mardi 14 octobre 2014

Ce soir, comparé à hier, c'est.....

Ce soir, ce bannissement de tes contacts FB, comparé à hier, c'est encore plus douloureux.
On peut la baptiser de tous les noms que tu veux cette sensation ; mais elle est bien là.

Pour quoi faire, écrire cela ici avec l'espoir que tu le lises ?  Pour que tu reviennes en arrière ? J'aimerais bien, oui ! Pour te faire culpabiliser ? Non ! Crois-mois, je ne cherche JAMAIS à te faire culpabiliser. Tu peux en douter ; tu en doutes sans doute, d'ailleurs ! Et tu ressens je pense bien des choses de ma part comme cela. Mais, non, crois-moi,  je ne cherche JAMAIS à te faire culpabiliser. T’écrire qu'à mes yeux, mon âme, mon corps, mon esprit, je trouve que tu te trompes, que tu ne fais pas le bon choix, ou que t'écrire que je pense que tu ne fais pas de la bonne manière, pour moi, ce n'est pas chercher à te faire culpabiliser. C'est juste dire, qu'à mes yeux, mon âme, mon corps, mon esprit, je trouve que tu fais erreur. Et on est jamais coupable de faire erreur ! On ne peut être coupable que d'intentions de nuire. Ou de savoir que l'on nuit sans prendre la peine de chercher à faire autrement. Non ? Mais je ne crois pas que cela soit ton cas.

Pour quoi faire, écrire cela ici avec l'espoir que tu le lises ? Chercher un peu de compassion, je pense (http://fr.wikipedia.org/wiki/Compassion). Et te voir témoigner de compassion. Peut-être le fais-tu ; peut-être que mes douleurs me rendent aveugles à cela. En tous cas, pas de pitié, emprunte de condescendance (http://fr.wikipedia.org/wiki/Piti%C3%A9) !

Lorsque l'on aime d'Amour, on compatit nécessairement, il me semble. Comme j'ai compati pour ton bras ; et compatis encore pour ton bras. Comme tu as sans doute compati pour mes problèmes de boulot (enfin, j'espère !). Lorsque l'on compatit sans aimer d'Amour, peut-on à nouveau aimer d'amour ? J'espère que oui, et c'est sans doute l'une des marques de différences entre compassion et pitié.

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