samedi 17 février 2018

Instant de répit

Rien de changer dans mes sentiments.
Rien de changer dans mon envie de pouvoir parler avec toi.
Rien de changer dans ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
Rien de changer dans mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.

Et pour autant, là, à l'instant, je n'en souffre pas comme j'en souffre comme un chien, comme en général dans les moments qui m’amènent à écrire ici (et notamment les précédents posts, depuis au moins pffffff....) , ou encore quand je te croise ou t’aperçois, toi, toi ou tes enfants, ou tous les trois ensemble.

A quoi, ça tient ? Je n'en sais rien du tout !!!!

La chimie du cerveau est aussi bizarre / étonnante que la chimie de l'Amour....

Pour autant, je ne veux pas reprendre de médicaments. Trop de fois déjà depuis 4 ans pour que je puisse croire encore que cela puisse m'aider. Cela (Comme l'alccol !) n'a jamais fait "sur ce coup là" que masquer les choses, en étouffer le ressenti de manière artificielle, sans les gommer, puisque après l'arrêt (même effectué dans les "règles de l'art" !), au bout de quelques temps....

Le fait que là, à l'instant, "même pas beaucoup mal" n'enlève rien à
  • mes sentiments.
  • mon envie de pouvoir parler avec toi.
  • ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
  • mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.
Simplement, c'est plus vivable. Et moins destructeur.

Je te souhaite une bonne nuit en priant que tu acceptes de me parler "dans les prochains jours" .

Bonne nuit S.

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