As-tu bien dormi ? Moi, non !
Je me sens con, mal en point, malade, très, très triste, et abimé. Naufragé au milieu de l'océan de mes mal-être.
On dirait bien que je touche à nouveau le fond. Ou suis-je en train de m'enfoncer à nouveau encore plus ? Il ne faut pas ! Sensation de déchéance. Tristesse profonde. Colère contre moi-même aussi de stagner de la sorte.
Il faut que je me sorte de mes désespérances, par rapport à toi, par rapport au chômage, etc. Par rapport à toi, en particulier ; c'est sans doute la clef. Déchirement.
Je regrette la longueur et la lourdeur de mon courriel d'hier. Mais sa teneur est sincère, ainsi que toutes les prières que j'y ai formulées à ton intention. Et l'espoir que tu me dises que ce n'est pas à cause de moi que tu n'as encore jamais été voir ma mère à la maison de retraite.
Bonne journée à toi.
Ou, meilleure journée possible à toi, si je te l'ai un peu empoisonné. Je te prie de me pardonner, si je te l'ai un peu empoisonné.
Bonne journée à K. et E.
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