samedi 5 septembre 2015

Qui de nous deux ? (maj)

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?

Ton silence, tes refus m'empoisonnent. Ou, si tu préfères, je  m'empoisonne de ton silence et de tes refus ! Cela, quoi qu'il en soit, ne change pas grand chose au résultat.

Tu le sais, je te l'ai écris et tu l'as lu. Et pour autant, tu ne changes rien à tes comportements à mon égard !

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ?

Si seulement, si seulement, tu changeais, ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, moins destructeur en moi, tes comportements à mon égard !

Penses-tu la même chose dans l'autre sens, penses-tu la même choses de mes comportements (mes écrits, mes messages, ici, ou directement à toi ou à tes proches...) à ton égard ? Peut-être. S'il te plais, dis-moi ce que tu penses, autrement que par ton silence, ton silence qui m'écrase !

Qu'est-ce que cela me couterait de changer mes comportements à ton égard (dans un sens plus positif, moins destructeur pour toi ?), là, sans même que tu bouges quoi que ce soit aux tiens, à mon égard ? Quelques degrés de folie et de désespoir de plus ! Chaque fois que j'écris, j'ai l'impression que, si je ne le fais pas, je vais péter un plomb de plus !!! Je résiste, le plus que je peux, et puis je craque, j'écris, un peu, me semble-t-il, comme dans un mouvement d'exorcisme. Peux-tu comprendre cela ? Je n'arrive pas à avancer avec ton silence !

Qu'est-ce que cela te couterait de changer ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, aux impacts moins destructeurs en moi, tes comportements à mon égard ? Une blessure d'orgueil ?

Qu'est-ce qui t'empêche ? La peur que je pénètre à nouveau plus avant dans le cercle de ta vie ?

Je ne sais pas, je ne vois pas, je ne comprends pas. S'il  te plait, aides moi à comprendre !

J’aimerais tellement te parler pour que l'on sorte de ce cercle vicieux ! Je crois profondément que nous parler nous aiderait, en tout cas, m'aiderait, à sortir de ce cercle vicieux ! Je n'arrive tellement pas à en sortir, en l'état ton comportement actuel à mon égard. C'est tout le sens du SOS que je t'ai adressé, en vain, jusqu'à présent.

Qui de nous deux  est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?

Bien de mes mots et de mes actes, depuis ta décision de rupture ont pu, ont dû te blesser. Crois moi pourtant : je ne cherche pas à te blesser  ! Je me débats en animal pris au piège de la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Et surement, cela faisant, je te griffe, t'écorche, et te mords. K. et E. aussi ? Le cas échéant, j'en suis profondément désolé. Mais, crois-moi, cela n'a jamais été, et n'est toujours pas, ce que je veux. Cela n'a jamais été et n'est toujours pas ce que je souhaite

Oui, ce post, comme bien d'autres avant lui, est un aveu de faiblesse et d'impuissance à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi,  la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture

Je voudrais que les choses bougent ! Je voudrais sortir de ce cercle vicieux. Je n'en ai peut-être pas l'air ; mais j''essaie chaque jour. Crois moi. Mais, emmurer dans dans ton silence, et tes refus, je n'y arrive manifestement pas.

Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste  une forme de nausée, une immense lassitude, à l'égard de toutes les choses, tristes et moches, et de bien des comportements (de moi, de toi, de mes proches, et tes proches), qui ont suivi ta décision de rupture, qui ont suivi mes manières, et tes manières, de lui donner suite.

De là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste aussi une forme de dégoût à l'égard de moi-même, et de faiblesse et e mes impuissances, à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi,  la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Le seul jugement que je puisse m'autorise sur une personne, c'est  sur moi. Et c'est pas glorieux.

Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté, plus beaucoup d'amour propre.

SOS.SOS.SOS. Je fais des efforts ; mais SOS.SOS.SOS.

Toi, quels efforts faits-tu ? Ne pas me poursuivre en justice pour harcèlement ? Ne pas commanditer qu'on me casse la gueule ? Dissuader qu'on viennent me casser la gueule ? Tout cela à la fois ? Continuer à t'occuper de ma mère en dépit de ? Au passage, je 'en remercie pour elle, pour moi aussi de ce que tu continues à faire pour elle en dépit de moi.

Mais, s'il te plait, au nom de tout ce que tu voudras, faits des efforts de plus pour répondre directement, de toi à moi, à mes ressentis de besoins, à ma détresse. Même si tu n'es pas obligé ; même si ce que je te demande là te semble surhumain ! Je t'en conjure.

Qu'est-ce qui t'empêche ? Aujourd'hui, je n'arrive pas à me / nous sortir de là, sans mots de toi.








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