dimanche 7 janvier 2018

Si c'est folie, alors oui je suis fou !

Je viens d'écrire à K.
Et de voir le tag de lecture à 19h24.
Je lui ai demandé si tu leur avais donnée les cartes que j'ai envoyé à lui et à E.

Aussi demandé si je pouvais faire envoyer le jeu par Amazon...

Et j'ai terminé ainsi mon message, sans savoir au départ dans quel état cela aller me mettre :

"Et des rêves tout en couleurs ! Et aucun cauchemar en noir et gris." 

En moi à dévaler alors une avalanche de souvenirs : quand je leur disais cela, quand je venais [leur] faire le bisou dans [leur] lit et que eux et moi, on se disait : « je t’aime ».

J'ai écris à K. que pour moi, cela alors ne comptait pas que pour du beurre (http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/12545/compter-pour-du-beurre/). Que c’était vrai et profond. Et que cela l’est toujours. Et que dommage que tu ne l’ais pas compris et / ou accepté. En ajoutant : "Un jour peut-être. Je verrais bien. Snouff."

Snouff... tu te souviens ?

J'ai fondu en larmes en écrivant à K. la fin de ce message que je lui ai envoyé. Je fonds à nouveau en larmes en t'écrivant ce post. Pour lire ce que je t'écris, il faut que je m'essuie les yeux. Comme, autant, avec un essuie glace ! C'est une fontaine de larmes qui dévale de mes yeux. Pfff Pfff Pfff tristesse si cela te laisse indifférente ou n'engendre en toi que colère et raz le bol . Ne te moques pas de ce mec qui pleure, ne te moque pas de moi.

Je ressens ce que j'écris et j'écris ce que je ressens. Comment as-tu pu nous laisser moi et tes enfants nous dire ; "Je t’aime" et faire ensuite ce que tu as fait ? Je ne parle pas de ta décision de rupture entre toi et moi. C'est un autre sujet. Je parle de la manière dont tu as voulu couper les ponts entre eux et moi, entre moi et eux. Comment as-tu pu ? Je te l'ai déjà écris, je ne sais plus quand.... Comment peux-tu encore ? Commettre une erreur, je comprends. J'en ai commis les tonnes que tu sais !!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais comment peux-tu aujourd'hui encore....avec le recul du temps ? Ne comprends vraiment tu pas que quand je venais leur faire le bisou dans leur lit et qu’on se disait : « je t’aime ».  Que c’était vrai et profond. Et que cela l’est toujours. Que je suis et je serais toujours incapable d'effacer cela et de tuer cela moi ? SOS.

A  l'instant, le piétinement de cela me fait plus mal que ton désamour ! C'est dire.  T'est-il vraiment impossible, aujourd'hui encore, de comprendre cela ? Que tu ne m'aimes plus, je le regrette, est un état respectable que je dois respecter, même si cela me ravage. Mais qu'y a-t-il de respectable dans la barrière érigée entre tes enfants et moi après que tu nous aies laissé nous AIMER ?

STP, accordes leur le choix d'échanger avec moi comme il le veulent, supprimes le blocage FB entre Élisa et moi. Cela lui pèse moins qu'à moi, c'est certain ; mais je crois que cela lui pèse aussi.

Qui as tu voulu protéger à travers cette coupure ? Crois-tu toujours que ce soit eux ? Après tout ce temps, es-tu toujours certaine de cela ? Cette volonté de coupure n'a-t-elle pas plutôt été dictée en toi par autre chose ? Est-ce folie de ma part de penser qu'il en est ainsi ?

Ton erreur peut-être a été à l'époque de laisser se développer aussi fort l'affection entre moi et eux, entre eux et moi, . Peut-être. Et peut-être est-ce ta conscience de cela qui fait que E. aujourd'hui ne connait pas ton copain....
Et mon erreur à moi, au vu de la tournure qu'a pris notre histoire a peut-être été de me mettre à les aimer au point où je me suis mis à les aimer. Je n'arrive pas moi, en moi, à assumer comme tu le voudrais mon erreur de continuer à les aimer alors que tu ne veux plus aucun rapport entre eux et moi.

STP, sois plus forte que moi ! Laisse vivre ce lien que tu as laissé se créer - sinon encouragé à l'époque à se créer. Je t'en prie, plus de 3 ans après....

Et acceptes, en symbole, que je leur fasse expédier Battle Sheep. T'es pas obligé d'y jouer ! Ne te moques pas du mec qui pleure...

Stp, stp, stp.

Il y a de la colère de ma part dans ce post. Mais pas de haine, ni de mépris et, bien au contraire, des tonnes d'amour. Puisses tu le lire sans haine, ni mépris, ni envie de me dire : "Fuck !".

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