mercredi 28 décembre 2016

Pas de signe (maj)

SMS, courriel, téléphone, FB, commentaires sur ces pages, je regarde, et rien. Aucun mot, aucun signe de ta part.
Bon / pas bon, pour moi, et le renouveau de ce "nous" auquel j'aspire ?
Que ressens-tu quand tu penses à ma lettre, si tu l'as lu ?
As-tu réussi à déchiffrer mon écriture ; j'écris si mal.
Que ressens-tu quand tu penses à moi ?
Que....

Tu me manques ; c''est immense comme tu me manques ! Je t'aime. Trois petits mots, et puis, et puis... Et puis ? En tous cas, ils n'arrivent pas à s'en aller de mon cœur.

Comment faire ? Que faire ? Comment faire, que faire pour reconquérir ton amour ?

dimanche 25 décembre 2016

Fin de réveillon

Fin de réveillon.
Sympa.
Pensées dirigées vers toi.
Bonne nuit ou bonne fin de nuit, ou, ou, selon.

samedi 24 décembre 2016

Bon réveillon de Nioel

Bon réveillon de Noël....

Je me demande

Ce soir, j'ai été cherché mes enfants à BlD.
Le même horaire de train que...
Ils viennent de filer au lit, moi aussi. Fin de soirée garage, ma mère étant couchée... Bref.

Je me demande :
si tu liras ces lignes, demain, dans les prochains jours, un jour ou jamais
si tu as reçu la lettre que je t'ai envoyé
si tu l'as reçu , si tu l'as lu
si tu l'as lu, ce qu'elle t'as fait
si tu y répondra, d'une manière ou d'une autre
ce que sera le soir du réveillon de la St Sylvestre pour toi
ce que sera le soir du réveillon de la St Sylvestre pour moi
ce que sera 2017, pour toi, pour moi, pour nous

Je me demande tout cela, et j'espère.

Bonne nuit ou bonne journée, S., selon le moment.

jeudi 22 décembre 2016

Postée

C'est fait. Je l'ai écrite hier et postée aujourd'hui cette lettre évoquée ici à de multiples reprises.

J'espère et j'ai peur. Je croise les doigts. Et, quelque part, je prie tout ce qui veut bien se soucier de mes prières !

A-t-on un ange gardien ? Et, mon ange ! Allo... I need you. Please.... :-)

samedi 17 décembre 2016

Pensées

Début des Vacances scolaires. Je me demande avec qui K. et E. démarre leurs Vacances. Avec toi, avec leur père ? Je me dis que c'est avec leur  père. mais je peux me tromper.

Pensées, pensées, pensées....

Hésitations, aussi.

vendredi 16 décembre 2016

jeudi 8 décembre 2016

Manque

Tu me manques.
J'écris cela ici tout en éprouvant la sensation de ne faire là ce qu'il faut pour mettre fin à ce manque, ni "par le haut" (reconquérir ton cœur), ni "par le bas" (me débarrasser de cette sensation de manque).
Blablabla.
Tes enfants aussi  me manquent.
Est-ce que je me retire une balle en les évoquant à nouveau ? Ce sera comme tu le ressens si tu lis ces lignes.

Toi, c'est toi. Et la manque de toi, c'est le manque de toi. Eux, c''est eux, et le manque de eux, c'est le manque de eux. Vous êtes liés, ; mais dans ma tête, y'a pas de mélange. Blablabla. Tu comprends, ou pas. Je vais pas décrire une nouvelle fois plus avant  ici ce que je ressens par rapport à ça.

J'aimerais que tu lises ces lignes, aujourd'hui, demain, ou dans les prochains jours.
J'espère que tu liras ces lignes ,aujourd'hui, demain, ou dans les prochains jours.

Si tu lis ces lignes, ça te fait  quoi de lire ces mots ?
Si tu lis ces mots sans y répondre, ça te fera quoi de lire ces mots sans y répondre ?

Je t'aime toujours.
Bonne nuit à toi, S.





mercredi 7 décembre 2016

Carnage sur ARTE / En attendant que... je t'envoie...(MAJ 2)

Comme j'ai écris ailleurs : je connaissais pas et j''ai pas tout vu. Mais j'ai trouvé vraiment top ce que j'ai vu; [... blabla] Même si cela se termine un peu en queue de poisson - heu pardon, en improbable tête de hamster :-).
Si tu ne l'as pas vu, c'est sur que tu aimeras si  tu y jettes un oeil.
Je crois qu'on se serait bien marré à le voir ensemble ! Tu veux bien essayer d'imaginer ? Tu en ressens quoi ? Un jour peut-être ?
Qu'est-ce qui fait que ce film me fait ça ?  Que je ressens qu'il me dit qu'en dépit de nos "différents actuels", il y a plus de choses qui nous rassemblent (une certaine forme de posture par rapport à la vie et blblabla) que de choses qui nous séparent ?
Je trouve qu'il y a de chaque homme en eux, moi compris ; je trouve aussi qu'il y a de chaque femme en elles, toi aussi. Également de toi en eux, et de moi, en elles.
Et c'est quelque part, dans les méandres de mon être, ce qu'il me semble y avoir de moi en eux, de toi, en elles, de moi en elles et de toi eux, et ce qu'il me semble ne pas y avoir de moi en eux, de toi, en elles, de moi en elles, et de toi eux, qui me semble me dire qu'en dépit de nos "différents actuels", il y a plus de choses qui nous rassemblent que de choses qui nous séparent....Si seulement tu pouvais, voir, percevoir, ressentir - et  partager ! - ce que je veux dire par là !!!

Le fait que je t'aime vient de ce qui fait cette sensation, ou l’inverse. Réflexif aussi avec  que je pense que cela vaudrait le coup que tu acceptes de retenter l'aventure de l'Amour... avec moi.

Oses, oses, oses, oses.... prendre ce risque et te dire "on verra bien où çà m'emmène", en dépit de blablablabla.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime...... E.

Tout ce que je crois, tout ce que j'ai écris ici... ne serait-ce que folie dans ma tête ? Je ne crois pas.
Tout ce que je crois, tout ce que j'ai écris ici... ne serait-ce que folie dans ma tête ? Est-ce ce que tu penses, ce que tu ressens ?
Tout ce que je crois, tout ce que j'ai écris ici... ne serait-ce que folie dans ma tête ? Si c'est ce que tu penses et ressens en premier mouvement, en es-tu bien certaine, au fond de tes tripe, de ton cœur, de ton être ?

Je t'aime, je t'aime, je t'aime...... E.

lundi 5 décembre 2016

vendredi 2 décembre 2016

Tu me manques & LA "LETTRE" :-)

Tu me manques !
LA "LETTRE" ? Cela va venir. Je vais y arriver. Je pense avoir trouver le truc qui va me débloquer.

Mais, tu peux aussi m'appeler, voir venir sonner à la porte, si tu lis ces lignes et que tu "brules d'impatience" !
Pas d'ironie dans ces mots : juste de l'envie....


dimanche 27 novembre 2016

Ta main dans mes cheveux

Cette nuit, j'ai rêvé que tu passais ta main dans les cheveux dans un mouvement de caresse redescendant sur ma joue droite.

Je la sens encore cette caresse !

jeudi 24 novembre 2016

Je, tjrs pas. Je, tu, ils, « nous »….



Je ne t’ai toujours pas envoyé cette lettre que je veux t’envoyer pour te demander…
Je le ferais !
Qu’est-ce qui bloque en moi ? La peur des lendemains de cette lettre si… ? Sans doute, sans doute. Sans doute !

En attendant que je frnanchisse ce pas, tu me manques toujours terriblement !

Combien de fois ai-je écrit ces cinq mots, ici ? Ha, ha, ha, pffffffffffffff.

Sur un autre registre, et d’une autre manière, blablabla, tes enfants et l’absence de tout contact avec eux, aussi. Mais bref…

Que sera dans le futur « nous deux » ? Est-ce que cela retrouvera le sens auquel j’aspire ? Est-ce que cela restera enlisé dans la situation actuelle ? Un pire est-il possible ?

Je ne sais !

Et toi, le sais-tu ? Et toi, sais-tu quels futurs sont possibles ? Toi, quels futurs possibles ressens-tu ?

Tu liras peut—être ces lignes. Le cas échéant, je  suppose que tu ne les commenteras pas,que  tu n’y répondras pas, ni par mail, ni par tel, ni par…. 

Le contraire serait pour moi une véritable surprise !

Pour ce soir, bonne nuit, Steph. Je t’aime toujours.

Bonne nuit aussi à.... blablabla.

samedi 19 novembre 2016

Es-tu ?

Es-tu  heureuse ?
Je ne te souhaite pas malheureuse !
J'aimerai pourtant que l'état d'amour qui fut le notre avant que mes comportements, les faits et les non faits, te gavent et te déçoivent en long, en large, et en travers, te manque.
Bonne nuit, si tu lis ceci avant de t'endormir.

lundi 14 novembre 2016

Je peine

Lis tu ce que j'écris ici ?
Je n'en ai plus aucune idée !

Je n'arrive pas à rassembler les bouts, écrits à droite, à gauche, destinés à produire la lettre que je veux t'envoyer.

Qu'est-ce qui fait cela ? Crainte de ce qui suivra ou ne suivra pas cette lettre ? Peur de l'abime si elle reste sans réponse ou débouche sur une issue que je redoute ?

D'une certaine manière, tant qu'elle n'est pas envoyée, il me reste en moi de l'espoir. Après ? Après, après, après... Après ?

C'est peut-être ça qui me bloque depuis des jours. Ou c'est autre chose que je ne perçois pas. Je ne sais.

Bonne nuit, S.
J'aimerais te serrer dans mes bras, sentir ta te^te contre mon ceour.

vendredi 11 novembre 2016

11 novembre

En moi, souvenirs d'un 11 novembre passé avec toi, chez toi.
Je te revois sur la place.
Je me revois sur la place à tes cotés.
Je revois quelques regards de personnes de ta connaissance passés sur nous.
Je revois tes enfants en train de chanter.
Je me souviens de ce jour comme d'un jour heureux.
Je voudrais vivre de nouveaux jours heureux avec toi.

mercredi 26 octobre 2016

Sur France 4...

Sur France 4, l'age de glace, l'age des dinosaures.
J'aimerais être avec VOUS pour le voir.

En quoi n'est-ce pas bien de ressentir cela ?

dimanche 23 octobre 2016

Fin du film

Fin du film, des larmes sur les joues.
J'aurais voulu verser ces quelques larmes à tes côtés.

Est-ce con de ressentir cela ? Est-ce con d'écrire ça, ici ?

Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas.
Et toi, est-ce que tu sais ?

Je...

Je.... regarde la 2, la Chorale.
Je... aurais aimé le revoir avec toi.
Je t'M
Je...
Je... vais t'écrire et je vais te demander....
Je...aimerais te parler. Je préférerais de vive voix.

samedi 22 octobre 2016

C'est dur de t'écrire cette lettre

C'est dur de t'écrire cette lettre que je veux t'écrire !
Plus dur que ce que je ne pensais.
Les mots ne se montrent jamais à la hauteur de ce que je ressens et de ce que je voudrais exprimer.
Je griffonne ici et là des choses.
Et puis en général, je me dis que "non, ça va pas".
Ce serait il me semble tellement plus facile de vive voix !

Tout à l"heure, entre 18 et 19 heures, je suis passé à la maison de retraite chercher Patrice qui est avec moi ce soir. Ta voiture en contrebas....
Patrice n'aurait pas été là,  j'aurais eu surement envie de t'envoyer un SMS te demandant : "Je peux passer te voir ?" Envie, surement ; mais je n'aurais pas osé.

J'espère que tu vas bien.
J'espère que K. et E. vont bien eux aussi en ce début de leurs vacances de Toussaint.

J t'M toujours. Je me répète ! :-).

samedi 15 octobre 2016

J'espère que non

Aujourd'hui, j'ai profité d'un accès à Facebook avec un autre compte que le mien pour afficher ta page. Cela fait longtemps, longtemps, que cela ne m'était pas arrivé.
Surpris par le cadre parlant du cancer du sein.
J'espère de tout cœur que tu n'as pas chopé ça, ni toi, ni aucune de tes proches. Mais j'espère surtout de cœur que non, tu n'as pas chopé ça.

Je t'M.


mercredi 12 octobre 2016

Bonne nuit

Bonne nuit. Je pense à toi. Avec des formes d'inquiétude et de l'espoir.
J'espère que tu vas bien. J'espère que vous allez tous bien.
Bonne nuit. Je t'M.

mardi 11 octobre 2016

Ce n'est pas ce soir que j'arriverais

C'est gagné : je n'ai pas été viré à la fin de la période d'essai !
Pour autant, je sais déjà que ce soir je n'arriverais pas à commencer cette lettre que je veux t'écrire.

Angoisse de la page blanche.

Des mots tournent dans ma tête  ; mais ils ne forment qu'une bouillie.

Bonne soirée quant même à toi.
Aussi à K. et E.

dimanche 9 octobre 2016

Bientôt le 11/10

Bientôt le 11/10, et alors, la fin de période d'essai.
Cela devrait le faire...

Je suis impatient d'être au soir du 11/10.
Le soir du 11/10, si, d'ici là, "tout" se passe comme je le souhaite, je pourrais...
Je suis impatient d'être au soir du 11/10.
Mais, d'ici là, comme il se dit, de manières et d'autres, à travers le monde :

Não se deve contar com o ovo no cu da galinha
ou encore
Prodati macku u dzaku
ou encore
أليس لديك خوار الفول قبل أن تكون في ميزان

En attendant,

Bonne fin de soirée à toi (à K. et E., aussi).
Je me sens toujours t'aimer et donc je t'aime toujours.

Vivement le soir du 11/10.
Alors, après le cours de tango (le 2ème - je suis pas au bout :-) !  ),  je pourrais m'autoriser à t'écrire pour te demander...


dimanche 25 septembre 2016

Demain

Demain, l'anniversaire de ta maman. Pensées.

Aujourd'hui, j'ai été cherché la mienne pour qu'elle puisse manger à N. avec P. et moi.

Si tu veux passer lui faire un petit coucou, ne te gène pas ! La porte t'est ouverte.

Je partais, tu arrivais

Ce samedi, j'ai aperçu ta voiture arriver devant chez toi. Moi, je repartais de la Maison de retraite après y avoir déposer P.  Je ne sais si tu a alors repéré la mienne.
J'avais envie de m’arrêter pour t'apercevoir au moment où tu descendrais de voiture. Et peut-être aussi K., et E. Peut-être reveniez-vous tous les trois du basket (K. en fait peut-être toujours), ou de courses....
Finalement, je ne l'ai pas fait ; je me suis dit que cela t'importunerait. Je n'ai pas voulu que tu dises que je t'espionnais.

J'imagine en plus, si ce n'était pas avec K. et E. que tu étais ; mais quelqu'un d'autre !

J'aurais bien aimé pourtant t'apercevoir. Ton image me manque. Tu me manques toujours autant.

samedi 24 septembre 2016

Aujourd’hui



C’est le début d’un weekend avec mon petit frère aujourd’hui.

Aujourd’hui, en allant chercher P. sur les coups de 18h30 heures, l’atmosphère automnale qui régnait quand je roulais avait pour moi une texture qui me renvoyait totalement vers toi. En particulier, un je ne sais quoi d’automne 2013 quand je faisais des vendredis soir le trajet de B. à V. pour te rejoindre, empli d’impatience.
Souvenirs confus de plaisirs d’automne encore un peu ensoleillé avec toi
Aujourd’hui toujours, j’ai été déjeuner un kebab. Sur la télé de la salle : le clip « Cette année-là » de M. Pokora.  Pensées pour E. Je suppose qu’elle aime toujours. J’aurais eu envie de la voir regarder ce clip, de voir ces réactions en regardant ce clip, d’entendre sa voix, etc.

Aujourd’hui encore, en écrivant ces lignes, « comme d’hab ». je me demande ce que tu fais pendant que j’écris ces lignes, et « comme d’hab », blablablabla.

Bonne nuit.

mercredi 21 septembre 2016

Mes essentiels

Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère toujours pas totalement de...

Mes essentiels sont là, dans ces phrases qui précèdent celle-ci.

Si tu lis cela,  tu en penseras ce que tu en penseras.

Quoi qu'il en soit :

"Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère toujours pas totalement de...
Mes essentiels sont là, dans ces phrases. "

Peut-être que tu liras ces mots, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris.
Peut-être pas.
Si tu les lis, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris, qu'est-ce que cela t'auras fait de les lire ?

J'aimerai le savoir.
Le cas échéant, m'accorderas-tu de le savoir ?

Si tu les lis, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris ,et que tu ne m'accordes pas de savoir ce que cela t'auras fait de les lire, je te trouverais sans doute mille raisons acceptables que tu ne le fasses pas.

Ce sera surement ainsi. Il n'empêche, j'aimerai le savoir :-) !

Si tu lis ces lignes, dans les heures, ou les jours qui suivent le moment où je les ai écris, qu'est-ce que cela t'auras fait, à ce moment là, cette pensée que :

"Tu me manques, ton amour me manque, tes enfants me manquent.
J'aspire toujours à....
Je ne désespère pas totalement de...

Mes essentiels sont là."

Bonne nuit à toi, Steph, cœur, amour, si tu lis ces mots avant de te coucher.

vendredi 16 septembre 2016

Comprendras-tu ?



Cet après-midi, en fumant une clop devant l'immeuble où je bosse, j'ai vu passer devant moi avec, j'imagine sa mère, une fille de l’âge de E. qui lui ressemblait au point où j'ai cru un instant que c'était elle.
Mon regard posé sur elle a croisé le sien. Échange de sourire. Avec celle que j'imagine être sa mère aussi.

Pincement au cœur.

Il y a toi dont j'aimerais reconquérir l'amour.
Il y a tes enfants qui me manquent aussi toujours, d'une autre manière.
Deux blessures distinctes.
Ce soir, je veux revenir sur la seconde de ces deux blessures.

Pour toi tes enfants comptent plus que tout, alors dès que je les ai vus, j'ai voulu les accueillir dans ma vie à bras ouverts.
Tu comprends ?

Et te souviens-tu comme je me souviens de ma première rencontre avec eux, de ces moments où tu as fait les présentations ? J'aimerais que oui...

Très vite, je me suis projeté dans un projet de vie avec toi (peut-être en as-tu douté, notamment dans les ?mois ? ?semaines où tu as décidé de rompre).

Quel projet de vie avec toi possible, sans projet de vie avec eux !!! ????
Tu comprends ?

Je me suis mis à les aimer, sincèrement, profondément.
Tu comprends ?

Tu as arrêté de m'aimer, tu as décidé de rompre.
C'était ton droit le plus strict.
Je le comprends, même si j'espère toujours un jour reconquérir ton amour.

Toutes mes insistances à ton égard.
Toutes mes insistances à l'égard de tes enfants.
Tous tes refus à l'égard de mes insistances à ton égard.
Tous tes refus à l'égard de mes insistances à l'égard de tes enfants.
Spirale infernale où bien malin qui peut dire qui de l'œuf et de la poule a le plus fait l'autre.
Tu comprends ?


Tes enfants et moi, c'était fort pour moi.
C'était, je crois, fort pour eux aussi.
Cela restera toujours fort pour moi.
Pour eux, je ne sais pas ; même si rien depuis ne m'a jamais donné à penser qu'ils avaient perdu toute affection à mon égard.
Mais je peux me tromper ; je peux avoir mal perçu à travers le prisme de mes sentiments les quelques échanges que j'ai pu avoir avec eux depuis. Loin des yeux, loin du cœur, peut-être que cela marche pour eux.
Loin des yeux, loin du cœur, cela en revanche ne marche toujours pas pour moi.

Dans la foulée de ta décision de rupture, et confronté à mes insistances, sans doute as-tu sincèrement cru que je cherchais à prendre tes enfants "en otage".

Cela dit, quand je me remémore les enchainements à travers mon prisme, je me dis que tu as eu peur de la force de ce qui s'était tissé entre tes enfants et moi. Oui, je peux me tromper ; mais je crois que dans la foulée de ta décision de rupture, au moins inconsciemment, tu as pris peur de la force du lien qui s'était tissé entre moi et tes enfants.
 
Comment tourner la page de notre relation sans mettre un terme à celle qui me liait à tes enfants ?

Moi je crois que c'était possible. Moi je crois que je pouvais changer de rôle, passer du "le copain de maman" à "l'ex copain de maman", sans que cela implique nécessairement la coupure que tu as mis en place entre tes enfants et moi. 

Comprends-tu ce que je veux dire ?

Cela t'est apparu impossible.
Cela te serait-il paru possible si j'avais mieux supporté la brusquerie de la séparation d'avec toi, d'avec eux ? Je ne saurais le dire. J'avoue ne pas en être certain.

J'aimerais bien savoir ce que tu en penses avec le recul du temps....

J'ai l'impression de percevoir les mécanismes qui se sont enclenchés et je ne connais guère qu'une personne qui comme moi pense qu'il aurait pu en être autrement.

Pour autant je n'arrive toujours pas à croire qu'il n'aurait pas pu en être autrement.
Et je n'arrive toujours pas à croire qu'il ne pourrait pas en être autrement.

Même si je devais échouer à reconquérir ton amour.

Avec le recul du temps qui parfois réussi à apaiser, comprends-tu que je puisse ressentir cela ?
Comprends-tu cette affection que je garde en moi pour tes enfants ?
Comprends-tu le pincement au cœur que j’ai éprouvé cet après-midi ?

Avec le recul du temps...
Comprends-tu… comprends-tu… comprends-tu…

mercredi 14 septembre 2016

Tu pourrais en rire ou en sourire

Ce matin, sur le trajet me menant au boulot à Na., je pensais intensément à toi, à ce "nous" dont je souhaite toujours le renouveau, à la fin de ma période d'essai qui devrait, j'y crois de plus en plus, se terminer positivement, le 10 du mois.

Je pensais intensément à tout cela, à ce que j'aurais envie de te dire, de t'écrire quand je serais certain que...

Je pensais intensément à tout cela durant le trajet, et en garant la voiture, et en fermant la voiture... Et, zut ! Argh ! Pas glop, pas glop :  les clefs laissées à l'intérieur. :-( Snif. Enfin, snouf, plutôt, je trouve. J'aimerais que cette mésaventure te fasse rire ou sourire. J'aimerais bien te voire sourire gentiment de  cette mésaventure !

J'ai échappé aux 90 € de dépannage grâce à mon frère  C. qui est passé à Ne. prendre le double des clefs pour le l'emmener à Na. avant de rentrer chez lui. Merci à lui.

Vivement le 11 octobre ! Non ?

lundi 12 septembre 2016

Bonne semaine

Bonne semaine. Je te souhaite une bonne semaine. Je vous souhaite une bonne semaine. A toi, à K. et à E.

Je suis passé dans ta rue ce matin en allant en retard chercher ma mère à la Maison de retraite.

Pas pour "espionner", pas pour "narguer". Pas dans l'espoir d'apercevoir K. ou E. D'une certaine manière, plutôt l'inverse :  complétement "à la bourre",  je me suis dit que c'était le seul endroit où je pourrais passer à la hauteur de K. ou de E. sans m’arrêter, sans regretter de ne pas m’arrêter, et en étant certain qu'ils préfèreraient que je ne m’arrête pas.

Au cas où tu m'aurais aperçu, tu sais au moins, si tu lis ces lignes, qu'est-ce qui a fait que je suis passé par ta rue pour aller à la Maison de retraite. Bref.

Bonne semaine. Je te souhaite une bonne semaine. Je vous souhaite une bonne semaine. A toi, à K. et à E.


dimanche 11 septembre 2016

Pensée nuit Samedi / Dimanche

Je me couche en pensant à toi.
Et je me demande ce que tu vis en ce moment.
Et je me demande aussi si c'est toi qui est venu sur ces pages il y a un peu plus d'une demi-heure ; à 23h46 me dit l'ordi.
Et...

mardi 6 septembre 2016

Tu n'auras pas lu hier soir

Tu n'auras pas lu hier soir mon post d'hier soir.  Alors... c'est le "bonne journée" qui vaut ! :-)

lundi 5 septembre 2016

Comment vas-tu ?

Comment vas-tu ? Je t'imagine, au moment où  j'écris ces lignes, en train de regarder peut-être Duel sur la 5, allongée sur ton canapé. Gagné ? Perdu ?

Je voudrais que tu ailles bien, et que se redessine en toi l'envie de ce nous auquel je crois toujours, de ce nous auquel j'aspire encore et encore.

Je voudrais SAVOIR que tu vas bien ! SAVOIR aussi que se redessine en toi l'envie de ce nous auquel je crois toujours, de ce nous auquel j'aspire encore et encore. Mais j'imagine que c'est trop demandé. Lol.

Je souhaite que K. et E. aillent bien eux aussi.

Bonne fin de soirée, ou bonne nuit, ou bonne journée suivant le moment où tu liras (peut-être) ce post.

jeudi 1 septembre 2016

TU....

J'espère que TU, en cette journée de rentrée, as passé une bonne journée et une bonne soirée.
Que K. et E. ne t'ont pas (trop ?) pris la tête sur le registre "ça va pas parce que ..."
J'aurais aimé passé cette journée avec toi, et que tu puisses, le cas échéant, en déverser le "trop plein" sur moi.
TU me manques, NOUS me manque, et comme d'hab, ce manque est encore plus lourd dans les journées "spéciales" que dans les autres. Question de décalage entre ce que je rêverais et ce qui est... Les journées "spéciales" marquent cela de manière plus intense....
TU me manques. Je TU aimes tjrs....

Je suis à un doigt de t'envoyer un SMS exprimant : "Alors, cette rentrée ?" Il faut que je résiste à cette impulsion.... Mais le cœur y est !

TU... Je me demande : "où en es TU de tes ressentis à mon égard ? où en es TU de tes ressentis à l'égard de ce NOUS (à nouveau), ce nouveau NOUS dont je rêve ?

J'aimerais que la force de mon amour à ton égard régénère le tien à mon égard.

Bonne nuit à toi.


mercredi 31 août 2016

Rentrée

Demain la rentrée des classes. Une occasion de plus de penser à toi de manière particulière, puisque c'est un événement particulier qui n'arrive qu'une fois l'an.

Ridicule ? Peut-être.  Beau aussi, quelque part, je trouve. Non ? En tous cas, ce que je ressens à cet instant, je te l'assure, est beau. L'amour, l'empathie, ne peut être moche. Et avec cette sensation d'intensité que je ressens, c'est fort et beau. 23h44, ou 45 ou 46, peut-être le ressens tu...

Je t'imagine fatiguée, ou un peu tendue, énervée, stressée par cette rentrée de demain. Mais peut-être que je me trompe.

Je te souhaite une bonne rentrée, comme à K., comme à E.

Une bonne nuit aussi.

mardi 30 août 2016

Tu dors surement (bis)

Le 1 déc. 2015, j'avais écris : "Tu dors surement.... je te souhaite intensément de beaux rêves. Et si seulement tu pouvais t'en souvenir. Et si seulement mon  souhait pouvait avoir cette puissance !

Beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi !!!

Je te souhaite intensément de beaux rêves, tout en couleurs. Et aucun cauchemar en noir et gris. "

C'est sans doute post le plus lu de ce blog : 18 fois !

A quoi cela tient ? Aux mots clef "dors", ou "rêves", ou la combinaison "Tu dors surement" ? attirant sur ce post le chaland capté par les moteurs de recherche ? Toi, revenant sur ce post à maintes reprises ? Je ne crois pas à cette dernière hypothèse.

Tu vas sourire si tu lis ces mots : Tu dors surement" = Environ 78 100 résultats (0,58 secondes) pour Google. Et mon billet du 1er décembre 2015 (Tu dors surement.... ) arrive en 5ème position des résultats de recherche sur ces termes. Dans ces résultats de recherche, l'association qui saute aux yeux est celle de  "Tu dors surement" avec "Je t'aime".

Comme quoi, je ne brille pas par l'originalité ! Comme quoi également cette association est profondément humaine... Qui a parlé de "psychopathe" ?

Je ne suis qu'un humain, un homme, un homme qui t'aime toujours.

Tu dors surement. Je t'aime toujours. Et .... je te souhaite intensément de beaux rêves. Et si seulement tu pouvais t'en souvenir. Et si seulement mon  souhait pouvait avoir cette puissance ! Et si seulement je pouvais faire parti (à nouveau ?) de quelques beaux rêves que tu ferais (même si, consciemment,  tu ne t'en souviens pas à ton réveil).

Beaux rêves à toi ; beaux rêves à toi. Tout en couleurs, sans aucun cauchemar en noir et gris.   Je ne suis qu'un humain, un homme, un homme qui t'aime toujours.

Et toi, où en es-tu de tes ressentis à mon égard ?

mardi 23 août 2016

Il y a tellement

Je t'aime toujours. Jusqu'à quel point cela te saoule et te déplait, que je ressente cela, que j'écrive cela ?

Je t'aime toujours. Le temps passe. Et, à tord, ou à raison, j'ai de plus en plus confiance en ma capacité à garder ce job à N. Et dans le sillage de ces quatre mots, avec le soutien de cet espoir qui se renforce, il y a tellement que j'ai à t'exprimer, il y a tellement que je voudrais te dire, tellement que je voudrais réussir à te donner à sentir, que je n'arrive pas à rassembler les mots.

Je voudrais pouvoir que tu perçoives un instantané de mon esprit quand il est tourné vers toi, des mille suppositions, supputations, espoirs, désespoirs, regrets, espérances qui me traversent quand j'écris ici, quand je me dis que tu as lu ici, quand je me dis que tu n'as pas lu ici (notamment dans ces jours de vos vacances). Je voudrais pouvoir que tu perçoives un instantané de mon cœur et de la place que tu y occupes.... un instantané de mes croyances en ce que "nous" pourrait être - si seulement....

Mais comment te donner à percevoir tout cela avec des mots ?

Une malheureuse photo - n'importe laquelle ! - est impossible à dépeindre avec des mots. Alors tout cela....

Nos yeux posés l'un sur l'autre à travers une rencontre voulue nous en dirait surement plus que bien des mots. Si seulement...

Il y a tellement que...

Je t'aime toujours.

vendredi 19 août 2016

Bonne nuit

Bonne nuit. Je te souhaite une bonne nuit. Je vous souhaite une bonne nuit.

A toi, je souhaite aussi une bonne fin de soirée. Pour K. et E. , sauf soirée spéciale, ce doit être bientôt, si ce n'est déjà fait, les bras de Morphée !

J'ai plein de choses en tête à t'exprimer ; mais je suis trop fatigué, là,  pour le faire, là, maintenant, ce soir
 Il y a eu votre départ en vacances. Il y a eu le 16/08, à environ 3 heures du matin, ou 17 heures ou 19 heures, ou quelqu’un a relu ce jour là, à l'une de ces heures là, ou dans des jours un peu avant, ce que j’avais écrit le 10/06 pour ton anniversaire.Et j'aimerais que ce soit toi. Et... j'y reviendrais.


Et il y a avant hier et hier : Zéro lecture. Je me dis que tu t'interdis. Et... j'y reviendrais aussi.

En attendant,  bonne nuit ; épuisé, le cerveau en compote, je te souhaite juste une bonne nuit ; je vous souhaite juste une bonne nuit. et à toi, une bonne fin de soirée aussi

Je t'aime toujours. Et j'aimerais tant que...

dimanche 14 août 2016

Samedi 13 août 2016. A partir de la France. A environ 4 heures du matin

Ce samedi 13 août 2016, une "visite" à partir de la France, à environ 4 heures du matin.

Je me dis que c'est sans doute toi. J'aimerais même en fait que ce soit toi.

Tes volets sont totalement clos (vus en allant et revenant de la Maison de retraite...). C'est la première fois que je les vois ainsi depuis que je vais et reviens de la Maison de retraite. Je suppose que tu es parti en vacances avec K. et E., aujourd'hui.

Je me demande combien de fois tu penseras à moi durant ces vacances. Combien de fois, tu te souviendras, durant ces vacances, d'autres vacances, passées avec moi. J'aimerais que ce soit assez souvent. J'aimerais que ce soit avec de belles émotions. De belles émotions qui te donneraient envie de...

Je me demande combien de fois K. et E. penseront à moi durant ces vacances. Combien de fois, ils se souviendront, durant ces vacances, d'autres vacances, passées avec moi.

Je me demande si je ferais l'objet, ne serait-ce que d'un, échange verbal, entre toi et K., ou toi et E., ou toi et K. et E., , ou K.  avec E., durant ces vacances.

Moi, même si j'écris moins ici, je continue de penser tous les jours à toi. Et je me sens toujours t'aimer. Et...

Je crois bien que je vais beaucoup penser à toi dans les jours qui viennent ! Si tu as envie, ne serait-ce qu'une fois, de m'appeler, de m'envoyer un SMS, de.... n'hésites pas (si tu n'as plus mon numéro, il est tjrs sur FB....).

Bref.

Bonnes vacances à toi. Bonnes vacances à K. et E. Bonnes vacances à vous trois. Je me sens toujours t'aimer. Et...

dimanche 31 juillet 2016

La fête des A...

C'était la fête des A... à N... ce weekend. J'aurais aimé vivre ce moment avec toi. Parcourir les stands aussi avec K. et E. Je crois qu'ils auraient aimés. Pensées.

Mais sans dout que de de toute manière, tes enfants étaient avec leur père, durant ce weekend qui touche à sa fin.
 J'imagine que tu vas bientôt partir en vacances en bord de mer avec K. et E. Souvenirs, souvenirs..... Ces moments de bonheur - j'ai vécu ces moments comme de grands moments de bonheur - me manquent.

Ton amour me manque toujours terriblement ! Tu me manques toujours terriblement !  Je t'aime toujours.

mercredi 27 juillet 2016

Comment

Je bosse à nouveau. C'est dur. J'ai peur à certains moments de me faire jeter avant la fin de la période d'essai. Je m'investis "à fond". Un poste comme celui-là, à N., c'est assez rare. Et plus encore une boite prête à parier sur moi sur un poste comme ça !

Je bosse à fond. Cela mobilise mon esprit ; je pense moins souvent à toi. C'est une bonne chose, quoi qu'il en soit de toi, de moi, du monde.

Pour autant, je ne t'oublie pas. Je ressens toujours cet amour que je ressens pour toi, même si je me sens moins malade de la perte de ton amour.

Je rêve à après demain. A cet après demain où j'aurais réuni un paquet de conditions qui autrefois comptées pour toi et qu'alors je n'ai pas su satisfaire.

Je me dis que tu m'as aimé de nombreux mois en dépit de cela, avant que ces choses là, et surement d'autres (combien d'autres ? Quelles autres ?) n'usent et ne détruisent ton amour de moi. Alors, je me dis que peut-être....

Et je me demande : comment te donner envie de retenter l'aventure de l'amour avec moi ?

samedi 16 juillet 2016

Bones (correction)

Ce soir, vendredi soir, à la téloche sur M6 : Bones.
Souvenirs, souvenirs....

C'est clair, que j'aurais du plus souvent venir des weekend où nous aurions pu faire autre chose que regarder la téloche, venir plus souvent des weekends où tu n'avais pas tes enfants. Mais, dans mes projections d'une histoire au très long cours, j'étais tellement avide d'être accepté par tes enfants, avide de créer les bonnes relations pour pouvoir former ce que l'on appelle, je crois, une "famille recomposée". J'ai choisi trop souvent je crois de venir quand tes enfants étaient là.

C'est clair aussi que les fois où je suis venu sans que tes enfants soient là, j'aurais du avoir plus la pêche pour te proposer de belles virées. Au lieu de cela, je m’épuisais au boulot et dans mes pb de boulot, en espérant que cela nous serait utile. Etre avec toi me suffisait. Dans "nous regardant Bones", il y avait toi, toi avec moi blottis l'un contre l'autre sur ton canapé avant de faire l'amour ensemble, et cela suffisait à me satisfaire. Trouves-tu cela con ?

C'est clair également que ta décision de rupture ne tient pas qu'à ces deux choses là !  Mais là, seul devant Bones à quelques kilomètres de toi, , je t'imagine seule devant Bones à quelques km de moi, avec tes enfants couchés dans leurs chambres chez toi. Même si ce n'est pas le cas ; même si ce n'est pas toi qui a vos enfants en ce début de période de vacances (les tiens qui sont aussi ceux de leur père...) ; même si tu es de sortie ; même si tu es, à l'instant où j'écris ces lignes, dans les bras de "truc", ou de "machine", ou de je-ne-sais-qui, ou avec "Ded...", peu importe ! En cet instant, c'est ainsi que je t'imagine. Et ce sont ces pensées qui me viennent à l'esprit.

J'ai écris dans les lignes qui précèdent "tes enfants" ; jamais, jusque là, "K. et E." Symbole (enfin !?) d'un certain désengagement de mes ressentis à leur égard ? Peut-être, même si l'un et l'autre me manquent toujours, et que je trouve toujours injuste, injustifiable, et "pas grand" l'ampleur de la coupure que tu as voulu entre eux et moi. Tout comme je trouve "pas grand" ton comportement à l'égard de ma mère depuis qu'elle est là où elle est.... Passons.

Une info. Ceux qui sont "encore" dans mes relations FB te le diront peut-être, - ou pas ! - dans les prochains jours : je viens enfin de retrouver du boulot ! Embauché depuis ce lundi 11/07. Cela me fait énormément de bien.

Ce job, c'est à N. qu'il se situe, même si cette semaine j'étais ailleurs, un peu plus au Sud, dans les locaux de la maison--mère.

Ce job, c'est pour moi une belle opportunité, un vrai challenge, pied à l'étrier, qui, si il tient, devrait, je crois, me permettre de vraiment de rebondir. Vivement la fin de la période d'essai - si cette fin doit être positive !

En plus, je ne perds que 10% par rapport à ce que je gagnais dans mon dernier job en RP !  Assez inespéré...

J'aurais dû tenter cela du temps où tu m'aimais ! Du temps où tu m'aimais, je ne croyais pas cela possible. Qu'est-ce qui fait que je n'ai pas "sondé" sérieusement le marché du travail dans la région à l'époque ? Manque de confiance ? Trop de foi dans le projet dont je m'occupais ? Trop de fatigue ? Manque de force ? Je crois que j'avais à l'époque trop de foi en ma capacité à faire aboutir le projet dont je m'occupais et trop peu de  confiance et d’énergie restante en moi sur ce que je pouvais faire professionnellement ailleurs que dans le projet de banque de données où j'étais. Paradoxal. Mais peut-être aussi que je réécris les choses dans la tête.... Je ne crois pas cependant.

Divorcé, plus aucunes gamelles accroché à mes basques, un boulot dans le coin...

Si la période d'essai se passe bien, j'aurai  réuni à la mi octobre au moins quelques unes des conditions qui auraient peut-être permises, du temps de ton amour de moi, de poser les base d'une histoire au très long cours entre toi et moi.

Il reste quinze ans avant mes 68 ans.... J'ai fait de la marche ce weekend avec un groupe qui comportait un gars de 68 ans. Il se tenait sacrément bien ! Après, c'est certain, notre différence d'âge... Allez, disons 10 ans ; il me reste au moins 10 / 15 ans avant de commencer à être assez vieux pour sans doute commencer à avoir du mal à te suivre au quotidien. Dix / quinze ans avant de risquer de devenir un boulet du fait de notre écart d'age. Combien avant que tu ressentes un gars de mon âge comme n'étant lus sortable à tes cotés ? Zéro ? Non, je crois pas que tu ressentes cela ainsi.

Dix ans de bonheur, ça peut valoir le coup, non ?

Si tout se passe bien coté  boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi sur ces nouvelles bases. Sans engagement de ta part, a priori.  Juste pour voir si, comme je le crois, on peut "se retrouver", en dépit de tout ce qui c'est passé. Tu me diras "oui", ou tu me diras "non".

Tu m'as dit et écris haut et fort (je cite) que "jamais je ne retournais avec toi"  - la faute de temps est la tienne ; je veux y voir un lapsus... Je préférais que tu me dises "oui" ! J'en rêve toujours.

Si tu as retrouvé l'Amour ailleurs et que cela tiendra, tu me diras "non", et ce "non" n'aura pas grande importance dans ton futur. Si tu me diras "non",  tout en ayant pas encore retrouvé l'Amour ailleurs ; mais que tu le trouveras dans quelques temps, et que cela tiendra, ce "non" n'aura cette fois encore pas grande importance dans ton futur au long cours.

En revanche, que se passera-t-il en toi, et dans ton futur au long cours, si tu me diras "non" et que jamais tu ne retrouves l'amour, de manière aussi intense que celui, me semble-t-il, qui fut le notre de manière partagée, au moins un certain temps ? Je te pose cette question, pas pour te manipuler de manière malveillante, ou juste focaliser sur mon nombril, mes envies, mes frustrations, etc ! Je te la pose en pensant à tous les regrets de ma vie - en particulier à tous les regrets que j'ai vis à vis de ce que je perçois comme sources de ton désamour...

Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Après tous ces mois, avec tout ce qui s'est passé "entre nous" depuis ta décision de rupture, cela s'effacerait-il après quelques heures passées avec toi ? Je ne sais pas. Mais je ne crois pas. Toi, à l'inverse, es-tu bien certaine que plus jamais tu ne pourras m'aimer ?

Si tout se passe bien coté  boulot, quand j'aurais fini ma période d'essai, je tenterai de revenir vers toi de visu et je te demanderai de retenter "l'aventure" avec moi. Des mots que tu diras alors jailliront nos futurs. A moins que tu  ne devances cet appel. 

Je t'aime toujours. En tous cas, j'éprouve toujours cette sensation. Tu peux me faire signe quand tu veux. Je me répète : je t'épouse quand tu veux. Si ce nouveau boulot tient, je tenterai de te le demander de vive voix. Je pensais pouvoir le faire plus tôt ; mais je me l'interdirais tout le temps où ma situation dans le coin n'est pas stabilisée. Quel sens cela aurait en la circonstance de te demander cela en étant obligé dans la foulée de partir au bout de la France ? L'occasion serait trop facile de me rire au nez !

Bonne nuit à toi.