lundi 28 juillet 2014

Je n’arrive pas à comprendre ! Qu'est-ce qui fait que tu ?



Je n’arrive pas à admettre cette rupture que tu as décidée, faute de réussir à percevoir toutes ces choses que tu juges comme  non réparables, comme impossible à redresser dans notre relation cassée.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu te sentes mieux d’avoir rompu.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu préfères aujourd’hui un futur sans moi avec toi, un futur sans « nous » , plutôt que l’un de ces futurs dont nous avons pu rêver ensemble « autrefois ». Qu'est-ce qui te fait te dire que tu seras plus heureuse sans moi qu'avec moi ? Qu'est-ce qui te fait te dire maintenant qu'il est impossible que je te rendes heureuse ?

Je n’arrive pas  à comprendre ce qui fait que tu ne ressentes plus d’amour pour moi.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu n’as pas envie d’être avec moi, là maintenant. Ce serait tellement beau que tu m'appelles là ce soir, et de faire / refaire l'amour ensemble ce soir. De nous donner des tonnes de plaisir et d'amour, et d'Amour, comme il me semble que nous avons su le faire. Pour quoi ne veux-tu pas revivre cela ?

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu partiras le cœur joyeux, en vacances, là, dans les prochains jours, dans le Jura, avec K. et E. , en ce lieu que nous avions choisi (au moins un peu !) ensemble.

Que s’est-il  passé, bordel de merde, entre ce 13 février où tu avais réservé POUR NOUS et maintenant, entre ce 13 février et ta décision de rupture ??!!!

Pour quoi « ne vides-tu pas ton sac  » ????!!!!!  Pour quoi ne me balances-tu pas à la figure, au visage, toutes tes rancœurs, toutes tes déceptions, tous tes griefs, tous tes désespoirs à l’égard de moi et de notre relation ? Pour quoi faire me refuses-tu cela ?????!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Qu’est-ce qui fait que tu trouves digne de me refuser ces mots-là ????? Te rends-tu compte à quel point l'absence de ces mots-là m'abîme, me ravage ? Sans doute pas, peut-être pas, autant que ta décision de rupture. Mais, putain, dieu que l'absence de ces mots-là en rajoute des tonnes à mon mal-être !

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