"Voilà, ce boulot, c'est fini".
Ces mots me font penser à une chanson gravée en moi "au fer rouge". Je ne te fais pas un dessin ; tu sais très bien, si tu lis ces mots, à laquelle je pense !
Et comme elle dit cette chanson, et comme je te l'ai écris si souvent ici en repensant et en comprenant (bien tard !) des mots de toi : "J'ai eu c'que j'ai voulu, même si j'ai pas voulu c'que j'ai eu". Et je ne peux m'en prendre qu'à moi même !!!Blablabla. Ou pour le moins, je ne peux m'en prendre d'abord qu'à moi même... Blablabla.
Peut-être que je publierai à nouveau ici les mots que j'ai "auto-censuré" l'autre jour. Je pense que tu n'as pas pu les lire avant que je ne les enlève.
Ou je te les adresserai autrement. Je ne sais pas ce que j'en ferais. Bref.
Dans cette chanson, il est écrit aussi : "Je ne vois plus au loin que ta chevelure [...]
Même si je m'aperçois que c'est encore moi qui te suis".
A ton corps et ton âme acquiesçant, ou défendant, je ne sais, j'éprouve la sensation (l'illusion ?) que tu me suis.
Et moi, lol, je suis ce que je peux suivre de toi en dépit de tes silences à travers 1) ce que tu veux bien dire de toi à ma mère 2) les bribes que je peux en recueillir, quand je me montre assez habile pour qu'elle me lâche un mot ou deux sans avoir l'impression d'être questionnée.
A quels après-demains tout cela conduira-t-il ? Ce soir encore, puisqu'une nouvelle page se tourne, je me pose intérieurement la question. Je ne sais qu'une chose : débarrassé de maints fardeaux, j'ai envie de : "J'ai c'que j'ai voulu, vu que j'ai voulu c'que j'ai", avec bonheur / bonnes heures.Je me dis que tant que l'on est pas au seuil de sa mort, 'il n'est jamais trop tard pour apprendre ce genre de choses !
En attendant, beaux rêves blablabla, à vous trois qui devait sans doute dormir à cette heure là.
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