mercredi 24 mai 2017

Alors ?

"Alors  ?"

Nulle provocation dans cet "Alors  ?", dans cette question. Elle pose juste la question : "Alors ?", en creux  que décides-tu, que réponds-tu ?

Je sais bien que tu as écris un jour : "PAUVRE CON FICHES NOUS LA PAIX. PSYCHOPATHE CINGLE SORT DEFINITIVEMENT DE NOTRE VIE. JE NE VEUX PLUS JAMAIS ENTENDRE PARLER DE TOI. JE NE VEUX PLUS QUE TU ACCOSTES MES ENFANTS DANS LA RUE QUE TE LEURS ECRIVES. IDEM POUR MA FAMILE. PAUVRE CON VA TE FAIRE SOIGNE. DERNIER MESSAGE DE MA VIE POUR TOI PAUVRE CON".

Rien, en dehors de toi, ne t'oblige à ne pas réviser ton jugement, au moins partiellement, ni ta décision ("DERNIER MESSAGE DE MA VIE..."). Et, je ne crois pas que ce serait te renier ; je ne crois pas que serait, de quelque manière que se soit : "perdre". Si tu répondais à mon précédent post, je n'éprouverai pas la sensation d'une "victoire". J'espérerai seulement en un futur, sinon meilleur, au moins apaisé.

Pas de certitude. Juste à un espoir.

Alors ?

Demain, c'est férié. Tu peux m'appeler, quand tu veux, quand tu peux. Moi, je ne tenterai pas de t'appeler, demain.

Bonne nuit, S.
Bonne nuit aussi à K. et E.

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