mercredi 18 mars 2015

Histoire de "torture"

Je sais pas si tout ce que j'ai fait, tout ce que j'ai dit, tout ce qui j'ai écris depuis que... te "torture" ; mais, si tu en doutais encore, tes silences, tes etc. , oui, je les vis comme autant de choses qui me "torturent".

Et toi, tu restes drapée( emprisonnée ?) dans ton mépris...ou je ne sais quoi !

J'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le  besoin. M'accorderas tu cette faveur en mémoire des sentiments d'amour que je crois a minima que tu as eu pour moi, et de la bienveillance générale de ton "âme" (j'y crois encore !).

Oui, peut-être, cela te fera mal ! Ne peux-tu vraiment accepter cette douleur, dans l'espoir que j'ai que cela atténuerait les miennes ?

Au delà de cette douleur que tu crains manifestement, quels sont les risques ? Que j'aille plus mal encore ? Que tu ailles mal (ta mère- en réponse à question de ma part -  m'a écrit que tu   allais bien) ? Que tu ailles plus mal (Je t'imagines capable de donner le change à tout le monde, et il me semble, au risque de me tromper, que tu as pris quelques kilos que tu ne souhaites pas...)  ?Que l'on retombe dans les bras l'un de l'autre ?

Je délire ? Peut-être. Quoi qu'il en soit, j'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le  besoin.Et cela me fait mal que tu n'accpetes pas cela.

On va s'apercevoir sans doute Vendredi matin. Si seulement tu pouvais m'accorder un moment dans le courant de ce week-end !

Un moment, de préférence, dans un moment que je puisse "vendre" à C.... Sordide ?! Peut-être, à coup sur aux yeux de beaucoup et des siens, j'imagine, si elle savait.

Toi, je sais pas ; mais moi, je ne peux, in fine, dans la foulée de  ton désamour, ne pas me détruire totalement, sans aucun  mélange "au dessous / au dessus de la ceinture" ! Juste "au dessous de la ceinture", je ne peux. J'ai tenté pourtant !  Impuissance, envie de vomir, sensation de salissure... Manifestement, je suis plus apte à prendre le risque de faire mal pour assurer ma survie (pas réussi autre chose pour limiter alcool, laisser aller & co) qu'à baiser sans n'éprouver aucun sentiment.

Folie tout ça ?  Moi, aujourd'hui, ici et maintenant, en tous cas ! A reprendre ou à continuer de laisser... Lol (+ ou -).


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