Week-end sans les enfants

C'est un week-end sans K. ni E. qui va démarrer pour toi ce soir. Qu'est-ce que j'aimerais le passer avec toi !

Envie de te serrer dans mes bras, de t'entendre, de te voir, de parler avec toi, de te toucher, de te sentir....

Envie de faire l'amour avec toi, partout chez toi. Tu te souviens : lit, canapé, salle de bain, cuisine...

Rêve d'huile chocolat et de pierres chaudes.

Envie aussi de faire plein de choses en société avec toi, ce que je n'ai pas su faire avec toi autrefois.... Ta présence à mes cotés, ma présence à tes cotés, avec en moi les projets dont je rêvais pour nous, suffisaient à me combler !

Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !

Chaque fois que je vais à la Maison de retraite, et que je me gare ou reprend ma voiture sur le parking visiteur, et que je vois en contrebas ta voiture garée devant chez toi.... j'ai le cœur en miette.

Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !

Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".

Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi.

E. a "liké" sur FB certains de mes post le week-end dernier. Ce fut pour moi un plaisir immense de constater qu'elle ne m'avait pas oublié. Depuis, plus rien. Je me dis que sans doute, toi, ou son père, ou toi et son père, lui avait interdit. Tristesse.

Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi. Et la coupure avec tes enfants me blesse toujours aussi.

Si seulement ce week-end, ce soir, tu m'appelais pour me dire : "Viens... Passes me voir... Tu veux bien passes me voir ?"

Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".

Moi, je reste certain, certitude profonde, que je pourrais te rendre heureuse dans une vie de couple, que nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.

Qu'est--ce qui empêche cela aujourd'hui ?

Quelles blessures, quelles blessures que je t'ai faites ; quelles rancœurs en toi à mon égard, quelles colères de toi, contre moi ? Quelles autres choses que je ne réussis pas exprimer ? Quelles autres choses que je ne réussis pas à percevoir ?

J'en suis certain, nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.

Si seulement je pouvais abattre ce qui empêche !

Je brule d'envie de t'envoyer ce post par courriel. Je ne le ferais pas ; tu m'as demandé d’arrêter de t'envoyer des messages. Puisses-tu venir ici et lire ce post !