Je t'imagine rentrée depuis peu de chez tes parents, avec K. et E.
Plus de risque de neige, ni de verglas ; je les imagines passant à nouveau des mercredi après-midi chez tes parents.
Moi, j'ai ramené ma file au train à Ba.
Je n'ai pas osé passé par Br. Crainte de vous croiser devant la maison de tes parents.
J'aurais aimé que mon retour de Ba. se fasse vers un "chez nous", avec un passage à Br pour vous y retrouver.
J'aimerais partager ton quotidien, tes joies, tes peines, bricoler avec toi dans un "chez nous", pour un "chez nous", projeter des espérances communes vers un futur commun.
Je rêvais de tout cela quand nous étions ensemble ; mais mal, empêtré dans mes peurs pour mes enfants, et des illusions de me refaire une carrière pour servir notre amour et nos enfants. Éreinté par chaque jour par ces illusions. Si seulement tu pouvais lire en moi comment je vivais les choses ! Peut-être aurais-tu perçu autrement mes "petits" travers qui ne t'ont plus amusé.
J'ai mal géré mes peurs. Snif.
Bonne fin de soirée à toi.
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