Je voudrais te parler, je voudrais te voir, je voudrais que l'on se parle en tête à tête. Je ressens cela intensément, comme un besoin. Est-ce un besoin ? Un besoin pour quoi faire ? Comment faire pour sortir de l'ornière où je suis enlisé sans pouvoir te parler, assez longuement, t'écouter, assez longuement ? Tu es bien placée pour savoir que je n'y suis pas arrivé. Je voudrais ce dialogue, sans véhémence, sans faux semblant, avec attention et bienveillance réciproque, une
sincérité totale, une vraie volonté d'apaisement. Comprends tu ? Vois tu ce que je veux dire ?
Peut-être avez vous fêter l'anniversaire de ton père ce week-end ; ou était-ce le précédent weekend. Je ne veux pas regarder dans d'anciens messages pour retrouver. Bref.
Je voudrais te parler, je voudrais te voir, je voudrais que l'on se parle en tête à tête. Je ressens cela intensément, comme un besoin.
Tu m'as écrit l'an dernier : " dernier message de ma vie pour toi, pauvre con !". Ou si c'est pas exactement ça ; c'est assez proche.
Acceptes de revenir là dessus, stp.
Je te propose "quelque part" dans le weekend du 2 au 4 juin. Si mes suppositions sont exactes, K. et E. seront avec leur père ce weekend end là. J'aimerais que tu m'accordes cela. Chez toi, ou dans un endroit public, un resto, un café, un bar (les trois petits points ?), en marchant dans la nature... Comme tu voudrais ! J'aimerais que tu répondes à cette demande. Positivement. J'aimerais que tu y donnes suite, par SMS, par exemple. Ou une lettre. Ou un commentaire ici ; mais pas lapidaire. Pas par email ; ou préviens moi : je ne lis plus mais courriels.
Si tu ne lis pas ce post, ou que tu le lis et n'y donne pas suite, je te "relancerais" par SMS ou par téléphone, en m’efforçant d'éviter les moments où je pense que K. et E. pourraient être là.
STP, S. acceptes.
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