Pensées où je vous vois, soirée canapé, blottis les uns contre les autres.
Je ne devais reprendre le boulot que mardi, le jour de la rentrée...
Je vous imagine, blottis tous les trois, l'un contre l'autre sur le canapé, K. à ta gauche, E. à ta droite.
Je vous imagine regardant Shrek. Moi, je vais zappé. Trop dur.
Bonne nuit pour après.
dimanche 31 août 2014
Tristesse
Tristesse, tristesse, tristesse...... immense !
Je vous aime tant. J'ai si mal.
Il faut que je gère, que je gère que je gère.
Je vais gérer ; il le faut. Il faut que j'y arrive !
Je vous aime tant. J'ai si mal.
Il faut que je gère, que je gère que je gère.
Je vais gérer ; il le faut. Il faut que j'y arrive !
samedi 30 août 2014
Ne m’en veux pas trop, je t’en prie, ne m’en veux pas trop !
C’est vrai. C'est vrai qu'avant, je n’envoyais pas de SMS à K. ; mais, cette année, je voyais K et E. pratiquement un week-end sur deux !
Insensiblement, les choses s’étaient faites ainsi. Et j’étais content de les voir, et j’étais content qu’ils soient contents de me voir. Et puis, tu me donnais aussi au téléphone des nouvelles d’eux…
Même durant ces vacances, je me suis manifesté… Ces vacances, je pensais les passer avec vous ! J’ai rêvé des mois durant à ces vacances … des mêmes plaisirs partagés avec toi, avec eux, avec toi et eux, que durant les précédentes vacances… J’ai rêvé des semaines durant de parties de pétanque avec K. comme la dernière que j’ai faite avec lui chez tes parents, où il était si content, heureux même je pense, de m’avoir battu.
Tous les jours de ces vacances, j’ai pensé à vous, douloureusement. Tous les jours – oui, c’est sans doute fou ! – j’ai rêvé de recevoir, espéré recevoir, un SMS de toi me demandant de vous rejoindre. Voilà à quoi je pensais. Débile ? Peut-être. Illusoire ? Manifestement !
Voilà. Aussi, ne m’en veux pas trop. Je t’en prie, ne m’en veux pas trop.
Je ne sais pas si tu liras cela. Je l’espère, simplement, en te souhaitant bonne nuit, en pensées. En vous souhaitant une bonne nuit, en pensées. En pensées, puisque je ne peux pas faire autrement.
Insensiblement, les choses s’étaient faites ainsi. Et j’étais content de les voir, et j’étais content qu’ils soient contents de me voir. Et puis, tu me donnais aussi au téléphone des nouvelles d’eux…
Même durant ces vacances, je me suis manifesté… Ces vacances, je pensais les passer avec vous ! J’ai rêvé des mois durant à ces vacances … des mêmes plaisirs partagés avec toi, avec eux, avec toi et eux, que durant les précédentes vacances… J’ai rêvé des semaines durant de parties de pétanque avec K. comme la dernière que j’ai faite avec lui chez tes parents, où il était si content, heureux même je pense, de m’avoir battu.
Tous les jours de ces vacances, j’ai pensé à vous, douloureusement. Tous les jours – oui, c’est sans doute fou ! – j’ai rêvé de recevoir, espéré recevoir, un SMS de toi me demandant de vous rejoindre. Voilà à quoi je pensais. Débile ? Peut-être. Illusoire ? Manifestement !
Voilà. Aussi, ne m’en veux pas trop. Je t’en prie, ne m’en veux pas trop.
Je ne sais pas si tu liras cela. Je l’espère, simplement, en te souhaitant bonne nuit, en pensées. En vous souhaitant une bonne nuit, en pensées. En pensées, puisque je ne peux pas faire autrement.
vendredi 29 août 2014
Je t’imagine....
Je t’imagine en train de finir de ranger vos affaires, de nettoyer en prévision de votre retour, demain.
Souvenirs, souvenirs ! Nostalgie, nostalgie !
Qu’est-ce que j’aimerai te manquer à l’instant présent, ne serait-ce qu’un peu. Qu’est-ce que j’aimerais t’avoir manqué, ne serait-ce qu’un peu, durant ces vacances. Qu’est-ce que j’aimerais te manquer, manquer, manquer, manquer….te manquer beaucoup !
Toi, tu le sais, tu me manques énormément, follement.
Je viens, moi, de rentrer à Issy.
Tristesse immense, sensation d’angoisse et d’oppression géantes !
Je m’accroche au fil de l’espoir, au fil de l’espoir de réussir à reconquérir ton amour.
Je suis dans une colère noire contre moi, de toutes mes conneries, de toutes mes négligences, de toutes les choses que j’ai faites de travers et qui t’ont conduit à rompre.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je veux réparer, réparer, réparer. Je peux réparer, réparer, réparer. Permet moi de réparer, réparer, réparer. Tu verras, cela vaudra le coup !
Souvenirs, souvenirs ! Nostalgie, nostalgie !
Qu’est-ce que j’aimerai te manquer à l’instant présent, ne serait-ce qu’un peu. Qu’est-ce que j’aimerais t’avoir manqué, ne serait-ce qu’un peu, durant ces vacances. Qu’est-ce que j’aimerais te manquer, manquer, manquer, manquer….te manquer beaucoup !
Toi, tu le sais, tu me manques énormément, follement.
Je viens, moi, de rentrer à Issy.
Tristesse immense, sensation d’angoisse et d’oppression géantes !
Je m’accroche au fil de l’espoir, au fil de l’espoir de réussir à reconquérir ton amour.
Je suis dans une colère noire contre moi, de toutes mes conneries, de toutes mes négligences, de toutes les choses que j’ai faites de travers et qui t’ont conduit à rompre.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. Je veux réparer, réparer, réparer. Je peux réparer, réparer, réparer. Permet moi de réparer, réparer, réparer. Tu verras, cela vaudra le coup !
jeudi 28 août 2014
J'ai foi en nous
J'ai commis des tonnes d’erreurs avant de te connaitre.
J'ai commis des tonnes d'erreurs depuis que je te connais.
J'ai abimé, je t'ai fait mal par mes erreurs, les choses que je n'ai pas su assez voir, les choses que je n'ai pas su assez percevoir. Et je n'ai vu que trop tard le fossé creusé !
Je suis certain pourtant que c'est réparable. Pourvu que tu ne te fermes pas à l'idée d'y croire aussi.
Souvenir de nos amours à leurs plus hauts. Nous pouvons être heureux ensemble. Je peux te rendre heureuse. Tu peux me rendre heureux. Nous pouvons être heureux ensemble.
Comme j'aimerais que tu le ressentes et que tu le voies !
Ne veux-tu pas te battre avec moi pour cela, bien mieux que nous ne l'avons jamais fait ? Cela ne vaut-il pas le coup ?
Bonne nuit mon amour. Bonne nui aussi à K. et E.
J'ai commis des tonnes d'erreurs depuis que je te connais.
J'ai abimé, je t'ai fait mal par mes erreurs, les choses que je n'ai pas su assez voir, les choses que je n'ai pas su assez percevoir. Et je n'ai vu que trop tard le fossé creusé !
Je suis certain pourtant que c'est réparable. Pourvu que tu ne te fermes pas à l'idée d'y croire aussi.
Souvenir de nos amours à leurs plus hauts. Nous pouvons être heureux ensemble. Je peux te rendre heureuse. Tu peux me rendre heureux. Nous pouvons être heureux ensemble.
Comme j'aimerais que tu le ressentes et que tu le voies !
Ne veux-tu pas te battre avec moi pour cela, bien mieux que nous ne l'avons jamais fait ? Cela ne vaut-il pas le coup ?
Bonne nuit mon amour. Bonne nui aussi à K. et E.
mercredi 27 août 2014
Bonne nuit
Bonne nuit, simplement bonne nuit. Trop plein de choses pour en exprimer plus. Bonne nuit, simplement bonne nuit.
mardi 26 août 2014
Vacances magiques....
C’est un mot puissant, « magique » !
K. a répondu au SMS que je lui adressé pour remercier de la carte. De manière brève, que j’ai ressentie comme un peu lapidaire. Je ne lui en veux pas du tout ; c’est un enfant ! Et peut-être que mes SMS finissent par lui peser... Je ne sais, je ne vois pas clair là ce sujet-là.
K. a répondu au SMS que je lui adressé pour remercier de la carte ; tu as du recevoir aussi celui que je t’ai adressé, à toi, rien qu'à toi. Et tu n’y as pas répondu. Conforme à ce choix que tu as fait de ne pas répondre à ce que je n’adresse qu’à toi, qu'à propos de « toi et de moi ».
C’est un mot puissant, « magique » ! Un mot que je ne crois pas t’avoir jamais entendu employer pour les précédentes vacances que nous avons passé ensemble.
J’ai vraiment fantasmé, et fantasme encore un peu sur ce mot que tu as employé.
La magie, n’est-ce pas ce qui transforme l’impossible ou l’improbable, en réalité !
J’ai rêvé, et je rêve encore que tu me répondes à mon SMS: « oui, la magie de ces vacances, c’est aussi la renaissance de mon amour pour toi ! », ou quelque chose de moins directe : « oui, c’est bien aussi de cette magie-là dont je voulais parler… ».
Mais tu n’as pas répondu à mon SMS « de moi, rien que moi, à toi ». Et tu ne m’as pas répondu ces mots-là.
Navigation chaotique en moi d’espoir ( ?insensé), en désespoir poignant, oppressant, écrasant.
« Vacances magiques ....», as-tu écris, dans cette carte adressée à moi, dans cette carte, au moins en partie adressée à moi.
Qu’as-tu voulu me dire par là ? Rien de spécial, juste un joli mot venu à ton esprit à l’instant où tu l’as écrit, sans trop penser, sans trop mesurer comment je le recevrais.
Quelque chose de fort, de toi, à moi ? Oui ; mais quoi ? Que ces vacances-là, sans moi, sont bien mieux que celles passées avec moi ????!!!! J’ai du mal avec cette idée-là.
J’aimerais savoir, j’aimerais savoir, ce que tu mettais en les écrivant, ce que tu as mis, ce que tu mets dans ces mots-là, « vacances magiques ». Si seulement tu pouvais me dire, si seulement tu voulais bien me dire, ce que tu mettais en les écrivant, ce que tu as mis, ce que tu mets dans ces mots-là, « vacances magiques » !
Je te souhaites une bonne nuit.
Si seulement tu pouvais me répondre !
Je t'embrasse. Je t'aime.
K. a répondu au SMS que je lui adressé pour remercier de la carte. De manière brève, que j’ai ressentie comme un peu lapidaire. Je ne lui en veux pas du tout ; c’est un enfant ! Et peut-être que mes SMS finissent par lui peser... Je ne sais, je ne vois pas clair là ce sujet-là.
K. a répondu au SMS que je lui adressé pour remercier de la carte ; tu as du recevoir aussi celui que je t’ai adressé, à toi, rien qu'à toi. Et tu n’y as pas répondu. Conforme à ce choix que tu as fait de ne pas répondre à ce que je n’adresse qu’à toi, qu'à propos de « toi et de moi ».
C’est un mot puissant, « magique » ! Un mot que je ne crois pas t’avoir jamais entendu employer pour les précédentes vacances que nous avons passé ensemble.
J’ai vraiment fantasmé, et fantasme encore un peu sur ce mot que tu as employé.
La magie, n’est-ce pas ce qui transforme l’impossible ou l’improbable, en réalité !
J’ai rêvé, et je rêve encore que tu me répondes à mon SMS: « oui, la magie de ces vacances, c’est aussi la renaissance de mon amour pour toi ! », ou quelque chose de moins directe : « oui, c’est bien aussi de cette magie-là dont je voulais parler… ».
Mais tu n’as pas répondu à mon SMS « de moi, rien que moi, à toi ». Et tu ne m’as pas répondu ces mots-là.
Navigation chaotique en moi d’espoir ( ?insensé), en désespoir poignant, oppressant, écrasant.
« Vacances magiques ....», as-tu écris, dans cette carte adressée à moi, dans cette carte, au moins en partie adressée à moi.
Qu’as-tu voulu me dire par là ? Rien de spécial, juste un joli mot venu à ton esprit à l’instant où tu l’as écrit, sans trop penser, sans trop mesurer comment je le recevrais.
Quelque chose de fort, de toi, à moi ? Oui ; mais quoi ? Que ces vacances-là, sans moi, sont bien mieux que celles passées avec moi ????!!!! J’ai du mal avec cette idée-là.
J’aimerais savoir, j’aimerais savoir, ce que tu mettais en les écrivant, ce que tu as mis, ce que tu mets dans ces mots-là, « vacances magiques ». Si seulement tu pouvais me dire, si seulement tu voulais bien me dire, ce que tu mettais en les écrivant, ce que tu as mis, ce que tu mets dans ces mots-là, « vacances magiques » !
Je te souhaites une bonne nuit.
Si seulement tu pouvais me répondre !
Je t'embrasse. Je t'aime.
lundi 25 août 2014
J'avance, j'avance
J'avance, j'avance.
J'avance à réduire "tous ces petits travers qui ne t'amusent plus'.
A quelle enjambée, à quelle vitesse ? Je ne saurais le dire. Assez vite, trop lentement ? Je ne saurais le dire.
Mais, j'avance, j'avance.
Avec en tête cette image lancinante : quand les poissons sont crevés en fond de l'aquarium, tu peux remettre tout l’oxygène que tu veux , c'est trop tard.
Je ne veux pas croire qu'il soit trop tard !
Bien sur, j'ai conscience que tout le temps où cela ne se verra pas concrètement que j'ai réglé mes problèmes, tu pourras penser, tu pourras ressentir : "Paroles, paroles, paroles...."
Et ne pas...
En attendant, je t'aime, je t'aime, je t'aime !. Et je te souhaite une bonne nuit; Et j'espère que ces vacances auront rétablies ta santé, ton bras....
J'avance à réduire "tous ces petits travers qui ne t'amusent plus'.
A quelle enjambée, à quelle vitesse ? Je ne saurais le dire. Assez vite, trop lentement ? Je ne saurais le dire.
Mais, j'avance, j'avance.
Avec en tête cette image lancinante : quand les poissons sont crevés en fond de l'aquarium, tu peux remettre tout l’oxygène que tu veux , c'est trop tard.
Je ne veux pas croire qu'il soit trop tard !
Bien sur, j'ai conscience que tout le temps où cela ne se verra pas concrètement que j'ai réglé mes problèmes, tu pourras penser, tu pourras ressentir : "Paroles, paroles, paroles...."
Et ne pas...
En attendant, je t'aime, je t'aime, je t'aime !. Et je te souhaite une bonne nuit; Et j'espère que ces vacances auront rétablies ta santé, ton bras....
Je t'aime, tu me manques, ton amour me manque
Si seulement, si seulement, si seulement...
Espoir, espoir, espoir !
Je t'embrasse en pensées du plus profond de mon cœur.
Espoir, espoir, espoir !
Je t'embrasse en pensées du plus profond de mon cœur.
dimanche 24 août 2014
Bisous, bonne nuit
Je t'aime, je t'aime, je t'aime !!!
Je vous souhaite une bonne nuit à tous les trois.
Je... je...
Je t'aime. Que dire de plus ? Ce soir, rien.
Je vous souhaite une bonne nuit à tous les trois.
Je... je...
Je t'aime. Que dire de plus ? Ce soir, rien.
Ajourd'hui brocante à Neuville
Impossible pour moi de ne pas repenser très fort à celle de l'an dernier, où Tu étais là, avec moi dans l'après midi ! Nostalgie, cœur serré.
Pensées aussi pour A. et R. qui y était et ont depuis quitté ce monde.
Et je me demande toujours si tu lis encore ou pas, régulièrement, ou de temps en temps, ou seulement quand je t'envoie un lien, ou même pas quand je t'envoie un lien tout ce que j'écris sur cette page.
Bisoussss. Bonne journée à vous trois.
Pensées aussi pour A. et R. qui y était et ont depuis quitté ce monde.
Et je me demande toujours si tu lis encore ou pas, régulièrement, ou de temps en temps, ou seulement quand je t'envoie un lien, ou même pas quand je t'envoie un lien tout ce que j'écris sur cette page.
Bisoussss. Bonne journée à vous trois.
Quand je rergarde aujourd'hui tout ce que j'ai fait et n'ai pas fait depuis 3 ans par rapport à mes enfants et à mon ex
En plus de mon surmenage lié à mon investissement démentiel dans mon boulot, je m'interroge : quelque chose au fond de moi me bloquait-il tout le temps ou T. n'était pas majeure et n'avait pas son bac ?
Aujourd'hui, T. est majeure et a son bac.
Aujourd'hui, T. est majeure et a son bac.
J'ai adoré la réponse de K à mon SMS
Hier, K. a répondu à mon SMS : "Merci gros bisoussss& <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3 <3" Cela m'a fait chaud au cœur..
samedi 23 août 2014
Je t’aime et j’espère que tu n’es pas fâché de mon SMS à K.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. De tout mon être, de toutes les fibres de mon être !
J’espère que tu n’es pas fâché de mon SMS à K. Vois en ce SMS ce qu’il est : une expression de mes sentiments à l’égard de tes enfants. N’y vois pas ce qu’il n’est pas : une tentative de manipulation malveillante ou sournoise.
Tes enfants, je n’y peux rien, occuperont toujours une place particulière dans mon cœur. Je me voyais (et j’aimerais me revoir !) comme un beau père en devenir. C’est en moi, indélébile.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. De tout mon être, de toutes les fibres de mon être. Non, ce n’est pas une sensation née de ta rupture ! Ce qui est né de ta rupture, et c’est vrai et c’est très con, c’est le fait que je l’exprime ainsi, peut-être plus clairement que je n’ai su le faire des mois durant.
Tout de toi vraiment me manque intensément. Je veux, et j’espère réussir à te séduire à nouveau. Je veux, et j’espère réussir à reconquérir ton cœur. Je veux, et j’espère réussir à te redonner foi en moi, en nous.
Réussirais-je cela ? Je ne sais. Je l’espère. Bonne nuit à toi.
J’espère que tu n’es pas fâché de mon SMS à K. Vois en ce SMS ce qu’il est : une expression de mes sentiments à l’égard de tes enfants. N’y vois pas ce qu’il n’est pas : une tentative de manipulation malveillante ou sournoise.
Tes enfants, je n’y peux rien, occuperont toujours une place particulière dans mon cœur. Je me voyais (et j’aimerais me revoir !) comme un beau père en devenir. C’est en moi, indélébile.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime. De tout mon être, de toutes les fibres de mon être. Non, ce n’est pas une sensation née de ta rupture ! Ce qui est né de ta rupture, et c’est vrai et c’est très con, c’est le fait que je l’exprime ainsi, peut-être plus clairement que je n’ai su le faire des mois durant.
Tout de toi vraiment me manque intensément. Je veux, et j’espère réussir à te séduire à nouveau. Je veux, et j’espère réussir à reconquérir ton cœur. Je veux, et j’espère réussir à te redonner foi en moi, en nous.
Réussirais-je cela ? Je ne sais. Je l’espère. Bonne nuit à toi.
vendredi 22 août 2014
jeudi 21 août 2014
Bonne nuit (bis)
Tu ne m'a pas rappelé. Je ne t'en veux pas.
J'espère que cela signifie, entre autres, que É. ne gardera aucune séquelle de sa chute en vélo.
Je te souhaite une bonne nuit. A K. et E. aussi Avec des rêves tout en couleur !
Je leur souhaite aussi une bonne suite de vacances. Je te souhaite à toi aussi une bonne suite de vacances. Ce soir j'y arrive ! De manière très sincère.
Je n'ai pas eu ce que j'ai voulu.... Je n'ai pas voulu non plus ce que j'ai eu !! En revanche, j'ai eu....ce que j'ai fait.
Je crois que je mesure de mieux en mieux, de plus en plus, toute l'étendue de mes erreurs, l'immensité de la connerie qui a été la mienne. Les chemins de mon enfer étaient pavés de bonnes intentions ; mais, je me suis noyé dans toutes les difficultés que j'affrontais et je n'ai pas réussi à gérer mes bonnes intentions comme il faut.
Je suis en train de corriger. Un jour peut-être....
Quoi qu"il en sera, je te souhaite une bonne nuit. A K. et E. aussi
J'espère que cela signifie, entre autres, que É. ne gardera aucune séquelle de sa chute en vélo.
Je te souhaite une bonne nuit. A K. et E. aussi Avec des rêves tout en couleur !
Je leur souhaite aussi une bonne suite de vacances. Je te souhaite à toi aussi une bonne suite de vacances. Ce soir j'y arrive ! De manière très sincère.
Je n'ai pas eu ce que j'ai voulu.... Je n'ai pas voulu non plus ce que j'ai eu !! En revanche, j'ai eu....ce que j'ai fait.
Je crois que je mesure de mieux en mieux, de plus en plus, toute l'étendue de mes erreurs, l'immensité de la connerie qui a été la mienne. Les chemins de mon enfer étaient pavés de bonnes intentions ; mais, je me suis noyé dans toutes les difficultés que j'affrontais et je n'ai pas réussi à gérer mes bonnes intentions comme il faut.
Je suis en train de corriger. Un jour peut-être....
Quoi qu"il en sera, je te souhaite une bonne nuit. A K. et E. aussi
mercredi 20 août 2014
Je vous souhaite de tout coeur une bonne nuit
Je n'ai pas réussi à te joindre.
Tu n'as pas réussi à me rappeler.
Grosse pensée particulière pour E. J’espère qu’elle s’en tire bien. Je reste cependant inquiet.
J'espère que la manière dont elle s'en tire lui permet, et te permet, de passer une bonne nuit, avec un grand "ouf " de soulagement !
A K aussi qui se souciait manifestement d'elle, la dernière fois où je les ai vu.
Je t"embrasse du plus profond de mon cœur.
Je t'aime, je t'aime, blablabla.
Tu n'as pas réussi à me rappeler.
Grosse pensée particulière pour E. J’espère qu’elle s’en tire bien. Je reste cependant inquiet.
J'espère que la manière dont elle s'en tire lui permet, et te permet, de passer une bonne nuit, avec un grand "ouf " de soulagement !
A K aussi qui se souciait manifestement d'elle, la dernière fois où je les ai vu.
Je t"embrasse du plus profond de mon cœur.
Je t'aime, je t'aime, blablabla.
mardi 19 août 2014
Je me dis que j’ai cassé ton amour en…
Aujourd’hui, je me dis que j’ai cassé ton amour en gérant à l’envers mes relations avec mes enfants et avec leur mère, et faisant du surplace là, à pleins, plein d’endroits où j’aurais dû avancer pour ne pas désespérer les perspectives que tu accordais à notre relation, peut-être aussi ta croyance en la puissance de mon amour, peut-être même ta croyance en ma santé mentale.
Je te demande pardon pour tout cela.
Maintenant, j’avance à petit pas, autrement que je ne l’ai fait, sur toutes ces choses. C’est douloureux, et difficile tellement…
Mais je vais réussir à
remettre d’aplomb tout ce qui dans ma vie est de traviole !
Et j’espère en la renaissance/résurrection/reconstruction de ton amour pour moi, en la renaissance/résurrection/reconstruction de tes croyances et de tes envies en « nous ».
Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime.
J'ai peut-être déjà écrit plus ou moins toutes ces choses là. Mais je voulais aujourd'hui te le réécrire comme cela. Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime. Tout de moi me manque terriblement.
PS Dans le post précédent, ce que j'avais voulu écrire est : "Ce n'est pas que je t’en souhaite de mauvaises, loin de là !!! "
Je te demande pardon pour tout cela.
Maintenant, j’avance à petit pas, autrement que je ne l’ai fait, sur toutes ces choses. C’est douloureux, et difficile tellement…
Mais je vais réussir à
remettre d’aplomb tout ce qui dans ma vie est de traviole !
Et j’espère en la renaissance/résurrection/reconstruction de ton amour pour moi, en la renaissance/résurrection/reconstruction de tes croyances et de tes envies en « nous ».
Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime.
J'ai peut-être déjà écrit plus ou moins toutes ces choses là. Mais je voulais aujourd'hui te le réécrire comme cela. Je t’aime. Je t’aime. Je t’aime. Tout de moi me manque terriblement.
PS Dans le post précédent, ce que j'avais voulu écrire est : "Ce n'est pas que je t’en souhaite de mauvaises, loin de là !!! "
dimanche 17 août 2014
J’aimerais pouvoir te souhaiter...
J’aimerais pouvoir te souhaiter de bonnes vacances... mais je n’y arrive pas.
Ce n'est pas que je t’en souhaite de mauvaises, loin de là !!!
Mais je n’arrive pas à te souhaiter de bonnes vacances.
Ne pas être là-bas avec toi, avec vous ; cela me hante trop.
Ne pas vivre là-bas avec toi toutes les belles choses que nous avons vécues ensemble les étés précédents, nos moments d’amour, ceux des journées, ceux des nuits aussi. Cela me hante trop. Cela me hante trop pour réussir à te souhaiter de bonnes vacances, sans moi.
Si quelque chose en toi bougeait, et que tu penses à moi, et que tu penses à "nous', et que ces choses-là en toi de donner l’envie de me parler, je t’en prie, ne réprime pas cette envie ! Pour quelque raison que ce soit. Laisse là s’exprimer, donne lui tous les espaces qu’il lui faudrait, et appelle-moi, tout simplement.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime.
Ce n'est pas que je t’en souhaite de mauvaises, loin de là !!!
Mais je n’arrive pas à te souhaiter de bonnes vacances.
Ne pas être là-bas avec toi, avec vous ; cela me hante trop.
Ne pas vivre là-bas avec toi toutes les belles choses que nous avons vécues ensemble les étés précédents, nos moments d’amour, ceux des journées, ceux des nuits aussi. Cela me hante trop. Cela me hante trop pour réussir à te souhaiter de bonnes vacances, sans moi.
Si quelque chose en toi bougeait, et que tu penses à moi, et que tu penses à "nous', et que ces choses-là en toi de donner l’envie de me parler, je t’en prie, ne réprime pas cette envie ! Pour quelque raison que ce soit. Laisse là s’exprimer, donne lui tous les espaces qu’il lui faudrait, et appelle-moi, tout simplement.
Je t’aime, je t’aime, je t’aime.
samedi 16 août 2014
vendredi 15 août 2014
A l'instant, reportage camping en bungalow...
Tristesse. Tristesse immense. Je t'aime, je t'aime, je t'aime !
J'aime aussi tes enfants. Bien entendu, je ne suis pas leur père ! Mais, se projeter comme un beau-père, n'est-ce pas un peu comme une "forme d'adoption au fond de son cœur". Pas dans tous les actes bien entendus que j’imagine que l'on est amené à faire en tant que père adoptif. Car, bien sur en tant que 'beau-père', il n'est pas question de prétendre se substituer à qui que se soit, de quelque manière que ce soit ! Mais au fond de mon cœur, tes enfant comptent parmi les quatre enfants (éventuellement déjà adultes...) que j'aime le plus au monde
Je donnerai tout de moi pour tenter de reconquérir ton amour. Je ferais tout pour corriger les erreurs qui sont en moi pour tenter de reconquérir ton amour..Comme un alcoolique arrête de boire par amour. Comme un drogué arrête de se droguer par amour. Comme, comme, comme...... comme je t'aime.
J'aime aussi tes enfants. Bien entendu, je ne suis pas leur père ! Mais, se projeter comme un beau-père, n'est-ce pas un peu comme une "forme d'adoption au fond de son cœur". Pas dans tous les actes bien entendus que j’imagine que l'on est amené à faire en tant que père adoptif. Car, bien sur en tant que 'beau-père', il n'est pas question de prétendre se substituer à qui que se soit, de quelque manière que ce soit ! Mais au fond de mon cœur, tes enfant comptent parmi les quatre enfants (éventuellement déjà adultes...) que j'aime le plus au monde
Je donnerai tout de moi pour tenter de reconquérir ton amour. Je ferais tout pour corriger les erreurs qui sont en moi pour tenter de reconquérir ton amour..Comme un alcoolique arrête de boire par amour. Comme un drogué arrête de se droguer par amour. Comme, comme, comme...... comme je t'aime.
Merci de m'avoir reçu hier
Tu avais raison : ma mère croyait que je ne viendrais pas aujourd’hui.
Crois moi, je t’en prie : hier matin, non, je n’ai pas appelé volontairement juste avant que tu arrives ; pour que ma mère te parle de ce coup de fil. La vérité, c’est que j’ai volontairement appelé avant que tu arrives, pour ne pas appeler quand tu serais là.
Après mon re-réveil, ce que je me suis dépêché de faire, c’est de publier le post que j’ai publié sur le rêve que j’avais fait cette nuit-là. J’ai appelé dans a foulée du post, et c’est vrai que mon état terrible.
Je n’ai démarré mon traitement qu’après (en revanche quand je suis passé chez toi, là j’étais bien gavé de Seresta !).
Cela m’a fait du bien de te voir. Je me suis senti apaiser quand je suis arrivé à Neuville. Effet aussi du Seresta ? Effet du Seresta et de t’avoir vu ? Je ne saurais dire.
Je compatis pour E. ; et si, notamment aujourd’hui ou demain ou n’importe quand, tu as besoin de quoi que ce soit par rapport à cela, n’hésites pas à faire appel à moi. Je ne te dis pas cela en guise de « monnaie d’échange vis à vis d’une attente de retour de ton amour ». Non, ce n’est pas cela, cela n’est pas le sujet. Simplement, j’aime E. , j’aime cette gosse , j’aime ta gosse. C’est tout, et si je peux faire quoi que ce soit pour elle, je serais heureux de le faire.
Hier, j’ai crois que j’ai un peu mieux pris la mesure de ce que tu subis à travers mes messages. A travers eux, ma volonté n’a jamais été de te faire du mal ; mais de te donner à voir le mal que je ressens dans l’espoir que tu trouves le moyen d’apaiser, d’une manière ou d’une autre, mes douleurs. C’est sans doute idiot, et comme tu dis, ça tourne en rond.
Notre échange m’a fait du bien. J’ai l’impression de mieux voir mes erreurs selon ta perception. De mieux comprendre en quoi je me suis planté. De ne pas avoir perçu les choses qui étaient les prioritaires, les primordiales pour toi. De ne pas avoir réussi avant ta décision de rupture à te faire sentir à quel point mon amour pour toi était immense (et l’es toujours !). De ne pas avoir réussi avant ta décision de rupture à quel point à force de te faire trébucher dans des émotions, et collectionner des cicatrices, ton amour pour moi s’effriter.
Je te l’ai dit et le redis : l’essentiel de ce qui m’a porté depuis juin 2012, et plus encore depuis février 2013 est la conjugaison de la manière conne dont j’ai cherché à préserver mes enfants et de mon ambition de vie commune avec toi, et à travers toi, avec K. et E. Mais j’ai tout fait à l’envers ; j’ai tout raté sur ces sujets jusqu’à présent, et je me suis épuisé (au sens propre dans des combats perdus d’avance).
J’ai perdu ton amour. J’ai laminé ta confiance en moi. J’ai ravagé ta croyance en « nous ».
Tu ne ressens pas aujourd’hui ton amour en moi comme pouvant renaitre de ces cendres, ta confiance en moi comme pouvant se reconstruire, ta croyance en « nous » comme pouvant éclore à nouveau.
Je te l’ai dit et je te le redis, moi j’y crois encore. J’y crois encore parce qu’au plus profond de mon être dans ce « nous » je vois d’immenses possibilités de bonheur, pour « nous » deux, pour toi, pour moi, aussi pour K. et E., pour « nous quatre ».
Mais je ne peux pas t’imposer cette vision, aussi noble, aussi pur, aussi belle, aussi juste soit-elle, parce cette vision ne fait le poids face au besoin de ta liberté de choix, face à tes ressentis actuels, aussi erronés que je puisse ressentir ton choix, aussi tristes que je puisse considérer tes ressentis actuels.
Tu m’as dit juste avant que je parte hier au soir que tu pensais que je me serais « recaser », ou un truc un peu comme ça, avant que, c’est ce que j’ai eu l’impression d’entendre dire à travers d’autres mots, « tu ne revois dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur »
Je me dis qu’il y a deux manières possibles de lire cela. Soit que tu me disais que tu ne reverras JAMAIS dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur. Soit que tu me disais que tu ne pensais pas que mon amour pour toi soit assez fort pour attendre assez longtemps cet éventuel jour futur où tu pourrais revoir dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur.
Je veux croire que c’est cette seconde chose là que tu voulais dire. Et je peux t’assurer que mon amour pour toi et mon aspiration à toutes les choses dont nous avons pu rêver ensemble (comme les dissocier !) est assez immense pour me donner la force de guérir, et de faire ce qu’il faut pour rendre cela possible, et de tenter doucement, aussi longtemps qu’il le faudra de regagner ton amour.
Je voudrais pouvoir continuer de dire à K. et E. combien je les aime, et combien ils me manquent. J’aimerais aussi pouvoir leur dire que je ne te considère pas coupable de ne plus m’aimer aujourd’hui. Que j’ai ma part, une immense part de responsabilité dans cela à travers tout ce que je n’ai pas su faire, tout ce que je n’ai pas su voir, tout ce que je n’ai pas su comprendre.
Vous allez partir en vacances demain. J’aimerais partir avec toi avec vous là-bas. Comme dans mon rêve, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit de n’importe quels jours, si un « miracle » changerait tes ressentis, te faisait avoir à nouveau envie de moi à tes cotés là-bas, n’hésites pas à m’appeler. J’accourrais aussitôt.
Je t’aimer Je t’embrasse de tout mon être.
Crois moi, je t’en prie : hier matin, non, je n’ai pas appelé volontairement juste avant que tu arrives ; pour que ma mère te parle de ce coup de fil. La vérité, c’est que j’ai volontairement appelé avant que tu arrives, pour ne pas appeler quand tu serais là.
Après mon re-réveil, ce que je me suis dépêché de faire, c’est de publier le post que j’ai publié sur le rêve que j’avais fait cette nuit-là. J’ai appelé dans a foulée du post, et c’est vrai que mon état terrible.
Je n’ai démarré mon traitement qu’après (en revanche quand je suis passé chez toi, là j’étais bien gavé de Seresta !).
Cela m’a fait du bien de te voir. Je me suis senti apaiser quand je suis arrivé à Neuville. Effet aussi du Seresta ? Effet du Seresta et de t’avoir vu ? Je ne saurais dire.
Je compatis pour E. ; et si, notamment aujourd’hui ou demain ou n’importe quand, tu as besoin de quoi que ce soit par rapport à cela, n’hésites pas à faire appel à moi. Je ne te dis pas cela en guise de « monnaie d’échange vis à vis d’une attente de retour de ton amour ». Non, ce n’est pas cela, cela n’est pas le sujet. Simplement, j’aime E. , j’aime cette gosse , j’aime ta gosse. C’est tout, et si je peux faire quoi que ce soit pour elle, je serais heureux de le faire.
Hier, j’ai crois que j’ai un peu mieux pris la mesure de ce que tu subis à travers mes messages. A travers eux, ma volonté n’a jamais été de te faire du mal ; mais de te donner à voir le mal que je ressens dans l’espoir que tu trouves le moyen d’apaiser, d’une manière ou d’une autre, mes douleurs. C’est sans doute idiot, et comme tu dis, ça tourne en rond.
Notre échange m’a fait du bien. J’ai l’impression de mieux voir mes erreurs selon ta perception. De mieux comprendre en quoi je me suis planté. De ne pas avoir perçu les choses qui étaient les prioritaires, les primordiales pour toi. De ne pas avoir réussi avant ta décision de rupture à te faire sentir à quel point mon amour pour toi était immense (et l’es toujours !). De ne pas avoir réussi avant ta décision de rupture à quel point à force de te faire trébucher dans des émotions, et collectionner des cicatrices, ton amour pour moi s’effriter.
Je te l’ai dit et le redis : l’essentiel de ce qui m’a porté depuis juin 2012, et plus encore depuis février 2013 est la conjugaison de la manière conne dont j’ai cherché à préserver mes enfants et de mon ambition de vie commune avec toi, et à travers toi, avec K. et E. Mais j’ai tout fait à l’envers ; j’ai tout raté sur ces sujets jusqu’à présent, et je me suis épuisé (au sens propre dans des combats perdus d’avance).
J’ai perdu ton amour. J’ai laminé ta confiance en moi. J’ai ravagé ta croyance en « nous ».
Tu ne ressens pas aujourd’hui ton amour en moi comme pouvant renaitre de ces cendres, ta confiance en moi comme pouvant se reconstruire, ta croyance en « nous » comme pouvant éclore à nouveau.
Je te l’ai dit et je te le redis, moi j’y crois encore. J’y crois encore parce qu’au plus profond de mon être dans ce « nous » je vois d’immenses possibilités de bonheur, pour « nous » deux, pour toi, pour moi, aussi pour K. et E., pour « nous quatre ».
Mais je ne peux pas t’imposer cette vision, aussi noble, aussi pur, aussi belle, aussi juste soit-elle, parce cette vision ne fait le poids face au besoin de ta liberté de choix, face à tes ressentis actuels, aussi erronés que je puisse ressentir ton choix, aussi tristes que je puisse considérer tes ressentis actuels.
Tu m’as dit juste avant que je parte hier au soir que tu pensais que je me serais « recaser », ou un truc un peu comme ça, avant que, c’est ce que j’ai eu l’impression d’entendre dire à travers d’autres mots, « tu ne revois dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur »
Je me dis qu’il y a deux manières possibles de lire cela. Soit que tu me disais que tu ne reverras JAMAIS dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur. Soit que tu me disais que tu ne pensais pas que mon amour pour toi soit assez fort pour attendre assez longtemps cet éventuel jour futur où tu pourrais revoir dans notre « nous » d’immenses possibilités de bonheur.
Je veux croire que c’est cette seconde chose là que tu voulais dire. Et je peux t’assurer que mon amour pour toi et mon aspiration à toutes les choses dont nous avons pu rêver ensemble (comme les dissocier !) est assez immense pour me donner la force de guérir, et de faire ce qu’il faut pour rendre cela possible, et de tenter doucement, aussi longtemps qu’il le faudra de regagner ton amour.
Je voudrais pouvoir continuer de dire à K. et E. combien je les aime, et combien ils me manquent. J’aimerais aussi pouvoir leur dire que je ne te considère pas coupable de ne plus m’aimer aujourd’hui. Que j’ai ma part, une immense part de responsabilité dans cela à travers tout ce que je n’ai pas su faire, tout ce que je n’ai pas su voir, tout ce que je n’ai pas su comprendre.
Vous allez partir en vacances demain. J’aimerais partir avec toi avec vous là-bas. Comme dans mon rêve, à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit de n’importe quels jours, si un « miracle » changerait tes ressentis, te faisait avoir à nouveau envie de moi à tes cotés là-bas, n’hésites pas à m’appeler. J’accourrais aussitôt.
Je t’aimer Je t’embrasse de tout mon être.
jeudi 14 août 2014
Cette nuit, j’ai rêvé…
Cette nuit j’ai rêvé. Un SMS de toi, avec juste quelques mots : « Au fond de mon cœur… j’ai retrouvé…. Je t’aime, p’tit con ! Viens nous rejoindre. »
J’ai sauté dans la voiture et je suis parti vous rejoindre. C’était merveilleux. Retrouvailles merveilleuses.
Toi et moi nous embrassant à nouveau. K. et E. se serrant contre nous, autour de nous, nous étreignant de leurs bras, fort, fort, fort, fort.
Si seulement….
J’ai sauté dans la voiture et je suis parti vous rejoindre. C’était merveilleux. Retrouvailles merveilleuses.
Toi et moi nous embrassant à nouveau. K. et E. se serrant contre nous, autour de nous, nous étreignant de leurs bras, fort, fort, fort, fort.
Si seulement….
mardi 12 août 2014
Seroplex et Seresta, mes nouveaux copains !
Demain, demain, je fais faire connaissance avec deux nouveaux copains. A ma droite, M. Seroplex, à ma gauche, M. Seresta
Qu’est-ce qui fait « à partir de demain » ? Simple : quand je suis sorti du toubib, la pharmacie
était fermée...
Avec Seresta, cela ne devrait être qu'une relation de 2 / 3
mois, le temps qu'avec Seroplex, je tisse des liens suffisamment profonds.
Seroplex, m'a dit l'entremetteur, le tôlier de ma santé, faut
en revanche, a priori, pas le plaquer avant six bons mois. Sinon.... Sinon ? L'enfoiré aurait tendance à reprendre tout ce qu'il a apporté !
Deux copains un tant soit peu collants, en somme ! Mais…
Mais ;
parait qu'ils aident bien quand on fait des fixettes qui ont virées maladives.
Par exemple… quand on pas su gérer des choses, faute d'avoir réussi à y mettre
"du sens". Et que cela a viré « un peu ? » en effets
de sidération et / ou d'obsession associés. Les deux peuvent aller ensembles,
lol. !
Je parierai, chemise, caleçon et chaussettes, que tu confirmes le côté obsessionnel ! Quant à la sidération,
cela se voit sans doute moins par Internet....
« Merveille... », qu'il dit le monsieur taulier de ma santé, « de
la recapture de la sérotonine», et de la réduction associée des charges émotionnelles
négatives !
Youppie ! Pourvu qu’il n’est pas tort, ce taulier de ma santé… :-( Peut-être qu'un jour, je pourrais te dire ce qu'il en aura été....
J'espère en tous cas qu'à eux deux, Seroplex et Seresta m'aideront
mieux que tes silences, tes non-dits, et tes non réponses à gérer "les
choses", au mieux.
De toutes manières, vu comment je me sens intérieurement, difficile de faire pire, il me
semble !
Je ne t'en veux...« pas trop » !
Car, tu vois, j’'arrive encore à faire une certaine part des
choses : je sais bien (je te l'ai déjà écrit !) que
tu n'es responsable que de tes silences, de tes non-dits, et de tes non réponses.
Pas de leurs effets sur moi.
Cependant....
d'un autre côté, tu n'es pas - depuis des semaines -
sans voir à travers mes messages et mes posts, les effets de tes silences, de tes non-dits, et de tes non réponses, sur moi…
Et, sauf erreur de ma part, cela, me semble-t-il, ne t'as pas franchement fait faire… comment
dire… faire autrement. Faire différemment. Pas même après l'épisode SMS de samedi soir !!!!!!!!!! Si tu croyais que je plaisantais dans ce SMS, c'est raté. Cet épisode n'est d'ailleurs pas pour rien dans ma future liaison avec mes nouveaux «amis ».
Évidemment, chacun fait ce qu'il peut ! Moi… c'est clair, je n'ai
pas réussi -je n’arrive pas - à gérer tes silences, tes non-dits, tes non
réponses.
Chacun fait, fait…. ce qu'il peut, peut…
Et ce qu'il
considère le mieux (ou le moins pire – mdr) pour…
Pour soi ? Les autres ? L'autre ? Sa relation
avec soi-même ? Sa relation avec les autres ? Sa relation avec « l'Autre » ? N’hésites pas à
cocher la bonne réponse qui te convient en la circonstance !
As-tu cru – crois-tu encore !!!! - que tes silences, tes non-dits,
tes non réponses faisaient partie (font partie) du mieux que tu pouvais faire pour moi ?
Ou du mieux que tu pouvais faire pour moi, en te préservant un peu toi ?
Aujourd'hui, je ne sais pas. J'en rêve. Ou alors... Pffffffffffffff
En revanche, je ne crois pas qu'après ta décision de
rupture, c'était, et c'est encore, le mieux que tu pouvais, et peut, faire pour
moi !
Peut-être, que du fond de mon gouffre, je me trompe là-dessus -
aussi. Mais, aujourd'hui, je ne le crois pas. Et je ne ressens pas ainsi -même
si je me méfie de ce que je crois aujourd'hui..
Quoiqu'il en soit, de toutes manières, même si je suis ce soir profondément en colère
contre toi…
…à la fois pour tes silences, tes non-dits, tes non réponses
après ta décision de rupture ;
…. et tes non ultimatums, d'avant ta décision de rupture - après
un ultimatum, au moins, on fait ses choix de manière éclairée, et tout à la
fois, on a c'que l'on a voulu, et on a voulu c'que l’on a eu !!!!!
.
Quoiqu'il en soit, et de toutes manières, même si je suis ce soir profondément en colère
contre toi…
Je ne te juge pas. Et je t’aime ! Même si ces facettes de
toi-même ne sont pas celles que j’apprécie le plus en toi, je t’aime, et j’aimerai
tant de choses avec toi.
lundi 11 août 2014
Bonne nuit à toi !
Sincèrement !
Peut-être t'es tu déjà assoupi sur ton canapé. Ou.... je sais pas (et cette pensée à elle seule, alors qu'on s'appelait pratiquement tous les soirs, et que je savais pratiquement tous les soirs .... cette pensée à elle seule m'est difficile).
Peut-être ton bras ne t'a-t-il pas laissé de répit. Ou.... je sais pas (et cette pensée à elle seule, alors qu'on s'appelait pratiquement tous les soirs, et que je savais pratiquement tous les soirs .... cette pensée à elle seule m'est difficile).
Nos coups de fils, nos "SMS bonjour matin", ne te manquent pas du tout à toi ?
Quoiqu'il en soit, puisses-tu faire de beaux rêves ! Tout en couleurs... Et pour une fois, t'en souvenir !
Et si en plus, "je", et un "nous" renouvelé, tel que je l'aspire, avec une maison du bonheur, avec toi, avec moi, avec tes enfants, étaient dedans, ce serait parfait ! Pour le moins.... à mes yeux, à mon cœur !
Bonne nuit à toi, sincèrement.Je t'aime, encore, encore, encore....
Peut-être t'es tu déjà assoupi sur ton canapé. Ou.... je sais pas (et cette pensée à elle seule, alors qu'on s'appelait pratiquement tous les soirs, et que je savais pratiquement tous les soirs .... cette pensée à elle seule m'est difficile).
Peut-être ton bras ne t'a-t-il pas laissé de répit. Ou.... je sais pas (et cette pensée à elle seule, alors qu'on s'appelait pratiquement tous les soirs, et que je savais pratiquement tous les soirs .... cette pensée à elle seule m'est difficile).
Nos coups de fils, nos "SMS bonjour matin", ne te manquent pas du tout à toi ?
Quoiqu'il en soit, puisses-tu faire de beaux rêves ! Tout en couleurs... Et pour une fois, t'en souvenir !
Et si en plus, "je", et un "nous" renouvelé, tel que je l'aspire, avec une maison du bonheur, avec toi, avec moi, avec tes enfants, étaient dedans, ce serait parfait ! Pour le moins.... à mes yeux, à mon cœur !
Bonne nuit à toi, sincèrement.Je t'aime, encore, encore, encore....
Ton amour me manque.... Pfffffff
Ton amour me manque, me manque, me manque... Pfff, c'est terrible pour moi combien et comment ton amour me manque !
C'est terrible pour moi combien et comment tout de toi me manque ! C'est terrible pour moi combien et comment tout de "nous" me manque !
Amputé de mes rêves, amputé de mes aspirations, amputé de mes croyances, amputé de mes projets, (que je croyais être nos projets), amputé de ton image, de tes sourires, de ta voix, de ton contact, de tes regards, de tes baisers, de la chaleur de ton corps, de tes caresses, de ton parfum, de tes odeurs, de tes "je t'aime", de nos étreintes, de tes envies de moi, de tes envies de "nous".....
....amputé d'un grand bout de moi-même ! amputé d'un grand bout des sens - du sens ! - que je donnais à ma vie présente, et à venir !!
....amputé de ce que je croyais t'apporter !
....amputé de ce que j'espérais pouvoir t'apporter !
....amputé de ce que je rêvais de "nous" apporter !
....amputé aussi d'un gros bout de ce que je partageais et rêver de partager avec K. et E, directement avec eux, avec eux à travers toi, avec eux à travers "nous" !
Pfff, c'est terrible pour moi combien et comment ton amour me manque ! Combien et comment tout de toi me manque ! Combien et comment tout de "nous" me manque !
Je ne sais pas si j'arriverai un jour à m'en remettre. Je crois que je ne m'en remettrai jamais totalement.
Il ne me reste que le reste de moi-même.
Et mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs; mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs .....
Et mon incapacité, vu tes silences, à savoir vraiment, ce qui de mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs; mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs, et du reste de moi-même, a engendré ton désamour.
Je me sens déchiré, étripé, écrabouillé.
Pfff !!! Pour quoi faire je t'écris tout ça ????!!!! Pour quoi faire j'ai besoin que tu saches cela ????!!!! Savoir combien on est aimé de quelqu'un peut-il contribué à faire renaître l'Amour que l'on porte à ce quelqu'un ? J'sais pas, sais pas, sais pas.
C'est terrible pour moi combien et comment tout de toi me manque ! C'est terrible pour moi combien et comment tout de "nous" me manque !
Amputé de mes rêves, amputé de mes aspirations, amputé de mes croyances, amputé de mes projets, (que je croyais être nos projets), amputé de ton image, de tes sourires, de ta voix, de ton contact, de tes regards, de tes baisers, de la chaleur de ton corps, de tes caresses, de ton parfum, de tes odeurs, de tes "je t'aime", de nos étreintes, de tes envies de moi, de tes envies de "nous".....
....amputé d'un grand bout de moi-même ! amputé d'un grand bout des sens - du sens ! - que je donnais à ma vie présente, et à venir !!
....amputé de ce que je croyais t'apporter !
....amputé de ce que j'espérais pouvoir t'apporter !
....amputé de ce que je rêvais de "nous" apporter !
....amputé aussi d'un gros bout de ce que je partageais et rêver de partager avec K. et E, directement avec eux, avec eux à travers toi, avec eux à travers "nous" !
Pfff, c'est terrible pour moi combien et comment ton amour me manque ! Combien et comment tout de toi me manque ! Combien et comment tout de "nous" me manque !
Je ne sais pas si j'arriverai un jour à m'en remettre. Je crois que je ne m'en remettrai jamais totalement.
Il ne me reste que le reste de moi-même.
Et mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs; mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs .....
Et mon incapacité, vu tes silences, à savoir vraiment, ce qui de mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs; mes erreurs, mes erreurs, mes erreurs, et du reste de moi-même, a engendré ton désamour.
Je me sens déchiré, étripé, écrabouillé.
Pfff !!! Pour quoi faire je t'écris tout ça ????!!!! Pour quoi faire j'ai besoin que tu saches cela ????!!!! Savoir combien on est aimé de quelqu'un peut-il contribué à faire renaître l'Amour que l'on porte à ce quelqu'un ? J'sais pas, sais pas, sais pas.
Le RDV médecin, ce sera....
Le RDV médecin, ce ne sera finalement que demain soir. Il ne peut finalement pas me recevoir ce soir, comme c'était prévu ce matin. Je tiendrais bien jusqu'à demain !
dimanche 10 août 2014
Bonne nuit
Dans ma tête, bonne nuit à K. et E. que tu as du laisser chez tes parents. Je leur souhaite des rêves toutes en couleur comme je pensais pouvoir le faire tous les soirs en les serrant dans mes bras à partir de mercredi pour un peu plus de deux semaines.... en attendant de pouvoir le faire six soirs par semaine à partir de l'année prochaine.
Ironie : c'est finalement dés cette année que je basculerai en télétravail !
Bonne nuit à toi aussi, de tout mon coeur, de toutes mes forces.
J'appréhende samedi, quand vous partirez tous les trois en vacances dans le Jura, dans cet endroit....sans moi. Je serrais à ce moment là à N.
J'appréhende ce samedi. Putain, comme j'appréhende ce samedi-là !!
Ironie : c'est finalement dés cette année que je basculerai en télétravail !
Bonne nuit à toi aussi, de tout mon coeur, de toutes mes forces.
J'appréhende samedi, quand vous partirez tous les trois en vacances dans le Jura, dans cet endroit....sans moi. Je serrais à ce moment là à N.
J'appréhende ce samedi. Putain, comme j'appréhende ce samedi-là !!
Bon appétit
12h19, je vous souhaite en pensées bon appétit à toi, K. et E.
Et j'espère que ton bras va de mieux en mieux.
Et je souhaite que ta santé aille de mieux en mieux.
Cela ne se voit pas dans mes messages et mes posts ; mais je pense à cela et je "prie" pour cela tous les jours.
Et j'espère que ton bras va de mieux en mieux.
Et je souhaite que ta santé aille de mieux en mieux.
Cela ne se voit pas dans mes messages et mes posts ; mais je pense à cela et je "prie" pour cela tous les jours.
samedi 9 août 2014
vendredi 8 août 2014
Je t'aime et... l'indigence de tes mots
Je t'aime. Tu as décidé de rompre. Tu as rompu. Je ne m'y attendais pas. Perçois-tu à quel point je ne m'y attendais pas ? !!!
Je me sens dévasté par cette rupture Je suis dévasté par cette rupture.
Bien entendu, tu n'es responsable que de la rupture, pas de la manière dont elle me dévaste !
Je me sens dévasté par la manière dont tu as rompu, par l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture Je suis dévasté par la manière dont tu as rompu, par l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture.
Bien entendu, tu n'es responsable que de la rupture, que de la manière dont tu as rompu, que de l'économie des mots que tu as posés sur cette rupture, pas de la manière dont l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture me dévaste !
Mais qu'est-ce que cela enlève à l'indigence de tes mots ? Qu'est-ce que cela change à ce que je ressens ?
Qu'est-ce que cela enlève au fait que sachant cela, tu me laisses ainsi, en perdition au milieu de la manière dont je ressens le fait que tu as rompu, en perdition au milieu de la manière dont je ressens l'indigence de tes mots ?
Qu'est-ce que cela enlève au fait que sachant cela, tu te dis que je te harcèles, en ignorant, ou en feignant d'ignorer, la manière dont l'indigence de tes mots me harcèle, me coupe, me déchire, me gangrène ?
Qu'est-ce qui fait que tu fais cela ? Qu'est-ce qui fait que tu arrives à faire cela ? Suis-je à ce point là devenu, un rien, un même pas bon à qui écrire, un même pas bon à qui parler !!!
Je me sens blessé, blessé, terriblement blessé par ton mépris de ce que je ressens !
Je me sens dévasté par cette rupture Je suis dévasté par cette rupture.
Bien entendu, tu n'es responsable que de la rupture, pas de la manière dont elle me dévaste !
Je me sens dévasté par la manière dont tu as rompu, par l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture Je suis dévasté par la manière dont tu as rompu, par l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture.
Bien entendu, tu n'es responsable que de la rupture, que de la manière dont tu as rompu, que de l'économie des mots que tu as posés sur cette rupture, pas de la manière dont l'indigence des mots que tu as posés sur cette rupture me dévaste !
Mais qu'est-ce que cela enlève à l'indigence de tes mots ? Qu'est-ce que cela change à ce que je ressens ?
Qu'est-ce que cela enlève au fait que sachant cela, tu me laisses ainsi, en perdition au milieu de la manière dont je ressens le fait que tu as rompu, en perdition au milieu de la manière dont je ressens l'indigence de tes mots ?
Qu'est-ce que cela enlève au fait que sachant cela, tu te dis que je te harcèles, en ignorant, ou en feignant d'ignorer, la manière dont l'indigence de tes mots me harcèle, me coupe, me déchire, me gangrène ?
Qu'est-ce qui fait que tu fais cela ? Qu'est-ce qui fait que tu arrives à faire cela ? Suis-je à ce point là devenu, un rien, un même pas bon à qui écrire, un même pas bon à qui parler !!!
Je me sens blessé, blessé, terriblement blessé par ton mépris de ce que je ressens !
lundi 4 août 2014
Quoi qu'il en soit, je te demanderai... quoi qu'il en soit, je te proposerai
Quoi qu'il en soit d'aujourd'hui...
quoi qu'il en soit de tes silences et de tes non-dits qui me vrillent l'esprit....
en novembre prochain, j'habiterai en Me...
.... je met de l'ordre dans ma vie....
... et je ferais tout ce qu'il faut pour te redonner confiance en moi ...
... et je ferais tout ce que je peux pour que tu crois de nouveau en moi, que tu crois de nouveau en "nous"...
....et je vais me refaire "une beauté", ma paupière, mes dents ...
Je veux enfin t’apporter tout ce que je n’ai pas su t’apporter ;
Je veux enfin te donner tout ce que je n’ai pas su te donner.
Non, je ne me plierais pas à tes quatre volontés ; ce n’est pas de cela dont il s’agit ! Je serais simplement moi, celui que tu as aimé, et que je veux croire que tu peux aimer encore, aimé à nouveau, débarrassé de tout ce qui a tué ton amour.
J'ai envie de refaire l'amour avec toi, débarrassé de mes fatigues, de mes tracas, de mes soucis d'hier. Refaire l'amour avec toi, autrement qu'à la "pépère".
Et je te demanderai, dés que mon divorce sera prononcé, a priori quelque part en 2015, si tu veux bien m'épouser ! Bien sur, tu ne sera pas obligée !!!
Et je te proposerai (parmi des tas d'autres choses !) de tenter de faire un nouvel enfant avec moi. Qu'importe que je sois en "border-Line" d'age, si ton amour pour moi renait ! Bien sur, tu ne sera pas obligée. Et je pourrai comprendre que tu refuses.
Cet enfant de nous, je le rêve, comme un mélange de toi et de moi. Je le vois, je l'imagine, avec tes cheveux, avec ta peau, avec ton sourire, avec des yeux bleus, que ce soit comme les tiens, ou comme les miens. Garçon ou fille, je ne sais pas. Garçon ou fille, je m'en fous ! Juste un bébé de toi et de moi, un bébé de nous; à faire devenir grand, au coté de K. au coté de E., avec au loin, en toile de fond, S. et T..
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.... !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je te demanderai cela.
Je te proposerai cela.
Tu ne seras pas obligée, tu ne seras obligée de rien. Mais; tu n'échappera pas à cette demande ! Tu n'échappera pas non plus à cette proposition ! Je ne veux plus étouffer, différer, l'expression de mes envies pour "éviter que" !
Bien entendu, tu feras comme tu voudras. Bien sur, tu feras au mieux de ce que tu ressens être le mieux, pour toi.
Moi ? Moi, si tu acceptes, je serais heureux comme je ne l'ai jamais été ! Moi, moi, si tu refuses ? J'aurais été - enfin ! - au moins une fois depuis que l'on se connait, au bout, au présent, de l'expression de mes envies, et j'aurai été - enfin ! - au moins une fois depuis longtemps, au bout des actes que demandent, au présent, mes envies, mes aspirations, mon être, sans laisser cela supplanté par la pollution des "éviter que", "éviter qu'aujourd'hui...", "éviter que demain...", "éviter qu'après-demain...."
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
PS Cela va de soit ; mais peut-être encore mieux en l'écrivant : ce n'est pas que des mots, ce n'est pas que des mots pour faire "genre", ce n'est pas que des mots pour faire "joli" sur une page Internet.
quoi qu'il en soit de tes silences et de tes non-dits qui me vrillent l'esprit....
en novembre prochain, j'habiterai en Me...
.... je met de l'ordre dans ma vie....
... et je ferais tout ce qu'il faut pour te redonner confiance en moi ...
... et je ferais tout ce que je peux pour que tu crois de nouveau en moi, que tu crois de nouveau en "nous"...
....et je vais me refaire "une beauté", ma paupière, mes dents ...
Je veux enfin t’apporter tout ce que je n’ai pas su t’apporter ;
Je veux enfin te donner tout ce que je n’ai pas su te donner.
Non, je ne me plierais pas à tes quatre volontés ; ce n’est pas de cela dont il s’agit ! Je serais simplement moi, celui que tu as aimé, et que je veux croire que tu peux aimer encore, aimé à nouveau, débarrassé de tout ce qui a tué ton amour.
J'ai envie de refaire l'amour avec toi, débarrassé de mes fatigues, de mes tracas, de mes soucis d'hier. Refaire l'amour avec toi, autrement qu'à la "pépère".
Et je te demanderai, dés que mon divorce sera prononcé, a priori quelque part en 2015, si tu veux bien m'épouser ! Bien sur, tu ne sera pas obligée !!!
Et je te proposerai (parmi des tas d'autres choses !) de tenter de faire un nouvel enfant avec moi. Qu'importe que je sois en "border-Line" d'age, si ton amour pour moi renait ! Bien sur, tu ne sera pas obligée. Et je pourrai comprendre que tu refuses.
Cet enfant de nous, je le rêve, comme un mélange de toi et de moi. Je le vois, je l'imagine, avec tes cheveux, avec ta peau, avec ton sourire, avec des yeux bleus, que ce soit comme les tiens, ou comme les miens. Garçon ou fille, je ne sais pas. Garçon ou fille, je m'en fous ! Juste un bébé de toi et de moi, un bébé de nous; à faire devenir grand, au coté de K. au coté de E., avec au loin, en toile de fond, S. et T..
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.... !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je te demanderai cela.
Je te proposerai cela.
Tu ne seras pas obligée, tu ne seras obligée de rien. Mais; tu n'échappera pas à cette demande ! Tu n'échappera pas non plus à cette proposition ! Je ne veux plus étouffer, différer, l'expression de mes envies pour "éviter que" !
Bien entendu, tu feras comme tu voudras. Bien sur, tu feras au mieux de ce que tu ressens être le mieux, pour toi.
Moi ? Moi, si tu acceptes, je serais heureux comme je ne l'ai jamais été ! Moi, moi, si tu refuses ? J'aurais été - enfin ! - au moins une fois depuis que l'on se connait, au bout, au présent, de l'expression de mes envies, et j'aurai été - enfin ! - au moins une fois depuis longtemps, au bout des actes que demandent, au présent, mes envies, mes aspirations, mon être, sans laisser cela supplanté par la pollution des "éviter que", "éviter qu'aujourd'hui...", "éviter que demain...", "éviter qu'après-demain...."
Je t'aime, je t'aime, je t'aime.
PS Cela va de soit ; mais peut-être encore mieux en l'écrivant : ce n'est pas que des mots, ce n'est pas que des mots pour faire "genre", ce n'est pas que des mots pour faire "joli" sur une page Internet.
dimanche 3 août 2014
James Blunt - Goodbye My Lover
Quel texte magnifique !
Il parait que, parfois, l'on ne mesure vraiment la valeur que de ce que l'on perd.
Si seulement je pouvais ne plus t'aimer ! Peut-être alors mesurerais-tu la valeur de mon amour.
Il parait que, parfois, l'on ne mesure vraiment la valeur que de ce que l'on perd.
Si seulement je pouvais ne plus t'aimer ! Peut-être alors mesurerais-tu la valeur de mon amour.
Je vous souhaite une bonne nuit
Je vous souhaite à toi, K. et E. une bonne nuit avec des rêves tout en couleur.
Je me retiens de ne pas envoyer à K. un SMS pour lui faire part de ce souhait ; c'est vrai qu'avant que tu décides de rompre, je ne ressentais pas l'envie pressante de leur faire savoir que je pensais à eux comme cela des fois les soirs.
Je te trouve cruelle avec moi de ne pas répondre à mes interrogations. Mais sans doute ne mesures-tu et ne ressens-tu pas cette cruauté.
Bonne nuit quant même ! Sincérement.
Je me retiens de ne pas envoyer à K. un SMS pour lui faire part de ce souhait ; c'est vrai qu'avant que tu décides de rompre, je ne ressentais pas l'envie pressante de leur faire savoir que je pensais à eux comme cela des fois les soirs.
Je te trouve cruelle avec moi de ne pas répondre à mes interrogations. Mais sans doute ne mesures-tu et ne ressens-tu pas cette cruauté.
Bonne nuit quant même ! Sincérement.
Ce matin, rebelote !
Ce matin, comme hier, comme... je me suis réveillé.... etc.
T'es... T'es ? Comment tu dirais, toi, que tu es ?! Excédée ; peut-être que tu te sens, juste excédée, tout simplement excédée par mes messages, par mes post.
Que je trouves cela triste, si c'est cela, si c'est juste un truc un peu comme cela.
Et si ce n'est pas cela, si ce n'est pas juste un truc un peu comme cela, qu'est qui t'empêche, qu'est-ce qui te retient de me le faire savoir, que ce n'est pas cela, que ce n'est pas juste un truc un peu comme cela ?!
T'es... T'es ? Comment tu dirais, toi, que tu es ?! Excédée ; peut-être que tu te sens, juste excédée, tout simplement excédée par mes messages, par mes post.
Que je trouves cela triste, si c'est cela, si c'est juste un truc un peu comme cela.
Et si ce n'est pas cela, si ce n'est pas juste un truc un peu comme cela, qu'est qui t'empêche, qu'est-ce qui te retient de me le faire savoir, que ce n'est pas cela, que ce n'est pas juste un truc un peu comme cela ?!
samedi 2 août 2014
Comme chaque matin depuis des semaines…
Ce matin, comme chaque matin depuis des semaines, je me suis réveillé en pensant à toi. Depuis des semaines, je me réveille assez régulièrement après avoir rêvé de toi, après avoir rêvé de « nous », tantôt d’un « nous » toujours ensemble, tantôt d’un « nous » de nouveau ensemble.
A ces instants-là de réveil, mon esprit est serein.
Et puis, et puis, la réalité me rejoint. J’attrape mon téléphone à la recherche d’un message de toi, d’un message de toi qui m’annoncerait LA bonne nouvelle, ou d’un message de toi qui m’aiderait à comprendre, d’un message de toi qui m’aiderait à admettre. Et comme chaque matin depuis des semaines, rien.
Dès lors, comme chaque matin depuis des semaines, mes sensations, mes émotions basculent ; c’est reparti pour une journée « tout en gris », une journée où il me faut me battre contre moi-même, centimètre après centimètre, pour avancer.
A ces instants-là de réveil, mon esprit est serein.
Et puis, et puis, la réalité me rejoint. J’attrape mon téléphone à la recherche d’un message de toi, d’un message de toi qui m’annoncerait LA bonne nouvelle, ou d’un message de toi qui m’aiderait à comprendre, d’un message de toi qui m’aiderait à admettre. Et comme chaque matin depuis des semaines, rien.
Dès lors, comme chaque matin depuis des semaines, mes sensations, mes émotions basculent ; c’est reparti pour une journée « tout en gris », une journée où il me faut me battre contre moi-même, centimètre après centimètre, pour avancer.
vendredi 1 août 2014
Dans trois mois....
Courrier de demande de résiliation de bail envoyé au syndic de l'appt d'I.
Courrier de demande officielle de télétravail rédigé, bon à être remis en main propre à la DRH mardi matin qui vient.
Concernant mon divorce, je vais voir pour basculer sur un avocat me... Cela devrait couter moins cher !
Aurais-tu fini par croire que je ne ferais jamais ces choses-là ??!!
J'avais dit que je les ferais. Voilà ; je les fais !
Dans trois mois, je ne passerais plus qu'une nuit sur Paris. Dans trois mois, j'habiterai en me.... Si seulement tu voulais bien que ce soit avec toi !!!! Il me suffirait d'aller bosser à N.... dans la journée.
Courrier de demande officielle de télétravail rédigé, bon à être remis en main propre à la DRH mardi matin qui vient.
Concernant mon divorce, je vais voir pour basculer sur un avocat me... Cela devrait couter moins cher !
Aurais-tu fini par croire que je ne ferais jamais ces choses-là ??!!
J'avais dit que je les ferais. Voilà ; je les fais !
Dans trois mois, je ne passerais plus qu'une nuit sur Paris. Dans trois mois, j'habiterai en me.... Si seulement tu voulais bien que ce soit avec toi !!!! Il me suffirait d'aller bosser à N.... dans la journée.
Pour quoi faire me refuses-tu les mots....
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
J'aimerais être avec toi. J'aimerais être avec toi, et j'étais bien avec toi, K. et E. !
Dieu que j'aurais aimé partir en vacances avec vous. J'en rêvais !!!!!! J'attendais cela avec une énorme impatience de partir en vacances avec toi.... et le cœur joyeux que cela soit aussi avec tes enfants.
Je ne comprends toujours pas. Toujours pas.
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu ?????????????????????????????????????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
J'aimerais être avec toi. J'aimerais être avec toi, et j'étais bien avec toi, K. et E. !
Dieu que j'aurais aimé partir en vacances avec vous. J'en rêvais !!!!!! J'attendais cela avec une énorme impatience de partir en vacances avec toi.... et le cœur joyeux que cela soit aussi avec tes enfants.
Je ne comprends toujours pas. Toujours pas.
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu les mots que je te demande ?
Pour quoi faire me refuses-tu ?????????????????????????????????????????????!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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