mercredi 30 juillet 2014

Tes silences qui continuent, tes non-dits persistants, l’indifférence et le mépris que j’y vois…



Tes silences qui continuent, tes non-dits persistants, l’indifférence et le mépris que j’y vois me sont assourdissants et me gangrènent.

Tu t’en fous vraiment ?!

Et si tu ne t’en fous pas, pour quoi faire ne me le dis-tu pas, pour quoi faire ne m’appelles-tu pas pour me le dire, pour quoi faire ne m’invites-tu pas à passer te voir, pour me faire comprendre de manière forte et claire que tu ne t’en fous pas ????

Pour quoi faire me laisses-tu ainsi totalement seul, en prise uniquement avec moi-même et mes incompréhensions, à quelques kilomètres seulement de toi ?!

L’autre jour, au téléphone, tu m’as dit pour me signifier que tu n’avais pas beaucoup de temps à m’accorder : « J’ai une vie, MOI !! »

Sensation horrible de t’entendre penser : « Dégages ! Je n’ai plus de temps à perdre avec toi ! ».

Tristesse infinie de ressentir cela comme un piétinement, comme une négation de la valeur de tout ce que nous avons vécu ensemble, au moins jusqu’en ce début d’année. Tristesse infinie de ressentir cela comme un piétinement, comme une négation de mon humanité, de l’humanité que tu m'accordes. 

Même si tu ne ressens plus d’amour pour moi, je ne comprends pas que tu puisses me faire cela ! Et me laisser ainsi emmurer dans tes silences et tes non-dits.

mardi 29 juillet 2014

A propos d'enterrement...



En l'état actuel de tes non-réponses à mes interrogations, et de ce qu’elles suscitent en moi comme impression de comportements méprisants et indifférents, à mon égard, et à l'égard de ce que je ressens, si jamais il devait m'arriver quoi que ce soit de mortel (ce que je ne souhaite pas ! mais il semblerait que l'on puisse parfois croiser des camions benne de manière horrible...), merci de ne pas te rendre à mon enterrement, ni de mettre quel que pied que ce soit devant ma tombe.

A ces moments-là, je n’aurais plus besoin que tu te soucies de quoi que ce soit me concernant ! A ces moments-là, le fait que tu m’aies sorti de ta vie comme tu l’as fait ne me poserait plus aucun problème.

P.S. La fille qui s’est suicidée, c’est la fille de la voisine juste au-dessus de chez toi, de celle qui fait le ménage « au petit matin », et secoue son linge au-dessus de tes balcons ?

lundi 28 juillet 2014

Je n’arrive pas à comprendre ! Qu'est-ce qui fait que tu ?



Je n’arrive pas à admettre cette rupture que tu as décidée, faute de réussir à percevoir toutes ces choses que tu juges comme  non réparables, comme impossible à redresser dans notre relation cassée.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu te sentes mieux d’avoir rompu.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu préfères aujourd’hui un futur sans moi avec toi, un futur sans « nous » , plutôt que l’un de ces futurs dont nous avons pu rêver ensemble « autrefois ». Qu'est-ce qui te fait te dire que tu seras plus heureuse sans moi qu'avec moi ? Qu'est-ce qui te fait te dire maintenant qu'il est impossible que je te rendes heureuse ?

Je n’arrive pas  à comprendre ce qui fait que tu ne ressentes plus d’amour pour moi.

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu n’as pas envie d’être avec moi, là maintenant. Ce serait tellement beau que tu m'appelles là ce soir, et de faire / refaire l'amour ensemble ce soir. De nous donner des tonnes de plaisir et d'amour, et d'Amour, comme il me semble que nous avons su le faire. Pour quoi ne veux-tu pas revivre cela ?

Je n’arrive pas à comprendre ce qui fait que tu partiras le cœur joyeux, en vacances, là, dans les prochains jours, dans le Jura, avec K. et E. , en ce lieu que nous avions choisi (au moins un peu !) ensemble.

Que s’est-il  passé, bordel de merde, entre ce 13 février où tu avais réservé POUR NOUS et maintenant, entre ce 13 février et ta décision de rupture ??!!!

Pour quoi « ne vides-tu pas ton sac  » ????!!!!!  Pour quoi ne me balances-tu pas à la figure, au visage, toutes tes rancœurs, toutes tes déceptions, tous tes griefs, tous tes désespoirs à l’égard de moi et de notre relation ? Pour quoi faire me refuses-tu cela ?????!!!!!!!!!!!!!!!!! 

Qu’est-ce qui fait que tu trouves digne de me refuser ces mots-là ????? Te rends-tu compte à quel point l'absence de ces mots-là m'abîme, me ravage ? Sans doute pas, peut-être pas, autant que ta décision de rupture. Mais, putain, dieu que l'absence de ces mots-là en rajoute des tonnes à mon mal-être !

Te souviens tu que l'on s'était dit... ou pour le moins que j'avais dit...

Te souviens tu que l'on s'était dit... ou pour le moins que j'avais dit... que l'on ne se cacherait pas nos malaises.... s'il venait a y en avoir.....

J'aurais du préciser : et si on les exprime et que l'autre n'en perçois pas l'ampleur (comme je n'ai manifestement pas su percevoir l'ampleur de tes malaises !!!) , alors on tapera franchement du poing sur la table avant qu'il ne soit trop tard  !

Je l'ai dit, je le réécris : cela me rend furieux contre nous que l'on ait pas su faire ça. Pourtant, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais, j'y croyais !!!

Cela me semble trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con,  trop con, !!!!!!!!!

Pfffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffffff

Qu''est-ce qui a fait que l'on a raté cela ?! !

dimanche 27 juillet 2014

Comment espérais-tu que je le vive ?!

En l'espace d'un peu plus ou un peu moins d'une semaine, alors que je ne m'y attendais pas du tout, tu m'as signifier, d'abord la destruction possible des plus importants futurs que je m'étais forgé dans mon esprit au fil d'un peu plus de deux ans de "nous", puis la destruction effective de ces futurs.

Avec peu d'explications, sans aucun ultimatum préalable, sans aucune véritable mise en garde préalable, sans me donner aucune véritable chance d'éviter ce désastre, ou de m'y préparer.

Comment espérais-tu que je vive cela ?! T'es-tu vraiment posé cette question-là ? Comment espérais-tu que je réussisse à vivre cela ?!

Je vais le faire pour....

Oui, je vais faire toute les choses que j'ai à faire, pour moi  Oui, je vais faire aussi ce que j'ai décidé de faire, pour moi. Vivre à Paris pour moi n'a plus de sens, Vivre à Paris pour moi n'est plus depuis longtemps qu'une contrainte.

Mais combien j'aimerais que ton esprit et dans ton cœur, cela redonne un jour du sens au "nous" qui nous unissez !

Je sais que si je ne fais pas toutes les choses que j'ai à faire, et que si je ne fais pas aussi ce que je projetais de faire, en l’occurrence, un tout petit peu plus tôt (novembre versus janvier), que je ne pensais le faire, ce "nous" ne renaitra jamais.

Alors, oui ! Oui, quelque part aussi, oui, je parie ! Je parie sur moi. Je parie sur toi. Je parie sur l'amour que je te porte. Je parie sur l'amour que tu me portais, cet amour que tu ressens aujourd’hui comme mort. Oui, je parie aussi sur sa renaissance possible.

vendredi 25 juillet 2014

Jil Caplan - Tout c'qui nous sépare

Serais-tu fâchée contre moi ? Ou..

Je t'ai laissé deux messages téléphoniques avant hier, un sur le répondeur du fixe, l'autre sur celui du mobile.
Je t'ai adressé un SMS ce matin. Un léger et gentil SMS, il me semble !

Aucun retour de ta part. Rien. Serais-tu fâchée contre moi ? Ou te suis-je devenu à ce point, indifférent ? Ou te suis-je devenu à ce point... étranger !

De ces trois possibilités, je crois qu'à tout prendre, c'est encore la première que je préférerais !

mercredi 23 juillet 2014

Six convictions profondes

1) Je peux te rendre heureuse ;
2) Tu peux me rendre heureux ;
3) Nous pouvons être heureux ensemble ;
4) Je suis en train de supprimer tous les obstacles objectifs que j'identifie ;
5)  Au final, cela ne dépendra que de tes ressentis, de tes émotions, et de tes choix ;
6) Je ne peux t'obliger à rien, juste te donner à voir, te proposer, t'inviter,  ;
7) Ce sera trop con si nous passons à coté de ce bonheur que je crois vraiment à portée de nos mains, et de nos cœurs.

Je t'aime. Et rien ne me fait peur pour tenter de reconquérir ton amour !

Télétravail...

Accord de principe : à partir de mi-octobre / début novembre. En général, jeudi et vendredi sur Paris. Lundi, mardi et mercredi dans l'Est.

Bisous matin

Je te souhaite une bonne et belle journée. Plein de courage pour le boulot, et pas beaucoup de douleurs dans ton bras, du fait du boulot.

Il était une fois - J'ai Encore rêvé d'elle

J'ai encore rêvé de toi !! Pfffffff

lundi 21 juillet 2014

Toujours / A nouveau

Je t'aime. Toujours. Et il se pourrait bien que je t'aime pour toujours.

Allez, aimes moi à nouveau !

Je te le promets : ce sera une belle histoire, comme cela a été "hier" (ou "avant hier", si tu préfères !) ; ce sera à nouveau une belle histoire, une grande histoire, aussi longtemps que je serais "vaillant" :-)

J’aimerais t’appeler ; mais je n’ose pas



J’aimerais t’appeler, j'aimerais entendre le son de voix, te demander de tes nouvelles « en direct », recevoir de tes nouvelles « en direct ».
Je voudrais savoir comment tu vas, et ne vas pas. Savoir comment tu vis ce que la médecine du travail t’as dit. Percevoir dans tes propos comment tu vis le fait de travailler là, alors que ce n’est sans doute pas vraiment bon pour ta santé....

Sentir aussi (évidement !) comment, aujourd’hui ; tu vis cette rupture que tu as voulue, et que j’aimerais tant te voir jeter aux orties.

Savoir aussi si tu lis / si tu as lu, ce que j’ai écrit sur cette page depuis le week-end du 13.

J’aimerais savoir comment vont K. et E. , si tu as eu plus de nouvelles que tu n’en avais jeudi dernier.

J’aimerais, j’aimerais, j’aimerais… mais je n’ose pas encore.

Tout compte fait, cela ne fait guère plus d’une semaine que je t’ai vu, ce samedi maudit où je t’ai rendu tes clefs et suis reparti de chez toi, mes affaires « sous le bras » !

Guère plus d’une semaine… à certains égards, il me semble que c’était il y a un instant.  A d’autres, il y a des siècles !

Je me souviens que ce samedi là, tu m’as dit quelque chose comme : « tu peux appeler, de temps en temps ». C’est quoi, lol, « de temps en temps », dans le cas présent ??!!

Il me semble de mon côté t’avoir écrit depuis, quelque part, de ne pas hésiter à m’appeler si l’envie te prenait. Cela n'a pas eu lieu. Vraiment, vraiment, si l’envie te prenait, n’hésites pas, quel que soit la source ou les raisons d’une telle envie ! Mon fixe est  KO ; sur le portable, donc, , si l’envie te prenait.

N’hésites pas, car moi, là, je n’ose pas !

Bisosu bonne semaine.

Bon courage boulot ! Je t'aime.

Jalousie (3)

Hier, donc, c"était samedi. Et K. et E. sont avec leur père...

Peut-être es-tu sorti.... En boite, "comme avant" ? Peut-être as tu eu envie de faire l'amour ?

Dans ma tête, dans mes tripes, bribes des bribes de récits que tu m'as faits, bribes des choses que tu m'as dites.

Et si tu es sortir "en boite ou dans un bar", avec, en toi, l'envie de faire l'amour..... J'imagine aisément la suite ! Il te suffit évidement de claquer des doigts pour satisfaire ce genre d'envie.

Je me raccroche en me disant : non, qu'en fait, non, t'es pas sortie en boite ou dans un bar, et que tes bras ne se sont encore pas refermés sur un autre que moi, que, depuis que tu m'as plaqué,  tu n'as pas encore dit, d'une manière ou d'une autre, à un autre que moi, "Tss; arrêtes ! c'est moi qui prend les commandes !"

 Je t'imagines avoir fait l'amour avec un autre que moi, de la manière dont tu m'as fait l'amour la première fois où nous avons fait l'amour dans ton lit. Je t'imagines avoir fait l'amour avec un autre que moi, de la manière dont nous avons fait l'amour la première fois où tu es venue à I.

Je t'imagine fermant tes volets en prévision de.... Je t'imagine avoir fait hier l'amour avec un autre que moi, d'abord sur ton canapé, puis dans ton lit. Avoir ri peut-être même, avec un autre que moi, des lattes de ton sommier foutant le camps ! Avoir enfin, avec un autre que moi, repousser la tête du lit contre le mur, le corps repu, des étoiles plein la tête.Avoir garder les volets de la cuisine fermés, T'être préparé des cigarettes, nue, nue dans cette nudité impudique et naturelle qui te va si bien. J'imagine le regard de cet autre que je ne connais pas et que j'imagine, posé sur ton corps,, sur ton visage, planté dans ton regard

J'imagine et j'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!!  J'enrage à ces idées là !!!

J'imagine et j'enrage à ces idées là !!!J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! J'enrage à ces idées là !!! 

dimanche 20 juillet 2014

Tu n'as pas fait de moi hier

Tu n'as pas fait de moi hier soir le plus heureux des hommes. Mais je continue d'espérer que cela arrive un jour.

Tu me manques, tu me manques, tu me manques. Je suis pas certain que tu imagines vraiment à quel point tu me manques !

Ne pas entendre ta voix, ne pas voir ton visage, ne pas profiter de ton regard, de tes sourires ; ne pas sentir tes mains sur moi, ne pas sentir mes mains sur toi, ne pas t"embrasser, ne pas sentir ton odeur, ne pas sentir ton corps contre le mien.... C'est dingue, ça me rends fou !

samedi 19 juillet 2014

....

...

Combien de chance

Combien de soir ce soir pour que tu viennes comme je rêverais que tu viennes ? 0,00001 sur 1 milliard ? Moins encore ? Sans doute. Pourtant, pourtant, quelque part au fond de moi, j'attendrais ta venue toute la soirée. Et si tu venais ainsi comme j'en rêve, tu ferais de moi l'un des hommes les plus heureux de la terre !

Paris, Nancy, T. , Descartes, semaine prochaine & co

Je viens d'avoir l'info par SMS : T. vient de recevoir son "affectation"  : elle est orientée sur la faculté de médecine  Paris Descartes, réputée être la "meilleure" et la plus dure de France.

La semaine prochaine (j'en pas encore parlé à T.), j'ai un rendez-vous avec mon supérieur hiérarchique pour évoquer les possibilités de basculer en télétravail 3 jours par semaine à partir d'octobre / novembre (2014), les lundi, mardi, et mercredi.

Tout à l'heure, quand j'ai eu  T. au téléphone, je lui ai parlé du rdv que j'ai pris pour la semaine prochaine, et je  lui ai demandé également de bien réfléchir : ne souhaiterait-elle pas basculer sur la fac de médecine de Nancy. Elle m'a dit que "non". C'est son choix. Mais cela ne changera rien au mien, si ma hiérarchie m'en donne la possibilité. Si ma hiérarchie m'en donne la possibilité, à partir d'octobre / novembre (2014), je ne serais plus que deux jours par semaine à Paris.

Voilà, à un endroit donné, où j'en suis.



Et en toi, non, ça ne fait rien ?

Et en toi, non, me savoir à N., juste à quelques kilomètres de toi, cela n'engendre rien ? Aucune envie de me voir, de nous serrer dans les bras l'un de l'autre, au présent, etc. De regarder à nouveau ensemble vers le futur, etc. Non, rien de tout cela ? Vraiment, rien ? En toi, cela ne fait vraiment rien ?

Sorcier SVP !

Tu me manques, tu me manques, tu me manques. Tout de toi me manque !

J'aimerais connaitre un sorcier, qui t'envoute pour faire renaitre instantanément en toi, ton amour pour moi. Avant que j'ai fini de réparé dans ma vie toutes ces choses qui me semblent avoir alimenter ton désamour.

vendredi 18 juillet 2014

De nouveau être à N. et te savoir si proche à V...

Les boules, les boules, les boules !
Je t"aime.Je t'aime. Je t'aime.
Putain, c'est fous comme tu me manques et comme ton amour me manque.
Je vais tout faire  ce que je crois devoir faire pour tenter de regagner ton amour !!

Mais bordel, qu'es-ce que j'aimerais que tu me dises comment faire pour être certain d'y arriver.
Bordel, qu'est-ce que je donnerais pas pour être certain d'y arriver !

J'aimerais que tu m’appelles, me dise de te rejoindre à Vaucouleurs.
J'aimerais être avec toi.
J'aimerais te faire l'amour.

N'hésites pas à m’appeler si seulement l'ombre de l'ombre du envie de le faire te prenait !

Qu'est ce que j'aimerais samedi soir !

Qu'est ce que j'aimerais samedi soir que tu nous rejoignes à l'improviste à la fête de N. et que tu viennes vers moi me dire quelque chose comme : "Je peux me joindre à vous ? J'aimerais réessayer...."

Qu'est-ce que j'aimerais quelque chose comme cela !

Lis tu ici ces mots que j'écris ici ?

Je me pose cette question chaque jour ! Lol / Snouf !

J'ai rêvé de toi

Dans mon sommeil, j'ai rêvé de toi, d'un avenir commun avec toi, d'une vie avec toi, Kentin et Elisa,une bonne partie de la nuit. Et je crois bien qu'on y était heureux, tous ensemble.

Si seulement, c'était prémonitoire !

Bisous. Bon vendredi.

Je te souhaite le moins de douleur, de gêne possible, le plus de force possible, dans ton bras. Si je pouvais te le guérir, là, à l'instant, d'un coup de baguette magique, je le ferais immédiatement.

jeudi 17 juillet 2014

Courage, courage !

Courage, courage pour ton bras ! Ma mère m'a parlé de ce que t'avait dit la médecine du travail. Ne broies pas trop de noir pour cela.

J'aurais envie de te dire plein de choses à propos de cela; mais je me dis que tu pourrais mal le prendre, le comprendre,  le recevoir.

Alors juste blablabla.

PS Je t'aime !

Si le ciel...

Je t'aime ! Tu le sais bien.

Sil le ciel me sourit un peu, je saurais faire renaitre en toi ton amour de moi !

Mais le ciel n'aide que ceux qui s'aident.... "Aide-toi et le ciel t'aidera..." , dit le proverbe. N'est-ce pas !

Tu peux compter sur moi pour fournir les efforts nécessaires et tenter tout ce que je peux pour te redonner foi et envie en un avenir commun. Je demande juste au ciel de me sourire un peu pour que cela ce ne soit pas en vain  :-)


Bisous jeudi matin

Jeudi matin ! Dans normalement moins de trois heures, tu seras chez ma maman. Je suis content que cela soit préservé. Elle en a besoin, et toi aussi je penses que cela t'apporte quelque chose.

Je me souviens de quand tu me disais : "Si je dois choisir entre toi et ta mère, je choisirais ta mère !" L'hstoire aujourd'hui ne se pose pas en ces termes. Mais gardes ma mère, à défaut de me garder, moi !

Tu vas passer devant chez R. et A., et tu auras une pensée pour eux, comme j'ai à l'instant une pensée pour eux. Si seulement les défunts pouvaient lire en l'âme des vivants, voir leur vérité  intérieure, et les guider !" Je crois qu'alors R. et A. te guideraient à nouveau vers moi. C'est ce que je crois.C'est ce que je crois.

Bisous matin. Bonne journée à toi. N'en fait pas trop ; penses à ton bras ! Prends bien soin de toi.

mercredi 16 juillet 2014

Qu'est-ce que j'aimerais ne pas

Qu'est-ce que j'aimerais ne pas me sentir déchirer pas cette rupture que tu as voulu !
Comme ce serait plus simple, plus confortable.
Comme j'aimerais ne vivre cela que comme une petite cicatrice de plus !

Mais non, mais non, j'ai en moi la sensation d'un bel avenir fracassé parce que je n'ai pas su être et faire comme il faut pour que tu ne cesses pas de croire en lui jusqu'à ce qu'on l'atteigne.Et j'enrage contre moi.


J'avance, à petits pas

Je me bats pour régler leur compte à toutes ces choses que j'identifie comme étant, ou comme comptant parmi '[mes] "petits" travers qui ne [ t']amusent plus'.

Je ferraille, ou je fourbis mes armes,  terrain juridique, et malheureusement, le boulot (qui pompe tjrs des tonnes d'énergie pour sauver ... mon job). Mais faut aussi que je m'occupe des autres fronts que j'ai négligés : vie pratique, finance, ....

J'avance pas vite ! Sensation de n'avancer qu'à tous petits pas. Mais j'avance !  Et j'espère.

Bisous

Bisous matin. Bonne journée à toi. Bon courage pour le boulot. Une nouvelle journée démarre, et je sais "déjà" que c'est pas aujourd'hui que je cesserais de t'aimer. Snouf !

mardi 15 juillet 2014

Je pense à toi

Je pense à toi, quasiment en boucle.
Peut-être l'ai-je déjà dit, peut-être l'ai-je déjà écrit.
Je ne sais pas, je ne sais plus.
Le fait est là en tout cas : je pense à toi, quasiment en boucle.
Je n'écris pas cela pour te faire culpabiliser.

C'est vrai que j'aimerais que tu le lises ; c'est vrai que je souhaite que tu le saches.

C'est vrai que j'aimerais que tu mesures l'intensité de l'amour que je porte, intensité dont tu n'as / n'avais pas pris la juste mesure, si j'en crois ce que tu m'as dit, lorsque l'on s'est vu samedi...

C'est vrai que j'aimerais que savoir cela ravive quelques braises en ton cœur.

C'est vrai que j'aimerais que tu te dises qu'avec un amour gros comme celui que je te porte, une fois les difficultés et les égarements d'hier et d'aujourd'hui surmontées,  notre histoire ne peut pas être un échec, notre histoire peut produire des tonnes et des tonnes de bonnes heures.

Et le bonheur, qui, tu le sais bien, ne peut pas être un état permanent de de plénitude continue ; mais quelque chose qui se gagne petit à petit, avec beaucoup d'efforts, en particulier, quand, comme dans notre cas, toutes les conditions ne sont pas réunies, même au bout de deux ans et demi ; le bonheur, donc, pour toi et moi, n'est-ce pas ces tonnes et tonnes de bonnes heures que nous pourrions vivre ensemble, une fois surmontée la crise présente ?

Je pense tout cela ; et j'écris ces choses-là, et je pense à toi, quasiment en boucle, parce que j'éprouve tout cela. Mais non, grand dieu, non, je n'écris cela pour tenter de te faire culpabiliser !

Ton amour me manque

Il me manque terriblement !

Tes confitures aussi...

Drôle de hasard du calendrier : ma réserve de tes confitures se sera épuisée en même temps que ta sensation d' amour pour moi !

Je viens de poser à l'instant la dernière cuillère  sur une biscotte. Tes confitures vont me manquaient aussi. Lol.

Bien moins que ton amour, bien sur !  Mais bon, elle a un goût un peu amer cette dernière cuillère.

Pensées. Bisous matin.

Je te souhaite la meilleure forme possible. Le moins de gêne et de douleurs possible au niveau de ton bras.
Je pense à toi. Je t'aime.

lundi 14 juillet 2014

Le soir aussi....

je t'aime :-)

Je t'aime

Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime. Je t'aime.

Je t'aime !

Tout simplement.

Ici simplement

Ici simplement, témoigner de l'amour que je te porte.

Ne plus m'imposer...

Ne plus m'imposer lourdement à toi, ni par SMS, ni par courriel, ni par téléphone, ni par Facebook, ni par... ni par... ni par...

Te laisser vivre ta vie sans moi, puisque tu le veux ainsi, tout le temps où tu le voudras ainsi, et même jusqu'à la fin des temps, si tu le veux ainsi.

Cela va être dur pour moi. Mais il le faut, il le faut, il le faut.... Il le faut  !!!

dimanche 13 juillet 2014

Une autre habile manière ?

Hier, K. m'a dit "mais ton peignoir, ta brosse à dent .... sont toujours là...." N'aurais-tu mis mes quelques affaires en sac qu'après leur départ en vacances chez leur père pour "amortir" le constat de ce retrait ?

 Je me suis trompé. Désolé.