Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais, quand je repartais.
Je crois bien que la fois précédente, c'était déjà un jeudi.
Les jeudis !
... l'un des jours où autrefois, tu venais chez ma mère ;
... jour où, à la maison de retraite, il n'y a pas "pazza", ce qui me permet de faire un coucou à ma maman après les courses
Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais donc, quand je repartais.
J'ai à peine osé regarder vers toi, le cœur tout de suite à 180, la peur de croiser ton regard et d'y lire de quoi me transpercer encore un plus l'emportant sur l'envie de plonger mon regard dans le tien.
J'aurais aimé que tu viennes vers moi pour me parler. Je l'ai espéré très fort. Tu ne l'as pas fait.
Je n'ai pas osé moi venir vers toi pour te parler, bien que j'en meures d'envie.
Aujourd'hui, devant l'Inter, oui, j'aurais aimé très fort que tu viennes vers moi pour me parler. Sans doute trouves-tu cela très... Disons, "con" pour simplifier
Je t'aime toujours. C'était palpable en moi quand je t'ai brièvement regardée entrer dans l'Inter.
Je t'aime toujours. Je n'arrive pas à tourner la page. Je n'arrive pas à changer de livre. Je ne sais pas si j'y arriverai un jour.
Je t'aime toujours. C'est ainsi. C'est toujours ainsi.
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