mardi 15 juillet 2014

Je pense à toi

Je pense à toi, quasiment en boucle.
Peut-être l'ai-je déjà dit, peut-être l'ai-je déjà écrit.
Je ne sais pas, je ne sais plus.
Le fait est là en tout cas : je pense à toi, quasiment en boucle.
Je n'écris pas cela pour te faire culpabiliser.

C'est vrai que j'aimerais que tu le lises ; c'est vrai que je souhaite que tu le saches.

C'est vrai que j'aimerais que tu mesures l'intensité de l'amour que je porte, intensité dont tu n'as / n'avais pas pris la juste mesure, si j'en crois ce que tu m'as dit, lorsque l'on s'est vu samedi...

C'est vrai que j'aimerais que savoir cela ravive quelques braises en ton cœur.

C'est vrai que j'aimerais que tu te dises qu'avec un amour gros comme celui que je te porte, une fois les difficultés et les égarements d'hier et d'aujourd'hui surmontées,  notre histoire ne peut pas être un échec, notre histoire peut produire des tonnes et des tonnes de bonnes heures.

Et le bonheur, qui, tu le sais bien, ne peut pas être un état permanent de de plénitude continue ; mais quelque chose qui se gagne petit à petit, avec beaucoup d'efforts, en particulier, quand, comme dans notre cas, toutes les conditions ne sont pas réunies, même au bout de deux ans et demi ; le bonheur, donc, pour toi et moi, n'est-ce pas ces tonnes et tonnes de bonnes heures que nous pourrions vivre ensemble, une fois surmontée la crise présente ?

Je pense tout cela ; et j'écris ces choses-là, et je pense à toi, quasiment en boucle, parce que j'éprouve tout cela. Mais non, grand dieu, non, je n'écris cela pour tenter de te faire culpabiliser !

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