"Alors ?"
Nulle provocation dans cet "Alors ?", dans cette question. Elle pose juste la question : "Alors ?", en creux que décides-tu, que réponds-tu ?
Je sais bien que tu as écris un jour : "PAUVRE
CON FICHES NOUS LA PAIX. PSYCHOPATHE CINGLE SORT DEFINITIVEMENT DE
NOTRE VIE. JE NE VEUX PLUS JAMAIS ENTENDRE PARLER DE TOI. JE NE VEUX
PLUS QUE TU ACCOSTES MES ENFANTS DANS LA RUE QUE TE LEURS ECRIVES. IDEM
POUR MA FAMILE. PAUVRE CON VA TE FAIRE SOIGNE. DERNIER MESSAGE DE MA VIE
POUR TOI PAUVRE CON".
Rien, en dehors de toi, ne t'oblige à ne pas réviser ton jugement, au moins partiellement, ni ta décision ("DERNIER MESSAGE DE MA VIE..."). Et, je ne crois pas que ce serait te renier ; je ne crois pas que serait, de quelque manière que se soit : "perdre". Si tu répondais à mon précédent post, je n'éprouverai pas la sensation d'une "victoire". J'espérerai seulement en un futur, sinon meilleur, au moins apaisé.
Pas de certitude. Juste à un espoir.
Alors ?
Demain, c'est férié. Tu peux m'appeler, quand tu veux, quand tu peux. Moi, je ne tenterai pas de t'appeler, demain.
Bonne nuit, S.
Bonne nuit aussi à K. et E.
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