vendredi 20 juillet 2018

Arrivé à N.

Arrivé à N. , après un arrêt au son et lumière de V. Tu as raté quelque chose ; c'était vraiment pas mal. Arrivé à N. Juste pour le week-end. Juste pour la fête.
Beaux rêves à toi.

vendredi 6 juillet 2018

C'est aujourd'hui les vacances d'été....

C'est aujourd'hui les vacances d'été....

... et ça me pèse terriblement de ne pas pouvoir souhaiter de vive voix bonnes vacances à tes enfants.

En quatre ans, je n'ai échangé que quelques bribes de mots avec eux, je ne les ai entraperçu que quelques fois et pour autant je reste bloqué là-dessus.

Sensation d'un compteur d'affection resté bloqué là où il en était quand.... Quelque part, c'est comme un compteur de vitesse resté bloqué dans un accident !

Aussi, comme l'affection que l'on porte à des disparus et qui reste après leur disparition. Perçois-tu ?

Ma peine est réelle. Tu peux en rire ! Tu peux la moquer ! Tu peux t'en moquer ! Cela ne  lui enlèvera  rien. C'est ainsi, bien réel. Tout comme la colère que je ressens en ce moment à ton encontre vu la manière dont tu as piétiné mes sentiments à l'égard de tes enfants, et les sentiments qu'alors ils avaient pour moi.

Tu as voulu les protéger. Tu as voulu te protéger. Je comprends cela. Pour autant, je continue de croire que tu aurais pu faire autrement, sans dommage, ni pour eux, ni pour toi. Et avec des montagnes de dégâts en moins, en moi....

Pendant combien d'années cela va encore durer, ce que je ressens ? Cela s’arrêtera-t-il un jour ? Je n'en sais rien. C'est hallucinant comme je n'en sais rien.

Évidement, ce n'était pas ton but de me faire mal, comme cela m'a fait mal ! Et me fait encore mal... Peut-être même que ce résultat t’attriste en dépit du fait que tu ne me supportes plus (pour reprendre tes mots).

De mon point de vue, ce serait une belle chose que tu lèves les interdictions que tu as posées. Quatre ans après, et à plus de 300 km, quel danger je représente ? De quoi pourrais-tu avoir peur ? Ne peux-tu vraiment pas leur donner le choix, leur accorder le libre arbitre de décider vraiment par eux-même de leur relation avec moi, moi, un ex de leur mère qu'ils ont un temps apprécié.

Voir supprimer mon bannissement de la visibilité FB de E. serait un super signe ! Donnes nous une chance. Surveilles si tu veux que cela ne prends pas une tournure qui te semblerait inapproprié. Une chance, stp.

Je reconnais avoir agi de travers par le biais de publications à l'époque où son compte a été créé. Je te pris de m'en excuser, au cas où je ne te l'aurais pas déjà demandé (je ne me souviens plus).

Si tu le veux bien, on en parle, sereinement, quand tu veux. Aucun piège, aucun traquenard, dans cette proposition. Il ne s'agit nullement d'une tentative déguisée de revenir vers toi. Le sujet de  cette proposition n'est vraiment pas toi ; mais eux, K. et E, et moi vis à vis d'eux, et eux vis à vis de moi.

Dis-moi.... D'avance, merci, de bien  vouloir me dire....

mercredi 16 mai 2018

Sincères condoléances

Je ne sais pas quels étaient tes rapports avec ton oncle décédé ces jours-ci, quels étaient tes sentiments à son égard.
J'imagine, qu'à minima, la peine de ta mère te fait / vous fait de la peine.
Sincères condoléances, à toi, à vous.
Je compatis.

mardi 3 avril 2018

C'est dommage


C'est dommage et vraiment trop bête que les choses entre nous aient tournées comme elles ont tournées et soient devenues comme elles sont aujourd'hui. Non ?

Quelque part en moi, je t'attendrais toujours ; en quelque sorte, j'attendrais toujours "ton retour".

Bon réveil, bonne journée, S..


samedi 31 mars 2018

Je "brule" d'envie

23h33.
Quelques mots avant d'aller me coucher, dans la foulée des autres : ma mère, mon fils, mon frère R., ma sœur...
Aujourd'hui, après avoir rendu visite à F.J. qui est là pour le weekend chez son père et sa tante, je suis passé de facto devant la maison du père de tes enfants. Lui et E. s’apprêtaient, il me semble, à grimper en voiture.
Déduction : K.et E. sont ce soir, ce weekend, chez leur père.

Et dans la foulée,  je "brule" d'envie d'aller sonner à ta porte....
Et dans ma tête à l'instant, ces questions "connes" : es-tu chez toi ce soir ? es-tu chez toi seule ce soir ? es-tu ailleurs ? chez tes parents ? Ailleurs, chez "dedette" ? Ailleurs, ailleurs ? Dans les bras de quelqu'un ? Et....
Je n'irais pas bien entendu sonner à ta porte ce soir.
Irais-je demain matin jusque chez toi avec l'idée de sonner à ta porte ? Je "brule" d'envie de le faire.... Est-ce que j'oserais le faire ? Et si je le fais, en arrivant devant chez toi, est-ce qu'il y aura ta voiture ? Et si elle y est, seras-tu seule chez toi ? Ou... Et....
Blablabla.
Si tu lis cela ce soir, si seulement tu pouvais alors ressentir une impulsion de m'envoyer un SMS. Et de le faire... Si seulement !!

Bonne nuit à toi S.

A demain matin ? 

Blablabla....

Blablabla....  Dans ce "Blablabla....", il y a a tout mon amour pour toi, toute mon affection pour K. et E., et tout ce que je ressens et t'ai exprimé depuis bientôt 4 ans, et aussi tous mes souvenirs de ce que nous avons partagé ensemble dans les périodes de Pâques.

Je souhaite que tu penses à tout celà après avoir lu ces mots.

A l'instant je t'imagine à l'instant couchée ou endormie sur ton canapé. Dors bien.

mercredi 28 mars 2018

Penses à moi aujourd'hui

Bonjour S.

Penses à moi aujourd'hui ; j'aimerais que tu penses beaucoup à moi, à nous, aujourd'hui.
Que tu penses beaucoup à moi qui pars, et au "nous" que nous avons été, à notre  "nous", déchiré, d'aujourd'hui, au "nous" nouveau et unis qui pourrait être et dont tu ne veux pas.

Moi, je crois que je vais penser beaucoup à toi aujourd'hui et à ces différents "nous" sur la route.

Je te souhaite une bonne journée pleine de pensées pour moi, même si cette combinaison et sans doute difficile.

lundi 26 mars 2018

Bonne journée....

Bonne journée, à toi S., bonne  journée à toi, malgré ma tristesse.

dimanche 25 mars 2018

vendredi 23 mars 2018

C'est dur, c'est super dur

C'est dur, c'est super dur !
Je regrette tellement de pas avoir su faire ce qu'il aurait fallu au moment où il aurait fallu !
C'est l'avalanche de sensations en préparant mes cartons.
Et toi qui ne veut pas m'accorder cette entrevue que je te demande avant de partir. C'est dur, c'est super dur !
Nous voir, ce serait pour moi voir dans tes yeux la réalité de la situation actuelle entre nous, quelle qu'elle soit. Voir ce que tu ressens, l'imprimer dans mon être pour avancer. Lire dans tes yeux, ta manière d'être en face de moi, que je fais le bon choix, que je n'ai plus qu'à partir, qu'il n'y a plus d'espoir pour moi de croire encore en ce nous auquel je crois encore. Ne me refuses pas cela, stp.

vendredi 16 mars 2018

Est-ce cruel ?

Est-ce cruel de ta part de ne pas me répondre et de ne pas accepter ?

Ne t'en couterait-il pas beaucoup moins que tu acceptes, qu'il ne m'en coute que tu refuses ?

Quand je me dis ça, à certains moments il me semble alors que oui, c'est un peu / assez  cruel de ta part de ne pas me répondre et de ne pas accepter.

jeudi 15 mars 2018

Acceptes, STP

Acceptes, STP ! Ne me laisses pas, STP, enfermé dans cette boucle.

Bonne suite de soirée, bonne nuit à toi, à K. et à E. T'imagines pas à quel point ce souhait est sincère. Il n'y a pas lieu que ma demande t'empêche de passer une bonne suite de soirée, et une bonne nuit.

Elle n'est rien de mal et de négatif à ton encontre cette demande !!!

mercredi 14 mars 2018

J'aimerais...

Cf mon courriel...
J'aimerais que tu ne ...

"Laisses pas ça sans effet

Acceptes d’en causer


Donnes moi d’t’en parler

Sans fuir nous regarder

Avant de m’en aller." 

Demain après-midi à V. ? MAJ 15/03 : je ne t'ai pas croisé. Non fait du hasard ?

lundi 12 mars 2018

Point d'inflexion

Point d'inflexion "stratégique"... peut-être d'en avais-je un jour parlé de cette notion de moment de métamorphose, où ce qui était vrai, avant, ne l'est plus. Et où, donc, il convient de changer [des choses] pour... survivre (Cf. Point d'inflexion stratégique de Wikipédia).

En 2014, je suis totalement passé "à coté" la perte de ton amour, avant qu'il ne soit trop tard et que que me tombe dessus ta décision de rupture.

Et depuis ? Je "sousvis" plus que je ne survis ! Lol (jaune).

Lol (jaune). Pour autant... Ça, ça, c'est vraiment ça ! Car 'a c'est vraiment moi. Aujourd'hui.

Demain ? Faut que cela ne le soit plus. Faut que changent des choses.

C'est connu, on ne peut pas vivre éternellement. Survivre éternellement, non plus. Pas plus.

Alors, sousvivre...

Tu sais, tu sais un peu.

Quoi qu'il en soit de tout ça, bonne nuit à toi, S.

dimanche 11 mars 2018

Demain, la rentrée

Demain, reprise des cours pour K. et E.
Et - mais j'imagine que tu le sais déjà, que K. t'as donné à lire le message que j'ai envoyé, ou te l'as lu ( après l'avoir lu lui-même) - j'ai souhaité à K. et E. une bonne fin de vacances et une bonne rentrée.

J'espère que K. a transmis mon souhait à E... Bref.

Les derniers soirs de vacances sont parfois un peu lourds et difficiles à gérer pour les parents - ou celui des deux parents qui a la garde des enfants. J'espère que cela n'aura pas été le cas pour toi, que tu auras passé une, pas trop tendue sinon agréable, soirée avec K. et E.

Les matins de rentrée sont eux aussi parfois un peu pénibles. J'espère que cela ne sera pas le cas non plus pour toi demain matin.

Je te souhaite du fond du cœur une bonne fin de soirée, une nuit paisible, ainsi que, pour demain matin, un début de journée "cool", tout cool, ou au moins sans gros stress, grosse tension, grosse colère, etc.

Bonne fin de soirée, bonne nuit, bon réveil, et ensuite bon début de journée, à S.

Je... blablabla.

samedi 10 mars 2018

Bientôt quatre ans et...

... bonne nuit à toi, bonne nuit à toi, bonne nuit à toi.

Ne vois-tu vraiment que du négatif dans ce que je ressens, bientôt quatre ans après ?

Bientôt quatre ans et... il y a six ans et une semaine, pratiquement heure pour heure, tu m'avais écris :

"J'avais envie que tu écoutes de nouveau cette chanson sans sous entendus.......................
Elle était "moi" il n'y a pas si longtemps.
Bisous
"

Je m'en souviens..... comme si c'était... demain !

Ne reste-t-il vraiment plus rien en toi de ce que tu éprouvais alors à mon égard ?
Est-ce à nouveau toi, cette chanson ?

Tellement de belles choses pourraient encore être possible si....

Bonne nuit à toi, S., bonne nuit à toi, bonne nuit à toi.

mercredi 7 mars 2018

Je ne veux pas de Macon Heights !




J’aimerais bien que tu regardes l’épisode 3: "Le banlieusard" de la série Philip K. Dick’s Electric Dreams.
J’aimerais bien que tu regardes cela. Si quelque part en toi tu aimerais attraper quelque clef permettant de comprendre ce qui fait en moi que j'en suis là où j’en suis aujourd’hui, après bientôt quatre ans, tu te débrouilleras pour trouver un moyen de voir ça. Je n'en doute pas si quelque part en toi tu aimerais attraper quelque clef pour comprendre (prendre avec...).



Dans les deux cas, gaffe aux virus si tu n’es pas à l’aise avec les chausse-trappes du streaming sur le net !

Fais-toi aider au besoin par quelqu'un, à défaut de me demander à moi en cas de besoin. :-(


En marche pour  Macon Heights.

Le fils du gars est malade. Cela mine la vie de son père et de sa mère. Aller à Macon Heights et céder à son chant efface le fils des vies du gars et de sa femme. Cela tue l’existence du fils en quelque sorte. Le gars se sent alors mieux, jusqu’à ce qu’il comprenne « le tour de passe-passe ».
Me concernant, «guérir », comme vous dites, ce n’est pas juste accepter profondément ta décision de rupture et la barrière que tu as érigé entre moi et tes enfants. Peu ou prou, vous percevez tous la situation ainsi. Et pourtant….
 « Tourner la page », « changer de livre », comme vous dites, exigent bien plus que simplement accepter ta décision de rupture et la barrière que tu as érigé entre moi et tes enfants : comment « tourner la page », changer de livre » sans tuer en moi, et l’amour que je continue d’éprouver à ton égard, et l’affection que je porte à tes enfants ?
Que reste-t-il en toi de l’amour que tu as porté autrefois au père de tes enfants ?
Comment « tourner la page », changer de livre » sans tuer en soi l’amour ressenti ? Comment faire le deuil d’une histoire d’amour avec des vivants sans mourir ou tuer l’amour que l’on ressent ? Impossible d’échapper à cela, n’est-ce pas !  Ou expliques-moi ; je suis preneur de la solution. Mais personne pour l’heure n’a réussi à me faire, ne serait-ce qu’entrevoir, le chemin qui y conduit. J’essaie pourtant sincèrement de ne pas être aveugle à cela.
Tuer en moi ce que je ressens à ton égard, ainsi que ce que j’éprouve par rapport à tes enfants, ce serait tuer, sinon un bout du meilleur de moi-même, pour le moins, l’une des plus belles expressions, la plus belle incarnation peut-être, de ce qu’il y a de plus blablabla (ethno) en moi, de ce que, au moment de ma mort, je serais sans doute le plus content d’avoir été capable !!
Comment réussir cela, comment réussir à me résoudre à une telle trahison à l’égard de moi-même, à l’égard de l’amour ? L’amour qui me semble être ce qu’il y a de plus vertigineux, de plus bouleversant, de plus étonnant, aussi, dans la vie. L’amour qui me semble être la plus grande richesse affective de la vie, humaine, à minima (la tendresse étant pour sa part le bien affectif le plus précieux, car sans tendresse….).
Depuis bientôt  quatre ans, je n’y arrive pas. Quelque chose en moi, quelque part en moi, fait manifestement que je m’y refuse.
Le gars finalement renonce à tuer l’existence de son fils « au nom de l’amour », en dépit de toutes les douleurs que celle-ci lui occasionne.
Au nom de l’amour, il « juge » que cela vaut plus le coup de vivre avec cette existence, ces douleurs et cet amour que de vivre sans . Il tourne le dos à Macon Heights. Mieux : il lui tourne le dos en retrouvant le sourire vrai : il trouve ce qu’il faut pour réussir à sourire à nouveau vrai en acceptant tout de sa réalité : la réalité de l’existence de son fils, la réalité des douleurs que porte en elle cette existence, et la réalité de son amour « malgré que », la réalité de tout l’amour qui va avec cet ensemble « malgré que ».

Spolier in english
https://fathersonholygore.com/2017/10/20/philip-k-dicks-electric-dreams-season-1-episode-3-the-commuter/
En français
https://translate.google.fr/translate?sl=en&tl=fr&js=y&prev=_t&hl=fr&ie=UTF-8&u=https%3A%2F%2Ffathersonholygore.com%2F2017%2F10%2F20%2Fphilip-k-dicks-electric-dreams-season-1-episode-3-the-commuter%2F&edit-text=&act=url

Tout ça pour te dire...

Je ne veux pas de Macon Heights !!! « Au nom de l’amour », je t’aime toujours (et tes enfants, aussi), blablabla. Et cela restera toujours. Jamais, jamais - je le crois profondément, je le ressens profondément - je ne laisserai mes sentiments à ton égard se transformer en rancœur ou quoi que ce soit de ce genre là. Je repense à tout ce que j'ai pu, notamment dans les premiers mois de notre relation, t'entendre exprimer concernant le père de tes enfants. Tu te souviens ? Tu te souviens comme cela me choquait ? Tu te souviens comme je me suis efforcé d'infléchir cela ?

Je sais bien que le seul point commun tangible entre les deux histoires est le fait qu'il y a eu dans les deux cas rupture amoureuse. Mais, c'est pour te dire que jamais, jamais, pour fuir mes douleurs qui te concerne, je ne détruirais l'existence de mes sentiments.  Blablabla. Blablabla.

Me reste à trouver ce qu’il faut que je réussisse à trouver pour réussir à sourire à nouveau vrai en acceptant toute ma réalité, à savoir la coexistence de mon amour indéfectible avec ton désamour, et les conséquences que leurs heurts ont engendrés dans nos relations depuis bientôt 4 ans....

Ce n’est pas encore gagné ! Ce n’est pas encore gagné ! Ce n’est pas encore gagné ! Seule certitude aujourd'hui claire et absolue en moi : je tournerai toujours le dos à la facilité de Macon Heights.

Bonne nuit à toi, S.

jeudi 1 mars 2018

Je voudrais te parler

Bonjour S.

J'espère que tu vas bien. K. et E. ainsi que tous tes proches aussi.
Je voudrais te parler. STP.  J'irais au supermarché sur les coups de 15h30.

E.

mardi 27 février 2018

Bonne journée

Bonne journée.

Ne prends pas froid en allant de maison en maison et en travaillant peut-être parfois dans des maisons pas très bien chauffées. Gentilles pensées.

dimanche 25 février 2018

Bon dimanche

Bon dimanche à toi.

J'aimerais être avec toi, tout simplement. Aujourd'hui, demain et après-demain. Et je ressens toujours que nous pourrions être heureux ainsi. Ensemble, au coté l'un de l'autre, l'un avec l'autre, ensemble. Dans la vie de tout les jours, au quotidien, avec tout ce que cela comporte, de petits riens et de choses insignifiantes, aussi de moments forts, et de projets, et de réalisations.

Une vie de couple et "de famille recomposée" parmi des milliers d'autres, une vie de couple et "de famille recomposée" ordinaire ; mais d'une façon qui serait la notre, à nous, de cette façon dont je rêvais quand nous étions ensemble ;  mais sans trop jamais oser t'en parler, occupé que j'étais dans mes conneries, toutes ces conneries qu'il me semblait falloir mener à bien avant de...

J'aimerais toujours être avec toi, et vivre avec toi ce bien-être de vivre ensemble cette vie choisie, de l'habiter, de la défendre, et de la cultiver.

Je sais que je serais heureux ainsi avec toi. Je crois que tu serais heureuse aussi, dans une telle vie jour après jour, avec moi. Mais, toi...

La perception de mon impuissance face à ce "Mais, toi..." résonne en moi de manière terrible. Une fractale de myriades d'échos qui se cognent les uns aux aux autres, s'entrechoquent les uns les autres, se pénètrent, s’additionnent, se multiplient, se répandent, et se répondent, et envahissent l'espace, tout l'espace, sans fin et sans cesse, en dehors de quelques moments de répit.

C'est con, n'est-ce pas, je sais, que je ressente cela, que je ressente tout cela !

C'est con que je crois toujours dur comme fer que ce possible impossible-puisque-tu-ne-le-veux-pas serait du bonheur, pour toi, comme pour moi.

Pas un bonheur de conte de fées, juste un petit bonheur d'amour, de vie de couple et de famille recomposée parmi des milliers d'autres.

C'est très con pour moi que je ressente toujours cela !

Et l'impuissance dont je témoigne depuis maintenant des années à mettre fin en moi à cet amour fou qui m'habite et me hante est elle aussi vraiment très conne pour moi !

Très conne et tout aussi terrible et bruyante en moi que mon impuissance. Elle fait elle aussi un sacré vacarme. Dans tout mon être. Là aussi, myriades d'échos qui s'entrechoquent, s’additionnent, se multiplient, et se répondent sans fin et sans cesse en une assourdissante cacophonie.

Je suis vraiment très con et nul de ne pas réussir à me débarrasser de cela !!!

Bon dimanche à toi, cependant. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même d'en être là, d'en être toujours là, d'en être encore là.



mercredi 21 février 2018

Adieu Xantia...

J'ai enfin réussi à me décider de m'en séparer. Déchirement. Et comme j'ai bien trop tardé, que la date du contrôle technique est dépassée, qu'il aurait fallu changer les sphères et nettoyer le circuit de refroidissement, et changer le câble de frein à main et les flexibles de freins hydrauliques, c'est...direction la casse. Deuxième déchirement. Il y avait quelque chose de toi, quelque chose de cet ancien "nous", pour moi, dans cette voiture ! Tristesse. Aujourd'hui, il ne me reste de toi que des photos, des sms et quelques courriels. L'écharpe que tu m'avais offerte m'a été volée dans un bureau de poste, le peignoir piqué par le fils d'une...., les chaussons morts depuis pas mal de mois, le parfum épuisé depuis des lustres. De E., il me reste les dessins qu'elles m'avait offerts, de K., la chemise.... Tristesse. Peux-tu comprendre ? Tristesse. Tristesse. Tristesse.
Et le hasard (qui, ah, ah, ah, en a toujours des étonnantes en réserve dans sa manche !) a voulu que l'on se croise, toi en voiture, moi en vélo pliant (pratique : il rentre même dans le coffre d'une Clio...) sur le chemin de mon retour, juste après que je l'ai déposée au garage en face du stade.

Cela veut dire quoi, putain, ce genre de putain de hasard ????!!!! Rien ? Rien "surement". Je ne le saurais, sans doute, ou pas, qu'après être passé dans les bras de la "Grande Faucheuse". Le jour viendra, ce jour viendra. Au moins une certitude !

Je me sens toujours t'aimer. Donc je t'aime toujours. Et je n'arrive toujours pas à lutter efficacement contre cela. Cela, n'en déplaise à l'Univers, n'est pas une maladie !!! Cet amour de toi qui dure en moi de manière insensée n'est pas une maladie, ne t'en déplaise. Ce qui est une maladie, c'est ce que cela engendre en moi. Comprends-tu la différence que j'essaie d'exprimer, que je rêve que tu perçoives ?

Tes enfants aussi me manquent toujours. Cela non plus n'est pas une maladie. Juste de l'amour. Différent de celui que je te porte, et de celui que je porte à mes propres enfants ; mais de l'amour. Sincère et grand. Et là aussi, la maladie est ailleurs. Elle est non pas dans le fait que je ressente cet amour ; mais dans les conséquences sur mon être de ressentir cela en prise à un mur sinon d'incompréhension, pour le moins de rejet. Comprends-tu ce que j'essaie, une fois de plus, d'exprimer ? Évidement, une fois de plus, ce sera surement "non".

Il doit y avoir de l'autisme en moi à si souvent échouer à communiquer ce que je tente d'exprimer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Cette Xantia va partir à la casse. Voilà, c'est fini. Triste petite histoire.

dimanche 18 février 2018

Ce matin, replongée

Ce matin, depuis que je sui réveillé et ensuite levé, replongée dans mon malêtre en compagnie de mes fantômes, des choses qui me hantent et m'obsèdent.

Bonne journée à toi cependant.

samedi 17 février 2018

Instant de répit

Rien de changer dans mes sentiments.
Rien de changer dans mon envie de pouvoir parler avec toi.
Rien de changer dans ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
Rien de changer dans mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.

Et pour autant, là, à l'instant, je n'en souffre pas comme j'en souffre comme un chien, comme en général dans les moments qui m’amènent à écrire ici (et notamment les précédents posts, depuis au moins pffffff....) , ou encore quand je te croise ou t’aperçois, toi, toi ou tes enfants, ou tous les trois ensemble.

A quoi, ça tient ? Je n'en sais rien du tout !!!!

La chimie du cerveau est aussi bizarre / étonnante que la chimie de l'Amour....

Pour autant, je ne veux pas reprendre de médicaments. Trop de fois déjà depuis 4 ans pour que je puisse croire encore que cela puisse m'aider. Cela (Comme l'alccol !) n'a jamais fait "sur ce coup là" que masquer les choses, en étouffer le ressenti de manière artificielle, sans les gommer, puisque après l'arrêt (même effectué dans les "règles de l'art" !), au bout de quelques temps....

Le fait que là, à l'instant, "même pas beaucoup mal" n'enlève rien à
  • mes sentiments.
  • mon envie de pouvoir parler avec toi.
  • ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
  • mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.
Simplement, c'est plus vivable. Et moins destructeur.

Je te souhaite une bonne nuit en priant que tu acceptes de me parler "dans les prochains jours" .

Bonne nuit S.

Et ca recommence ! (MAJ)

Dés le levé, l'objet de mes pensées est devenu toi. C'est reparti pour un tour !

Je m'impose de me dire : "Stop ! Arrêtes ça tout de suite. C'est mort, mort, mort. Elle ne veut plus entendre parler de toi. Elle veut que tu sortes de sa vie. Elle ne te supporte plus. C'est mort, mort, mort. Passes à autre chose. Arrêtes de te détruire pour rien".

Ou juste : "C'est mort, mort, mort"

Puis d'orienter mes pensées ailleurs.

Mais, ça revient, revient, revient.

Je me dis que j'aurais du avant hier tenter de venir vers toi pour te parler.

Cela me vrille vraiment la tête, l'esprit, le cerveau, le cœur - que sais-je encore ! - de ne pas pouvoir t'exprimer "de vive voix" (je veux dire en se voyant) tout ce que je voudrais te dire, tout ce que j'ai en moi à te dire. Et aussi, t'écouter.

Si seulement tu acceptais de m'appeler, de m'envoyer un message, pour que l'on se fixe rendez-vous.

vendredi 16 février 2018

Pratiquement toute la journée

J'ai douloureusement pensé à toi en boucle pratiquement toute la journée.
Oui, c'est triste désolant.

J'imagine que tu ressens que tu ne peux rien pour contrer ce mal sans que cela te coute plus que tu ne veux ne peux m'accorder

Bonne nuit quant même.

C'est assez terrible, tu sais

C'est assez terrible, tu sais, ce que je ressens, ce que j'éprouve.

Toujours en moi cette énorme envie, cette irrépressible envie, de pouvoir parler avec toi de ce que je ressens par rapport à toi, de pouvoir parler avec toi de "moi vis à vis de toi", de pouvoir parler avec toi de "toi vis à vis de moi", et de tout ce qui déconne en moi par rapport à toi.

Si seulement tu m'y autorisais, si seulement tu m'adressais un message, un signe que je comprenne me signifiant que tu acceptes, pour tenter de ?m'aider.

Je fais du surplace. Je n'avance pas. Je me sens prisonnier de je ne sais quoi qui est en moi, si ce n'est de l'amour que je te porte et de cette impossibilité de pouvoir en parlant avec toi en face à face tenter de trouver la clef qui me permettrait de faire le deuil de ton amour.

Tout ce qu'il y a en moi et qui s'attache à toi est devenu à nouveau obsessionnel. Cela surgit à nouveau de manière récurrente, répétitive et involontaire à longueur de journée. Dés que mon esprit est libre de toute attention voulue, sinon forcée, à autre chose. Et à chaque fois, il me faut faire un véritable effort pour repasser à autre chose.

Je crois - à tort ou à raison ; mais je le crois très fort - que pouvoir te parler un peu de tout cela qui me ronge me libérerait un peu (au moins quelques temps !).

Bref. C'est assez terrible, tu sais, ce que je ressens, ce que j'éprouve...

jeudi 15 février 2018

Aujourd'hui, devant l'Inter

Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais, quand je repartais.
Je crois bien que la fois précédente, c'était déjà un jeudi.

Les jeudis !

... l'un des jours où autrefois, tu venais chez ma mère ;
... jour où, à la maison de retraite, il n'y a pas "pazza", ce qui me permet de faire un coucou à ma maman après les courses

Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais donc, quand je repartais.
J'ai à peine osé regarder vers toi, le cœur tout de suite à 180, la peur de croiser ton regard et d'y lire de quoi me transpercer encore un plus l'emportant sur l'envie de plonger mon regard dans le tien.

J'aurais aimé que tu viennes vers moi pour me parler. Je l'ai espéré très fort. Tu ne l'as pas fait.
Je n'ai pas osé moi venir vers toi pour te parler, bien que j'en meures d'envie.

Aujourd'hui, devant l'Inter, oui, j'aurais aimé très fort que tu viennes vers moi pour me parler. Sans doute trouves-tu cela très... Disons, "con" pour simplifier

Je t'aime toujours. C'était palpable en moi quand je t'ai brièvement regardée entrer dans l'Inter.

Je t'aime toujours. Je n'arrive pas à tourner la page. Je n'arrive pas à changer de livre. Je ne sais pas si j'y arriverai un jour.

Je t'aime toujours. C'est ainsi. C'est toujours ainsi.

mercredi 14 février 2018

En ce jour, en cette fin de soirée pour moi

Nul droit pour moi de te souhaiter la Saint Valentin.

Je n'avais pas compris en février 2014 que j'étais en train de commencer de te perdre. Je n'ai rien compris en 2014 !

Nul droit pour moi en 14/02/2018 de te souhaiter la Saint Valentin. Je me demande ce que tu vis en ce jour et cette soirée de Saint Valentin 2018. Seule certitude : nul droit pour moi aujourd'hui de te souhaiter la Saint Valentin

Alors juste : je te souhaite une bonne nuit.

J'aimerais t'écrire :  "Bisous. Bonne nuit." ; mais.....

Alors....

Bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit....


En ce jour, en ce début de soirée







Je n'ai pas bien su te l'exprilmer : tous les vendredis soir où je suis venu chez toi (sauf le dernier), toutes les fois où nous avons fait l'amour ensemble, pour moi, ça a toujours été un air de "ce matin là", un air de fête, avec certes plus ou moins de puissance ; mais toujours avec un minimum de force.


Et toujours cette pensée : pourvu qu'il n'y ait rien que j’aimerais que tu te refuses par orgueil !

dimanche 11 février 2018

Qui avait-il de mal ?


Qui avait-il de mal ? Qui avait-il de mal dans Battle Sheap ???????????? Il n'y avait qu'une belle pulsion, que des beaux sentiments, que de belles choses, dans cette envie de cadeau pour tes enfants. Dans cette envie de cadeau que tu rejettes et piétines. Tristesse, profonde tristesse.

dimanche 4 février 2018

Because the night

There was nothing wrong, nothing unhealthy, you know, in my desire concerning battle sheap.

mardi 30 janvier 2018

I Can't Get What I Want







You Can't Always Get What You Want - The Rolling Stones in Cuba (25 Marc...





Cruel reality in my life

jeudi 25 janvier 2018

samedi 27/01/2018

Samedi qui vient, ce sera le samedi 27 janvier 2018. Et six ans, il y aura eu le vendredi 27 janvier 2012. Six ans !

A part faire du mal, je ferais pratiquement n'importe quoi pour renouer avec toi !

Aujourd'hui, c'est le jeudi 25 janvier 2018. Je vais partir en début d'après midi pour un weekend prolongé hors de la région. C'est plus sûr. Cela m'évitera de risquer de faire des conneries.

J'aimerais bien que durant ce weekend qui vient tu penses un peu à nous, à l'amour que je porte, à l'amour que tu me portais, avec tendresse, avec une pointe de nostalgie, avec une point d'envie de renouveau. Mais, mes désirs...

jeudi 18 janvier 2018

C'est dur (maj)

C'est dur. C'est dur de ne pas sombrer plus avant. C'est dur pour moi en tout cas de ne pas sombrer plus avant.

Tu ne me supportes plus depuis maintenant des lustres. Quelle compréhension, quelle empathie pouvais-je espérer au moment des fêtes de fin d'années ?! Ça fait mal, la douleur est toujours terrible. Je sais pas si tu mesures à quel point.

Tu m'a écris que tes enfants ne me supportaient plus non plus. Terrible tristesse, que ce soit vrai ou faux. Un peu cruel de ta part de m'avoir écrit cela, si c'est faux. Grande cruauté de la vie que je me fais, si c'est vrai !

Les chemins de mon enfer sont pavées de mes meilleures intentions ; il n’empêche : je tourne, tourne, tourne en rond au milieu de mon enfer intérieur. Et j'en attise les feux, toujours, toujours, toujours un peu plus.

Je n'arrive pas à sortir de cette boucle ! Réussirais-je un jour à trouver une issue que me ramènera à la joie de vivre ? C'est dur. C'est pour moi de ne pas sombrer plus avant.

jeudi 11 janvier 2018

Is it coming back?

Is it coming back? The fact is I fear about its return.
You know, I am really afraid about that, about the return of the black dog.
Don't care! Anyway, the world will go on... And perhaps, he is just going to pass near me, in my back.
I hope so!

dimanche 7 janvier 2018

Si c'est folie, alors oui je suis fou !

Je viens d'écrire à K.
Et de voir le tag de lecture à 19h24.
Je lui ai demandé si tu leur avais donnée les cartes que j'ai envoyé à lui et à E.

Aussi demandé si je pouvais faire envoyer le jeu par Amazon...

Et j'ai terminé ainsi mon message, sans savoir au départ dans quel état cela aller me mettre :

"Et des rêves tout en couleurs ! Et aucun cauchemar en noir et gris." 

En moi à dévaler alors une avalanche de souvenirs : quand je leur disais cela, quand je venais [leur] faire le bisou dans [leur] lit et que eux et moi, on se disait : « je t’aime ».

J'ai écris à K. que pour moi, cela alors ne comptait pas que pour du beurre (http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/12545/compter-pour-du-beurre/). Que c’était vrai et profond. Et que cela l’est toujours. Et que dommage que tu ne l’ais pas compris et / ou accepté. En ajoutant : "Un jour peut-être. Je verrais bien. Snouff."

Snouff... tu te souviens ?

J'ai fondu en larmes en écrivant à K. la fin de ce message que je lui ai envoyé. Je fonds à nouveau en larmes en t'écrivant ce post. Pour lire ce que je t'écris, il faut que je m'essuie les yeux. Comme, autant, avec un essuie glace ! C'est une fontaine de larmes qui dévale de mes yeux. Pfff Pfff Pfff tristesse si cela te laisse indifférente ou n'engendre en toi que colère et raz le bol . Ne te moques pas de ce mec qui pleure, ne te moque pas de moi.

Je ressens ce que j'écris et j'écris ce que je ressens. Comment as-tu pu nous laisser moi et tes enfants nous dire ; "Je t’aime" et faire ensuite ce que tu as fait ? Je ne parle pas de ta décision de rupture entre toi et moi. C'est un autre sujet. Je parle de la manière dont tu as voulu couper les ponts entre eux et moi, entre moi et eux. Comment as-tu pu ? Je te l'ai déjà écris, je ne sais plus quand.... Comment peux-tu encore ? Commettre une erreur, je comprends. J'en ai commis les tonnes que tu sais !!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais comment peux-tu aujourd'hui encore....avec le recul du temps ? Ne comprends vraiment tu pas que quand je venais leur faire le bisou dans leur lit et qu’on se disait : « je t’aime ».  Que c’était vrai et profond. Et que cela l’est toujours. Que je suis et je serais toujours incapable d'effacer cela et de tuer cela moi ? SOS.

A  l'instant, le piétinement de cela me fait plus mal que ton désamour ! C'est dire.  T'est-il vraiment impossible, aujourd'hui encore, de comprendre cela ? Que tu ne m'aimes plus, je le regrette, est un état respectable que je dois respecter, même si cela me ravage. Mais qu'y a-t-il de respectable dans la barrière érigée entre tes enfants et moi après que tu nous aies laissé nous AIMER ?

STP, accordes leur le choix d'échanger avec moi comme il le veulent, supprimes le blocage FB entre Élisa et moi. Cela lui pèse moins qu'à moi, c'est certain ; mais je crois que cela lui pèse aussi.

Qui as tu voulu protéger à travers cette coupure ? Crois-tu toujours que ce soit eux ? Après tout ce temps, es-tu toujours certaine de cela ? Cette volonté de coupure n'a-t-elle pas plutôt été dictée en toi par autre chose ? Est-ce folie de ma part de penser qu'il en est ainsi ?

Ton erreur peut-être a été à l'époque de laisser se développer aussi fort l'affection entre moi et eux, entre eux et moi, . Peut-être. Et peut-être est-ce ta conscience de cela qui fait que E. aujourd'hui ne connait pas ton copain....
Et mon erreur à moi, au vu de la tournure qu'a pris notre histoire a peut-être été de me mettre à les aimer au point où je me suis mis à les aimer. Je n'arrive pas moi, en moi, à assumer comme tu le voudrais mon erreur de continuer à les aimer alors que tu ne veux plus aucun rapport entre eux et moi.

STP, sois plus forte que moi ! Laisse vivre ce lien que tu as laissé se créer - sinon encouragé à l'époque à se créer. Je t'en prie, plus de 3 ans après....

Et acceptes, en symbole, que je leur fasse expédier Battle Sheep. T'es pas obligé d'y jouer ! Ne te moques pas du mec qui pleure...

Stp, stp, stp.

Il y a de la colère de ma part dans ce post. Mais pas de haine, ni de mépris et, bien au contraire, des tonnes d'amour. Puisses tu le lire sans haine, ni mépris, ni envie de me dire : "Fuck !".

Je t'imagine

Là, aujourd'hui, à 17h43, je t'imagine devant ta télé en train d'attendre le retour de K. et de E. de chez leur père.
Je suppose qu'ils vont bientôt arriver, ou alors, qu'ils viennent d'arriver.

J'ai mal de penser à cela, tellement je voudrais être avec toi, à tes cotés !
Arriverais-je jamais à dépasser ce manque de toi et de ton amour ???

Leur as-tu donné, ou vas-tu leur donner les cartes d'anniversaire que je leur ai envoyé ?

Accepteras-tu que je leur offre ce jeu que j'aimerais pouvoir leur offrir ?
Stp, acceptes.

jeudi 4 janvier 2018

55 ans. Et ensuite ? (MAJ 2)

Aujourd'hui, c'est mon anniversaire.
55 ans.
Il y a six ans j'étais à l'aube d'une histoire d'amour que j'ai détruite en commettant des tonnes d'erreurs en croyant bien faire.
Tout au long de ma vie, j'ai commis des tonnes d'erreurs en croyant bien faire !

55 ans et triste.

Hier, c'était l'anniversaire de K. et un peu avant celui de E.
Leur as-tu donné les cartes que je leur ai envoyé ? Ou sont-ils chez leur père pour cette semaine de vacances et leur donneras-tu quand ils reviendront chez toi ?

Le plus beau cadeau que je pourrais recevoir serait que tu me donnes une nouvelle chance. Je l'ai écris et réécrit je ne sais combien de fois ici : les circonstances de ma vie ont changées. Je ressens intensément que nous pourrions être heureux ensemble, que nous pourrions donner un nouveau départ à notre histoire d'amour, si seulement tu pouvais accueillir cette perspective comme une chance à tenter., même si elle t'apparait très mince.

Ressens-tu comme monstrueux et fou la persistance de l'amour que je te porte, de celui, d'une autre forme, que je ressens aussi pour tes enfants, ainsi que l'état de dépendance dans lequel je me trouve à ton égard ? Est-ce que cela te fait peur ? Est-ce cela qui d'abord ou aussi t'empêche ? Si seulement (au lieu de cela ?) tu pouvais percevoir la beauté et la puissance de mes sentiments et le pouvoir d'accomplissements qu'ils pourraient avoir si tu voulais bien "m'essayer à nouveau". Qu'est-ce qui pourrait permettre que tu ressentes cela ?

Je rêve aussi ne serait-ce que d'un petit signe gentil de ta part ou de la part de tes enfants.

Je ne suis pas un ange.
Ta décision de rupture pourtant "m'a coupé les ailes".
55 ans.
Que me reste-t-il à vivre ?
Est-ce que je vais réussir à retrouver la joie de vivre, le plaisir d’exister ?
On me dit que je devrais rechercher du boulot, loin, le plus loin d'ici possible pour me donner plus de chance d'y arriver en m'éloignant un maximum de toi et de tes enfants. Quel gout amer cela a alors que je suis revenu ici en espérant fort, très fort que cela me permette de réussir à être à nouveau aimé par toi.  Qu'aurais-je du faire pour réussir cela ? Que devrais-je faire pour que cela puisse arriver ?



Je t'aime toujours. J'espère que tu vas bien. J'espère que tes enfants vont bien. Je t'aime toujours ! Toujours, toujours, toujours.

Quelle tristesse si cela doit être jusqu'à ma mort sans jamais réussir à être à nouveau aimé par toi !

Encore deux curieux hasards :

Je reviens de La Poste, du distributeur de billets et de quelques courses.

Devant La Poste, j'ai croisé K. qui allait /retournait chez son père. K. qui est maintenant franchement plus grand que moi ! Échanges de quelques mots, et lui m'a dit que cela ne le dérangeait pas mes souhaits FB de bonnes vacances, et de bonnes rentrées....

Ensuite, en revenant à N., j'ai croisé ta voiture. Je t'ai fait un appel de phare. Tu as répondu par un signe que je n'ai pas distingué. Et je me demande : "Était-ce un 'Fuck' ?" Et je me demande : "Était-ce un 'Fuck' ?" Et je me demande : "Était-ce un 'Fuck' ?"