jeudi 31 décembre 2015

Il faut que je t'entende

Tu m'as dit ce matin : "Rien à foutre de tes états d'âme ; sors de ma vie !".
Il faut que je t'entende.

Nous nous sommes aimé. Enfin, je crois. J'espérais notre amour plus fort que tout ce qui est arrivé.

Je me suis trompé. Aujourd'hui, de cela, il reste mon amour pour toi, intact, et qui je crois, restera jusqu'à ma mort. De l'autre, il y a l'amour que tu me vouais, aujourd'hui détruit.

Il y a aussi l'affection profonde que je porte à tes enfants, aujourd'hui, elle aussi, abscons, vide de sens. Et je le crie une fois encore : "Non, je ne me suis jamais pris pour leur père !!! Ce n'est pas le sujet.

Mon rêve d'une vie de couple heureuse avec toi,  est Ko. Je continue de croire que nous pourrions être heureux ensemble, que je pourrais te rendre heureuse. Mais toi, pour le moins, tu ne ressens plus les choses ainsi.

Tu m'as dit ce matin : "Rien à foutre de tes états d'âme ; sors de ma vie !".
Il faut que je t'entende, même si mes bras te resteront toujours, toujours, toujours, ouverts.



mercredi 30 décembre 2015

Demain

Demain. Demain, ce sera un pour moi un jour.... j'arrive même pas à qualifier !

Demain, cela fera trois jours que je serais redevenu célibataire. Je m'étais dit que je ne l’écrirai pas, cela, ici. Et puis, si. Et voila, c'est écrit. Si tu.....

Demain, surtout,....

Ce sera l’anniversaire d'E. J'ai posté une carte dont j'ignore, pour celle-ci encore, ce que sera sa destinée. Elle ne devrait pas arriver chez toi avant le 2 ; je crois que j'ai raté la levée.

Ce sera 3 jours avant l'anniversaire de K. Je lui posterai aussi une carte.

Je te reverrai / tu me reverra.... plus d'un an après la dernière fois où nous nous sommes vu, si j'excepte le croisement en voiture. Plus d'un an après la dernière fois!!! Et une kyrielle de posts, et un certain nombre de SMS auxquels tu n'as jamais répondu. Et, lol, j'aurai néanmoins pensé à toi, à K. et à E., tous les jours.

Demain, aussi....

Ce sera le dernier jour où je te reverserai chez ma mère dans le cadre de ton boulot  A moins qu'elle ne reprenne "du poil de la bête" et puisse ressortir de la maison de retraite pour revenir chez elle ; mais je n'y crois pas beaucoup.  Plus que de ménage, je pense qu'elle aura envie de parler, peut-être des affaires qu'elle prendra.

Demain, ce sera un 31 décembre. ET je penserai tr_s fort à d'autres 31 décembre. 31 décembre où nous nous étions téléphonés. 31 décembre passé avec toi.

Demain, je te reverrai / tu me reverra.... plus d'un an après la dernière fois où nous nous sommes vu, e Et je serais submergé d'émotions.

Espoirs, ou désespoir ; je ne sais.

En attendant demain, je te souhaite une bonne nuit. Je ne souhaite pas que cette nuit qui sépare aujourd'hui de demain soit pour toi une mauvaise nuit .

Bonne nuit aussi à K. et E. Mais bonne nuit à toi, surtout.

Pensées

Pensées... Pensées... Pensées... Pensées...

Bonne journée à toi. Aussi à K. et à E.

Pensées... Pensées... Pensées... Pensées...

mardi 29 décembre 2015

J'ai failli ne pas être ridicule

Maman a une place en hébergement temporaire à G.le.C.
Ils envisageaient à la base qu'elle rentre demain....
Nous avons demandé qu'elle ne rentre qu'après le Nouvel An ; ce sera donc le 04/01.

Je....

J'espère que ce sera toi qui viendra jeudi.

Bonne soirée, bonne nuit, blablabla

Tu as dû me trouver bien ridicule....

Pas de place immédiate à V.. En attente de nouvelles de G..

Jeudi, si c'est toi qui est chargé cette semaine de ces heures là, tu devrais pouvoir voir ma mère chez elle.
C'est peut-être cette certitude-là que tu avais quand je t'ai envoyé le SMS avant hier ! Tu as dû me trouver bien ridicule....


lundi 28 décembre 2015

Fauteuil roulant

Fauteuil roulant.
J'ai été après le RDV avec A. commander la location d'un fauteuil roulant à la pharmacie....

On en est là.

Dossier Maison retraite devrait être ficelé cet apm. Reste à savoir quand il y aura une place d'affectée. Une chance que  le médecin conseil / référent oit A. ? .....

dimanche 27 décembre 2015

Bonne nuit

Que mes posts et mon SMS ne t’empêche pas de passer une bonne nuit. Je ne souhaite pas que tu passes une mauvaise nuit !!

Tu n'es pas passée

Tu n'es pas passée voir ma mère comme mon SMS t'y invitait. Peut-être n'as tu pas pu. Peut-être n'as tu pas voulu. Peut-être n'as tu pas voulu pour ne pas suivre une idée venant de moi.

Je ne sais pas.

Peut-être me le diras-tu un jour.

S tu tu pas voulu, et encore plus si tu n'as pas voulu pour ne pas suivre une idée venant de moi, je me dis dommage pour ma mère ; je suis certain que cela lui aurait fait un grand plaisir.

Demain matin, à 8 heures, j'irais à la maison de retraite, et à 11 heures voir Dr A. Lui devrait passer à N dans l'apm.

Bonne suite de soirée. Je t'imagine, chez toi, devant la télé, sur le canapé, avec K. et E. chez leur père. Pensées. Et excuse moi si je t’oppresse avec mes post et mes SMS.

Une petite visite à ma mère avant que.... (MAJ)

Tout à l'heure, sur les coup de 18h30, je vais partir ramener Tina et Stéphane à Bar le Duc.
Je pense que je ne serais pas de retour avant 21h00, dans la mesure où je pense passer chez Ariel, la mère d'Aurélien et de Bérénice leur déposer un petit cadeau pour les remercier de garder la voiture devant chez eux depuis des mois.

Je pense que cela ferait plaisir à ma mère de te revoir à Neuville avant que.... Et peut-être toi même apprécierais-tu. Je ne sais. Mais je ne doute pas que tu aurais des mots qui lui feraient du bien.

Si jamais, c'est ma présence qui te gène par rapport à cette perspective, c'est  l'occasion....

MAJ : ne sachant pas si tu lis ces posts ; je viens de t'envoyer peu ou prou ce message par SMS.

Ne m'en veux pas, ne m'en veux pas, ne m'en veux pas.

Désolation (MAJ)

Sandrine repartie avec Loanne. Maman en pleurs. Sans doute l'une de ses dernières journées dans sa maison, sinon la dernière.

Cela et et puis tout le reste ! Immense sensation d'oppression.

Soleil maginfique pour le jour où l'on est.
Mon souhait le plus fort à l'instant serait de marcher avec toi, à tes cotés, dans un bois.
Souvenir d'une balade en tête à tête avec toi en bord de mer.

Je me damnerais pour "récupérer" ce qu'alors il me semble, que tu éprouvais pour moi !!!

Est-ce impossible ? Impossible, impossible, impossible... ?

Les boules

Chômage, etc. Maman, la maison de retraite, etc.... Noël, la fête des enfants, etc.... La fin de l'année qui approche, et bientôt l'anniversaire de L. et de E., etc Ton silence à mon égard qui dure depuis des lustres, etc.

J'ai croisé le père de tes enfants au supermarché. Je n'ai alors même pas réussi lui demander de passer le bonjour de ma part à K. et E. Pourtant, c'était là en moi sans pouvoir franchir mes lèvres..

C'est dingue comme j'aimerais pouvoir te voir et te parler !

Tu vas sans doute trouver cela je sais pas quoi ; mais tu es aujourd'hui la personne avec qui j'ai le plus envie de pouvoir parler. Et en face de cela, ton silence à mon égard qui dure depuis des lustres. Tristesse.

Je sais bien qu'il faut que je fasse face aux choses de ma vie, celles qui sont des conséquences de mes actes, et les autres. Les boules.

vendredi 25 décembre 2015

Maison de retraite

Lundi matin, "dés la première heure", a demandé la responsable du SIAD, je dois aller à la maison de retraite de V. pour mettre en branle le dossier d'admission de ma mère, de ma maman. Dans un esprit de placement temporaire. Pour l'heure.... ; mais....

Tristesse.

Mais pourquoi je t'écris cela à toi, ici ??!!


Pfffffffffffffffffffffff

Pensées

Pensées... Pensées... Pensées...

Je te souhaite une nuit, ou une suite/fin de nuit paisible, peuplée de beaux rêves.

jeudi 24 décembre 2015

Maman & cart de Noel

L'aide soignante du SIAD dit cela a l'air d'aller. Moi, je trouve pas mieux. Ce matin après le lever elle a fait sur elle, dans la couche. J'ai du la laver un peu avant que le SIAD arrive...
J'ai la peur au ventre.

Pensée pour la carte de Noël que je vous ai envoyé. J'aimerai que tu aies accepter de l'ouvrir. Aussi que K. et E. aient pu la lire.

Je....

lundi 21 décembre 2015

Peur pour ma mère (et pour moi aussi) MAJ

Maman est revenu de l’hôpital ce midi.
Quels cons nous avons été de ne pas avoir le réflexe de la faire marcher un peu chaque jour à  l’hôpital!!!
Résultat : elle peine à marcher comme jamais. Impossible aujourd'hui pour elle d'aller aux toilettes toute seule ! C'est triste, triste.
J'ai bien prévu de rester quelques temps à N. ; mais je ne me vois pas rester à ses cotés 24h/24 ou presque !!! C'est cruel.

Là, j'ai du remonter à Paris pour la signature d'un papier  ; c'est Régis qui est resté avec elle.

Va-t-elle réussir à reconquérir suffisamment d'autonomie  ??? Je ne sais. J'ai peur. Peur de ce que l'avenir proche réserve à  elle, et à moi. Peur de la manière dont Christophe, Sandrine et Régis vont réagir si je dis (le jour où je dirais ?) : je suis incapable d'assumer maman.


C'est si loin cela de mon aspiration secrète !!!

J'ai trop honte de ce que j'avais écrit ici quand je pense à C. Je suis fou et /ou "dégueulasse".  Il faut vraiment que je me mette en accord ma vie avec moi--même, ou moi-même avec ma vie !!!!!!!!!!!!!!





Bonnes vacances

Bonnes vacances de Noël, de fin d'année, à K. et E.

Bonnes vacances à toi aussi, si tu es en congés cette semaine (j'ai cru comprendre cela ; mais je n'en suis pas du tout certain).

Pensées multiples.

dimanche 20 décembre 2015

Nouvelles de ma mère IV

Je suis retourné voir ma mère cet apm.
Elle sort demain en fin de matinée pour revenir à Neuville.
Voisine de chambre changée avant hier et terrible : elle a pas dormi de la nuit de vendredi à samedi.
A la clef, hier et aujourd’hui à nouveau petite voix.....

Je vous imagine à cette heure ci toi et tes monstres blottis sur ton canapé devant Méchant & Co.

Je vous souhaite une bonne nuit à tous les trois.

Je n'ai pas honte de ressentir en moi ce que je ressens encore aujourd'hui quand je pense à K. et E.

Penser, comme j'ai pu l'entendre de dire, qu'à travers eux, c'est juste toi que je vise, n'est-ce pas faire bien peu de cas d'eux, de leur valeur, et de mes sentiments à leur égard...

Je me sens en revanche beaucoup moins à l'aise, et plutôt franchement coupable à l'égard de C. de ressentir ce que je ressens quand je pense à toi en tant que toi. Ma foi, c'est aujourd'hui ma vie ! Il faudra bien que je parvienne un jour à mettre moi-même et ma vie en accord !

Bref ! Bonne nuit à tous les trois.

samedi 19 décembre 2015

Nouvelles de ma mère III

J'ai vu ma mère hier à l'hospittal.
Elle avait l'air d'aller vraiment mieux ; elle avait retrouvé sa voix noormale.

Ma mère m'a dit que tu avais pris des nouvelles d'elle le matin auprès de mon frère. C'est gentil pour elle. Merci pour elle. Mais cela veut-il dire que tu ne lis pas / plus ces posts ? Gorge serrée.

Cela m'a fait drôle ; même si c'est compréhensible que se soit auprès de mn frère et non de moi que tu prennes des nouvelles d'elle. Pincement au cœur, évidement. Mais bon, c'est sûr que.... Blabla bla.

Je suis à N. là pour faire un peu de ménage. Tu peux passer prendre.... Mais je sais bien qu'il y a 99,99999% de probabilité pour que cela n'arrive pas.

J'ai plein de choses à t’écrie, à te dire, à te demander même ! Mais pour l'instant, ménage

Bonne suite de journée à vous trois, et bon marché de Noël si vous y allez

vendredi 18 décembre 2015

Nouvelles de ma mère II

J'ai eu ma mère au téléphone hier en fin d'apm.
Conversation difficile tant elle m'est apparue épuisée....
Je suis revenu à Neuville "dans la nuit" (arrivée 00h30).
Je vais la voir cet apm (ce matin prise de tête par courriel / tel pour mon solde de tout compte).
L’hôpital dit que cet épuisement est le coup du dernier traitement d'Aubertin mal supporté, et de l'angoisse d'être resté un certain temps seul avant que quelqu'un ne puisse arriver. Et qu'elle devrait pouvoir sortir ce lundi.
Il n'empêche : j'ai peur....

jeudi 17 décembre 2015

Nouvelles de ma mère

Je me dis que, peut-être, tu apprécierais d'avoir des nouvelles de ma mère.
Et que si tu lis mes posts ici, c'est aussi un moyen de t'en donner.

Elle n'a pas de fractures ; à la radio, ils n'ont rien trouver d'autres que les séquelles de son ancienne chute.
Mais elle a un peu de fièvre ; elle sera transférée cet après midi en médecine gnérale.

Ironie du sort :  si tu avais été chez elle ce matin, aurais-tu pris les cadeaux, ou ne serait-ce que les deux petites boules de Noël avec les prénoms de E. et de S. à accrocher aux sapins de Noël ? Si la réponse avait du être "oui", qu'est-ce que j'aimerais le savoir (SMS, signaux de fumées...) !

Je viens tout juste d'apprendre par mon frère

Je viens tout juste d'apprendre par mon frère que ma  mère était tombée hier soir et qu'elle est hospitalisée. Les boules....
Elle tombe juste le jour où je suis licencié. Pour un peu, je me sentirais coupable ! Il faut que je résiste à ce sentiment de culpabilité.
Mon frère m'a dit qu'il avait prévenu l'ADMR et que tu l'avais rappelé pour demander des nouvelles de ma mère. Je t'en remercie pour elle.

Bonne journée

Bonne journée à toi, à K. et à E.
Bonne journée à vous trois.
Moi, même si ce licenciement me donne de l'espoir et est une opportunité, il me faut digérer.

Bonne journée à vous trois.

mercredi 16 décembre 2015

Voilà, ce boulot, c'est fini

"Voilà, ce boulot, c'est fini".

Ces mots me font penser à une chanson gravée en moi "au fer rouge". Je ne te fais pas un dessin ; tu sais très bien, si tu lis ces mots, à laquelle je pense !

Et comme elle dit cette chanson, et comme je te l'ai écris si souvent ici en repensant et en comprenant (bien tard !) des mots de toi : "J'ai eu c'que j'ai voulu, même si j'ai pas voulu c'que j'ai eu". Et je ne peux m'en prendre qu'à moi même !!!Blablabla. Ou pour le moins, je ne peux m'en prendre d'abord qu'à moi même... Blablabla.

Peut-être que je publierai à nouveau ici les mots que j'ai "auto-censuré" l'autre jour. Je pense que tu n'as pas pu les lire avant que je ne les enlève.

Ou je te les adresserai autrement. Je ne sais pas ce que j'en ferais. Bref.

Dans cette chanson, il est écrit aussi : "Je ne vois plus au loin que ta chevelure [...]
Même si je m'aperçois que c'est encore moi qui te suis
".


A ton corps et ton âme acquiesçant, ou défendant, je ne sais, j'éprouve la sensation (l'illusion ?) que tu me suis.


Et moi, lol, je suis ce que je peux suivre de toi en dépit de tes silences à travers 1) ce que tu veux bien dire de toi à ma mère 2) les bribes que je peux en recueillir, quand je me montre assez habile pour qu'elle me lâche un mot ou deux sans avoir l'impression d'être questionnée.


A quels après-demains tout cela conduira-t-il ? Ce soir encore, puisqu'une nouvelle page se tourne, je me pose intérieurement la question. Je ne sais qu'une chose : débarrassé de maints fardeaux, j'ai envie de :  "J'ai c'que j'ai voulu, vu que j'ai voulu c'que j'ai", avec bonheur / bonnes heures.Je me dis que tant que l'on est pas au seuil de sa mort, 'il n'est jamais trop tard pour apprendre ce genre de choses !

En attendant, beaux rêves blablabla, à vous trois qui devait sans doute dormir à cette heure là.



Dernier jour de boulot

Aujourd'hui, c'est mon dernier jour de boulot à ....

Je repars en M... à la fin de la semaine.

Je reviendrai sur P. en janvier pour faire mon déménagement et rendre les clefs de l'appartement.

"Nouvelle vie" à l'horizon.

En moi, des tonnes de regrets à l'égard de toutes mes conneries, de tous mes manquements, de toutes mes illusions insensées, de toutes mes erreurs, de tous mes blocages, de tous mes invraisemblables et colossaux travers de ces dernières années ; en moi, des peurs, de l'angoisse, de la confusion, des espoirs, de l'espérance, et la volonté de...

Et puis, comme chaque jour,  en moi aussi, ce souhait : bonne journée à toi, à K. et à E. !

P.S. Les cadeaux de Noël de l'an dernier peuvent toujours servir. N'hésites pas à les prendre quand tu iras demain chez ma mère. Cela me ferait plaisir que leurs destinataires les aient . Même pas besoin de dire qu'ils viennent de moi ! Le plaisir de savoir que leurs destinataires les aient me suffirait.

Si tu pouvais prendre au moins les boules avec les prénoms de E. et de L. qu'elles puissent les accrocher dans un sapin !!!!! Je pense qu'elles aimeraient. Là encore, même pas besoin de dire que ces boules viennent de moi  ; le plaisir de savoir que leurs destinataires les aient me suffirait.

 

jeudi 10 décembre 2015

What else ? (MAJ)

[Auto censure]

Peur et angoisse

Je suis maintenant empli de peur et d'angoisse vis à vis de l'avenir.
Mais cette fois, pas pour mes enfants ; mais pour moi.

Et cette fois, de manière parfaitement rationnelle.

Il y a de l'espoir aussi, de l'envie et des rêves ! Mais la peur et l'angoisse l'emporte.

Cela n'empêche pas de ressentir en moi, et c'est heureux : bonne journée à toi, à K. et à E.

lundi 7 décembre 2015

Bonne nuit

J'imagine que K. et E. sont couchés depuis pas longtemps...
Pensées pou eux : beaux rêves, etc...
Bonne nuit à toi aussi. Pensées aussi. Autres, plus vastes....
Bonne nuit à toi aussi.

dimanche 6 décembre 2015

Je sais que... et puis brouillard

Je sais qu'aujourd'hui (je ressens - à tort ou à raison ; mais surement à raison - qu'aujourd'hui, en  ces temps actuels....), je ne peux pas te demander de m'épouser. Même si je suis désormais enfin divorcé. Trop de stigmates, trop de casseroles lourdes et tonitruantes,  accrochées  aujourd'hui à moi. Sans compter que....blablabla....

Immanquablement, tu me répondrais : "Non, non, non !". N'est-ce pas ?

Mais, "demain" ?  "Demain" ? "Demain" ? "Demain" ?  "Demain" ? "Demain"... Quand j'aurais effacés les stigmates et quand les casseroles pèseront moins lourdes.

Quelle place occuperons-nous l'un vis à vis de l'autre dans le futur ?

Folie de ma part que de ne pas pouvoir répondre à cette question par un simple : "Celle d'un/d'une ex, parmi d'autres ex !" ? Brouillard : je suis incapable de répondre !!!!

Si, toi, tu peux répondre à ces deux questions, ou ne serait-ce qu'à l'une de ces deux questions, tes / ta réponse(s) m’intéresse(nt ) et pourrai (en)t m'éviter de...

SOS. N'hésites pas à me dire ; par courriel, SMS, lettre papier,  téléphone, proposition de RDV....

P.S. Saches que TON silence laisserait/laissera la porte ouverte à tous MES "phantasmes" ! Je t'en prie ; si, toi, tu éprouves aujourd'hui toujours (cf. ton "il n'y auras plus jamais rien entre toi et moi")  la sensation d'y voir clair, aides-moi à y voir clair par des mots, des mots tangibles, de toi à moi.




samedi 5 décembre 2015

"Mille choses"


"Milles choses"... impossibles à écrire. J'aimerai que tu acceptes de me parler, que tu acceptes que je te parle, que tu acceptes que nous nous parlions.

vendredi 4 décembre 2015

Encore une fois, bonne journée

Encore une fois, j'ai eu une  pensée pour vous pratiquement aussitôt réveillé. Et en me disant intérieurement très vite : "Bonne journée, S., K. et E. !". Et dans la foulée, d'autres souhaits de bonnes journées, pour d'autres. Car ce ne serait pas juste qu'a minima, penser cela pour vous ne m'entraine pas à le penser pour d'autres....

Je me suis dit que je n'allais pas encore une fois de plus l'écrire ici ce "Bonne journée, S., K. et E. !". Et puis, si.

Donc au moins aujourd'hui encore, je le pense et je l'écris ici.

Bonne journée, S., K. et E. ! Je vous souhaite une bonne journée à vous trois.


mercredi 2 décembre 2015

Demain matin tu iras... (maj)

Demain matin tu iras chez ma mère, comme d'habitude.
Et vous ne parlerez pas de moi, comme d'habitude.
Sujet tabou.

J'imagine que quand tu vas, ou es, ou repart de chez ma mère, il y a toujours  au moins un instant, dont j'ignore la durée, où tu penses à moi.
Quelle durée, cet instant, ces instants ou ce moment ? Je n'en sais rien, comme d'habitude.
En quel(s) terme(s) penseras-tu à moi demain matin ? Je n'en sais rien, non plus, comme d'habitude, comme depuis des lustres. Tellement peu de choses transpirent à travers tes murs de silence et de rejets de tout échange....

Et comme d'habitude depuis je ne sais plus combien de temps, demain matin quand j'y penserai, je me sentirai jaloux que tu puisses voir ma mère (Certes, c'est pour le boulot !), et moi, jamais tes enfants, jamais K. et E .Idiot et illégitime, peut-être, comme sensation. Comme d'habitude. Peut-être. Surement, puisque...

Pour autant, un fait est là : comme je m'y étais engagé du temps où tu me disais des mots d'amour, j'ai profondément respecté ta relation avec ma mère.  De l'autre coté - mais c'est vrai que tu peux dire que tu m'avais mis en garde et que je n'avais qu'à te croire ! - tu as fait barrage entre moi et tes enfants.  Du fait de mes comportements après ta décision de rupture, m'a un jour écrit ta sœur, en substance. Quand je pense à cela, je ne peux m’empêcher de penser aussi à tes mises en garde, bien antérieures à ta décision de rupture, et de me demander quel est le poids là-dedans de tes peurs intérieurs quant au maintien d'une relation entre des enfants et un "ex" de leur mère, quelque soit ce dernier ?

Comme d'habitude, je le crains,  tu ne prendras pas les cadeaux de l'an dernier, ni celui pour K., ni celui pour E., ni celui que j'avais pris pour toi, dans un mouvement de  clin d’œil, qui me semblait être gage de volonté d'apaisement. Confiant dans ton sens de l'humour et d'un autre trait de toi sur lequel je n'arrive pas à poser un mot. Mauvaise habitude.

Comme d'habitude, , je le crains,  tu ne prendras pas les cadeaux de l'an dernier, ni même celui pour L. J'ai tout reposé sur le bureau de la chambre que tu sais. Si seulement....

Si seulement tu acceptais de n'ouvrir, ne serait-ce qu'une brèche, dans les remparts que tu as érigé.

Si seulement.... Si seulement....

Quoi qu'il en soit, bonne nuit à toi, beaux rêves à K. et E. etc. etc. etc.


Bonne journée....

Bonne journée à toi, à K. et à E.
Je vous souhaite à vous trois une bonne journée.

mardi 1 décembre 2015

Tous les jours

Je l'écris pas tous les jours ; mais je le pense tous les jours pour K. et E. Aussi pour toi, en dehors de mes mouvements de colère impuissante.

Bonne journée à toi. Bonne journée à K. et E.

Tu dors surement....

Tu dors surement.... je te souhaite intensément de beaux rêves. Et si seulement tu pouvais t'en souvenir. Et si seulement mon  souhait pouvait avoir cette puissance !

Beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi !!!

Je te souhaite intensément de beaux rêves, tout en couleurs. Et aucun cauchemar en noir et gris. 

lundi 30 novembre 2015

Dans le train....

Dans le train, pour la dernière fois comme quand....
Pensées. Pensées tumultueuses.

Et dans toutes ces pensées tumultueuses, il y a un espace où j'espère très profondément que tu vas bien, ainsi que K. et E. et tous tes proches que j'ai connu.

J'y espère aussi que c'était un beau match de basket et que l'équipe de K. a gagné !

Bonne soirée à toi, K. et E. Bonne fin de repas, à vous trois, j'imagine si ce n'est déjà fait.

Bonne nuit à vous. Beaux rêves....

Dans le train, pour la dernière fois comme quand....
Pensées. Pensées tumultueuses.

Empli de peurs et de regrets

Aujourd'hui, c'est ma dernière journée de télétravail à N. pour mon boulot actuel.
Dans moins de deux semaines, je serais chômeur. Et je serais en train de commencer à faire mes cartons pour venir habiter chez ma mère. Pendant combien de temps ? Je ne sais, je ne sais, je ne sais... Je ne sais pas !
Angoisse profonde. Je suis empli de peurs !
Empli de de regrets aussi,  vis à vis à de toutes mes conneries de ces dernières années !!!

Pourquoi je t'écris cela ici ? Sans doute parce que je suis empli de de regrets vis à vis à de toutes mes conneries de ces dernières années.

Peurs. Regrets. Tristesse. Vivement que tout cela cède en moi la place à de nouvelles et profondes joies de vivre.

vendredi 27 novembre 2015

Bonne soirée à toi....

Bonne soirée à toi....
Moi, là, je vais manger avec ma mère...
Et cela devrait arriver bien souvent début 2016.... chômage + région p. quittée.
Bon match demain à K. ....
Si je pouvais être dans les gradins pour l'encourager et l'applaudir... mais, non, je ne serais que supporter en pensées !
Bref.


Bonne soirée à toi.... Sincèrement.

mardi 24 novembre 2015

Divorcé

Depuis ce matin,  je suis "réputé divorcé" comme disent les avocats.
Quel gâchis, de ne pas avoir fait cela aussitôt séparé, ou en tout cas bien moins longtemps après.
J'ai été aveugle aux conséquences néfastes de toutes natures, parfaitement irrationnel, empêtré au premier chef dans mes peurs à l'égard de mes enfants, et des tonnes d'illusions, ou pour le moins de croyances qui se sont révélées "malheureuses", c'est à dire infondées, fausses, à l'épreuve des faits.

Si je pouvais réécrire l'histoire de ces dernières années, je l'écrirais différemment. Et peut-être serions encore ensemble aujourd'hui, voire mariés ensemble, voire....

Non ?

Te demander, là, maintenant, si tu veux bien m'épouser serait inconvenant. Pour autant...

lundi 23 novembre 2015

Bonne journée & co

Bonne journée, bonne semaine, bonne vie à K. et E. Bonne journée, bonne semaine, bonne vie à toi aussi.

dimanche 22 novembre 2015

Bonne nuit

Bonne nuit à K. et E. Bonne nuit à toi.

Tristesse toujours

Comme j'aimerais que tu puisses lire en moi ce que je ressens et ce que je pense. Alors peut-être.....

Si tu percevais, percevais, percevais, percevais !!!!!

mardi 17 novembre 2015

Aujourd'hui

Aujourd'hui, c'est la Saint E...

J'ai posté hier une carte qui a du depuis arriver dans ta boite aux lettres. Sans doute l'as-tu trouver à l'heure du déjeuner.

L'as-tu donnée à E. ? Jetée sans l'ouvrir ? Enfermée sans la donner à E. au fond de ton armoire, ou ailleurs (commode...), sans l'ouvrir ? Enfermée après l'avoir lue ?Autant de questions sans réponse pour moi. Comme pour celle envoyée il y a quelques semaines à K. ....

Ne vis pas cette carte, stp, comme une agression. Ce qu'elle est, comme celle adressée à K., c'est un témoignage d'amour, d'affection, qui perdurent accrochés aux souvenirs que j'ai de tes enfants et de la relation que j'avais tissée avec eux. Cela reste ancré en moi. Et même si cela me fait mal vu les circonstances, je ne crois pas que cela soit mal.

J'ai écrit : "amour". Ce n'est pas un gros mot ! C'est toi qui m'as appris à réussir à dire : "je t'aime" aux personnes que j'aime, à travers les échanges de "je t'aime" échangés avec justement tes enfants à l'heure du coucher. Je ne pensais pas qu'un jour tu ferais à ce point barrage entre moi et eux ! Au plus fort de notre amour, je n'ai pas cru certains de tes mots. J'aurais du te demander : cela s'appliquera à moi ? Et ne jamais me laisser aller à aimer tes enfants. Juste  considérer ma relation avec eux comme une circonstance inhérente à notre relation. Et dés lors ne jamais leur dire "je t'aime", car alors cela aurait été leur mentir, ou trahir le sens de "je t'aime".

C'est puissant "je t'aime" !

Tu ne m'as plus aimé, saturée de mes conneries, de mes manquements, de mes égarements, de mes aveuglements, de mes irrationalités... OK.

Pour autant, cela n'obligeait pas à me considérer comme un danger pour l'équilibre de tes enfants. Même avec mes insistances à les revoir et à maintenir une relation avec eux. Insistance alimentée au demeurant par tous tes refus sur ce registre., toutes tes mauvaises excuses (au début de la période suivant ta décision de rupture....) sur l’impossibilité  de...  A aucun moment tu n'as proposé de "plans B".

 De là où on en est sur ce registre, puisses-tu ressentir que, si je suis fautif, toi aussi, au moins à certains égards.... Si seulement tu pouvais prendre sur toi pour qu'on en parle. Je rêve d'un SMS me disant un truc du genre : "Pfffff ! Tu fais vraiment chier !!! Mais, OK, appelles-moi qu'on s'explique là dessus. Tant pis pour mes "je ne te répondrais plus" ; il n'y a que les imbéciles qui ne changent jamais d'avis !!"

J'aimerai que tu aies donner cette carte à E. J'aimerai qu'elle ait eu plaisir à la lire. J'aimerai pour l'occasion un petit coucou de sa part.

Dans la foulée de la carte adressée à K., je lui avais envoyé (oui, j'ai craqué !)  un SMS resté depuis sans réponse.  M'as tu "de manière préventive" blacklisté dans ses contacts ? Est-ce lui qui vraiment ne veut plus entendre parler de moi ?  Autant de questions qui rongent ; qui me rongent.


Et concernant E. ... A-t-elle eu la carte ? A-t-elle lu la carte ? L'a-t-elle appréciée ? Ou s'en est-elle moquée, genre "Pfff, elle est moche", ou "N'importe quoi !", ou "Raz le bol de lui ; quand nous lâchera-t-il !" - en parlant de moi ? Autant d'autres questions qui rongent ; qui me rongent.

Ne vis pas ces cartes, stp, comme une agression. Ce qu'elles sont , ce sont des témoignages d'amour, d'affection, qui perdurent accrochés aux souvenirs que j'ai de tes enfants et de la relation que j'avais tissée avec eux. Cela reste ancré en moi. Et même si cela me fait mal vu les circonstances, je ne crois pas que cela soit mal. Ne vivez pas ces cartes, svp, comme des agressions !

Je vous souhaite à tous les trois, bonne fin de soirée, beaux rêves...

De mon coté, tristesse.







mardi 10 novembre 2015

J'aurais du...

Je me dis ce soir, encore bien plus fort que d'autres jours, que...
  • sitôt chez mon employeur actuel, j'aurais du déménager, comme tu m'avais invité à le faire à plusieurs reprises ;
  • j'aurais du aussi entamer au plus vite la procédure de divorce ;
  • et dès que le projet commençait à sentir le roussi chercher activement du travail en Lo...
  • et ne rien négliger au nom du boulot (eau chaude....) ;
  • et ne pas être si sympa avec la mère de mes enfants (caves, aéroport... ) 
  • ....

Qu'est-ce que je m'en veux de mes peurs irrationnelles concernant mes enfants, de mes aveuglements, de mes espoirs insensés, de ma folie, de .....

A coup sur, bien des choses auraient été différentes !!!! Le bilan est pour moi aujourd'hui zero pointé sur toutes les lignes !!!

Peut-être serions nous encore ensemble ; peut-être serions nous complétement ensemble, dans une maison, voir avec un petit frère, une petite sœur, pour mes enfants et K. et E. ....

Quel gâchis !!!!!

dimanche 8 novembre 2015

Si tu percevais...

Si tu percevais comme je suis mal et triste d'en être là où on en est ! Si seulement tu percevais.....

samedi 7 novembre 2015

Pensées tristes

Pensées tristes, et cela me fait mal, mal, mal, que tu t'en moques totalement, ou en tous cas suffisamment pour ne rien changer à tes manières de faire / pas faire.....

Pensées tristes,tristesse, tristesse, tristesse profonde, profonde, profonde...

mercredi 4 novembre 2015

Trop cons, blablabla

K. et E. ....

C'est trop con la manière dont tu ne comprends pas, ou n'acceptes pas, ou a peur de, ce que je ressens à leur égard, ou n'a pas confiance en ma capacité à gérer une relation avec eux, sanssd danger, ni pour toi, ni pour eux.

Ou ils n'ont plus envie de me voir... Et si c'est ça, c'est bien triste que les choses en soient arrivées là. Et si les choses en sont arrivées là, tes comportements depuis ta décision de rupture y sont pour énormément. Culpabilise là-dessus, tu en a le droit ! C'est bien le moins....

Et puis, il y a toi, et ce "nous" que tu as rejeté du fait de mes conneries. Crois moi, cel que je ressens à l'égard de tes enfants est dissocié de ce que je ressens à ton égard, à l'égard de ce "nous deux" qui aujourd'hui n'est plus. Pour autant, je culpabilise sur mes conneries qui ont cassé ton amour. C'est bien le moins, aussi que je culpabilise là-dessus! Même si je pense que, toi tu aurais pu réussir à m'ouvrir les yeux quand il en était encore temps pour sauver ton amour de moi, pour sauver notre relation, si tu avais crié tes malaises haut et fort  plutôt que de les verbaliser tout doucement. Mais c'est bien moi le premier fautif. ! Je culpabilise là-dessus. C'est bien le moins !

La fin de ce "nous", en dépit de ma relation avec C., je trouve aussi cela trop con ; et, (peut-être que je me répète !), je reste persuadé que, si nous avions mieux su nous y prendre, l'un et l'autre, l'un par rapport à l'autre, et par rapport à "mes travers" qui ne t'ont plus amusés, cela aurait pu être beau, très beau, longtemps, longtemps, longtemps.... Trop con d'en être arriver à une rupture sans que tu n'aies jamais crier tes malaises ! Très con, obnubilé par...., tétanisé vis à vis de...., j e suis complétement passé à coté de tes signaux d'avertissement, de mise en garde, etc. Trop con.... J'ai vraiment été trop con !!!!



mercredi 28 octobre 2015

dimanche 25 octobre 2015

Cruauté 2 (maj)


Nous deux, toi et moi, on s’est aimé. En tous cas, je crois. En tous cas, moi, je t’ai aimé.

Et j’ai fait la connaissance de tes enfants. Et je me suis mis à les aimer. Et ils se sont mis à m’aimer. En tous cas, je le crois. En tout cas, ils me l’ont dit et écrit à maintes reprises.

Et tu as décidé de rompre. Et je crois aujourd’hui mieux comprendre tout ce que tu n’as plus supporté…

J’ai très mal vécu et mal géré ta décision de rupture. C’est un fait.

Pour autant, n’aurais-tu pas pu mieux respecter les sentiments qui s’étaient tissés entre moi et tes enfants ?

Un jour, après ta décision de rupture, tu m’as reproché de tenter d’instrumentaliser tes enfants, pour tenter de te culpabiliser, sinon de te « récupérer ». Non, non, non et non. J’ai souffert, et je souffre toujours sincèrement de ne plus avoir aucun contact avec eux. Et je te trouve cruelle de me laisser ainsi, emmuré dans cette douleur et ton refus de toute discussion avec moi.

Et je trouve que quelque part, c’est toi, plutôt que moi, qui as instrumentalisé K. et E. en ne respectant pas les sentiments qui s’étaient tissés entre eux et moi !  As-tu atteint ton but cruel : que je ne sois plus pour eux qu’un souvenir, effacé de leur présent, effacé de leur cœur au présent, devenu pour eux quelqu’un dont ils n’ont plus rien à faire au présent, quelqu’un qu’ils n’ont plus spécialement envie de revoir, etc, etc ?

Tu vois, je ne crois pas qu’il était nécessaire de faire cela, ni pour que K. et E. acceptent pleinement ta décision de rupture,en dépit de mes regrets et peut-être des leurs, ni pour qu’un autre homme (ou une femme...) puisse entrer pleinement dans ton cœur et dans ta vie, pour commencer, puis dans leurs cœurs.

Si ce n'est pas ce genre de craintes, plus ou moins consciemment, qui t'ont fait agir comme tu l'as fait, c'est quoi ?

Ne sois plus cruelle : à minima, explique-moi, dis-moi ou écris-moi pour m'aider à comprendre....

Est-ce vraiment trop te demander ?

samedi 24 octobre 2015

Cruauté

Ta semaine de vacances avec K. et E. est finie.

Peut-être sont-ils ce week-end avec leur père...et toi avec Christian...

Je t'ai envoyé hier soir par SMS un ":-(". Tu n'as pas réagi ; cela fait maintenant presque un an que tu ne régis plus à aucun de mes SMS, si je met de coté le 31 décembre 2014.

Dans une discussion avec une amie, celle-ci m'a dit : "T'en a pas marre ???? Laisses la ! Et arrêtes de penser à ses enfants ; tu fais du transfert..." Tout le monde semble penser ainsi, sauf moi. Qui peut lire en moi sur ce sujet mieux que moi ? En moi, il y a bien, toi d'un coté en tant que femme, tes enfants,, et toi en tant que mère de tes enfants !!!!!!

Ta semaine de vacances avec K. et E. est finie  ; je t'avais invité sur ces pages à m'adresser un signe. Tu ne l'as pas fait. J'en souffre.

Toi en tant que femme, toi en tant que mère de tes enfant, je te trouve bien cruelle à mon égard. !!!! Aujourd'hui, je pense vraiment "TOI"; pas juste tes comportements, car depuis le temps, en ton âme et conscience, en cette vielle âme que tu m'as évoqué une nuit où on parlait de ta grand mère (Te souviens-tu de cette nuit-là  ?), tu as eu le temps, me semble-t-il, de peser, en large, et en travers, tes comportements à mon égard. !!

Tu peux, évidement, m’appeler quand tu VEUX pour en causer !!!!

Je me demande, si elle est encore,  quelque part, ce qu'en pense ta grand mère de tes comportements à mon égard...

J'ai retrouvé ton livre sur la chimie des émotions. Il faudra que je te le rende.... Je le déposerai chez ma mère.

Ma mère !! J'aurai bien des questions à te poser, en tant que pro de l'assistance aux personnes âgées, concernant ma mère, l'AD.., le SI...... Je n'ose pas t'appeler pour cela...

J'ai proposé à ma sœur de le faire, elle : j'ai confiance en toi ; tu reste sur ce registre la personne en qui j'ai le plus confiance....

Je ne sais pas si S. l'a fait. Je  pourrais sans doute appeler Mme M., comme j'ai appelé Dr A. (Ce qui m'a valu d'être cloué  au pilori par ma mère...). J'hésite. Je trouve cela moche de devoir l'appeler elle, du fait de ne pas pouvoir t'appeler, toi......... 

Peut-être pourrais-tu m'appeler pour parler juste de cela : de ma mère, et pas de nous deux... Mais j'imagine que tu vas penser que j'instrumentalise ma mère, comme tu penses que j'instrumentalise K. et E. !!!!!!

Un jour (cette années, l'an prochain, dans moins d'un an, plus tard ?), ma mère décédera. Peut-être alors viendras-tu à son enterrement. Peut-être nous reverrons nous, au moins à ce moment-là. Je me demande comment alors nous réagirons l'un vis à vis de l'autre....

Quoi qu'il en soit, en attendant, je TE trouve bien CRUELLE à mon égard...Tu t'en fous ?

Tu peux, évidement, m’appeler quand tu VEUX pour en causer...

mardi 29 septembre 2015

Deux chansons (MAJ 2)

Dans ce post (le dernier ?), deux de quatre chansons du chanteur polonais Dariusz Krupicz / Magma  - je n’arrive pas à trouver la 3ème et 4ème sur le net (zostan,  &To jest milosc to ciala sa dwa) , qu’il y a maintenant longtemps je voulais de faire écouter ou réécouter. Mais ta décision de rupture est passée par là, avant que cela ne se fasse.

Depuis, elles m’ont souvent accompagné sur le trajet Ba. / V. J’ai  rarement traversé Br. sans l’une d’elles !!

Ces chansons font partie des chansons d’amour qui me touchent le plus, aux côtés de quelques autres, que nous avons pu autrefois écouter ensemble...

Google ou Robert sauront les traduire.

Je m’étais promis que ces chansons, que je n’arrive toujours pas à ce jour à faire écouter à C. (trop accrochées à toi), je les posterai un jour ici. Voilà, je le fais.

Peut-être les apprécieras tu toi aussi. Peut-être même, réussiras tu à te les « approprier » en les dissociant de moi, et alors  à les écouter avec cet autre C…. comme j’aurais aimé les écouter avec toi.

Sois heureuse.

MAJ 12/10/2015 : Sois heureuse ; mais ne crois pas que je n'ai plus mal !! Mes douleurs restent entières, celle de t'avoir perdu (même si, même si....) et que je saurais taire vis à vis de K. et E. si tu me permettais de les revoir, aussi bien que celles vis à vis de K. et E.

Tu t'en fous ? Au moins au point de ne rien changer à tes manières de faire, manifestement... Je ne peux rien contre cela. Mais, ne crois pas, ne crois pas, que je n'ai plus mal. Le jour où je n'aurais plus mal, je fermerai ces pages. Tout le temps où ces pages resteront ouvertes, cela voudra dire que j'ai toujours mal, et que, et que....


MAJ 20/10/2015 : Retour de la M. hier au soir, ce lundi 19/10, par le train de 19h37. Pas la peine de t'indiquer mon heure d'arrivée à I. : j'imagine que tu t'en souviens (au moins en gros !) vu le nombre de coup de fil que l'on a échangé, à une certaine époque, quand j'arrivais à I. après avoir pris ce train...

Je me suis couché un peu avant minuit. Mais, impossible de trouver le sommeil. Il est 0h40.  Toi, j'imagine qu'en ce moment tu dors paisiblement (ou bien tu es en plein câlin avec C. ...). Moi, mon sommeil s'est une nouvelle fois échouée sur ton refus persistant de me permettre de revoir K. et E.  De quoi as-tu peur, aujourd'hui encore ???? Ou si ce n'est pas une question de crainte, pour quoi faire me refuser cela, aujourd'hui encore ? Pour quoi faire, a minima, refuser de m'expliquer, ne serait-ce qu'en quelques mots par email, pour quoi faire me refuser cela ? Pour quoi faire, ou ne pas faire, me refuser tout dialogue, ne serait-ce qu'écrit ?

Quand je suis parti pour B. en voiture, je n'ai pas réussi à ne pas regarder vers le terrain de Skate, dans l'espoir d'y apercevoir K. Je n'ai pas réussi non plus à poursuivre sur le contournement pour ne pas traverser V. Dans l'espoir d'y apercevoir K. ou E. Je n'ai pas plus réussi à ne pas regarder dans le parc près de La Poste, dans l'espoir d'y apercevoir E.

Je suis même passer dans ta rue... Avec la crainte de t'y voir, et dès lors de susciter ta colère. Avec en revanche,  l'espoir d'y apercevoir K. ou E. Je me serais alors arrêté 30 secondes, le temps d'un bisou (s'ils l'acceptaient) et de dire : "Comment allez vous ? Bien... Super ! Je pensais à vous  ; c'est pour cela que j'ai fait le crochet.... Je ne vous ai pas oublié ; vous aurez toujours une place dans mon cœur, et j'aurai toujours plaisir à vous revoir. Bonnes vacances ! Le bonjour à votre mère, à vos grands parents, à Thomas, Mélanie, etc. etc. 

Ce trajet que je viens de faire ce soir est l'un des derniers du genre : je devrais quitter la région parisienne fin décembre. Retour en L...Lol, c'est à peu près à la même époque que je rejoindrais le rang des divorcés  en bonne et due forme ! Peut-être alors n'aurais-je cependant pas fini de me refaire une apparence (dentiste...). Comme quoi, il peut être trop tard pour pleins de choses ; mais jamais trop tard pour mieux faire !!!

Sois heureuse (sans moi), puisque... , vu que... Mais, pour quoi faire me refuser, aujourd’hui encore, toute relation, quelle quelle soit, avec K. et E. ? Pour quoi faire refuser, aujourd’hui encore, de m'expliquer pour quoi faire tu me refuses, aujourd’hui encore, toute relation, quelle quelle soit, avec K. et E. ? Pour quoi faire refuser de prendre pour eux aujourd'hui encore ??? J'avoue que je ne comprends pas. Peut-être suis-je très con de ne pas comprendre ; mais, je ne comprends pas.

Je viens de me relire. Il est 01h51. Le réveil va être difficile... Je ne t'en veux pas (trop). Un peu quant même. Un peu plus qu'un peu, en cet  instant, à vrai dire.... Demain, cela redeviendra juste "Un peu". Je ne peux pas croire que tu agisses méchamment !

Bonne suite de semaine de vacances avec K. et E. Ne te gènes pas, ne vous gêner pas pour m'adresser un "coucou", si ton cœur t'en dit ;  si compassion, empathie, colères apaisées, te le disent.

Le 30 de ce mois, ce sera la Saint K. Je lui enverrai une carte chez toi. Tu vois, je ne te prends pas "en traitre" ! Acceptes, stp, quand elle arrivera, de la lui donner... Bonne suite de nuit. Beaux rêves à vous trois, même si tu ne te souviens toujours jamais de tes rêves.



lundi 28 septembre 2015

Christian... (maj)

De retour chez moi, vu sur FB en parcourant mon fil d'actu : "Bon dimanche à toi frangine et à Christian. ..."

Christian... Ton copain ? J'imagine. Cœur qui se sert, connement, puisque...

Sois heureuse avec Christian. Soyez heureux, tous les trois, avec Christian,  puisque...

Cela ne change rien à ce que je ressens, aux manques que j’éprouve. A ce que j'ai vécu en moi quand nous nous  sommes croisés en voiture ce samedi, en fin d'après midi, en début de soirée. Était-ce perceptible ? L'as tu perçu ? K. et E. l'ont-ils perçu ?

Quoi qu'il en soit, sois heureuse avec Christian ; soyez heureux, tous les trois, avec Christian,  puisque...

Soit heureuse sans moi, avec un autre, puisque tel est ton choix. Soyez heureux sans moi, puisque tel est ton choix. Puisses-tu me permettre au moins un jour de revoir tes enfants..Leur dire que la vie est ainsi, leur dire que je n'ai jamais triché avec eux, et que quoi qu'il en soit, ils pourront toujours, en cas de besoin, compter sur moi.  Toi aussi d'ailleurs ! Mais cela est une autre histoire.

D'un coté, Christian, de l'autre, Christine... Cela ressemble à "une mauvaise plaisanterie" ! La vie, ma vie en tous cas, a un drôle d'humour !Je le trouve aujourd'hui un peu noir....

jeudi 17 septembre 2015

Cette fois, je vais y arriver (maj)

Cette fois, je vais y arriver à lâcher prise à ne plus te déranger.

Il le faut bien puisque je ne cesse de me heurter à un mur aujourd'hui manifestement infranchissable et me prendre, me déchirer dans les fils barbelés qui l'entoure. Et à faire du mal à....

Un jour peut-être cependant tu commenceras à réaliser que je ne me suis acharné, que je n'ai vraiment dérapé, qu'après que tu aies construit ce mur.

Un jour peut-être cependant tu prendras conscience que dans les semaines et les mois qui ont précédés ta décision de rupture j'ai passé plus de temps avec tes enfants qu'avec les miens, et que oui, je n'ai pas su dans ces conditions, ne pas développer des sentiments sincères et profonds à leur égard.

Démesurés, semblent-ils manifestement, à tes yeux et à ceux de tes proches.

Ou alors, vous croyez que je ne suis pas sincère ; que tout cela, ce n'est que du bluff ; qu'à travers eux, c'est toi que je vise !

Un jour, en septembre 2014, je crois, tu m'as fait remarquer que "avant, tu n'envoyais pas de ce SMS à K. ...".  Je le voyais régulièrement. Tu me donnais de ses nouvelles, de leurs nouvelles à  lui et à sa sœur pratiquement tous les soirs. Parfois, quand c'était. E. qui décrochait, K. me récriait un petit mot gentil, E. me passait le bonsoir de K., me disait un petit mot sur lui, sur eux. Ne crois pas que je ne suis  pas sincère. Ne crois pas que je les instrumentalise odieusement.

Simplement, je n'ai pas su les aimer "au rabais" ! Rien à voir avec l'idée de prendre la place du père. M'as-tu jamais vu tenter cela ?!! Et le fait que j'ai eu l'impression de ne plus rien représenter en tant que moi même pour tes proches sinon un boulet accroché à tes basques n'a rien changé à mes sentiments à l'égard de K. et de E..

A ce propos : pas un seul coup de fil spontané d'aucun d'entre eux dans les jours, les semaines, les mois qui ont suivi. Normal peut-être, mais je me suis profondément senti humilié, de ressentir que je n'avais jamais été pour eux que le "rôle" :  ton copain. Et que donc, dans la foulée de ta décision de rupture, je n'étais plus que mon nouveau rôle : "un ex" qui ne doit pas trop compter sur les "tu seras toujours le bienvenu".

Quand on est vraiment "tu seras toujours le bienvenu", et que l'on commence à déconner, les portes, elles s'ouvrent pour aider, ou elles se ferment pour enterrer ?

Dés que j'ai commencer "à faire des vagues", j'ai été gentiment ; mais chaudement  inviter à prendre le large vis à vis de...tous. Pas seulement de toi ; mais de tous tes proches ! Normal, peut-être ; mais très blessant. Je sais, je me répète encore une fois !

Oui, je n'ai pas été câblé pour comprendre que ta décision de rupture et ma difficulté à la vivre, devait entrainer de manière légitime, normal, et assez abrupte (cf nos échanges sur septembre /novembre 2014),  la fin de toutes relations entre moi et  K. et de E.

Et oui, la manière dont tu t'es braquée par rapport à mes difficultés à me tenir à la distance que tu voulais placer entre toi et moi, et K. et E. et moi, t'as fait construire ce mur qui m'a fait.... péter bien des plombs. Si tu avais su /pu répondre positivement à mes premières sollicitations, sans doute  toute l'histoire de ces mois écoulés depuis, aurait été différente. Aussi aux secondes, insistantes (la fête à N., le paquet de bonbons que j'avais amené et finalement posé sur ta voiture). Mais tu devais être trop en colère. Et quand tu es en colère... Et que...combien alors  y'a-t-il eu autour de toi à cette époque de personnes pour tenter d'apaiser, plutôt que de jeter de l'huile sur le feu ? Je serais curieux de le savoir !

Pour essayer de mettre du sens là-dedans, je me dis (et on m'y aide) que tu crois, que vous croyez, toi et à tes proches, que le maintien d'une relation entre et moi et eux ne serait pas bon pour eux, pour leur équilibre. Brouillage de repères ? Risque de rejet vis à vis d'un autre homme qui pourrait (ou est ) rentré dans ta vie et pourrait devenir ce beau père officiel que.... ? Risque d'incompréhension / de réprobation  (d'incompréhension / de réprobation persistante ?) de leur part à ton égard d'avoir mis fin à notre relation ? Que sais-je encore, que tu penses, que tes proches pensent, que la société entière pense et que je peine à concevoir ? J'ai en tête de ta part ou de ta sœur des "Kentin ne sait plus quoi te répondre !", "Laches le !", "TU VAS le rendre fou !!". N'est-ce pas le mur qui a engendré ces moments-là ?

Oui, je pense que ce mur est triste, moche, et dommageable, non seulement pour moi ; mais aussi pour K. et E. Mais, bon , si j'ai bien compris, faut que je fasse avec, puisque je suis impuissant à faire partager ce en quoi il me semble absurde et pas bon.

Un jour peut-être tu percevras autrement. Après tout, même le mur de Berlin, un jour a fini par tomber ! Mais si  cela n'arrive pas, il va bien falloir FAUT que je réussisses à faire avec. Comme dirait Spinoza, être fort, c'est accepter ce qui s'impose à soi, et contre quoi on ne peut rien

Sans rancune. Avec de la tristesse à effacer, de l'amertume à oublier ; mais sans véritable rancune. Mes meilleurs vœux de bonheur à vous trois, pour les jours, les semaines, les mois, les années à venir.

mardi 15 septembre 2015

Bonne journée (maj)

Bonne journée à vous trois.

Mes meilleurs vœux de bonheur pour les jours, les semaines, les mois, les années à venir.

dimanche 13 septembre 2015

Bonne nuit à K. et E. ...

Bonne nuit à K. et E. ... qui doivent être en train de dormir, à l'heure là.
Bonne nuit à toi aussi, en dépit de tout.

Quasi systématiquement depuis au moins la rentrée (maj)

Quasi systématiquement depuis au moins la rentrée, mes premières pensées au réveil vont vers toi, K. et E. Et je me  réveille tout crispé, le corps totalement noué, les poumons brulant de la tonne de cigarettes fumées la veille, et la tête lourde du trop plein d'alcool absorbé.

Tu peux m'aider à sortir de cela.

J'ai cassé ton amour, Ok. Et tu ressens cela comme irréparable, ok. Mais, stp, mets fin à ton silence et permets moi  de revoir et d'échanger, juste un tout petit peu, juste de temps en temps, juste de loin en loin, avec K. et E. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois, pour les entendre me dire qu'ils n'ont plus / pas envie d'autres fois. Seul moyen pour moi, je crois, de réussir à faire le deuil.

SOS. SOS. SOS  SOS.

Ce qui, en plus du fait objectif de ne plus les voir, me pourrit le plus, je crois, bien, ce sont le sentiment  de profonde injustice et l'impression de profond mépris de ta part. En l'état, les trois, me rongent, me consument de l'intérieur.

SOS. SOS. SOS  SOS.


samedi 12 septembre 2015

J'ai pensé.... SOS

J'ai pensé à vous en boucle toute la journée, fumant cigarette sur cigarette, buvant....
C'est dingue, je sais.
SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS.

Bon week-end à K. & E.

Pensées. Et tristesse en moi de ne pas pouvoir leur exprimer ne serait-ce que cela : "Bon week-end à vous deux !"

K. ! E. ! Vous me manquez. D'une manière différente de votre mère ; mais vous me manquez aussi terriblement. Et je trouve cela profondément injuste d'être privé de tout contact avec vous deux.

K. ! E. ! Bon week-end à vous deux !

J'espère qu'un jour on se reverra, et que nous pourrons à nouveau partager des choses et des moments de joie.


vendredi 11 septembre 2015

Cette nuit, j'ai rêvé...

.... que je m’arrêtais chez tes parents, sur le trajet de V., à un moment où toi, K. et E. y étaient.

Accueil chaleureux de Doc ; mais rejet devant la porte, par toi, ton père, ta mère. En arrière plan, E. le regard baissé, et K. qui me regarde, puis me tourne le dos d'une manière qui m'a semblé me dire : "Ma mère t'as dit qu'elle ne t'aimait plus... Oublies nous, comme elle veut que l'on s'oublie !"

J'ai versé des rivières de larmes dans ce rêve en tentant de vous faire comprendre ce que je ressens, de vous faire comprendre que...

Puis,  je me suis à demi réveillé en prise avec une énorme vague de tristesse impuissante. Elle  m'a ensuite habitée jusqu'au matin, à chaque demi réveil suivant. Et reste encore là, en moi, en ce moment où j'écris ces mots.

Elle restera encore là, en moi, je ne sais combien de temps, à se cogner à ton rejet méprisant, qui m'apparait toujours dénué de compréhension, d'empathie et de la moindre pitié.

Je ne comprend pas ton aveuglement.

jeudi 10 septembre 2015

Bonne nuit et beaux rêves à K. et E.

Tristesse de ne pas pouvoir leur souhaiter cela de temps en temps par téléphone....

mardi 8 septembre 2015

A toi, ça dit quoi ?

Je viens de déposer dans le répertoire que tu sais de ma dropbox, la  lettre de mon employeur inaugurant officiellement ma procédure de licenciement.

A moi, elle me redit que j'ai été vraiment très con et aveugle ces quatre dernières années ! Je te le répète : j'y ai cru et je me suis battu pour, à fond, de manière démesurée et insensée, dans l'espoir que cela me permettrait de nous construire un beau futur. Je m'y suis pris comme un manche. Tu n'as pas compris, ou pas cru, ou pas supporter.A mes yeux, le résultat est le même : un immense gâchis.

Et à toi, aujourd'hui, ça dit quoi ?

samedi 5 septembre 2015

Qui de nous deux ? (maj)

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?

Ton silence, tes refus m'empoisonnent. Ou, si tu préfères, je  m'empoisonne de ton silence et de tes refus ! Cela, quoi qu'il en soit, ne change pas grand chose au résultat.

Tu le sais, je te l'ai écris et tu l'as lu. Et pour autant, tu ne changes rien à tes comportements à mon égard !

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ?

Si seulement, si seulement, tu changeais, ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, moins destructeur en moi, tes comportements à mon égard !

Penses-tu la même chose dans l'autre sens, penses-tu la même choses de mes comportements (mes écrits, mes messages, ici, ou directement à toi ou à tes proches...) à ton égard ? Peut-être. S'il te plais, dis-moi ce que tu penses, autrement que par ton silence, ton silence qui m'écrase !

Qu'est-ce que cela me couterait de changer mes comportements à ton égard (dans un sens plus positif, moins destructeur pour toi ?), là, sans même que tu bouges quoi que ce soit aux tiens, à mon égard ? Quelques degrés de folie et de désespoir de plus ! Chaque fois que j'écris, j'ai l'impression que, si je ne le fais pas, je vais péter un plomb de plus !!! Je résiste, le plus que je peux, et puis je craque, j'écris, un peu, me semble-t-il, comme dans un mouvement d'exorcisme. Peux-tu comprendre cela ? Je n'arrive pas à avancer avec ton silence !

Qu'est-ce que cela te couterait de changer ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, aux impacts moins destructeurs en moi, tes comportements à mon égard ? Une blessure d'orgueil ?

Qu'est-ce qui t'empêche ? La peur que je pénètre à nouveau plus avant dans le cercle de ta vie ?

Je ne sais pas, je ne vois pas, je ne comprends pas. S'il  te plait, aides moi à comprendre !

J’aimerais tellement te parler pour que l'on sorte de ce cercle vicieux ! Je crois profondément que nous parler nous aiderait, en tout cas, m'aiderait, à sortir de ce cercle vicieux ! Je n'arrive tellement pas à en sortir, en l'état ton comportement actuel à mon égard. C'est tout le sens du SOS que je t'ai adressé, en vain, jusqu'à présent.

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?

Bien de mes mots et de mes actes, depuis ta décision de rupture ont pu, ont dû te blesser. Crois moi pourtant : je ne cherche pas à te blesser  ! Je me débats en animal pris au piège de la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Et surement, cela faisant, je te griffe, t'écorche, et te mords. K. et E. aussi ? Le cas échéant, j'en suis profondément désolé. Mais, crois-moi, cela n'a jamais été, et n'est toujours pas, ce que je veux. Cela n'a jamais été et n'est toujours pas ce que je souhaite

Oui, ce post, comme bien d'autres avant lui, est un aveu de faiblesse et d'impuissance à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi,  la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture

Je voudrais que les choses bougent ! Je voudrais sortir de ce cercle vicieux. Je n'en ai peut-être pas l'air ; mais j''essaie chaque jour. Crois moi. Mais, emmurer dans dans ton silence, et tes refus, je n'y arrive manifestement pas.

Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste  une forme de nausée, une immense lassitude, à l'égard de toutes les choses, tristes et moches, et de bien des comportements (de moi, de toi, de mes proches, et tes proches), qui ont suivi ta décision de rupture, qui ont suivi mes manières, et tes manières, de lui donner suite.

De là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste aussi une forme de dégoût à l'égard de moi-même, et de faiblesse et e mes impuissances, à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi,  la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Le seul jugement que je puisse m'autorise sur une personne, c'est  sur moi. Et c'est pas glorieux.

Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté, plus beaucoup d'amour propre.

SOS.SOS.SOS. Je fais des efforts ; mais SOS.SOS.SOS.

Toi, quels efforts faits-tu ? Ne pas me poursuivre en justice pour harcèlement ? Ne pas commanditer qu'on me casse la gueule ? Dissuader qu'on viennent me casser la gueule ? Tout cela à la fois ? Continuer à t'occuper de ma mère en dépit de ? Au passage, je 'en remercie pour elle, pour moi aussi de ce que tu continues à faire pour elle en dépit de moi.

Mais, s'il te plait, au nom de tout ce que tu voudras, faits des efforts de plus pour répondre directement, de toi à moi, à mes ressentis de besoins, à ma détresse. Même si tu n'es pas obligé ; même si ce que je te demande là te semble surhumain ! Je t'en conjure.

Qu'est-ce qui t'empêche ? Aujourd'hui, je n'arrive pas à me / nous sortir de là, sans mots de toi.








lundi 31 août 2015

En ce moment, c’est la rentrée…. (maj)


Ces temps-ci, c’est la rentrée des classes pour les écoliers, les collégiens et les lycéens. Donc pour K. et E.
Période symbolique, événement important pour eux, qui, en ces jours me conduisent à penser encore plus fort à eux que les jours « ordinaires"
Je regrette de ne pas pouvoir leur souhaiter de vive voix, ou pour le moins, directement, une bonne rentrée (Je l'ai quant même fait par courriel à K.).
Pouvoir de temps en temps, et notamment « aux grandes occasions », échanger avec eux,  un petit coup de fil, un petit SMS, un petit courriel, un petit coucou de visu…. « Déjà » en septembre dernier, je ne t’en demandais pas plus... Si tu regardes bien en arrière dans nos échanges, je ne pense pas que tu puisses faire d’autres constats !

Je le redis : c’est le fait que tu n’as pas permis que je les revoies, ni l’un l’autre, qui a « pourri » les choses. Je ne te demandais pourtant pas grand-chose : pouvoir de temps en temps, échanger avec eux,  un petit coup de fil, un petit SMS, un petit courriel, aux «grandes occasions » pour eux (comme la rentrée) et aussi,  de temps en temps, un petit coucou de visu…notamment  aux «grandes occasions » pour moi, comme la fête à « neu-neu» !...
Le 31/08 quand je suis parti, je suis passé devant chez toi. Et j’ai klaxonné. Triste, n’est-ce pas d’en arriver là !
N'y vois aucune méchanceté !  J’ai klaxonné en rêvant / espérant que E. entende et reconnaisse ce klaxon et s’exclame gentiment : « C’est Eriiiiiiiiiiic ! », en se disant, avec plaisir au fond d’elle, que je pense « encore » à elle, et que je l’aime toujours.
Rêvant / espérant, aussi, que K. entende et reconnaisse également ce klaxon, et se dise également, avec plaisir, au fond de lui, que je pense « encore » à lui, et que je l’aime toujours.
Toi ? Toi, pardonnes-moi si tu as entendu et reconnu ce klaxon, et qu'il t’a vrillé la tête. Ou s'il a perturbé négativement ce qui vous faisiez tous les trois. Ce n’est pas  ce que j’ai voulu, ce n’est pas ce que j’ai souhaité ! Il n’y avait que de la gentillesse, de l’amour, et de la peine, plein de peines, dans ce coup de klaxon....
Je revoie K. et E. tout à la fois tels que je les ai vus pour la première fois, dans ta cuisine. Tu te souviens ? Tel aussi que je les ai vus, l’un et l’autre, pour la dernière fois....

Et ça me fait mal ! Mal, mal, mal, mal !!!!!!!!!!

Je t’en conjure :  ne te moques pas de cette douleur-là. Ne la réfute pas ! Respecte-là, bordel  ! Au moins en pensées, puisque dans tes faits, tu sembles jusqu'à présent, totalement incapable de lui témoigner quelque once de respect que ce soit. Je me trompe ? Dis-le !! Montres le !

Vraiment : j’aimerai bien que tu puisses la ressentir, ne serait-ce qu’un instant, cette douleur-là, pour que tu puisses bien l’appréhender, la mesurer, la comprendre, et ressentir, même brièvement, les effets que tes faits ont en moi. Peut-être alors infléchirais-tu tes manières de faire. Par "humanité".

Tu n’as pas répondu à l'appel au secours que je t’ai adressé par courriel. Honnêtement, quelque part, je trouve cela "assez dégueulasse", "assez petit", indigne de toi, aussi, en quelque sorte. Ou tu te dis que je cherche à te manipuler, à "t’attendrir ?", de manière machiavélique ? Ce n'est pas ça que je fais !   Ce n'est pas ça que je cherche !   Je cherche juste une issue à mon malaise. Ta sœur m'en indique d'autres : "remets toi, ouvres les yeux, vis ta vie.... relèves toi, tourne la page, va de l'avant............ la vie continue, relèves toi, tourne la page, va de l'avant............ " Facile à dire et à écrire, quelque part, au moins. A faire ? Un peu moins, pour moi en tous cas. Je m'y efforce, crois-moi, je m'y efforce ! Mais par ce chemin-là, ce chemin de "l'oubli amnésique", contraint, forcé, pour survivre psychologiquement, il restera toujours des séquelles ! Il me restera toujours des séquelles : : peur terrifiante d'aimer. A quoi bon aujourd'hui, pour moi, avoir développé de l'amour pour toi, et à travers cet amour-là, pour tes proches, et en particulier pour K. et E. Sensations de trahisons ! De n'avoir été qu'un jouet.

Je n’ai pas compris, et je ne comprends toujours pas que tu ne me comprennes pas et que tu te refuses à n’ouvrir ne serait-ce qu’une brèche dans ce mur de silence que tu as placé entre nous, et qui m’enferme, m’étouffe, et m’écrase. Je ne comprends pas. Étrange quelque part : au fond de moi, je ne t’en veux pas ; je te trouve des raisons, une excuse, sinon des explications : toi aussi, comme moi, tu fais comme tu peux, avec ce que tu perçois, ce que tu comprends, ce que tu ressens et ce à quoi tu aspires !
Cela dit, il y a des différences....
 
Tu ne t'es plus senti m'aimer et j'ai été privé de ton amour, en continuant de t'aimer. Manque pour moi. Fardeau pour toi. C'est ton droit de femme et il me semble que, globalement, je le respecte. Même si j'ai souffert et souffre toujours de cette rupture.

Dans la foulée, tu m'as aussi privé de toutes relations avec tes enfants. Je ne crois pas que eux avaient demandé, ni à ce que je ne les aimes plus, ni à ne plus m'aimer. Je radote une fois de plus : le maintien d'une relation entre eux et moi ne les aurait pas abimé (et, je pense, que, s'ils le souhaitaient, la reprise d'une relation  entre eux et moi, ne les abimerait pas, pas plus que cela abimerait leur relation avec qui que se soit !). Mais la société et la morale de cette société est ainsi : c'est ton droit de mère, devant les hommes, de refuser cela.

Devant les hommes, ton droit de mère te donne le droit de "piétiner" et de cracher sur les milliers d'occasions, petits instants et grands moments, où TU AS PERMIS que des liens se tissent entre eux et moi.

Regardes toutes photos qui me relient à eux, et souviens toi... souviens-toi de comment j'étais avec eux, de comment ils étaient avec moi, de comment eux et moi étions ensemble ! Bordel, cela ne vaut vraiment rien à tes yeux ????????????!!!!!!!!!!!!! Pas plus qu'un kleenex, un tampon hygiénique, une serviette périodique que tu jettes dans les chiottes après usage ????????????

Je ne t’en veux pas : toi aussi, comme moi, tu fais comme tu peux, avec ce que tu perçois, ce que tu comprends, ce que tu ressens et ce à quoi tu aspires. Mais, diable, comment fais-tu pour percevoir cela comme ça, comprendre cela comme ça, aspirerà  et orchestrer cette destruction, et ressentir cela comme juste et bien ??????????????????????????????

Sincèrement, moi, je ne pourrais pas !!!! Et c'est sans doute pour cela que je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Je ne comprends pas !!!!

J'ai d'autant plus de mal à l'accepter  et à le comprendre que tu te refuses à m'aider à comprendre et à accepter cette chose, ces faits de ta part, qui te semble "à l'évidence" si compréhensible, acceptable, juste, et bien !!!

Et je suppose que tu trouves cela, compréhensible, acceptable, juste, et bien, pas seulement devant les hommes, mais aussi, j'imagine, compréhensible, acceptable, juste, et bien, aussi au nom de l'amour que tu portes à K. et E.

Qu'en penserait ta grand mère que tu chérissais tan ? Qu'en penserait l'amour que nous nous portions, s'il pouvait s'exprimer ? .Qu'en pense à ton avis l'Essence de l'univers ? Qu'il s'en fout ? Si oui, la chanson a surement raison : rien ne vaut au dessus de la ceinture !!!  A part les crocs qui permettent de déchiqueter et de mettre en pièce Et respect à tous les salopards de la terre -et éventuellement d'ailleurs - qui ont compris que le monde n'est fait que prédateurs et de proies.

La dernière fois où je suis passé chez toi, tu m'as dit un truc du genre : de notre histoire, que je ne regrettes pas, je garde le meilleur, les bons moments. Je me sens carcasse laissée sur le coté après le festin ! 


En quoi, aujourd'hui, te reste-t-il  de la foi ? Quelle capacité d'écoute et d'empathie te reste-t-il ? Au moins me concernant....
Je n’ai pas été à la hauteur des attentes de ton amour, dans les circonstances de notre amour, et ça a cassé ton amour. Je n’ai pas été à la hauteur de ta manière de rompre, dans les circonstances de cette rupture voulue par toi, et on voit le résultat.
Manifestement, je ne suis, aujourd’hui encore, pas à la hauteur des circonstances de ma vie, sur des tonnes de registre !  Demain, ou après-demain, peut-être, j’y arriverai, en dépit de mes démons, de tous mes démons que je peine toujours à corriger, et de ce mur de silence que tu as placé entre nous, et qui m’enferme, m’étouffe, et m’écrase, plus qu’il ne nous aide, je pense, aussi bien toi que moi, à tourner les pages qu’il faudrait tourner.

Demain, ou après-demain, peut-être, j’y arriverai à être à la hauteur des circonstances de ma vie !! Ou pas.Ou pas.Ou pas.Ou pas. On verra bien ! Snouf. Cqfd. Au passage, tiens, t'as vu, la maison dont JE rêvais pour nous semble avoir été vendue ! Crève-cœur (pour moi).
Quoi qu’il en soit, bonne rentrée à K. et E. À défaut d’eux, toi au moins, si tu lis ces lignes, tu sauras que je leur souhaite de tout cœur une bonne rentrée, ainsi que de bonnes nuits de début d'années scolaires, pleine de beaux rêves tout en couleurs. A fortiori, parce  que les rentrées, c’est souvent difficiles.
Je le embrasse l’un et l’autre très fort en pensées.
A toi aussi, je souhaite aussi de bonnes nuits. Ces soirs, nos différents, nos incompréhensions et tes refus de tout ce que je te demande, ne m’empêchent pas de te souhaiter très sincèrement de bonnes nuits. Et tout aussi sincèrement de beaux jours, et une bonne santé. Et….