Je voudrais rester scotcher là-haut, au-dessus de la brume
et de la grisaille.
J’aurais aimé que tu sois la première personne à te soucier
de mon retour.
J’aurais aimé que tu sois la première personne à qui j’annonce
mon retour. Et que l’on se dise : « Bientôt, bientôt, on se retrouve,
mon amour ! ». Je donnerais presque tout, pour t’tendre me dire :
« Bientôt, bientôt, on se retrouve, mon amour ! ».
J’aurais aimé que tu répondes à mon message FB d’hier par
quelques mots gentils ; ne serait-ce qu’un truc du genre : « Pffffffffff.
N’importe quoi ! Quoi qu’il se soit, Eric, je ne penserais jamais te
concernant que parfois j'aimerais être un pigeon pour pouvoir chier sur toi ».
Cela, m’aurait tranquillisé, rassurer. De même, j’espère ne pas avoir eu l’air
brillant d’abord, et con, ensuite. Je sais, faut pas que je prenne tout pour
moi !
Dans le rêve que j’avais fait, toi, K. et E. étions dans un
parc, genre Astérix. Pirogue descendant une chute d’eau. Toi devant, puis E,
puis K. puis moi. Dans ce rêve, nous faisions cela « en toutes amitiés »,
dans les « temps présents », c'est-à-dire, après ta décision de
rupture, etc.
A l’arrivée, tu te retournais, nos regards se croisaient, j’avançais ma main et tu la caressais doucement. Et dans ton regard, il me semblait percevoir une renaissance de ton amour…ou de la compassion. Et cette hésitation sur ce que je percevais m’a réveillé douloureusement.
A l’arrivée, tu te retournais, nos regards se croisaient, j’avançais ma main et tu la caressais doucement. Et dans ton regard, il me semblait percevoir une renaissance de ton amour…ou de la compassion. Et cette hésitation sur ce que je percevais m’a réveillé douloureusement.
Ce week-end, je « descends » à Neuville, jeudi
soir. Et je ne repartirais que le mardi soir.
J’aimerai revoir K. et E. Leur faire un petit coucou, les
embrasser, les serrer très fort dans mes bras.
J’aimerai te revoir aussi, en tête à tête. J’éprouve cela au-delà
d’une envie, comme un besoin. Besoin de t’entendre me dire où tu en es aujourd’hui.
M’accorderas-tu cela ?
Je t’aime toujours. Quoi qu’il advienne, de ta vie, de ma
vie, de nos vies, je t’aimerai toujours, toujours, toujours. Je t’embrasse.
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