Tu me manques.
J'écris cela ici tout en éprouvant la sensation de ne faire là ce qu'il faut pour mettre fin à ce manque, ni "par le haut" (reconquérir ton cœur), ni "par le bas" (me débarrasser de cette sensation de manque).
Blablabla.
Tes enfants aussi me manquent.
Est-ce que je me retire une balle en les évoquant à nouveau ? Ce sera comme tu le ressens si tu lis ces lignes.
Toi, c'est toi. Et la manque de toi, c'est le manque de toi. Eux, c''est eux, et le manque de eux, c'est le manque de eux. Vous êtes liés, ; mais dans ma tête, y'a pas de mélange. Blablabla. Tu comprends, ou pas. Je vais pas décrire une nouvelle fois plus avant ici ce que je ressens par rapport à ça.
J'aimerais que tu lises ces lignes, aujourd'hui, demain, ou dans les prochains jours.
J'espère que tu liras ces lignes ,aujourd'hui, demain, ou dans les prochains jours.
Si tu lis ces lignes, ça te fait quoi de lire ces mots ?
Si tu lis ces mots sans y répondre, ça te fera quoi de lire ces mots sans y répondre ?
Je t'aime toujours.
Bonne nuit à toi, S.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire