Mélancolie d'un coté. Culpabilité et honte croissante de l'autre vis à vis de C.... Deux choses de trop en moi ! Presque risible.... ou totalement risible ? Ou blblabla Et toi, t'en es où ? |
mardi 31 mars 2015
.....
dimanche 29 mars 2015
Tes silences, silences, sliences.... et en moi le souvenir de.... et en moi....
Tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent terriblement, et auxquels je ne saurais dire exactement le sens que tu leur accordes aujourd'hui, et auxquels je ne saurais dire exactement le sens qu'il convient que je leur accorde aujourd'hui...
Quel fatras, en moi !
En moi aussi, l'imminence de Pâques et les souvenirs associés des trois Pâques précédents. En particulier celui de l'an dernier. Pour moi, c'était encore des jours heureux que ce Pâque de l'an dernier !
Et pourtant..... et pourtant déjà, tu ne m'avais plus écris de "je t'aime" depuis un certain temps. Et, quel con, je ne m'en inquiétais pas !!!!
Aujourd'hui, je me dis que mes vidages de caves étaient passés par là... qu’amener à l'aéroport la mère de mes enfants était passé par là, que le fait alors de ne toujours pas avoir tranché les questions administratives et financières avec la mère de mes enfants était passé par là, que le fait de ne pas avoir rétabli mon eau chaude était passé par là, que tout ce que je n'avais jamais fait chez toi pour nous était passé par là....(liste non exhaustive...).... et je n'en avais pas conscience !!!!
Pour moi, c'était encore jours heureux que ce Pâque de l'an dernier.Je nous revois, et sur ton canapé, et dans ta cuisine, montagne de chocolats, et dans le jardin de tes parents. Photos de K. de E. de toi, qui aujourd'hui me font mal.... Je revois poisson en chocolat & co....
Quels souvenirs gardes-tu de tout cela ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et aujourd'hui ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et demain ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et tes après-demain ?
Je ne sais et j'aimerai savoir ; j'aimerai savoir, quoi qu'il en soit, et je ne sais (à force de ne pas vouloir savoir ? à force de ne pas vouloir voir ?) !!!
Tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent terriblement, et dont je ne vois plus le sens (ou me refuse de voir le sens qui n'a pas changé ?).
Moi ? Moi, j'aimerais ressentir de nouveaux jours heureux de Pâques avec toi. Moi, j'aimerais te faire vivre des jours heureux de Pâques avec moi !! Moi (débile ? clairvoyant ?), je crois toujours que cela serait possible, si seulement tu pouvais, si seulement tu voulais bien, y croire de nouveau toi aussi....
Qu'est-ce que j'aimerais que cette croyance, qu'une croyance comme celle-ci, te donne envie de rompre tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent si terriblement.
Quel qu'en soit le prix (sensation de culpabilité à l'égard de C....), ressentir de nouveaux jours heureux de Pâques avec toi...., j'en rêve, j'en rêve toujours !
Si seulement tu pouvais aspirer à vivre de nombreux jours heureux de Pâques avec moi ; et à me le dire, le dire, le dire.....
Tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent terriblement....
Toi et moi, "nous".... qu'est-ce que cela représente pour toi aujourd'hui, demain, et après demain ? Dis-moi, dis moi, dis-moi ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi ! Au risque d'éprouver la snesation désagréable de te répéter....
Moi ? Moi, JTM toujours ! Et un mot de toi suffirait pour que...
Toi ? Toi, si tu ne m'aimes plus d'amour, infiniment plus, définitivement plus, redis le moi, redis le, dis le moi à nouveau ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi ! A minima, dans l'espoir que je puisse enfin, en moi, refermer ce livre du "Toi et moi, du nous deux". Et ne plus rêver de te faire vivre des jours heureux de Pâques avec moi, dans quelque futur que ce soit.....
Toi, si tu es certaine, absolument certaine, de ne plus m'aimer d'amour, de ne plus, infiniment plus, m'aimer d'amour, de ne plus,définitivement plus, pouvoir m'aimer d'amour, stp, redis le moi, redis le, dis le moi à nouveau ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi !
Toi, sur ce même registre, si tu n'es plus absolument certaine de rien, (ou, mieux, certaine du contraire !), stp, dis le moi, dis le ! Ou si tu préfères, écris le moi !
En tous cas, stp, ne serait-ce qu'un instant, casses tes silences, silences, silences....cett persistance complète de tes silences qui me pèse terriblement !!!
Il me semble qu'aujourd'hui, aujourd'hui a minima, elle ne nous aide pas, ni moi, ni toi. Je te promets, crois-moi, que je n'éprouverai aucune sensation malsaine, aucun plaisir malsain, déplacé, de t'avoir amené à rompre ce silence auquel tu t'es promise en m'écrivant "je ne te répondrais plus".
Stp.....
Quel fatras, en moi !
En moi aussi, l'imminence de Pâques et les souvenirs associés des trois Pâques précédents. En particulier celui de l'an dernier. Pour moi, c'était encore des jours heureux que ce Pâque de l'an dernier !
Et pourtant..... et pourtant déjà, tu ne m'avais plus écris de "je t'aime" depuis un certain temps. Et, quel con, je ne m'en inquiétais pas !!!!
Aujourd'hui, je me dis que mes vidages de caves étaient passés par là... qu’amener à l'aéroport la mère de mes enfants était passé par là, que le fait alors de ne toujours pas avoir tranché les questions administratives et financières avec la mère de mes enfants était passé par là, que le fait de ne pas avoir rétabli mon eau chaude était passé par là, que tout ce que je n'avais jamais fait chez toi pour nous était passé par là....(liste non exhaustive...).... et je n'en avais pas conscience !!!!
Pour moi, c'était encore jours heureux que ce Pâque de l'an dernier.Je nous revois, et sur ton canapé, et dans ta cuisine, montagne de chocolats, et dans le jardin de tes parents. Photos de K. de E. de toi, qui aujourd'hui me font mal.... Je revois poisson en chocolat & co....
Quels souvenirs gardes-tu de tout cela ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et aujourd'hui ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et demain ? Quels ponts jettes-tu entre ces souvenirs et tes après-demain ?
Je ne sais et j'aimerai savoir ; j'aimerai savoir, quoi qu'il en soit, et je ne sais (à force de ne pas vouloir savoir ? à force de ne pas vouloir voir ?) !!!
Tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent terriblement, et dont je ne vois plus le sens (ou me refuse de voir le sens qui n'a pas changé ?).
Moi ? Moi, j'aimerais ressentir de nouveaux jours heureux de Pâques avec toi. Moi, j'aimerais te faire vivre des jours heureux de Pâques avec moi !! Moi (débile ? clairvoyant ?), je crois toujours que cela serait possible, si seulement tu pouvais, si seulement tu voulais bien, y croire de nouveau toi aussi....
Qu'est-ce que j'aimerais que cette croyance, qu'une croyance comme celle-ci, te donne envie de rompre tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent si terriblement.
Quel qu'en soit le prix (sensation de culpabilité à l'égard de C....), ressentir de nouveaux jours heureux de Pâques avec toi...., j'en rêve, j'en rêve toujours !
Si seulement tu pouvais aspirer à vivre de nombreux jours heureux de Pâques avec moi ; et à me le dire, le dire, le dire.....
Tes silences, silences, silences.... la persistance complète de tes silences qui me pèsent terriblement....
Toi et moi, "nous".... qu'est-ce que cela représente pour toi aujourd'hui, demain, et après demain ? Dis-moi, dis moi, dis-moi ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi ! Au risque d'éprouver la snesation désagréable de te répéter....
Moi ? Moi, JTM toujours ! Et un mot de toi suffirait pour que...
Toi ? Toi, si tu ne m'aimes plus d'amour, infiniment plus, définitivement plus, redis le moi, redis le, dis le moi à nouveau ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi ! A minima, dans l'espoir que je puisse enfin, en moi, refermer ce livre du "Toi et moi, du nous deux". Et ne plus rêver de te faire vivre des jours heureux de Pâques avec moi, dans quelque futur que ce soit.....
Toi, si tu es certaine, absolument certaine, de ne plus m'aimer d'amour, de ne plus, infiniment plus, m'aimer d'amour, de ne plus,définitivement plus, pouvoir m'aimer d'amour, stp, redis le moi, redis le, dis le moi à nouveau ! Ou si tu préfères, écris le moi, écris le moi, écris le moi !
Toi, sur ce même registre, si tu n'es plus absolument certaine de rien, (ou, mieux, certaine du contraire !), stp, dis le moi, dis le ! Ou si tu préfères, écris le moi !
En tous cas, stp, ne serait-ce qu'un instant, casses tes silences, silences, silences....cett persistance complète de tes silences qui me pèse terriblement !!!
Il me semble qu'aujourd'hui, aujourd'hui a minima, elle ne nous aide pas, ni moi, ni toi. Je te promets, crois-moi, que je n'éprouverai aucune sensation malsaine, aucun plaisir malsain, déplacé, de t'avoir amené à rompre ce silence auquel tu t'es promise en m'écrivant "je ne te répondrais plus".
Stp.....
mercredi 25 mars 2015
lundi 23 mars 2015
Aucun, tjrs aucun...
Aucun, tjrs aucun...
Aucun, tjrs aucun signe de ta part. Je trouve cela dommage et triste.
Je regrette de ne pas avoir su te donner envie que 'nous ensemble' continue, encore et encore.
Je repense à des choses qui peut-être t'ont fait mal sans que je m'en rende compte.
Rien fait pour donner bonne figure à ta cuisine... Mon énergie était bien pour NOUS ; mais pas mise au bon endroit, et peut-être que ne pas la mettre là, dans cette activité-là, a été une de mes graves erreurs. Cela peut-être t'aurait "empêcher" de douter que je voulais et me sentais construire, construire, avec toi. Les derniers mois, je suis surtout venu quand K. et E. étaient là. Peut-être autais-je mieux fait de venir en leur absence pour faire cette chose là avec toi. Venir quand K. et E. étaient là disait pour moi ma volonté que nous deux se soit pour longtemps, longtemps, longtemps....
Je n'ai pratiquement jamais acheté de bouffe ! Je nous vivais "NOUS". Et je plaçais en face de toutes les fois où tu m'a nourris, logé, de toutes les dépenses que tu as faites pour moi, les coûts des trajets. Rétrospectivement, cela me semble un peu "dingue". Et je me dis que tu as peut-être eu la sensation que je vivais les week-end chez toi "à tes crochets" !
Manifestement, je n'ai pas su investir correctement notre relation. Tu le sais : je regrette terriblement de ne pas avoir su te donner envie que 'nous ensemble' continue, encore, encore, et encore. Je m'en veux profondément !
Et je regrette depuis ta décision de rupture de ne pas savoir trouver les mots, la manière, les actes qu'il faudrait pour te donner envie de recommencer, de tenter de recommencer ce "NOUS".
Si seulement je savais comment faire pour cela ! Si seulement je savais quoi faire pour cela !
Aucun signe de ta part ; je trouve cela dommage et triste. Pas grave, ai-je envie d'écrire, si cela ne fait du mal qu'à moi !
Sois heureuse. Même sans moi, sois heureuse ! Toi, K. et E., soyez heureux. Même sans moi, soyez heureux !
Vous resterez toujours, toujours, toujours, dans mon cœur. Et.... Et, si seulement ... :-(
Aucun, tjrs aucun signe de ta part. Je trouve cela dommage et triste.
Je regrette de ne pas avoir su te donner envie que 'nous ensemble' continue, encore et encore.
Je repense à des choses qui peut-être t'ont fait mal sans que je m'en rende compte.
Rien fait pour donner bonne figure à ta cuisine... Mon énergie était bien pour NOUS ; mais pas mise au bon endroit, et peut-être que ne pas la mettre là, dans cette activité-là, a été une de mes graves erreurs. Cela peut-être t'aurait "empêcher" de douter que je voulais et me sentais construire, construire, avec toi. Les derniers mois, je suis surtout venu quand K. et E. étaient là. Peut-être autais-je mieux fait de venir en leur absence pour faire cette chose là avec toi. Venir quand K. et E. étaient là disait pour moi ma volonté que nous deux se soit pour longtemps, longtemps, longtemps....
Je n'ai pratiquement jamais acheté de bouffe ! Je nous vivais "NOUS". Et je plaçais en face de toutes les fois où tu m'a nourris, logé, de toutes les dépenses que tu as faites pour moi, les coûts des trajets. Rétrospectivement, cela me semble un peu "dingue". Et je me dis que tu as peut-être eu la sensation que je vivais les week-end chez toi "à tes crochets" !
Manifestement, je n'ai pas su investir correctement notre relation. Tu le sais : je regrette terriblement de ne pas avoir su te donner envie que 'nous ensemble' continue, encore, encore, et encore. Je m'en veux profondément !
Et je regrette depuis ta décision de rupture de ne pas savoir trouver les mots, la manière, les actes qu'il faudrait pour te donner envie de recommencer, de tenter de recommencer ce "NOUS".
Si seulement je savais comment faire pour cela ! Si seulement je savais quoi faire pour cela !
Aucun signe de ta part ; je trouve cela dommage et triste. Pas grave, ai-je envie d'écrire, si cela ne fait du mal qu'à moi !
Sois heureuse. Même sans moi, sois heureuse ! Toi, K. et E., soyez heureux. Même sans moi, soyez heureux !
Vous resterez toujours, toujours, toujours, dans mon cœur. Et.... Et, si seulement ... :-(
samedi 21 mars 2015
Le week end n'est pas fini....
Le weekend n'est pas fini.... Je suis chez ma mère cet apm ; je suis là aussi lundi. Tu peux tjrs m'appeler, m'envoyer un sms, etc.
J'ai en tête la moue que tu as fait quand hier, dans la cuisine, je t'ai dit "Excuses-moi !"
Cette moue m'a semblé me dire "Pfffff..... Ton excuse là, tu peux te la garder ; c'est vraiment pour d'autres choses que tu devrais t'excuser à mon égard !!!!!" ou alors, "T'excuser pour cela et me 'hacher menu' par ailleurs !!! Tu te fous de moi ????"
Non, je ne fous pas de toi.
Et si (parfois?) mes écrits te blessent ; oui, ce sont mes écrits à moi et, à ce titre, ils m'engagent, il engage ce que je suis, bien évidement ; mais, ils sont aussi réactions à tes propres agissements / non agissements. Ils sont de fait aussi un miroir de tes propres agissements / non agissements.
Si quelque part, on est ce que l'on fait, alors quelque part, mes écrits sont aussi un miroir de toi-même.
J'ai en tête la moue que tu as fait quand hier, dans la cuisine, je t'ai dit "Excuses-moi !"
Cette moue m'a semblé me dire "Pfffff..... Ton excuse là, tu peux te la garder ; c'est vraiment pour d'autres choses que tu devrais t'excuser à mon égard !!!!!" ou alors, "T'excuser pour cela et me 'hacher menu' par ailleurs !!! Tu te fous de moi ????"
Non, je ne fous pas de toi.
Et si (parfois?) mes écrits te blessent ; oui, ce sont mes écrits à moi et, à ce titre, ils m'engagent, il engage ce que je suis, bien évidement ; mais, ils sont aussi réactions à tes propres agissements / non agissements. Ils sont de fait aussi un miroir de tes propres agissements / non agissements.
Si quelque part, on est ce que l'on fait, alors quelque part, mes écrits sont aussi un miroir de toi-même.
mercredi 18 mars 2015
Histoire de "torture"
Je sais pas si tout ce que j'ai fait, tout ce que j'ai dit, tout ce qui j'ai écris depuis que... te "torture" ; mais, si tu en doutais encore, tes silences, tes etc. , oui, je les vis comme autant de choses qui me "torturent".
Et toi, tu restes drapée( emprisonnée ?) dans ton mépris...ou je ne sais quoi !
J'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le besoin. M'accorderas tu cette faveur en mémoire des sentiments d'amour que je crois a minima que tu as eu pour moi, et de la bienveillance générale de ton "âme" (j'y crois encore !).
Oui, peut-être, cela te fera mal ! Ne peux-tu vraiment accepter cette douleur, dans l'espoir que j'ai que cela atténuerait les miennes ?
Au delà de cette douleur que tu crains manifestement, quels sont les risques ? Que j'aille plus mal encore ? Que tu ailles mal (ta mère- en réponse à question de ma part - m'a écrit que tu allais bien) ? Que tu ailles plus mal (Je t'imagines capable de donner le change à tout le monde, et il me semble, au risque de me tromper, que tu as pris quelques kilos que tu ne souhaites pas...) ?Que l'on retombe dans les bras l'un de l'autre ?
Je délire ? Peut-être. Quoi qu'il en soit, j'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le besoin.Et cela me fait mal que tu n'accpetes pas cela.
On va s'apercevoir sans doute Vendredi matin. Si seulement tu pouvais m'accorder un moment dans le courant de ce week-end !
Un moment, de préférence, dans un moment que je puisse "vendre" à C.... Sordide ?! Peut-être, à coup sur aux yeux de beaucoup et des siens, j'imagine, si elle savait.
Toi, je sais pas ; mais moi, je ne peux, in fine, dans la foulée de ton désamour, ne pas me détruire totalement, sans aucun mélange "au dessous / au dessus de la ceinture" ! Juste "au dessous de la ceinture", je ne peux. J'ai tenté pourtant ! Impuissance, envie de vomir, sensation de salissure... Manifestement, je suis plus apte à prendre le risque de faire mal pour assurer ma survie (pas réussi autre chose pour limiter alcool, laisser aller & co) qu'à baiser sans n'éprouver aucun sentiment.
Folie tout ça ? Moi, aujourd'hui, ici et maintenant, en tous cas ! A reprendre ou à continuer de laisser... Lol (+ ou -).
Et toi, tu restes drapée( emprisonnée ?) dans ton mépris...ou je ne sais quoi !
J'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le besoin. M'accorderas tu cette faveur en mémoire des sentiments d'amour que je crois a minima que tu as eu pour moi, et de la bienveillance générale de ton "âme" (j'y crois encore !).
Oui, peut-être, cela te fera mal ! Ne peux-tu vraiment accepter cette douleur, dans l'espoir que j'ai que cela atténuerait les miennes ?
Au delà de cette douleur que tu crains manifestement, quels sont les risques ? Que j'aille plus mal encore ? Que tu ailles mal (ta mère- en réponse à question de ma part - m'a écrit que tu allais bien) ? Que tu ailles plus mal (Je t'imagines capable de donner le change à tout le monde, et il me semble, au risque de me tromper, que tu as pris quelques kilos que tu ne souhaites pas...) ?Que l'on retombe dans les bras l'un de l'autre ?
Je délire ? Peut-être. Quoi qu'il en soit, j'aimerais te parler, longuement, te dire de vive voix ce que je ressens, d'entendre me dire de vive voix ce que tu éprouves. J'en ressens le besoin.Et cela me fait mal que tu n'accpetes pas cela.
On va s'apercevoir sans doute Vendredi matin. Si seulement tu pouvais m'accorder un moment dans le courant de ce week-end !
Un moment, de préférence, dans un moment que je puisse "vendre" à C.... Sordide ?! Peut-être, à coup sur aux yeux de beaucoup et des siens, j'imagine, si elle savait.
Toi, je sais pas ; mais moi, je ne peux, in fine, dans la foulée de ton désamour, ne pas me détruire totalement, sans aucun mélange "au dessous / au dessus de la ceinture" ! Juste "au dessous de la ceinture", je ne peux. J'ai tenté pourtant ! Impuissance, envie de vomir, sensation de salissure... Manifestement, je suis plus apte à prendre le risque de faire mal pour assurer ma survie (pas réussi autre chose pour limiter alcool, laisser aller & co) qu'à baiser sans n'éprouver aucun sentiment.
Folie tout ça ? Moi, aujourd'hui, ici et maintenant, en tous cas ! A reprendre ou à continuer de laisser... Lol (+ ou -).
mardi 17 mars 2015
Ton silence / tes silences / tes non réactions....
Quelque chose en moi me dit que tu me lis, que tu lis mes posts sur cette page, peut-être pas régulièrement, peut-être pas chaque jour, peut-être aussi pratiquement chaque matin, chaque soir, voire quelque midi aussi. Aucune certitude.
En tout cas, si tu as tout lu ou presque de ce que j'ai écris ici, et plus encore de tout ce que j'ai écris ici "ces derniers temps", ton silence, tes silences, tes non réactions.... pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
Je ne comprends pas ; je ne te comprends pas. Tu vas me dire (ou en tout cas, penser) : "C'est pas une nouveauté !" Acte. Certes, peut-être.
Dans tous les cas, quelle tristesse !
Sans vouloir te dicter ta conduite, plutôt comme un appel en forme de "Save My Soul", stp, envoies moi ne serait-ce qu'un SMS, quelque soit son contenu, pour simplement balayer cette sensation que j'ai d'être totalement méprisé (http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/m%C3%A9priser/50560).
En tout cas, si tu as tout lu ou presque de ce que j'ai écris ici, et plus encore de tout ce que j'ai écris ici "ces derniers temps", ton silence, tes silences, tes non réactions.... pffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff
Je ne comprends pas ; je ne te comprends pas. Tu vas me dire (ou en tout cas, penser) : "C'est pas une nouveauté !" Acte. Certes, peut-être.
Dans tous les cas, quelle tristesse !
Sans vouloir te dicter ta conduite, plutôt comme un appel en forme de "Save My Soul", stp, envoies moi ne serait-ce qu'un SMS, quelque soit son contenu, pour simplement balayer cette sensation que j'ai d'être totalement méprisé (http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/m%C3%A9priser/50560).
lundi 16 mars 2015
Ca me fait...
...mal. Çà me fait toujours aussi mal ! J'ai beau tenter de faire le deuil, ça me fait toujours aussi mal !
C'est dur, tu sais, de faire le deuil de relations avec des personnes que l'on aime et qui sont toujours vivantes !
C'est dur, tu sais, de faire le deuil de relations avec des enfants que l'on aime parce que leur mère a décrété qu'il devait en être ainsi !
A un endroit donné, ce décret , je le ressens là, ici et maintenant, comme une insulte à la vie, comme une insulte à ma vie dont j'ai parcouru bien plus que la moitié du chemin ! Ça passera sans doute cette sensation; alors, je t'en prie, ne me trouves pas, stp, trop salaud, trop enfoiré, d'écrire celà.
C'est juste que...j'ai beau tenter de faire le deuil, ça me fait toujours aussi mal ! Parce que je suis fou ? Si éprouver tant de mal à faire ces deuils, c'est être fou, alors je suis fou. Sinon, je ne suis pas fou. Je te laisse juge.
En tous cas, toi... tu t'en fous ; a minima, cela passe toujours pour l'heure après tout, tout, tout, tout le reste de tes considérations !
Et cela fait si longtemps que cela dure que je ne suis peut-être aujourd'hui plus qu'un vieux souvenir pour K & E (en plus d'un sacré emmerdeur pour toi...) !
J'ai beau tenter de faire le deuil, ça me fait toujours aussi mal ! Et toi... tu t'en fous. En tous cas, suffisamment, me semble-t-il, pour rester emmurer dans tes silences.
Quel gâchis avons-nous fait ! Au moins à un moment donné, elle fut si belle et si forte notre relation !!! Non ?
J'aimerais te parler ; mais je me sens interdit de t'appeler. Et toi, vis à vis de moi, tu restes emmurer dans tes silences.
C'est trop con, trop con. J'aimerais te parler ; mais je me sens interdit de t'appeler. Et toi, vis à vis de moi, tu restes emmurer dans tes silences. C'est trop con, trop con ; je trouve vraiment trop con qu'il en soir ainsi. Tout aussi con que ces cadeaux qui prennent la poussière...
Si seulement je savais quoi faire, comment faire pour changer tout cela. Si seulement tu voulais bien me guider vers quoi faire, comment faire pour changer tout cela.
En pensées, pleins de pensées douces pour K. et E qui vont sans doute aller bientôt se coucher, si cela n'est déjà fait. Pour toi aussi pleins de douces pensées même si, te concernant, c'est de fait mélangé à quelques doses de colère.
C'est dur, tu sais, de faire le deuil de relations avec des personnes que l'on aime et qui sont toujours vivantes !
C'est dur, tu sais, de faire le deuil de relations avec des enfants que l'on aime parce que leur mère a décrété qu'il devait en être ainsi !
A un endroit donné, ce décret , je le ressens là, ici et maintenant, comme une insulte à la vie, comme une insulte à ma vie dont j'ai parcouru bien plus que la moitié du chemin ! Ça passera sans doute cette sensation; alors, je t'en prie, ne me trouves pas, stp, trop salaud, trop enfoiré, d'écrire celà.
C'est juste que...j'ai beau tenter de faire le deuil, ça me fait toujours aussi mal ! Parce que je suis fou ? Si éprouver tant de mal à faire ces deuils, c'est être fou, alors je suis fou. Sinon, je ne suis pas fou. Je te laisse juge.
En tous cas, toi... tu t'en fous ; a minima, cela passe toujours pour l'heure après tout, tout, tout, tout le reste de tes considérations !
Et cela fait si longtemps que cela dure que je ne suis peut-être aujourd'hui plus qu'un vieux souvenir pour K & E (en plus d'un sacré emmerdeur pour toi...) !
J'ai beau tenter de faire le deuil, ça me fait toujours aussi mal ! Et toi... tu t'en fous. En tous cas, suffisamment, me semble-t-il, pour rester emmurer dans tes silences.
Quel gâchis avons-nous fait ! Au moins à un moment donné, elle fut si belle et si forte notre relation !!! Non ?
J'aimerais te parler ; mais je me sens interdit de t'appeler. Et toi, vis à vis de moi, tu restes emmurer dans tes silences.
C'est trop con, trop con. J'aimerais te parler ; mais je me sens interdit de t'appeler. Et toi, vis à vis de moi, tu restes emmurer dans tes silences. C'est trop con, trop con ; je trouve vraiment trop con qu'il en soir ainsi. Tout aussi con que ces cadeaux qui prennent la poussière...
Si seulement je savais quoi faire, comment faire pour changer tout cela. Si seulement tu voulais bien me guider vers quoi faire, comment faire pour changer tout cela.
En pensées, pleins de pensées douces pour K. et E qui vont sans doute aller bientôt se coucher, si cela n'est déjà fait. Pour toi aussi pleins de douces pensées même si, te concernant, c'est de fait mélangé à quelques doses de colère.
jeudi 12 mars 2015
Mais, bon ; bref...
Mais, bon ; bref... agis (ou n’agis pas !), comme tu penses que c'est le mieux.... a minima, pour toi.
Et, n'oublies jamais : JTM / JVM, comme un fou ou, JTM / JVM et je suis fou. En tous cas, JTM / JVM toujours. Et pffffffffffffffff
Et, n'oublies jamais : JTM / JVM, comme un fou ou, JTM / JVM et je suis fou. En tous cas, JTM / JVM toujours. Et pffffffffffffffff
Je...
Je.... Pour l'heure, je ne pense pas à toi moins souvent ; en revanche, je pense à elle de plus en plus souvent.
Si tu n'en as vraiment plus rien à battre de moi sur le terrain amoureux, alors tu peux en être contente : c'est sans doute en moi un prémisse de détachement, un prémisse à "?tirer un trait", sur notre histoire, un prémisse à "avoir changer de livre"
Si en revanche.... Mesures bien,Steph, mesures bien, toi que j'aime toujours, éprouves en toi, bien, tout, avant de nous faire passer définitivement à coté de cette suite heureuse, possible, ensemble, de notre histoire.
Ce serait très con, non, que, un jour,..... ?
Si tu n'en as vraiment plus rien à battre de moi sur le terrain amoureux, alors tu peux en être contente : c'est sans doute en moi un prémisse de détachement, un prémisse à "?tirer un trait", sur notre histoire, un prémisse à "avoir changer de livre"
Si en revanche.... Mesures bien,Steph, mesures bien, toi que j'aime toujours, éprouves en toi, bien, tout, avant de nous faire passer définitivement à coté de cette suite heureuse, possible, ensemble, de notre histoire.
Ce serait très con, non, que, un jour,..... ?
mercredi 11 mars 2015
lundi 9 mars 2015
Est-ce con ?
Est-ce con ? Est-ce con d'attendre un signe que l'on ne reçoit pas, d'espérer encore, et encore, de recevoir un signe qui n'arrive pas ? A l'affût, je consulte chaque jour ma boite mail, mes SMS, l'éventuelle réouverture de mon accès à ta page FB. Est-ce con ?
Est-ce con.... que tu ne m'adresses pas le signe que j'attends ? Est-ce con ?
Comment interpréter ton silence qui persiste ? Comme la poursuite de "Lâches-moi, lâches-moi ! Lâches-moi...". Comme une hésitation ? Est-ce con que ton silence qui persiste me donne à espérer, un peu ? Est-ce con.... si je n'ai vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment plus aucun amour à espérer de toi, que tu ne "profites" pas du temps présent (ie ma tentative de t'oublier dans les bras d'une autre !) pour me signifier autrement que par ton silence qui persiste que je n'ai vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment plus rien aucun amour à espérer de toi ?
Dis-moi, dis-moi, dis moi ! N'importe comment, de n'importe quelle manière, je t'en prie, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Est-ce con.... que tu ne m'adresses pas le signe que j'attends ? Est-ce con ?
Comment interpréter ton silence qui persiste ? Comme la poursuite de "Lâches-moi, lâches-moi ! Lâches-moi...". Comme une hésitation ? Est-ce con que ton silence qui persiste me donne à espérer, un peu ? Est-ce con.... si je n'ai vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment plus aucun amour à espérer de toi, que tu ne "profites" pas du temps présent (ie ma tentative de t'oublier dans les bras d'une autre !) pour me signifier autrement que par ton silence qui persiste que je n'ai vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment, vraiment plus rien aucun amour à espérer de toi ?
Dis-moi, dis-moi, dis moi ! N'importe comment, de n'importe quelle manière, je t'en prie, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi, dis-moi, dis-moi, dis moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Pfffffffffffffffffff
Pffffffffffffffff Pffffffffffffffff Pffffffffffffffff Peut-être liras-tu, peut-être ne liras-tu pas ! Mais ces "pffffff" que j'ai appris de toi, résument bien ce que je pense, ce que je ressens. Non sans colère. Parce que ces "Pffffffffffffffff Pffffffffffffffff Pffffffffffffffff" parlent aussi de tout ce que je te reproche !
Puur quoi n'ai-je pas perçu toute l'importance, toutes l'intensité, toute les textures, tout les malêtres, toutes les déceptions, toutes les mises en garde portées par tes propres "Pfffffffffffff" ?
Aussi bien dans ceux que tu as exprimés, que dans ceux que tu as tu, comme ce jour où j'ai sorti chez toi cette boite de papiers à trier, ou toutes ces fois où je t'ai dit que je n'avais encore pas fait remettre l'eau chaude chez moi, encore rien fait pour déménager..... La liste n'est pas exhaustive, bien entendu !
A l'époque, dans ma tête, ce fut autant de difficultés passagères qui ne mettaient rien en danger. Quel con j'ai été, je pense, de ne pas voir, de ne pas comprendre, qu'il s'agissait d'autant de goûtes d'eau qui....
Pfffffffffffffffff !!!!!!!!!!!
Puur quoi n'ai-je pas perçu toute l'importance, toutes l'intensité, toute les textures, tout les malêtres, toutes les déceptions, toutes les mises en garde portées par tes propres "Pfffffffffffff" ?
Aussi bien dans ceux que tu as exprimés, que dans ceux que tu as tu, comme ce jour où j'ai sorti chez toi cette boite de papiers à trier, ou toutes ces fois où je t'ai dit que je n'avais encore pas fait remettre l'eau chaude chez moi, encore rien fait pour déménager..... La liste n'est pas exhaustive, bien entendu !
A l'époque, dans ma tête, ce fut autant de difficultés passagères qui ne mettaient rien en danger. Quel con j'ai été, je pense, de ne pas voir, de ne pas comprendre, qu'il s'agissait d'autant de goûtes d'eau qui....
Pfffffffffffffffff !!!!!!!!!!!
vendredi 6 mars 2015
jeudi 5 mars 2015
Ultimes mots d'amour ?
Ok, d'accord, je craque et je passes sans doute un peu une nouvelle fois pour un "je sais pas quoi" à soulever un coin du rideau que j'ai posé sur ces pages, sur ce monologue alors que tu ne l'as pas fait.
Je me dis, là, ici et maintenant (ridicule, cette formule, "ici et maintenant" ? Je te laisse juge !).
que ce que j'éprouve vaut bien cette formule, et cette faiblesse....
Ultimes mots d'amour.... Ultimes mots d'amour ? Faire un nouvel enfant, ensemble,avec tout ce qui irait, et tout ce que cela supposerait autour, me comblerait. Mais si tu ne voulais simplement pas de nouvel enfant avec moi, ce ne serait pas un problème non plus, pourvu que... blablabla.... ensemble.
Là, je suis à Neuville (pour quelques minutes, encore, le temps de ma vaisselle....) Samedi, Dimanche, je serais a priori en escapade dans les Vosges.....
Demain, on se verra surement chez ma mère. Qu'est-ce que j'aimerais un volte-face de ta part, vis à vis de ta décision de rupture, ou ne serait-ce que le début d'un signe du début d'un prémisse d'un volte-face possible ! Mille manière, il pourrait y avoir mille manière à cela !!Mille manières, tu pourrais faire cela de mille manières. Le feras-tu ?
Je me dis, là, ici et maintenant (ridicule, cette formule, "ici et maintenant" ? Je te laisse juge !).
que ce que j'éprouve vaut bien cette formule, et cette faiblesse....
Ultimes mots d'amour.... Ultimes mots d'amour ? Faire un nouvel enfant, ensemble,avec tout ce qui irait, et tout ce que cela supposerait autour, me comblerait. Mais si tu ne voulais simplement pas de nouvel enfant avec moi, ce ne serait pas un problème non plus, pourvu que... blablabla.... ensemble.
Là, je suis à Neuville (pour quelques minutes, encore, le temps de ma vaisselle....) Samedi, Dimanche, je serais a priori en escapade dans les Vosges.....
Demain, on se verra surement chez ma mère. Qu'est-ce que j'aimerais un volte-face de ta part, vis à vis de ta décision de rupture, ou ne serait-ce que le début d'un signe du début d'un prémisse d'un volte-face possible ! Mille manière, il pourrait y avoir mille manière à cela !!Mille manières, tu pourrais faire cela de mille manières. Le feras-tu ?
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