J’aimerais t’appeler, j'aimerais entendre le son de voix, te demander
de tes nouvelles « en direct », recevoir de tes nouvelles « en
direct ».
Je voudrais savoir comment tu vas, et ne vas pas. Savoir comment tu
vis ce que la médecine du travail t’as dit. Percevoir dans tes propos comment
tu vis le fait de travailler là, alors que ce n’est sans doute pas vraiment bon
pour ta santé....
Sentir aussi (évidement !) comment, aujourd’hui
; tu vis cette rupture que tu as voulue, et que j’aimerais tant te voir jeter aux orties.
Savoir aussi si tu lis / si tu as lu, ce que
j’ai écrit sur cette page depuis le week-end du 13.
J’aimerais savoir comment vont K. et E. , si tu as eu
plus de nouvelles que tu n’en avais jeudi dernier.
J’aimerais, j’aimerais, j’aimerais… mais je n’ose pas
encore.
Tout compte fait, cela ne fait guère plus d’une semaine que je t’ai vu, ce samedi maudit où je t’ai rendu tes clefs et suis reparti de chez toi, mes affaires « sous
le bras » !
Guère plus d’une semaine… à certains égards, il me semble
que c’était il y a un instant. A d’autres, il y a des siècles !
Je me souviens que ce samedi là, tu m’as dit quelque chose comme : « tu
peux appeler, de temps en temps ». C’est quoi, lol, « de temps en
temps », dans le cas présent ??!!
Il me semble de mon côté t’avoir écrit depuis, quelque part, de ne
pas hésiter à m’appeler si l’envie te prenait. Cela n'a pas eu lieu. Vraiment, vraiment, si l’envie te prenait, n’hésites pas, quel que soit la
source ou les raisons d’une telle envie ! Mon fixe est KO ; sur le portable, donc, , si l’envie te prenait.
N’hésites pas, car moi, là, je n’ose pas !
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