mardi 12 août 2014

Seroplex et Seresta, mes nouveaux copains !


Demain, demain, je fais faire connaissance avec deux nouveaux copains.  A ma droite, M. Seroplex, à ma gauche, M. Seresta

Qu’est-ce qui fait « à partir de demain » ?  Simple : quand je suis sorti du toubib, la pharmacie était fermée...

Avec Seresta, cela ne devrait être qu'une relation de 2 / 3 mois, le temps qu'avec Seroplex, je tisse des liens suffisamment profonds.

Seroplex, m'a dit l'entremetteur, le tôlier de ma santé, faut en revanche, a priori, pas le plaquer avant six bons mois.  Sinon.... Sinon ? L'enfoiré aurait tendance à reprendre tout ce qu'il a apporté !

Deux copains un tant soit peu collants, en somme ! Mais… 

Mais ; parait qu'ils aident bien quand on fait des fixettes qui ont virées maladives. Par exemple… quand on pas su gérer des choses, faute d'avoir réussi à y mettre "du sens". Et que cela a viré « un peu ? » en effets de sidération et / ou d'obsession associés. Les deux peuvent aller ensembles, lol. !

Je parierai, chemise, caleçon et chaussettes, que tu confirmes le côté obsessionnel ! Quant à la sidération, cela se voit sans doute moins par Internet....

« Merveille... », qu'il dit le monsieur taulier de ma santé, « de la recapture de la sérotonine», et de la réduction associée des charges émotionnelles négatives !

Youppie ! Pourvu qu’il n’est pas tort, ce taulier de ma santé… :-(  Peut-être qu'un jour, je pourrais te dire ce qu'il en aura été....

J'espère en tous cas qu'à eux deux, Seroplex et Seresta m'aideront mieux que tes silences, tes non-dits, et tes non réponses à gérer "les choses", au mieux.

De toutes manières, vu comment je me sens intérieurement, difficile de faire pire, il me semble !

Je ne t'en veux...« pas trop » !

Car, tu vois, j’'arrive encore à faire une certaine part des choses : je sais bien (je te l'ai déjà écrit !)  que tu n'es responsable que de tes silences, de tes non-dits, et de tes non réponses. Pas de leurs effets sur moi.

Cependant....

d'un autre côté, tu n'es pas - depuis des semaines - sans voir à travers mes messages et mes posts, les effets de tes silences, de tes non-dits, et de tes non réponses, sur moi…

Et, sauf erreur de ma part, cela, me semble-t-il,  ne t'as pas franchement fait faire… comment dire… faire autrement. Faire différemment. Pas même après l'épisode SMS de samedi soir !!!!!!!!!! Si tu croyais que je plaisantais dans ce SMS, c'est raté. Cet épisode n'est d'ailleurs pas pour rien dans ma future liaison avec mes nouveaux «amis ».

Évidemment, chacun fait ce qu'il peut ! Moi… c'est clair, je n'ai pas réussi -je n’arrive pas - à gérer tes silences, tes non-dits, tes non réponses.

Chacun fait, fait…. ce qu'il peut, peut… 

Et ce qu'il considère le mieux (ou le moins pire – mdr) pour…

Pour soi ? Les autres ? L'autre ? Sa relation avec soi-même ? Sa relation avec les autres ?  Sa relation avec  « l'Autre » ? N’hésites pas à cocher la bonne réponse qui te convient en la circonstance !

As-tu cru – crois-tu encore !!!! - que tes silences, tes non-dits, tes non réponses faisaient partie (font partie) du mieux que tu pouvais faire pour moi ? Ou du mieux que tu pouvais faire pour moi, en te préservant un peu toi ?

Aujourd'hui, je ne sais pas. J'en rêve. Ou alors... Pffffffffffffff

En revanche, je ne crois pas qu'après ta décision de rupture, c'était, et c'est encore, le mieux que tu pouvais, et peut, faire pour moi !

Peut-être, que du fond de mon gouffre, je me trompe là-dessus - aussi. Mais, aujourd'hui, je ne le crois pas. Et je ne ressens pas ainsi  -même si je me méfie de ce que je crois aujourd'hui..

Quoiqu'il en soit, de toutes manières, même si je suis ce soir profondément en colère contre toi…

…à la fois pour tes silences, tes non-dits, tes non réponses après ta décision de rupture ;
…. et tes non ultimatums, d'avant ta décision de rupture - après un ultimatum, au moins, on fait ses choix de manière éclairée, et tout à la fois, on a c'que l'on a voulu, et on a voulu c'que l’on a eu !!!!! 
 .
Quoiqu'il en soit, et de toutes manières, même si je suis ce soir profondément en colère contre toi…

Je ne te juge pas. Et je t’aime ! Même si ces facettes de toi-même ne sont pas celles que j’apprécie le plus en toi, je t’aime, et j’aimerai tant de choses avec toi.

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