mardi 30 septembre 2014

Bonne nuit....

Bonne nuit à toi ! Et je me demande : t'arrive-t-il parfois, simplement en pensées (car pour le reste, je sais que non ! lol), de me souhaiter une bonne nuit ?

Je t'ai vu cette nuit

Je t'ai vu cette nuit, dans mes pensées, dans mes rêves, heureuse, souriante, rigolant. Vivant ta vie, en somme ! Je vous ai vu cette nuit, dans mes pensées, dans mes rêves, l'air heureux, souriant, rigolant. Vivant votre vie, en somme ! Sans moi. Moi aussi parfois, aujourd’hui encore, je souris et je rigole. Ne plus déprimer, redevenir heureux ! Tout en continuant d'espérer, un jour, être heureux, avec toi, sourire et rigoler à nouveau, avec toi. Je te souhaite une belle journée, pleine de sourires et de rires. Et si au détour d'un micro-instant, cela te laisse un peu de temps pour penser un peu positivement à moi, et pourquoi pas, à un nouveau "nous"...

dimanche 28 septembre 2014

Bon dimanche. Bisous.

Bon dimanche. Bonne fête d'anniversaire de ta maman à B. Je penserai à toi, je.... Bisous.

Ou

Ou tu es de sortie, ou tu es allongée sur ton canapé, moitié endormie, en demi-sommeil devant "C'est dans l'air". En tout cas, c'est comme cela que je t'imagine, et que là, j'aurais aimé, j'aimerais être contre toi. Je te souhaite une bonne nuit. Je t'offre en pensées tous les bisous que je ne peux plus de donner en vrai.

samedi 27 septembre 2014

Avec le temps....


Combien de temps pour que, avec le temps, ... ? Et puis de toute manière, c'est même pas cela que je souhaite !

C'est trop con

C'est trop con, je trouve, notre relation cassée, ton amour pour moi brisé.

Avec mes prises de conscience, avec le contexte qui bouge, avec les manières dont je bouge, ce pourrait être tellement bien.

Mieux, même je pense, que cela n'a jamais été !

Il suffirait juste, il faudrait juste, que tu y crois, que tu prennes le risque de vouloir y croire

Comme j'aimerais que tu y crois, à nouveau. Comme j'aimerais que tu y crois, plus fort même que tu y a jamais cru !

Où est l'erreur ?

Comment te dire tout ce que je ressens et tout ce que j'éprouve ?

Si tu savais, tout ce que je ressens ; si tu savais tout ce que j’éprouve !

Tu sais au moins, comment et combien je t'aime, je t'aime , je t'aime....

Alors que tu as rompu, signifiant ainsi que, toi, tu n'y croyais plus, je continue de croire de manière indéfectible, viscérale, complète, infinie, que nous pourrions être heureux ensemble.

Comment peux-tu ne plus y croire, qu'est-ce qui  fait, vraiment, que tu ne crois plus que nous pouvons être heureux ensemble, alors que moi, je continue d'y croire, que nous pourrions être heureux ensemble, si seulement tu y croyais toi aussi.

Qu'est-ce qui fait que je n'arrive pas à passer de l'amour à la rancune, comme tu me sembles parfois, toi, l'avoir "si bien" fait ?!

Où est l'erreur ????????????????????

Qui de nous deux se trompe ?

A quoi aspires tu, que je ne puis satisfaire ?

Qu'est-ce que tu ne veux plus, que je ne puis corriger, supprimer ?

Si seulement tu pouvais me dire, me dire, me dire, me proposer, me proposer, me proposer de quoi te redonner foi en nous ! Pour que l'on se risque au bonheur, ensemble.

Qu'est-ce qui fait que je n'arrive pas à te redonner cette foi ?

Quelle colère, quelle rancœur éprouve tu pour ne pas retrouver cette foi en nous, cette envie de nous ? Quel raz le bol, quelles lassitudes ? Quelles peurs  ? Quelles envies que tu me vois incapables de satisfaire ?

Si seulement tu avais envie de me voir !


Si seulement tu avais envie d'imaginer avec moi ce qu'il faudrait que nous fassions pour prendre un nouveau départ, ensemble !
En moi, tout à la fois....

...la peur au ventre de la redite d'un : "Dégages, dégages, dégages ! Vraiment, dégages vraiment de ma vie, de mon paysage, de tout ce qui me touche !!!"
....le rêve, l'espoir (insensé ?) de t'entendre me dire  "Viens, reviens !"
...le "snouf" de t'entendre me dire "Je ne sais pas, je ne sais plus exactement ce que je ressens ; en moi, c'est confus, confus, confus..."


Tu peux considérer, percevoir, tout ce que j'écris comme délirant, insensé.
Peut-être.

Mais c'est que....

d'un coté, qu'est-ce que je me sens malheureux et impuissant sans ton amour ! Et le fait d'être là à quelques kilomètres seulement de toi rends aujourd'hui ce mal-être encore plus terrible, brulant, déchirant, dévorant

de l'autre, qu'est-ce que je serais heureux d'être avec toi !

Si seulement tu avais envie de me voir !  Si seulement tu me faisais savoir que tu as envie de me voir !  Si seulement cela pouvait arriver, là, tout de suite maintenant, à l'instant où tu lirais ces lignes.

Je t'embrasse. Je t'aime, je t'aime. Je t'aime de tout mon être.



Triste...

Triste ; je me sens triste, triste, triste....

Coeur serré

Si loin et si près à la fois !

Bisous bon week end

Pour le reste de mes pensées, sensations, émotions, je te laisse deviner...

PS Je t'aime toujours, immensément, follement, indéfiniment. Tu me manques, me manques, me manques....

jeudi 25 septembre 2014

Sans doute....

Sans doute l'approche de ce week-end à N., et pas à V..
Avec ma mère, certes, et cela me fait plaisir, mais pas avec toi.

Les boules, puissance infinie !

Quand arriverais-je à être indifférent à ton désamour ? Si seulement je réussissais à être indifférent à ton désamour ! Mais je crains que cela n'arrive jamais.

Et je m'enfonce sans doute à t'écrire cela ! Mais comment ne pas l’écrire, alors que...

Bonne nuit ; je t'aime. Je t'aime toujours et.... etc, etc, etc.

Bisous matin

Bonne journée

Je viens de me relire...



Je viens de me relire.

Et je me dis que je dois te dire que je ne cherche pas à dire, pas du tout à dire, que la priorité, aurait du être, devrait être, tes enfants. Si tu l'as compris ainsi, crois-moi, ce n'est pas le cas. Ce que je cherche à exprimer à ce propos c'est qu'ils participent eux aussi de ma douleur. Un dommage collatéral en somme ! Toujours ressenti, et c'est normal, bien moins intensément par les « auteurs » du dommage (ie, ce n’était pas la cible visée !) que par ceux qui sont touchés.
 
Est-ce que je n’arrête pas de te mettre des trucs sur le dos ? C’est relatif : j’accepte mes responsabilités ; mais, c’est vrai que j’ai du mal à me contenter, concernant ce que je considère comme les tiennes, de « c’est moi.... » ou  « On a tant ressassé les mêmes théories. On a tellement tiré chacun de notre côté ». C’est vrai que j’aurai envie d’autres mots...

Peut-être (et c'est le plus angoissant !) que je n’engendre que le contraire de ce que j’espère  : quel intérêt un homme qui s’exprime incapable d’être heureux sans toi ?!! Quel boulet !!! Négation (apparente, seulement à mes yeux !) de toute possibilité d’indépendance. Apparente, seulement à mes yeux dans la mesure où cette capacité est en moi, tant que ton amour est là.

Et puis, par ailleurs, mes « petits travers » dépassées, peux-tu accepter mes « gros » défauts ? As-tu « assez de vécu » pour cela ? Es-tu suffisamment bien avec toi-même et le reste de l’Univers pour cela ?

Moi, oui, c’est clair, concernant tes propres « petits travers  et gros défauts» - que je ne cesse cependant de fait de stigmatiser depuis ta décision de rupture ! - je les accepte sans problème, même si je les pointe du doigt . Quoi qu'il en soit, ils pèsent tellement peu à mes yeux face « au reste » que j’adore !

Je t’aime. Bonne nuit.

mercredi 24 septembre 2014

Sinéad O'Connor - Nothing Compares 2U

Des fois, je me dis....

Des fois, je me dis, je me dis, comme tant me disent, et vu ce que je ressens, et vu tout ce que tu ne sembles pas ressentir, que notre relation avait, dès le départ, et a toujours eu, bien moins d’importance, pour toi...que pour moi.

Des fois, je me dis, comme tant me disent, que tu as toujours été ouverte à « trois petits tours, et puis s’en va », (tu sais, « gares, je met le clignotant, et ....» -un homme prévenu en vaut deux, n'est-ce pas !)  dès que, dés que… les vraies difficultés surgissent en soi - celles, tu sais bien,  qui obligent à aller vraiment au-delà de soi, de soi, à devenir meilleur(e) que soi, encore, et encore...

Devenir meilleur que soi, encore, et encore, vaincre ses démons intérieurs : c’est, je crois, ce que je vis depuis quatre mois (depuis encore plus longtemps que cela, honnêtement, je pense ; mais je peux m’illusionner !). T’as le droit d’en rire. Lol. J'en ris aussi, bien que je ressente cela.

Toi, dans cette histoire - dans notre histoire, sans rire lesquels de tes démons intérieurs as-tu vaincus ? Aucun ?

D’une manière ou d’une autre, je sais que tu le sais aussi bien que moi, on est toujours deux (deux « complices » ?) dans l’échec d’une relation !

Toi, et moi, et pas seulement moi, dans l’échec actuel de notre relation, en son stade actuel. Elle et moi, et pas seulement elle, dans celle de la mère de mes enfants et de moi-même. Lui et toi - et pas seulement lui - dans ta relation avec le père de K. et E....

Tu t’étrangles, tu fulmines ? Je parierais que oui ! N’as-tu vraiment, nulle part en toi, envie de dépasser cela ? Se battre, se battre vraiment, de toutes ses forces, avec toute son énergie, pour arriver à se rejoindre, plutôt que renoncer, baisser les bras, s'éloigner, trop tôt. Et finir par passer à coté de.... Et finir par rater....

Il n’y a guère que trois options possibles :
1)    Dépasser ce qui ne vas pas, ce qui n'a pas été, avec moi, dans notre relation ;
2)    Dépasser cela avec quelqu’un d’autre que  moi, parce que moi, vraiment… Pffffffffff ;
3)    Ne dépasser cela avec personne, parce que « Rien ne dure, au-dessus de la ceinture.... »,  et que cela te convient bien, et t'évite douleurs et efforts ressentis comme « surhumains », comme au-dessus de toi-même. Est-ce bien cela ton projet de vie ?

Moi, aujourd'hui, non. Moi, après toi, si je suis définitivement condamné à un après toi, sans doute que oui.

Des fois, je me dis, comme tant me disent, et vu ce que je ressens, et vu tout ce que tu ne sembles pas ressentir, que tu as toujours été largement plus ouverte aux options 2 ou 3 que moi. Sans que je le vois, sans que je le comprennes. Si la vraie fidélité est avant tout autre chose l’attachement à ses affections - aux affections que l'on accorde, ainsi qu'à celles que l'on engendre entre les uns et les autres...c'est quoi la vraie trahison ? Ne pas se battre, se battre vraiment, de toutes ses forces, avec toute son énergie, pour tenter de préserver, plutôt que de renoncer, de baisser les bras, de s'éloigner, de couper, alors que l'on pourrait tenter de, vraiment, de toute ses forces, ne serait-ce qu'aider l'autre à ne pas se tromper de chenins, ... pour peu que...

As-tu vraiment, de toutes tes forces.... ?

Et puis je repense, je revis, je réentends tes « je t’aime », et puis je repense et revis ce que tu m’as permis de vivre avec TES enfants. Et je me dis que non, toi, non, tu n’as pas pu, a minima, jouer légèrement avec eux, tu n'as pas pu prendre pour quantités négligeables, ce qu’ils risquaient de construire, et ce que je crois (mais, c'est peut-être présomptueux !) ils avaient construit de sentiments à mon égard, de projections avec moi.J

Je me dis que non, toi, non, pas toi, toi, tu n’as pas pu, même inconsciemment, instrumentaliser tes propres enfants. Genre, aimez-le tant que le l'aime ! Et après ?  Pffff ...Faites suer les Monstres ! Je trouverai bien un autre jouet ; on trouveras bien un autre jouet ! Ok ? D'ailleurs, on en a pas besoin en Vacances, n'est-ce pas ?!! J'en veux plus, vous non plus, n'est-ce pas ?!

Non !!!!!  Je ne peux pas croire que tu n’y a pas cru  « sérieusement », toi aussi !

Mais, mais des fois, cependant, je me dis…

Et toujours, je finis par penser que je ne sais pas, que je ne sais plus. Et que c’est con, trop con, vraiment trop con que cela finisse comme cela, entre toi, et moi.

Je t'aime.

Est-ce possible d'aimer indéfiniment quelqu'un qui ne vous aime plus, revendique a minima ne plus vous aimer  ?

Est-ce possible indéfiniment de ne plus aimer quelqu'un qui vous aime autant que je t'aime ?

Questions cons, s'il en est, n'est-ce pas ?!

mardi 23 septembre 2014

Bon mardi

Bon mardi (quant même). Pensées au-dessus et en dessous de la ceinture.

lundi 22 septembre 2014

Lassitude, zest de fatalisme



J’ai rien écrit ici, ni hier au soir, ni ce matin.

Mouvements de lassitude, et de fatalisme. A quoi bon écrire ici sans retour de ta part !

Aucun retour depuis des lustres -excepté peut-être, toutes réflexions faites, ton «Arrêtes de te servir de mon fils » qui me reste toujours franchement en travers de la gorge (J’y reviendrais un jour….). A ce propos, je me dis que si cela se trouve, cette fois-là, K. ne s’est plaint de rien, ne t’as rien dit au sujet de ce brève échange et que ta réaction alors était peut-être seulement dictée par ce que j’ai écrit ici le 13/09 au soir...

Quoiqu’il en soit, à quoi bon écrire ici sans aucun retour de ta part ! N’est-ce pas un peu comme « pisser dans un violon » ?

Rien a changé, ni dans mon esprit, ni dans mon corps, ni dans mon cœur : je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Je t'aime et, j’aimerais à nouveau te voir, t’entendre, sentir ton odeur, le grain de ta peau, caresser ton visage, tes lèvres… te serrer contre moi, me serrer contre toi, faire l’amour avec toi.

Tous les soirs, je pense à nos coups de fils d'avant ; tous les matins, à nos SMS ; je ne saurai dire combien de fois par jour, je pense à toi !

Et toi, combien de fois, en général, penses-tu à moi par jour ? Zero, une, deux, plus... ?

J’aimerais vivre avec toi, avec vous (procédure de divorce aboutie, bien entendu, puisqu’il ne saurait en être autrement pour toi !). D’abord, cinq nuit par semaine, puis six, puis sept.
 
J’aimerais toujours acheter une maison avec toi, former une famille recomposée avec toi.... et TES (comme tu dis "MON FILS") enfants. 

J'aimerais  vieillir avec toi, comme dit la chanson !

J’aimerais toujours aussi - même-  avoir un enfant avec toi ! Même si tu ne serais pas obligé de dire « oui ». A fortiori me concernant, tu n’es évidement obligée de rien !

J’aimerais être heureux avec toi !!!! J’aimerais te rendre heureuse avec moi !!!!

Et cependant...zest insidieux de fatalisme : à quoi bon, sans envie réciproque de ta part, la persistance de toutes ces envies, de ces rêves, de ces aspirations, de cette croyance en ce bonheur possible ??!!

A quoi bon, si ce n’est me torturer ??? Ne devrais-je pas plutôt "jeter l'éponge", comme tout le monde m'y invite et apprendre à vivre sans ton amour, apprendre à vivre sans plus jamais me risquer à mettre en doute que "Rien ne dure. Au-dessus de la ceinture".

Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Bonne nuit à toi, bonne nuit à vous, bonne santé, physique et mentale, à toi - Où en est ton bras ? Etc.
Et bien entendu, cette fois encore, tu ne me diras rien, tu ne m’écriras rien, de ce que tu vis, de ce que tu ressens, etc ! Tu ne me donneras, aucune nouvelle de toi, de vous. Pfffffffff

Ce week-end, je serais à N. Tu seras sans doute à V. Si proche et si loin à la fois. Pffffffffffff

Ce we

dimanche 21 septembre 2014

samedi 20 septembre 2014

Bisous, tu me manques.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Tu me manques ; c'est dingue comme tu me manques !

Entre ici et ailleurs, plus de deux cent fois que je t'écris cela - que je te crie cela ! - d'une manière ou d'une autre.

Avec en face, exprimé de toi à moi, juste du silence, du silence, des tonnes de silence.

Et les rares fois où tu as rompu ce silence, ce silence, ces tonnes de silence, cela n'a été que pour des reproches et des récriminations.

Pfffffffffff

Tu ne trouves pas que c'est à la fois très triste, et un peu moche ?

vendredi 19 septembre 2014

Bisous téléphone

C'est clair, racheter un téléphone fixe n'est pas une question de pb de finance ! Je vais d'ailleurs le faire demain.
Mais, tu peux, ou tu ne peux pas le comprendre, je me suis senti jusque là, de manière débile ou pas, d'autres priorités.

Dieu, s'il existe, jugera, in fine ! Toi aussi, qui existe plus assurément que Dieu, peut également juger, et me condamner.

Bisous. Bonne nuit. Je t'aime, aussi cons que mes comportements, mes "petits travers qui ne t'amusent plus"  puissent te sembler.  Aussi cons que mes comportements puissent te sembler incompréhensibles.

Bisous ensommeillés

J'aimerais pouvoir te dire, comme avant, en plaisantant : "Donnes le bjour à ma maman !".

Bon vendredi.

Qu'est-ce que ce serait plus simple si tu ne me manquais pas tant !

jeudi 18 septembre 2014

Tu me manques ! Ton amour me manque

Comme j'aimerais te manquer aussi !

Bisous Insomnie

Je ne te raconte pas depuis combien d'heures je me retourne dans mon lit, me lève, puis me recouche en pensant à toi.

Quoique je viens de le faire un peu....

Cette fois, je ne me recouche pas.

Bisous bonne journée.

Bosses bien, attention ton bras, etc.

C"est trop con ! Je l'ai déjà dit. Je le redis.

Je n'ai rien poser ce matin. Désespérance. "A quoi bon ! Tu sais même pas si elle lis !", me suis je dis.

 Je trouve ton désamour, le fait que ni toi, ni moi, n'ayons su l’empêcher, trop con.

L’histoire de mon message FB à K., et de ta réaction, ce sera pour plus tard... Encore trop "chaud", en moi, pour moi.

Je crois que j'ai déjà exprimé cette interrogation qui me taraude  : qu'est-ce qui fait que tu ne te sois pas battu différemment pour préserver notre amour ? Mais, je devrais dire : " ton amour", puisque moi je t'aime toujours...

Tant de lendemains qui pourraient chanter, et qui sont à la dérive, qui sont aujourd'hui en perdition.

Je radote : je n'ai pas su garder ta confiance ; je n'ai pas su préservé et répondre à tes envies ; je n'ai pas su t'apporter ce que tu attendais. J'aurais pu, j'aurais pu, j'en suis sur,  si tu avais réussi à m'ouvrir les yeux !

Aujourd'hui, moi, j'ai les yeux grands ouverts et je crois que tout serait encore possible.

Toi, toi, toi....Qu'est-ce qui fait que toi, tu n'y crois pas à nouveau ?!

Même si on est pas marié, même si on a pas d'enfants ensemble, je rêverais d'une forme de "thérapie de couple". L'enjeu ? L'avenir ! Mon avenir, ton avenir...

Si nous pourrions être heureux ensemble durant des années et des années à venir, ne serait-ce pas trop con de rester sur ce point final que tu as voulu mettre ?

Je t'aime, je t'aime, je t'aime. Bisous.

Bonne nuit à toi, bonne nuit à vous.

lundi 15 septembre 2014

Bisous qui....

Bisous qui disent que je pense à toi, que je pense à vous, que je pense à "nous", que je t'aime, même si tu t'en fous, même si cela t'emmerde, te gonfle, t'indispose, depuis que...

Bonne nuit malgré tout.


Bisous matin

Bonne journée, bonne semaine....
Je t'aime.

dimanche 14 septembre 2014

T'es douée !

Je n'aurais pas du regarder mon téléphone à 3 heures du matin, et me prendre en pleine face ton message FB.
Suite de nuit difficile, Dimanche aussi.

Dans le genre, tenter de culpabiliser (sans nécessairement t'en rendre compte), t'es pas mal non plus ; je crois bien que je n'ai aucune leçon à te donner sur ce registre !

Je te dirai, je t'écrirai en quoi en je trouve particulièrement moche la phrase que tu as écrite. Également injuste. Mais pas là, trop dur à exprimer.

Il n’empêche ; je ne te jette pas la pierre. Je n'ai pas été le dernier dans les mois passés à penser et faire les choses de travers !

Et cette colère, cette rage que j'éprouve là, n'enlève rien à l'amour que je te porte.

Bonne nuit. Dors paisible ; on verra cela plus tard.

samedi 13 septembre 2014

Bisous soir et un peu plus

Bisous soir.  Samedi soir. Je pense aux samedi soir que nous avons vécu ensemble. Je pense aux samedi soir que nous pourrions vivre ensemble, maintenant, dans un an, dan deux ans, dans dix ans, dans...

Très brève  échange avec K. sur FB. Dés que je lui ai demandé des nouvelles de ton bras, silence radio. Hasard, ou pas, je ne sais pas....

Impression de tourner en rond dans les propos que j’exprime ici. Vu que je n'ai aucune retour.

Rêve de cette nuit : toi, dans les bras d'un autre, jusque tard, dans la matinée. Pensée douloureuse. C'est ça ma jalousie à moi ! L'idée de toi dans les bras d'un autre en ayant confiance dans ton amour pour moi ne me gênait pas, là.... Pffffffffff.

Moi, depuis que tu m'as plaqué, je n'ai fait l'amour avec personne d'autre. Toi ? Évidement, je m'interroge !  Même si c'est con comme interrogation.
*
Moi, pour tout dire, faut dire que j'ai pas essayé avec grand monde ! Lol. En fait, juste avec Eve (R.). Très jolie, très jeune fille, ce qui avait le mérite de poser clairement les limites de la chose ; mais elle a reculé "au dernier moment". C'est vrai que 26 ans d'écart, cela craint à 25 ans, même si  l'on se dit, que c'est juste pour des galipette & co, et que l'on sait à quoi s'en tenir de part et d'autre.

Es... ? On a relié quelques liens via FB depuis  mes mon avatar "cardiogramme plat". Depuis....,  elle a trouvé un amoureux. Avec qui cela va bien. Que ses enfants apprécient....Lien FB non coupé, elle a néanmoins repéré, à l'époque, mon avatar "cardiogramme plat", et s'en est ému / inquiétée...

Depuis, elle m'a soutenu en quelques moments particulièrement difficiles, tout en ayant soin de souligner qu'elle était bien  avec son ami, et ses enfants qui apprécient son ami. De toute manière, comme en dehors du cul, moi,, je ne pense qu'à toi, c'est très bien ainsi ! On est devenu bons amis. L'avenir me dira, en fonction de toi, si j'ai vraiment "raté le coche", la concernant, en faisant le choix, de toi, plutôt qu'elle.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime toujours. Très con, n'est-ce pas ? Mais c'est ainsi.

Bonne nuit.


Bonne journée, bon week-end

Snouf.....

Bisous matin, j'aimais bien nos samedi matin

Bisous samedi matin.
Ton bras, ton bras, ton bras ?? Comment vas ton bras ??!!

Nos réveils samedi matin, ton corps contre mon corps, après les apéros vendredi soirs, et nos étreintes des vendredis au samedi me manquent, même si, même si, elles n'étaient souvent pas les plus longues, pas les plus intenses.

T'en souviens-tu ?

Toi, vraiment aucune nostalgie de nos week-end ?

vendredi 12 septembre 2014

Bonne nuit quant même

En comparaison de tout ce que je n'ai pas su faire, pas réussi à faire, correctement, avant.... le peu de ce que je réussis à faire, un peu mieux faire, maintenant, te semble insignifiant... C'est ça ? Et cela arrive trop tard.... C'est ça également ?

Et il y a aussi tout ce que j'ai mal fait depuis ! Tout ce que je continue de faire mal depuis, aujourd'hui encore par exemple à travers ce post  ?

Toute ma folie actuelle, en somme ! Qui en dit long sur ma folie en général, mes faiblesses et mes déséquilibres.  Et te dégoute !  Ou a minima te donne encore plus envie de fuire - de me fuire... C'est ça, aussi  ?!!!

Dommage !

D'un coté tes forces, de l'autre, mes faiblesses. Midi à ta porte, minuit à la mienne. Ce soir, ça me passera sans doute durant la nuit ; mais, ce soir, je te ressens pétrie d'orgueil et de mépris.

Bonne nuit quant même.

Bisous j'ai un peu honte

J'ai un peu honte de t'avoir - encore ! - envoyer un SMS hier soir. Ai-je vraiment perdu toute dignité ?

Plus d'un, plus d'une, dans mon entourage, penseraient cela si ils / elles savaient. En fait, tous et toutes, je crois bien ! Et c'est sans doute aussi ce que tu penses.

Bonne journée quant même.

Et, bah, cela me permet de sentir ce que c'est que d'être - anormalement ? - accroc à quelqu'un !!!

jeudi 11 septembre 2014

Putain, c'est fou comme tu me manques ! C'est fou comme ton amour me manque !

Mélancolie, mélancolie, mélancolie ! Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !  Mélancolie, mélancolie, mélancolie !

Qu'es-ce qui fait que c'est encore plus terrible ce soir qu'hier, bien plus, et je ne te parles même pas (façon de dire - lol jaune) qu'avant hier, et quelques autres jours précédents ????

Je me demande si tu t'en fous. Je me demande ce qu'il reste en toi, à l'égard de moi !

Qu'est-ce que j'aimerais que tu me lises ! Et que tu ressentes ce que je ressens. Pas ma douleur ! Mon amour. Et que tu éprouves  à nouveau pour moi, ce que j’éprouve pour toi.

Je t'embrasse. K. et E. à l'heure là sont dans les bras de Morphée. Je pense à eux aussi. Beaux rêves....

Raté de Mme M.... Tout ce que j'ai écris hier est valable aujourd'hui !

Me retenir de demander après toi à ma mère

Pensées. Continuer de me retenir d'appeler ma mère juste pour lui demander de tes nouvelles !
Pffff Pas simple de continuer à t'aimer alors que tu m'as plaqué  !!!
Pas simple ; mais je n'arrive pas à faire autrement.

Bisous, bisous....

Bisous matin. Bonne journée à vous trois.

Je me demande : pourrais-je un jour te réécrire par SMS : "Bisous matin, bisous câlin. Passes le bonjour à ma mère !" ?

mercredi 10 septembre 2014

Demain, tu vas aller chez ma mère, les boules ! Pas que tu ailles chez ma mère bien sûr !



Demain, tu vas aller chez ma mère, les boules... Pas que tu ailles chez ma mère bien sûr ! Je suis content pour ma mère que demain tu ailles chez elle ! C’est le reste qui me fout les boules.

Le fait, d’abord, qu’elle va te voir, et moi pas, alors que j’aimerais tellement te voir !

Le fait, que tu vas lui parler, et pas à moi, alors que j’aimerais tellement que tu me parles !

Bien sûr, je n’aspire pas à la manière dont tu la verras, ni au type d’affection que tu as pour elle !

Moi, ce que je veux, et ce qui me manque horriblement, c’est ton amour, amour de femme à l’homme qu’elle aime, celui que tu m’adressais à travers tes « je t’aime ».

Même si certains me disent que si les choses se sont passées comme elles se sont passées, c’est que tu ne m’aimais pas vraiment, c’est que tu ne m’aimais pas très fort !!! Je n’y crois pas !

Je crois que tu m’as aimé très fort. Et je veux croire que tu peux m'aimer encore, sinon plus, mieux. Je crois que le "hic", ce n'est pas que tu ne m’aimais pas vraiment, ce n'est que tu ne m’aimais pas très fort, c'est que, d’une certaine manière, tu n'as pas su plus que moi, tu n'as pas su mieux que moi, défendre cet amour, puisque, comme moi - certes, d’une autre manière que moi ! – tu n'as pas su faire ce qu'il fallait faire pour qu'il reste intact, en toi.  D’une certaine manière, tu n'as pas su, plus que moi, pas mieux que moi, le protéger. Moi, je pense que c'est réparable ! Et que cela vaut le coup de déployer l'énergie que l'on peut pour le réparer. De mon coté,
je déploie l'énergie que je peux pour tenter de réparer ! Toi, toi, toi... Qu'est-ce qui fait que toi, tu ne veux pas tenter ? Qu'est-ce qui t'empêche ?!!

Moi, moi, je n’ai pas su voir l’ampleur des malaises que tu exprimais ! Toi, toi, tu n’as pas su me faire percevoir autrement que par une rupture, l’ampleur des malaises que tu ressentais....

Quoi qu’il en soit de cela, forme de jalousie, sans doute quand même, vis-à-vis de ce que ma mère va partager avec toi. Alors que toi, tu me refuses à moi désormais, pour l’heure, tout partage, si ce n’est peut-être lire les mots que j’écris ici.

Je t’aime, je t’aime, je t’aime ! Et je suis persuadé que l’on peut être heureux ensemble, et je suis persuadé que l’on peut se rendre heureux l’un l’autre, longtemps, longtemps, longtemps ! Autant aujourd’hui,  après cette épreuve, qu’avant. Si ce n’est plus, si ce n’est beaucoup plus !!!

Bon Dieu, qu’est-ce qui fait que tu ne voies pas cette évidence, que tu ne la ressens pas, que tu n’y crois pas !!!

Tu verras demain les « petits détails » que j’ai faits pour ma mère. Manque pleins de choses (dont, désormais, une rampe pour la descente du porche) !

A mes yeux, mais d’une manière qui ne te sera sans doute pas audible, eux aussi disent que j’ai pris conscience d’un certain nombre de choses… Tout ce que je n’ai pas su faire jusque-là pour ma mère que j’aime. Tout ce que je n’ai pas su faire jusque-là pour moi, pour toi, pour nous, que j’aime, d’une autre manière ; mais tellement fort également, tellement plus fort, au moins d’une certaine manière....

C’est très différent, bien entendu ! C’est si semblable, aussi.... Question de focale : je ne suis plus (ou je suis beaucoup moins !),« focaliser à l'envers ».
 
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Si seulement…. Qu’est-ce que j’aimerais que tu m’appelles, là maintenant ! Qu’est-ce que j’aimerais te parler, là maintenant !

Mais, il y a peu de chances que tu m’appelles, là, maintenant. Ni même peut-être que tu me lises, là, maintenant. Ma sensation qui m’a fait mettre « ((en cours)) » n’est peut-être, et sans doute, qu’une illusion.

Aussi, là, maintenant, je te souhaite une bonne nuit. C’est un souhait plein d’amour, pour toi, et blablabla. Comme concernant ta santé, blablabla.