Je rentre de N.. Et je viens de me rendre compte que tu m’avais exclu de
tes contacts FB. Cela me fait mal, mal, très mal !
De là où j’en suis en ce moment, je te demande de m’aider à surmonter le mal qui me ronge, ma perte insidieuse de confiance dans toutes les relations humaines (que je peux entretenir)… Et toi, tu me claques la porte au nez. Bravo ! Cela me fait mal, mal, très mal ! Pas certain que cela m’aide à aller mieux…
De là où j’en suis en ce moment, je te demande de m’aider à surmonter le mal qui me ronge, ma perte insidieuse de confiance dans toutes les relations humaines (que je peux entretenir)… Et toi, tu me claques la porte au nez. Bravo ! Cela me fait mal, mal, très mal ! Pas certain que cela m’aide à aller mieux…
Je « t’en
veux beaucoup » - colère ! - de rajouter cela à tes silences.
Pour autant, cela n’arrive pas à entamer l’amour que
je te porte !
Je me dis que pour que tu en arrives là, j’ai dû, tellement je suis mal, sans le vouloir, sans m'en rendre compte, terriblement te
blesser. Je te demande pardon pour toutes ces blessures que j’ai pu t’infliger.
Animal meurtri que se débat et ne voit même pas le mal qu’il peut faire en se
débattant ! Cela doit, sans doute, valoir, pour nous deux…
Dans ma tête, mon monde à moi, celui dont je rêve - j’y
peux rien, je n’arrive pas à faire autrement, et quelque part, cela m’arrangerait
bien aujourd’hui de réussir à faire autrement -c’est toi ; cela reste toi,
et ce « nous » nouveau
auquel j’aspire.
Demain peut-être, tes colères, tes amertumes, tes rancœurs
à mon égard, seront apaisées. Après demain peut-être… On verra… Comme j’aimerai
t’entendre penser et dire cet « on
verra… ». Je t’aime. Et je crois bien que je t’aimerais « toujours, toujours, toujours ».
Sans rancune. Je t’aime. Et si tu lis cela ce soir, j’espère,
s’il en était besoin, que cela permettra d’apaiser quelque tourment. Dors
tranquille mon amour (qui aujourd’hui ne m’aime plus).
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