.... que je m’arrêtais chez tes parents, sur le trajet de V., à un moment où toi, K. et E. y étaient.
Accueil chaleureux de Doc ; mais rejet devant la porte, par toi, ton père, ta mère. En arrière plan, E. le regard baissé, et K. qui me regarde, puis me tourne le dos d'une manière qui m'a semblé me dire : "Ma mère t'as dit qu'elle ne t'aimait plus... Oublies nous, comme elle veut que l'on s'oublie !"
J'ai versé des rivières de larmes dans ce rêve en tentant de vous faire comprendre ce que je ressens, de vous faire comprendre que...
Puis, je me suis à demi réveillé en prise avec une énorme vague de tristesse impuissante. Elle m'a ensuite habitée jusqu'au matin, à chaque demi réveil suivant. Et reste encore là, en moi, en ce moment où j'écris ces mots.
Elle restera encore là, en moi, je ne sais combien de temps, à se cogner à ton rejet méprisant, qui m'apparait toujours dénué de compréhension, d'empathie et de la moindre pitié.
Je ne comprend pas ton aveuglement.
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