cruel ce que tu m'inflige. Souhait néanmoins que toi au moins, tu dormes bien quand même en ce moment.
Me rendormir, me rendormir, me rendormir.
mercredi 10 décembre 2014
Manques
Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
Tu les sais. Envie quand même de le réécrire tellement tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
Et tellement, c'est une double peine. D'un coté, toi. De l'autre K. et E.
Et concernant K. et E., je trouve que ce que tu m'infliges est tellement... cruel à mon égard, et - à mon avis - pas meilleur au leur que si tu n'infligeais pas celà.
Comprends bien : ce n'est pas toi que je trouve cruelle ; c'est ce que tu m'infliges que je trouve cruel.
Je n'arrives encore pas à répondre posément au SMS de M. ; mais, cela venir. Je te mettrais en copie ; cela me semble le mieux.
JTM toujours ; si tu lis cela, cela va sans doute d'agacer que j'écrive encore cela. Mais c'est ainsi ; d'une certaine manière, j'y peux rien !
Bonne soirée à toi. Bonne nuit à K. et E.
Tu les sais. Envie quand même de le réécrire tellement tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
Et tellement, c'est une double peine. D'un coté, toi. De l'autre K. et E.
Et concernant K. et E., je trouve que ce que tu m'infliges est tellement... cruel à mon égard, et - à mon avis - pas meilleur au leur que si tu n'infligeais pas celà.
Comprends bien : ce n'est pas toi que je trouve cruelle ; c'est ce que tu m'infliges que je trouve cruel.
Je n'arrives encore pas à répondre posément au SMS de M. ; mais, cela venir. Je te mettrais en copie ; cela me semble le mieux.
JTM toujours ; si tu lis cela, cela va sans doute d'agacer que j'écrive encore cela. Mais c'est ainsi ; d'une certaine manière, j'y peux rien !
Bonne soirée à toi. Bonne nuit à K. et E.
mardi 9 décembre 2014
Bonne soirée / bonne nuit.
Bonne soirée à toi ; bonne nuit à K. et E. qui, j'imagine, ne devraient pas tarder à aller au lit. Beaux rêves...
lundi 8 décembre 2014
Qu'est-ce qui fait ?
dimanche 7 décembre 2014
Saint Nicolas
Ben oui, cette fête me fait penser avec une nouvelle intensité et tristesse particulière, à K. et à E., me fait ressentir avec une nouvelle intensité et tristesse particulière, cet amour que je leur porte et que je n'arrive pas à effacer en moi, en dépit de la manière dont, depuis ta décision de rupture, tu me refuses toutes mes demandes de pouvoir les voir autrement qu'en les croisant par hasard .
Évidement, cela me fait aussi penser à toi et à ce "nous" dont tu ne veux plus aujourd'hui.
Me reste, que, les trois fois où j'ai pu échanger avec E. depuis ta décision de rupture, quand je l'ai croisée dans V., quand je l'ai vu chez toi, quand elle m'a envoyé un courriel, je n'ai ressenti en elle que des choses positives à mon égard.
Me reste, que, chaque fois où j'ai pu échanger avec K. depuis ta décision de rupture, les deux fois où je l'ai croisée dans V., quand je l'ai vu chez toi, et à travers ses réponses à mes SMS quand tu m'accordais le droit de lui envoyé des SMS, je n'ai également ressenti en lui que des choses positives à mon égard.
Est-ce que je m’illusionne ? Un jour ils seront adultes. Je me raccroche au fait qu'alors, je pourrais librement leur dire tout ce qu'ils ont représenté pour moi. Jamais je ne te salirais à leurs yeux ; mais, je verrais bien alors si je m'illusionnais ou pas. Et ils seront libre alors de me voir où pas me voir, en fonction de leurs propres envies à eux, de leurs propres sentiments à eux.
JLM. JVM. Rien à voir avec du harcèlement.
Tu me manques ; ils me manquent ; vous me manquez. Est-ce une infraction, un délit, un crime de te le clamer encore, et encore ? Ta décision de rupture s'impose à moi ; ok. Je dois l'accepter et vivre avec ; ok. Pour autant, est-il juste / adéquat, positif, et inévitable, que, sans renier ton désamour, tu conduises les choses comme tu les conduits ?
Évidement, cela me fait aussi penser à toi et à ce "nous" dont tu ne veux plus aujourd'hui.
Me reste, que, les trois fois où j'ai pu échanger avec E. depuis ta décision de rupture, quand je l'ai croisée dans V., quand je l'ai vu chez toi, quand elle m'a envoyé un courriel, je n'ai ressenti en elle que des choses positives à mon égard.
Me reste, que, chaque fois où j'ai pu échanger avec K. depuis ta décision de rupture, les deux fois où je l'ai croisée dans V., quand je l'ai vu chez toi, et à travers ses réponses à mes SMS quand tu m'accordais le droit de lui envoyé des SMS, je n'ai également ressenti en lui que des choses positives à mon égard.
Est-ce que je m’illusionne ? Un jour ils seront adultes. Je me raccroche au fait qu'alors, je pourrais librement leur dire tout ce qu'ils ont représenté pour moi. Jamais je ne te salirais à leurs yeux ; mais, je verrais bien alors si je m'illusionnais ou pas. Et ils seront libre alors de me voir où pas me voir, en fonction de leurs propres envies à eux, de leurs propres sentiments à eux.
JLM. JVM. Rien à voir avec du harcèlement.
Tu me manques ; ils me manquent ; vous me manquez. Est-ce une infraction, un délit, un crime de te le clamer encore, et encore ? Ta décision de rupture s'impose à moi ; ok. Je dois l'accepter et vivre avec ; ok. Pour autant, est-il juste / adéquat, positif, et inévitable, que, sans renier ton désamour, tu conduises les choses comme tu les conduits ?
vendredi 5 décembre 2014
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