samedi 30 août 2014

Ne m’en veux pas trop, je t’en prie, ne m’en veux pas trop !

C’est vrai. C'est vrai qu'avant, je n’envoyais pas de SMS à K. ; mais, cette année, je voyais  K et E. pratiquement un week-end sur deux !

Insensiblement, les choses s’étaient faites ainsi. Et j’étais content de les voir, et j’étais content qu’ils soient contents de me voir. Et puis, tu me donnais aussi au téléphone des nouvelles d’eux…

Même durant ces vacances, je me suis manifesté… Ces vacances, je pensais les passer avec vous ! J’ai rêvé des mois durant à ces vacances … des mêmes plaisirs partagés avec toi, avec eux, avec toi et eux, que durant les précédentes vacances… J’ai rêvé des semaines durant de parties de pétanque avec K. comme la dernière que j’ai faite avec lui chez tes parents, où il était si content, heureux même je pense, de m’avoir battu.

Tous les jours de ces vacances, j’ai pensé à vous, douloureusement. Tous les jours – oui, c’est sans doute fou  ! – j’ai rêvé de recevoir, espéré recevoir, un SMS de toi me demandant de vous rejoindre. Voilà à quoi je pensais. Débile ? Peut-être. Illusoire ? Manifestement !

Voilà. Aussi, ne m’en veux pas trop. Je t’en prie, ne m’en veux pas trop.

Je ne sais pas si tu liras cela. Je l’espère, simplement, en te souhaitant bonne nuit, en pensées. En vous souhaitant une bonne nuit, en pensées. En pensées, puisque je ne peux pas faire autrement.

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