mardi 27 février 2018

Bonne journée

Bonne journée.

Ne prends pas froid en allant de maison en maison et en travaillant peut-être parfois dans des maisons pas très bien chauffées. Gentilles pensées.

dimanche 25 février 2018

Bon dimanche

Bon dimanche à toi.

J'aimerais être avec toi, tout simplement. Aujourd'hui, demain et après-demain. Et je ressens toujours que nous pourrions être heureux ainsi. Ensemble, au coté l'un de l'autre, l'un avec l'autre, ensemble. Dans la vie de tout les jours, au quotidien, avec tout ce que cela comporte, de petits riens et de choses insignifiantes, aussi de moments forts, et de projets, et de réalisations.

Une vie de couple et "de famille recomposée" parmi des milliers d'autres, une vie de couple et "de famille recomposée" ordinaire ; mais d'une façon qui serait la notre, à nous, de cette façon dont je rêvais quand nous étions ensemble ;  mais sans trop jamais oser t'en parler, occupé que j'étais dans mes conneries, toutes ces conneries qu'il me semblait falloir mener à bien avant de...

J'aimerais toujours être avec toi, et vivre avec toi ce bien-être de vivre ensemble cette vie choisie, de l'habiter, de la défendre, et de la cultiver.

Je sais que je serais heureux ainsi avec toi. Je crois que tu serais heureuse aussi, dans une telle vie jour après jour, avec moi. Mais, toi...

La perception de mon impuissance face à ce "Mais, toi..." résonne en moi de manière terrible. Une fractale de myriades d'échos qui se cognent les uns aux aux autres, s'entrechoquent les uns les autres, se pénètrent, s’additionnent, se multiplient, se répandent, et se répondent, et envahissent l'espace, tout l'espace, sans fin et sans cesse, en dehors de quelques moments de répit.

C'est con, n'est-ce pas, je sais, que je ressente cela, que je ressente tout cela !

C'est con que je crois toujours dur comme fer que ce possible impossible-puisque-tu-ne-le-veux-pas serait du bonheur, pour toi, comme pour moi.

Pas un bonheur de conte de fées, juste un petit bonheur d'amour, de vie de couple et de famille recomposée parmi des milliers d'autres.

C'est très con pour moi que je ressente toujours cela !

Et l'impuissance dont je témoigne depuis maintenant des années à mettre fin en moi à cet amour fou qui m'habite et me hante est elle aussi vraiment très conne pour moi !

Très conne et tout aussi terrible et bruyante en moi que mon impuissance. Elle fait elle aussi un sacré vacarme. Dans tout mon être. Là aussi, myriades d'échos qui s'entrechoquent, s’additionnent, se multiplient, et se répondent sans fin et sans cesse en une assourdissante cacophonie.

Je suis vraiment très con et nul de ne pas réussir à me débarrasser de cela !!!

Bon dimanche à toi, cependant. Je ne peux m'en prendre qu'à moi-même d'en être là, d'en être toujours là, d'en être encore là.



mercredi 21 février 2018

Adieu Xantia...

J'ai enfin réussi à me décider de m'en séparer. Déchirement. Et comme j'ai bien trop tardé, que la date du contrôle technique est dépassée, qu'il aurait fallu changer les sphères et nettoyer le circuit de refroidissement, et changer le câble de frein à main et les flexibles de freins hydrauliques, c'est...direction la casse. Deuxième déchirement. Il y avait quelque chose de toi, quelque chose de cet ancien "nous", pour moi, dans cette voiture ! Tristesse. Aujourd'hui, il ne me reste de toi que des photos, des sms et quelques courriels. L'écharpe que tu m'avais offerte m'a été volée dans un bureau de poste, le peignoir piqué par le fils d'une...., les chaussons morts depuis pas mal de mois, le parfum épuisé depuis des lustres. De E., il me reste les dessins qu'elles m'avait offerts, de K., la chemise.... Tristesse. Peux-tu comprendre ? Tristesse. Tristesse. Tristesse.
Et le hasard (qui, ah, ah, ah, en a toujours des étonnantes en réserve dans sa manche !) a voulu que l'on se croise, toi en voiture, moi en vélo pliant (pratique : il rentre même dans le coffre d'une Clio...) sur le chemin de mon retour, juste après que je l'ai déposée au garage en face du stade.

Cela veut dire quoi, putain, ce genre de putain de hasard ????!!!! Rien ? Rien "surement". Je ne le saurais, sans doute, ou pas, qu'après être passé dans les bras de la "Grande Faucheuse". Le jour viendra, ce jour viendra. Au moins une certitude !

Je me sens toujours t'aimer. Donc je t'aime toujours. Et je n'arrive toujours pas à lutter efficacement contre cela. Cela, n'en déplaise à l'Univers, n'est pas une maladie !!! Cet amour de toi qui dure en moi de manière insensée n'est pas une maladie, ne t'en déplaise. Ce qui est une maladie, c'est ce que cela engendre en moi. Comprends-tu la différence que j'essaie d'exprimer, que je rêve que tu perçoives ?

Tes enfants aussi me manquent toujours. Cela non plus n'est pas une maladie. Juste de l'amour. Différent de celui que je te porte, et de celui que je porte à mes propres enfants ; mais de l'amour. Sincère et grand. Et là aussi, la maladie est ailleurs. Elle est non pas dans le fait que je ressente cet amour ; mais dans les conséquences sur mon être de ressentir cela en prise à un mur sinon d'incompréhension, pour le moins de rejet. Comprends-tu ce que j'essaie, une fois de plus, d'exprimer ? Évidement, une fois de plus, ce sera surement "non".

Il doit y avoir de l'autisme en moi à si souvent échouer à communiquer ce que je tente d'exprimer !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Cette Xantia va partir à la casse. Voilà, c'est fini. Triste petite histoire.

dimanche 18 février 2018

Ce matin, replongée

Ce matin, depuis que je sui réveillé et ensuite levé, replongée dans mon malêtre en compagnie de mes fantômes, des choses qui me hantent et m'obsèdent.

Bonne journée à toi cependant.

samedi 17 février 2018

Instant de répit

Rien de changer dans mes sentiments.
Rien de changer dans mon envie de pouvoir parler avec toi.
Rien de changer dans ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
Rien de changer dans mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.

Et pour autant, là, à l'instant, je n'en souffre pas comme j'en souffre comme un chien, comme en général dans les moments qui m’amènent à écrire ici (et notamment les précédents posts, depuis au moins pffffff....) , ou encore quand je te croise ou t’aperçois, toi, toi ou tes enfants, ou tous les trois ensemble.

A quoi, ça tient ? Je n'en sais rien du tout !!!!

La chimie du cerveau est aussi bizarre / étonnante que la chimie de l'Amour....

Pour autant, je ne veux pas reprendre de médicaments. Trop de fois déjà depuis 4 ans pour que je puisse croire encore que cela puisse m'aider. Cela (Comme l'alccol !) n'a jamais fait "sur ce coup là" que masquer les choses, en étouffer le ressenti de manière artificielle, sans les gommer, puisque après l'arrêt (même effectué dans les "règles de l'art" !), au bout de quelques temps....

Le fait que là, à l'instant, "même pas beaucoup mal" n'enlève rien à
  • mes sentiments.
  • mon envie de pouvoir parler avec toi.
  • ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble et ma désolation face au fait que tu ne perçoives pas comme moi.
  • mes regrets à l'égard de toutes les erreurs que j'ai commises.
Simplement, c'est plus vivable. Et moins destructeur.

Je te souhaite une bonne nuit en priant que tu acceptes de me parler "dans les prochains jours" .

Bonne nuit S.

Et ca recommence ! (MAJ)

Dés le levé, l'objet de mes pensées est devenu toi. C'est reparti pour un tour !

Je m'impose de me dire : "Stop ! Arrêtes ça tout de suite. C'est mort, mort, mort. Elle ne veut plus entendre parler de toi. Elle veut que tu sortes de sa vie. Elle ne te supporte plus. C'est mort, mort, mort. Passes à autre chose. Arrêtes de te détruire pour rien".

Ou juste : "C'est mort, mort, mort"

Puis d'orienter mes pensées ailleurs.

Mais, ça revient, revient, revient.

Je me dis que j'aurais du avant hier tenter de venir vers toi pour te parler.

Cela me vrille vraiment la tête, l'esprit, le cerveau, le cœur - que sais-je encore ! - de ne pas pouvoir t'exprimer "de vive voix" (je veux dire en se voyant) tout ce que je voudrais te dire, tout ce que j'ai en moi à te dire. Et aussi, t'écouter.

Si seulement tu acceptais de m'appeler, de m'envoyer un message, pour que l'on se fixe rendez-vous.

vendredi 16 février 2018

Pratiquement toute la journée

J'ai douloureusement pensé à toi en boucle pratiquement toute la journée.
Oui, c'est triste désolant.

J'imagine que tu ressens que tu ne peux rien pour contrer ce mal sans que cela te coute plus que tu ne veux ne peux m'accorder

Bonne nuit quant même.

C'est assez terrible, tu sais

C'est assez terrible, tu sais, ce que je ressens, ce que j'éprouve.

Toujours en moi cette énorme envie, cette irrépressible envie, de pouvoir parler avec toi de ce que je ressens par rapport à toi, de pouvoir parler avec toi de "moi vis à vis de toi", de pouvoir parler avec toi de "toi vis à vis de moi", et de tout ce qui déconne en moi par rapport à toi.

Si seulement tu m'y autorisais, si seulement tu m'adressais un message, un signe que je comprenne me signifiant que tu acceptes, pour tenter de ?m'aider.

Je fais du surplace. Je n'avance pas. Je me sens prisonnier de je ne sais quoi qui est en moi, si ce n'est de l'amour que je te porte et de cette impossibilité de pouvoir en parlant avec toi en face à face tenter de trouver la clef qui me permettrait de faire le deuil de ton amour.

Tout ce qu'il y a en moi et qui s'attache à toi est devenu à nouveau obsessionnel. Cela surgit à nouveau de manière récurrente, répétitive et involontaire à longueur de journée. Dés que mon esprit est libre de toute attention voulue, sinon forcée, à autre chose. Et à chaque fois, il me faut faire un véritable effort pour repasser à autre chose.

Je crois - à tort ou à raison ; mais je le crois très fort - que pouvoir te parler un peu de tout cela qui me ronge me libérerait un peu (au moins quelques temps !).

Bref. C'est assez terrible, tu sais, ce que je ressens, ce que j'éprouve...

jeudi 15 février 2018

Aujourd'hui, devant l'Inter

Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais, quand je repartais.
Je crois bien que la fois précédente, c'était déjà un jeudi.

Les jeudis !

... l'un des jours où autrefois, tu venais chez ma mère ;
... jour où, à la maison de retraite, il n'y a pas "pazza", ce qui me permet de faire un coucou à ma maman après les courses

Aujourd'hui, devant l'Inter, tu arrivais donc, quand je repartais.
J'ai à peine osé regarder vers toi, le cœur tout de suite à 180, la peur de croiser ton regard et d'y lire de quoi me transpercer encore un plus l'emportant sur l'envie de plonger mon regard dans le tien.

J'aurais aimé que tu viennes vers moi pour me parler. Je l'ai espéré très fort. Tu ne l'as pas fait.
Je n'ai pas osé moi venir vers toi pour te parler, bien que j'en meures d'envie.

Aujourd'hui, devant l'Inter, oui, j'aurais aimé très fort que tu viennes vers moi pour me parler. Sans doute trouves-tu cela très... Disons, "con" pour simplifier

Je t'aime toujours. C'était palpable en moi quand je t'ai brièvement regardée entrer dans l'Inter.

Je t'aime toujours. Je n'arrive pas à tourner la page. Je n'arrive pas à changer de livre. Je ne sais pas si j'y arriverai un jour.

Je t'aime toujours. C'est ainsi. C'est toujours ainsi.

mercredi 14 février 2018

En ce jour, en cette fin de soirée pour moi

Nul droit pour moi de te souhaiter la Saint Valentin.

Je n'avais pas compris en février 2014 que j'étais en train de commencer de te perdre. Je n'ai rien compris en 2014 !

Nul droit pour moi en 14/02/2018 de te souhaiter la Saint Valentin. Je me demande ce que tu vis en ce jour et cette soirée de Saint Valentin 2018. Seule certitude : nul droit pour moi aujourd'hui de te souhaiter la Saint Valentin

Alors juste : je te souhaite une bonne nuit.

J'aimerais t'écrire :  "Bisous. Bonne nuit." ; mais.....

Alors....

Bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit, bonne nuit....


En ce jour, en ce début de soirée







Je n'ai pas bien su te l'exprilmer : tous les vendredis soir où je suis venu chez toi (sauf le dernier), toutes les fois où nous avons fait l'amour ensemble, pour moi, ça a toujours été un air de "ce matin là", un air de fête, avec certes plus ou moins de puissance ; mais toujours avec un minimum de force.


Et toujours cette pensée : pourvu qu'il n'y ait rien que j’aimerais que tu te refuses par orgueil !

dimanche 11 février 2018

Qui avait-il de mal ?


Qui avait-il de mal ? Qui avait-il de mal dans Battle Sheap ???????????? Il n'y avait qu'une belle pulsion, que des beaux sentiments, que de belles choses, dans cette envie de cadeau pour tes enfants. Dans cette envie de cadeau que tu rejettes et piétines. Tristesse, profonde tristesse.

dimanche 4 février 2018

Because the night

There was nothing wrong, nothing unhealthy, you know, in my desire concerning battle sheap.