lundi 22 septembre 2014

Lassitude, zest de fatalisme



J’ai rien écrit ici, ni hier au soir, ni ce matin.

Mouvements de lassitude, et de fatalisme. A quoi bon écrire ici sans retour de ta part !

Aucun retour depuis des lustres -excepté peut-être, toutes réflexions faites, ton «Arrêtes de te servir de mon fils » qui me reste toujours franchement en travers de la gorge (J’y reviendrais un jour….). A ce propos, je me dis que si cela se trouve, cette fois-là, K. ne s’est plaint de rien, ne t’as rien dit au sujet de ce brève échange et que ta réaction alors était peut-être seulement dictée par ce que j’ai écrit ici le 13/09 au soir...

Quoiqu’il en soit, à quoi bon écrire ici sans aucun retour de ta part ! N’est-ce pas un peu comme « pisser dans un violon » ?

Rien a changé, ni dans mon esprit, ni dans mon corps, ni dans mon cœur : je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Je t'aime et, j’aimerais à nouveau te voir, t’entendre, sentir ton odeur, le grain de ta peau, caresser ton visage, tes lèvres… te serrer contre moi, me serrer contre toi, faire l’amour avec toi.

Tous les soirs, je pense à nos coups de fils d'avant ; tous les matins, à nos SMS ; je ne saurai dire combien de fois par jour, je pense à toi !

Et toi, combien de fois, en général, penses-tu à moi par jour ? Zero, une, deux, plus... ?

J’aimerais vivre avec toi, avec vous (procédure de divorce aboutie, bien entendu, puisqu’il ne saurait en être autrement pour toi !). D’abord, cinq nuit par semaine, puis six, puis sept.
 
J’aimerais toujours acheter une maison avec toi, former une famille recomposée avec toi.... et TES (comme tu dis "MON FILS") enfants. 

J'aimerais  vieillir avec toi, comme dit la chanson !

J’aimerais toujours aussi - même-  avoir un enfant avec toi ! Même si tu ne serais pas obligé de dire « oui ». A fortiori me concernant, tu n’es évidement obligée de rien !

J’aimerais être heureux avec toi !!!! J’aimerais te rendre heureuse avec moi !!!!

Et cependant...zest insidieux de fatalisme : à quoi bon, sans envie réciproque de ta part, la persistance de toutes ces envies, de ces rêves, de ces aspirations, de cette croyance en ce bonheur possible ??!!

A quoi bon, si ce n’est me torturer ??? Ne devrais-je pas plutôt "jeter l'éponge", comme tout le monde m'y invite et apprendre à vivre sans ton amour, apprendre à vivre sans plus jamais me risquer à mettre en doute que "Rien ne dure. Au-dessus de la ceinture".

Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Bonne nuit à toi, bonne nuit à vous, bonne santé, physique et mentale, à toi - Où en est ton bras ? Etc.
Et bien entendu, cette fois encore, tu ne me diras rien, tu ne m’écriras rien, de ce que tu vis, de ce que tu ressens, etc ! Tu ne me donneras, aucune nouvelle de toi, de vous. Pfffffffff

Ce week-end, je serais à N. Tu seras sans doute à V. Si proche et si loin à la fois. Pffffffffffff

Ce we

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