je ne te "relancerais" pas pour ma demande pour ce weekend

C'était il y a dix jours. Je te demandais que l'on se voit le weekend qui vient.
Je te demandais de répondre à cette demande. Pour l'instant, tu ne l'as pas fait.

Je t'ai écris ici que "je te "relancerais" par SMS ou par téléphone, en m’efforçant d'éviter les moments où je pense que K. et E.", si tu ne me répondais pas.

Je ne le ferais pas. Blocage. Par peur de tes réactions ? Sans doute. Et aussi par... je ne trouve pas les mots qui seraient les justes mots pour te donner à percevoir et comprendre.

Si tu lis ceci, réponds moi, stp.

C'est si dur ?

Si tu lis ces posts, c'est si dur de m'adresser le signe que j'attends ? Au moins un signe....

J'aimerais être à tes cotés, si seulement tu pouvais sentir comme je ressens cela

Bientôt la fin de la journée de la fête des mères.
Tout le monde est reparti ;  et je viens de redéposer ma mère, ma maman, à la Maison de retraite.
J'ai pensé à toi toute la journée, en boucle, en boucle, en boucle.
C'est.... C"est ? En tous cas, c'est ainsi.
J'aimerais être à tes cotés, à tes cotés, à tes cotée, avec toi, avec toi. Je ressens cela, là, avec une intensité Pfffffffffffffffff. T'imagines pas ; si seulement tu pouvais sentir comme je ressens cela.

J'aimerais être à tes cotés. Il n'en est pas ainsi. C'est ainsi.  C'est ainsi et pffffffffff si seulement tu pouvais sentir comme je ressens cela.

Bonne fête des mères

Tu n'es évidement pas ma mère.
Tes enfant ne sont pas les miens.
Mes enfants ne sont pas les tiens.
Peut-être que quand K. et E. nous demandaient plus ou moins de faire un bébé, peut-être que si je leur avais emboité le pas, j'aurais réussi à te donner suffisamment envie d'un enfant avec moi pour que cela arrive.
En plein d'endroits en moi, je regrette aujourd'hui de ne pas avoir écouté cette pulsion. J'aurais du accepter de venir garder L avec toi la fois où..... Tu te souviens ? Plein de choses aurait peut-être été différent.
Est-ce que je regrette cela seulement du fait d'avoir perdu ton amour et de me dire qu'alors, avec un enfant de nous, l'histoire aurait été autre ? Il y a ça ; mais, pas seulement, je crois..

Aujourd'hui, c'est la fête des mères.

J'écrivais donc :

Tu n'es pas....
Tes enfant ne sont pas ....
Mes enfants ne sont pas....

Et pourtant, pourtant, je ressens très fort, intensément, l'envie de te souhaiter une bonne fête des mères.

Bonne fête des mères, S. ! Avec K., avec E, bonne fête des mamans.

Je suis passé tout à l'heure à V. acheter des fleurs. J'aurais aimé en acheter pour toi aussi.

Vous irez sans doute à B. pour déjeuner. Je souhaite aussi intérieurement un bonne fête des mères aussi à ta mère et à ta sœur.

Est-ce idiot de ressentir ce que je ressens ? Est-ce être fou ? Est-ce être "malade, psychopathe, pauvre con" ? Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas. Je ne sais pas !

Un enfant de toi et de moi. Si c'était encore possible, et que tu le veuilles, je dirais "oui", tout de suite, même si j'ai l'age que j'ai. L'amour que je continue de te porter envers et contre tout mériterait bien cette douce folie de ma part  !

Bonne fête des mères, S. avec K., avec E, avec tes enfants.

De tout mon cœur, du fond de mon cœur et des bords aussi, de tout mon être, je te souhaite une bonne fête des mamans, S..

Tu ne m'as pas répondu et je ne sais

Tu ne m'as pas répondu pour ma proposition pour le week-end prochain, et je ne sais si c'est parce que tu n'as pas lu ma proposition, ou parce que tu n'as pas voulu me répondre.

Si tu lis ce post, et que tu as lu les autres, celui  du 21/05 et celui du 24/05, j'aimerais que tu me répondes.

Est-ce trop te demander ?

Bonne nuit, S.  Bonne nuit à K. et E., aussi. Bonne nuit à vous trois.

Je trouve que c'est dommage

Je trouve dommage, si tu as lu mon post d'hier, que tu n'aies pas pu....
Je trouve  que c'est dommage.

Il n'y a pas de dégât. Il n'y a pas de préjudice.
C'est sans dommage pour ma mère.

Juste : je trouve que c'est dommage.
Je regrette que tu n'aies pas pu....

Si tu as lu mon post d'hier,
quelle qu'en soit la raison, ou les raisons qui ont fait que tu n'as pas pu,
je trouve  que c'est bien dommage pour ma mère.

En dépit du fait que tu ne l'as jamais appelé, alors que tu lui avais dit que tu le ferais,
En dépit du fait que tu n'es jamais passé la voir, alors que tu lui avais dit que tu le ferais,
Je crois que cela lui aurait fait plaisir.
Et que ni Sa, nii Re, ni Pa ne t'aurait rien reproché.

Qu'en penseras-tu de tout cela, quand tu seras vielle à ton tour ?
Te souviendras-tu de tout cela, qu'en tu seras vielle à ton tour ?
Qu'en penses-tu ?

Et moi, est-ce que je m'en souviendrai si  je réussis à devenir vieux à mon tour ?
Je ne sais pas. "Je verrai bien !" ;-)

Bonne nuit S. si tu lis ce post avant de te coucher.
Pas de colère en moi ce soir. Juste ce regret, au coté des autres.

Bonne nuit S. si tu lis ce post avant de te coucher.

Fête des mères

Ma mère sera à N. aujourd'hui à partir de 11h30 pour le fête des mères, avec Sandrine et Loane.
Moi, aujourd'hui je travaille. Je ne rentrerai pas avant 19h00.

Si c'est la Maison de retraite en tant que telle qui te pose problème, tu pourrais passer la voir dans la journée à Neuville, sans être contrainte de me voir,  moi.

Je suis certain que cela serait  pour elle une bonne surprise.

Alors ?

"Alors  ?"

Nulle provocation dans cet "Alors  ?", dans cette question. Elle pose juste la question : "Alors ?", en creux  que décides-tu, que réponds-tu ?

Je sais bien que tu as écris un jour : "PAUVRE CON FICHES NOUS LA PAIX. PSYCHOPATHE CINGLE SORT DEFINITIVEMENT DE NOTRE VIE. JE NE VEUX PLUS JAMAIS ENTENDRE PARLER DE TOI. JE NE VEUX PLUS QUE TU ACCOSTES MES ENFANTS DANS LA RUE QUE TE LEURS ECRIVES. IDEM POUR MA FAMILE. PAUVRE CON VA TE FAIRE SOIGNE. DERNIER MESSAGE DE MA VIE POUR TOI PAUVRE CON".

Rien, en dehors de toi, ne t'oblige à ne pas réviser ton jugement, au moins partiellement, ni ta décision ("DERNIER MESSAGE DE MA VIE..."). Et, je ne crois pas que ce serait te renier ; je ne crois pas que serait, de quelque manière que se soit : "perdre". Si tu répondais à mon précédent post, je n'éprouverai pas la sensation d'une "victoire". J'espérerai seulement en un futur, sinon meilleur, au moins apaisé.

Pas de certitude. Juste à un espoir.

Alors ?

Demain, c'est férié. Tu peux m'appeler, quand tu veux, quand tu peux. Moi, je ne tenterai pas de t'appeler, demain.

Bonne nuit, S.
Bonne nuit aussi à K. et E.

Je voudrais te parler, je voudrais te voir, je voudrais que l'on se parle.

Je voudrais te parler, je voudrais te voir, je voudrais que l'on se parle en tête à tête. Je ressens cela intensément, comme un besoin. Est-ce un besoin ? Un besoin pour quoi faire ? Comment faire pour sortir de l'ornière où je suis enlisé sans pouvoir te parler, assez longuement, t'écouter, assez longuement  ? Tu es bien placée pour savoir que je n'y suis pas arrivé. Je voudrais ce dialogue, sans véhémence, sans faux semblant, avec attention et bienveillance réciproque, une sincérité totale, une vraie volonté d'apaisement.  Comprends tu ? Vois tu ce que je veux dire ?
Peut-être avez vous fêter l'anniversaire de ton père ce week-end ; ou était-ce le précédent weekend. Je ne veux pas regarder dans d'anciens messages pour retrouver. Bref.
Je voudrais te parler, je voudrais te voir, je voudrais que l'on se parle en tête à tête. Je ressens cela intensément, comme un besoin.
Tu m'as écrit l'an dernier : " dernier message de  ma vie pour toi, pauvre con !". Ou si c'est pas exactement ça ; c'est assez proche.
Acceptes de revenir là dessus, stp.
Je te propose "quelque part" dans le weekend du 2 au 4 juin. Si mes suppositions sont exactes,  K. et E. seront avec leur père ce weekend end là. J'aimerais que tu m'accordes cela. Chez toi, ou dans un endroit public, un resto, un café, un bar (les trois petits points ?), en marchant dans la nature... Comme tu voudrais ! J'aimerais que tu répondes à cette  demande. Positivement. J'aimerais que tu y donnes suite, par SMS, par exemple. Ou une lettre. Ou un commentaire ici ; mais pas lapidaire. Pas par email ; ou préviens moi : je ne lis plus mais courriels.
Si tu ne lis pas ce post, ou que tu le lis et n'y donne pas suite, je te "relancerais" par SMS ou par téléphone, en m’efforçant d'éviter les moments où je pense que K. et E. pourraient être là.

STP, S. acceptes.


 

Volets fermés (maj)

"Arrivée à...", dans un sens ; "départ de...", dans l'autre sens. En contrebas, tes volets fermés.

Et moi, et moi, de t'imaginer partie en week-end amoureux.

Et en moi, et en moi, se repends dans out mon être  cette douleur immense qui m'enserre le cœur, cette douleur qui  m’écartèle et m'écrase, comme aux premiers jours de ta décision de rupture.

Trois ans, trois ans que cela dure, et rien n'y change rien ! Je me sens toujours t'aimer. Je t'aime toujours. Un signe, un signe de ta part suffirait pour que je cours te rejoindre empli d'espoir en l'avenir.

Le 10 juin approche. Bientôt ton anniversaire. Défilé dans ma tête, envie d'appuyer sur un bouton "STOP". Mais où est le bouton "STOP" ?

Pourquoi je n'ai pas compris que je saccageais ton amour en faisant comme je faisais ?
Pourquoi cette douleur horrible en moi ne s'efface pas ? Pourquoi rine n'y fait, même pas le temps qui passe ?
Pourquoi je t'aime toujours comme je t'aime ? Pourquoi je pense toujours à toi, comme je pense à toi ? Tous les jours, tous les jours, tous les jours, un nombre de fois par jour....pfff !

Pourquoi être interdit de voir tes enfants me transperce aussi toujours autant ?

Pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pourquoi, pour quoi, pour quoi, pour quoi ?

Pensées. Bonne nuit.

Pensées.
Bonne nuit.

C'est dérisoire d'écrire cela, ici ; n'est-ce pas ?

Oui. Assurément. Surement. Sans doute. Peut-être. Surement.

Mais c'était là en moi, avec cette envie de te l'écrire à défaut de pouvoir te le dire et de réussir à te faire sentir tout ce qu"il y a dans ces trois mots : "Pensées. Bonne nuit.".

Pensées.
Bonne nuit.

Ouf

Arrivée de Nancy. Durant le trajet, j'ai eu ma mère au téléphone. Le médecin est passé la voir. Les examens n'ont rien révélé de grave. Ouf.

J'ai pas fait exprès

J'ai pas fait exprès il y a juste quelques minutes de passer par ta rue en redescendant de la Maison de retraite juste à l'instant où tu te garais, où vous descendiez de voiture.

Si je m'étais rendu compte, je ne serais pas passer par là.

Je te le jure. Crois moi ; je te le jure.

Je ne l'aurais pas fait, ne serait-ce que pour la douleur que cela m'a fait de vous apercevoir ainsi, toi, et K. K. était de dos en train de rentrer dans l'immeuble. Toi, la tête et le visage plongé dans ta voiture, portière arrière gauche.

Je n'ai pas vu votre visage. Je n'ai pas croisé ton regard. Cela vaut mieux. Si tu m'as vu, tu as du me transpercer du regard. Voir cela aurait été pire ; aussi terrible, voir plus, que le jour où tu m'as adressé un doigt d'honneur.

Si tu m'as vu et que tu m'en veux,  pardonnes moi, stp. Ce n'était une provocation. Je te le jure. Crois moi ; je te le jure.

Pourquoi je passe par là, parfois, je ne saurais le dire exactement. Je sais juste que ce n'est pas par provocation, consciente. Je te le jure.

Demain matin ma mère va passer une échographie à l’hôpital de T.. RDV annoncé par son médecin ce vendredi, à 21h30. J'ai peur. J'ai peur du résultat. Si c'est la suite du début de la fin -- je me souviens en substance de tes mots "la Maison de retraite, c'est l'antichambre de la mort"  - je t’appellerai, ou je t'écrirai, pour te demander d'accepter de passer la voir. C'est peut-être idiot, ou fou, ou tout ce que tu veux ; mais l'idée qu'elle puisse mourir sans jamais t'avoir revu me rempli de désolation.

Je ne voulais pas écrire à propos de cela ici avant de.... savoir. Mais, là, j'ai pas pu retenir.

A en rire ?

Il est maintenant des séries que je ne peux plus regarder tellement elles me renvoient à toi. Ce soir, c'est NCIS que tu est peut-être en train de regarder, ou pas.

Est-ce à en rire ? Est-ce à pleurer ?

Je pense tous les jours, "toujours, toujours, toujours" - comme susurre cette douce chanson sur laquelle j'ai éprouvé tant de choses à tes cotés, à toi, comme un amoureux éperdu, ou comme un dingue, si tu préfères. Ça dépend du point de vue, de la perspective, des émotions, de celles que l'on ressent, de celles que l'on veut bien accueillir en soi, aussi bien que de celles que l'on chasse, de celles que l'on rejette.

Bonne nuit, bon week-end, S.

Bonne nuit

Je voudrais t'exprimer mille choses. Peut-être un peu moins, ou un plus ; je ne sais pas tellement il y en a

Mais je vais juste t'écrire et te souhaiter : bonne nuit. Ne te moques pas, stp. Ne méprise pas,stp.

Bonne nuit, S.