Bonne nuit... Bonne nuit... Bonne nuit...
J'aimerais pouvoir te dire, en étant à tes cotés, en pressant ton corps nu sous la couette contre le mien, en caressant ton visage, en te souriant, en embrassant légèrement tes lèvres : "Bonne nuit mon amour...". Mais toi tu a voulu rompre.
Alors, simplement, bonne nuit à toi, S.
jeudi 31 mars 2016
Bonne soirée
Bonne soirée à toi, à K. et à E.
Est-il ridicule ce "bonne soirée" écris ici ? Quelque part, sans doute, avec la douleur, et la détresse qui l'accompagne.
Mais il porte surtout des tonnes d'amour. Je pense à vous. Je ne peux vous exprimer ce "bonne soirée" comme je le voudrais. Alors, je l'écris ici. Tu liras peut-être, ou pas. Tu sentiras peut-être, ou pas, toute la tendresse qui est en lui et qui t'est destinée.
Est-il ridicule ce "bonne soirée" écris ici ? Quelque part, sans doute, avec la douleur, et la détresse qui l'accompagne.
Mais il porte surtout des tonnes d'amour. Je pense à vous. Je ne peux vous exprimer ce "bonne soirée" comme je le voudrais. Alors, je l'écris ici. Tu liras peut-être, ou pas. Tu sentiras peut-être, ou pas, toute la tendresse qui est en lui et qui t'est destinée.
Repas du midi
Je me dis que tu es seule chez toi, et moi je suis ici à N.
Je trouve cela trop con.
J'aimerais te préparer à manger avec amour tout le temps où je suis au chômage !
Ton amour me manques. Tu me manques, me manques, me manques !!
Je trouve cela trop con.
J'aimerais te préparer à manger avec amour tout le temps où je suis au chômage !
Ton amour me manques. Tu me manques, me manques, me manques !!
Bonne journée
Bonne journée à toi, bonne journée à K. et E., bonne journée à vous trois.
Je pense à vous en train de vous préparer, pour l'école, le collège, le boulot. J'aimerais être avec toi dans ces préparatifs du matin et tout ce qui va avec, les petites joies, les coups de speed, etc.
Demain, début pour toi d'un week-end sans K. ni E. Tu vas sortir ? Tu vas...?
J'aimerais te voir. J'aimerais...
Bonne journée à toi, bonne journée à K. et E., bonne journée à vous trois.
Bonne journée à ma mère aussi...
Je pense à vous en train de vous préparer, pour l'école, le collège, le boulot. J'aimerais être avec toi dans ces préparatifs du matin et tout ce qui va avec, les petites joies, les coups de speed, etc.
Demain, début pour toi d'un week-end sans K. ni E. Tu vas sortir ? Tu vas...?
J'aimerais te voir. J'aimerais...
Bonne journée à toi, bonne journée à K. et E., bonne journée à vous trois.
Bonne journée à ma mère aussi...
mercredi 30 mars 2016
Bonne fin de soirée. Retour de Ba
Je t'imagine rentrée depuis peu de chez tes parents, avec K. et E.
Plus de risque de neige, ni de verglas ; je les imagines passant à nouveau des mercredi après-midi chez tes parents.
Moi, j'ai ramené ma file au train à Ba.
Je n'ai pas osé passé par Br. Crainte de vous croiser devant la maison de tes parents.
J'aurais aimé que mon retour de Ba. se fasse vers un "chez nous", avec un passage à Br pour vous y retrouver.
J'aimerais partager ton quotidien, tes joies, tes peines, bricoler avec toi dans un "chez nous", pour un "chez nous", projeter des espérances communes vers un futur commun.
Je rêvais de tout cela quand nous étions ensemble ; mais mal, empêtré dans mes peurs pour mes enfants, et des illusions de me refaire une carrière pour servir notre amour et nos enfants. Éreinté par chaque jour par ces illusions. Si seulement tu pouvais lire en moi comment je vivais les choses ! Peut-être aurais-tu perçu autrement mes "petits" travers qui ne t'ont plus amusé.
J'ai mal géré mes peurs. Snif.
Bonne fin de soirée à toi.
Plus de risque de neige, ni de verglas ; je les imagines passant à nouveau des mercredi après-midi chez tes parents.
Moi, j'ai ramené ma file au train à Ba.
Je n'ai pas osé passé par Br. Crainte de vous croiser devant la maison de tes parents.
J'aurais aimé que mon retour de Ba. se fasse vers un "chez nous", avec un passage à Br pour vous y retrouver.
J'aimerais partager ton quotidien, tes joies, tes peines, bricoler avec toi dans un "chez nous", pour un "chez nous", projeter des espérances communes vers un futur commun.
Je rêvais de tout cela quand nous étions ensemble ; mais mal, empêtré dans mes peurs pour mes enfants, et des illusions de me refaire une carrière pour servir notre amour et nos enfants. Éreinté par chaque jour par ces illusions. Si seulement tu pouvais lire en moi comment je vivais les choses ! Peut-être aurais-tu perçu autrement mes "petits" travers qui ne t'ont plus amusé.
J'ai mal géré mes peurs. Snif.
Bonne fin de soirée à toi.
Ce matin, cette nuit (maj)
Je me suis réveillé ce matin, et plusieurs fois dans la nuit, en pensant à toi.
Avec à chaque fois, en enfilade, ton amour perdu et tous tes refus,
C'est terrible et stérile, ces couteaux qui remuent et creusent sans cesse dans mes plaies, mes blessures.
Toi, au moins, es-tu heureuse aujourd'hui ? Toi, au moins, qui rejette désormais mon amour depuis bientôt deux ans, es-tu heureuse aujourd'hui sans moi ?
Avec à chaque fois, en enfilade, ton amour perdu et tous tes refus,
C'est terrible et stérile, ces couteaux qui remuent et creusent sans cesse dans mes plaies, mes blessures.
Toi, au moins, es-tu heureuse aujourd'hui ? Toi, au moins, qui rejette désormais mon amour depuis bientôt deux ans, es-tu heureuse aujourd'hui sans moi ?
Beaux rêves
Beaux rêves ; fait de beaux rêves.
Si seulement il y avait une place pour moi au sein de tes rêves !
Si seulement il y avait une place pour moi au sein de tes rêves !
mardi 29 mars 2016
After Laughter
Belle et triste chanson. Depuis que tu as rompu, mon cœur déborde de larmes comme celles dont parle cette chanson. Je voudrais tant, j'aimerais tant, pouvoir rire à nouveau avec toi !
Rire avec toi comme jamais, puisque aujourd'hui débarrassé de quelques uns de mes travers qui ne t'ont plus fait rire...
Hier, après avoir déposer ma mère à la maison de retraite
J'ai vu ta voiture devant chez toi, hier, quand j'ai redéposé ma mère à la maison de retraite.
J'ai supposé que tu avais ce lundi-là, laisser K. et E. fêter Pâques avec leur père, après l'avoir fêté avec eux la veille, chez tes parents, ou ta soeur.
Alors, quand je suis reparti de la maison de retraite pour ramener P. ... j'ai souhaitais très fort que tu penses à ma mère.... que tu penses au fait qu'elle réside maintenant là, très près de chez toi et que... et que...
Pfffffffffffffffff
J'ai supposé que tu avais ce lundi-là, laisser K. et E. fêter Pâques avec leur père, après l'avoir fêté avec eux la veille, chez tes parents, ou ta soeur.
Alors, quand je suis reparti de la maison de retraite pour ramener P. ... j'ai souhaitais très fort que tu penses à ma mère.... que tu penses au fait qu'elle réside maintenant là, très près de chez toi et que... et que...
Pfffffffffffffffff
lundi 28 mars 2016
A quoi cela rime ?
A quoi cela rime de t'écrire ici face à tous tes silences et rejets ?
A quoi cela rime ?
Bon lundi de Pâques à toi, K. et E.
Triste manière de clamer mon amour.
A quoi cela rime ?
Bon lundi de Pâques à toi, K. et E.
Triste manière de clamer mon amour.
dimanche 27 mars 2016
Bonne fin de dimanche de Pâques
Je le masque à mes proches ; mais intérieurement, j'ai vraiment les boules en cette fin de journée où mon esprit est chargé de souvenirs de Pâques passés avec toi, tes enfants, et ta famille.
Je te souhaite cependant une bonne fin de soirée de dimanche de Pâques.
J'aimerais être à tes côtés ! J'aimerais que tu aimerais aussi être à mes côtés !
Je te souhaite cependant une bonne fin de soirée de dimanche de Pâques.
J'aimerais être à tes côtés ! J'aimerais que tu aimerais aussi être à mes côtés !
Je devrais être heureux, et non
C'est Pâques. Je suis avec mes enfants que je n'avais pas vu depuis janvier dernier. Et le reste de ma famille. Je devrais être heureux ! Et non.
Je pense à toi, à K., à E. Je pense aux moments de Pâques passé avec vous, et le reste de ta famille. J'y repense avec nostalgie. J'aurais envie de revivre de tels moments avec toi. Et cela me fait mal. C'est con sans doute. Mais, c'est ainsi.
Comme tu me manques ! Comme ton amour me manque !
Je pense à toi, à K., à E. Je pense aux moments de Pâques passé avec vous, et le reste de ta famille. J'y repense avec nostalgie. J'aurais envie de revivre de tels moments avec toi. Et cela me fait mal. C'est con sans doute. Mais, c'est ainsi.
Comme tu me manques ! Comme ton amour me manque !
samedi 26 mars 2016
Ne pas être avec toi
Malheureux comme tout de ne pas être avec toi !
Si seulement tu pouvais entrer dans ma tête, mon cœur, mon âme pour percevoir ce que je ressens, surtout l'intensité de mon amour.
Si seulement tu pouvais entrer dans ma tête, mon cœur, mon âme pour percevoir ce que je ressens, surtout l'intensité de mon amour.
Samedi du week-end de Pâques
Je repense aux fêtes de Pâques que nous avons passés ensemble. Moments de bonheur pour moi.
Hier soir, j'ai repensé très fort à nos apéros vendredi soir. Notamment en redescendant de la Maison de retraite après avoir été cherché Patrice, avec vu du parking sur ta voiture (Et je la reverrais tout à l'heure sur les coups de 11 heures en allant chercher ma maman pour le week-end).
C'était bien, non, nos apéros du Vendredi soir ? Ils ne te manquent pas ? Ne serait-ce qu'un peu ?
Je repense aux chocolats échangés avec toi aux occasions de Pâques.
J'ai acheté aussi cette année des chocolats comme il se doit. Mais, aucun poisson en chocolat : il n'y a qu'à toi que je pourrais en offrir ! Je revois la drôle de sucette que tu m'avais offerte. Je ressens le souvenir de nos bisous chocolats. Je revois en moi tes lèvres, tes yeux, tout de toi...
Je voudrais que tu aies envie de ma présence à tes cotés, envie d'entendre ma voix, de nos regards plongés l'un dans l'autre, de ma joue sous la caresse de ta main, de ma tête sur tes genoux, de mes caresses, de mon amour. J'aimerais que tu aies à nouveau envie.
Je t'aime toujours. Manque. Envie. Désir. Envie.
Hier soir, j'ai repensé très fort à nos apéros vendredi soir. Notamment en redescendant de la Maison de retraite après avoir été cherché Patrice, avec vu du parking sur ta voiture (Et je la reverrais tout à l'heure sur les coups de 11 heures en allant chercher ma maman pour le week-end).
C'était bien, non, nos apéros du Vendredi soir ? Ils ne te manquent pas ? Ne serait-ce qu'un peu ?
Je repense aux chocolats échangés avec toi aux occasions de Pâques.
J'ai acheté aussi cette année des chocolats comme il se doit. Mais, aucun poisson en chocolat : il n'y a qu'à toi que je pourrais en offrir ! Je revois la drôle de sucette que tu m'avais offerte. Je ressens le souvenir de nos bisous chocolats. Je revois en moi tes lèvres, tes yeux, tout de toi...
Je voudrais que tu aies envie de ma présence à tes cotés, envie d'entendre ma voix, de nos regards plongés l'un dans l'autre, de ma joue sous la caresse de ta main, de ma tête sur tes genoux, de mes caresses, de mon amour. J'aimerais que tu aies à nouveau envie.
Je t'aime toujours. Manque. Envie. Désir. Envie.
vendredi 25 mars 2016
Bonne nuit...
Tu es si proche . Et pourtant tellement loin ! Et si inaccessible.
Bref.
Bonne nuit.....
Bref.
Bonne nuit.....
Mauvaise journée
Bien dormi ? Moi pas. Je pense à toi et j'ai mal partout ; au corps, au cœur et à l'esprit. Et toi, tu ne m'adresses même pas la réponse que je t'ai demandé concernant ma mère. Cela au moins, tu pourrais le faire...
Comme tu aurais pu ne pas couper toute relation entre moi et tes enfants. J'aurais pu, j'aurais su alors, ne pas leur exposer mes états d'âme à ton égard. C'est en moi une certitude profonde.
Pour le reste, que tu dresses moins mettre de fils de fer barbelés entre toi et moi m'aurait-il aider à "lâcher-prise", à mieux gérer ? Je pense que oui. Tu penses surement que non, ou tu t'en fous. J'aimerais savoir ; mais je ne ne sais.
Je trouve tout cela injuste. Je me sens humilié, méprisé. J'aimerais parler de cela avec toi. Peut-être as-tu fait et fais-tu encore beaucoup pour tenter d'éviter que je me sente ainsi humilié, méprisé. Et je ne le vois pas ? Et je ne le mesure pas ? J'aimerais parler de cela avec toi, dans l'espoir que cela ne soit pas un dialogue de sourds, et que cela me fasse plus de bien que de mal, et avec la crainte que cela soit un dialogue de sourds, et me fasse plus de mal que de bien... C'est peut-être d'ailleurs ce qui te retient : la crainte que cela soit un dialogue de sourds ! Qui te fasse mal ? Qui me fasse mal ? Qui nous fasse mal à l'un comme à l'autre ? Et ne m'aide pas à "lâcher-prise" ? J'aimerais savoir ; mais je ne ne sais.
Tout ce que je sais à l'instant, c'est qu'au fond de ma gorge et de mon estomac, ce matin, alimentée par une forme de ressentiment, comme une envie de te souhaiter une journée de merde ! Pas de grands malheurs, non ; juste une petite journée de merde te procurant un peu de mal-être.
C'est moche comme pensée ! Je la refrène tant bien que mal. Mais, ce matin, je n'ai aucune envie de te souhaiter une bonne journée ! Je me sens trop humilié, méprisé.
K. et E. n'y sont pour rien. Bonne journée à eux deux.
Je crois bien que c'est la deuxième fois que cela m'arrive, cette envie de te souhaiter une mauvaise journée. C'est moche que j'en arrive là. Tristesse. Il faut que je lâche prise ! Il faut que je lâche prise, en te gardant simplement mes bras ouverts au cas où.
Comme tu aurais pu ne pas couper toute relation entre moi et tes enfants. J'aurais pu, j'aurais su alors, ne pas leur exposer mes états d'âme à ton égard. C'est en moi une certitude profonde.
Pour le reste, que tu dresses moins mettre de fils de fer barbelés entre toi et moi m'aurait-il aider à "lâcher-prise", à mieux gérer ? Je pense que oui. Tu penses surement que non, ou tu t'en fous. J'aimerais savoir ; mais je ne ne sais.
Je trouve tout cela injuste. Je me sens humilié, méprisé. J'aimerais parler de cela avec toi. Peut-être as-tu fait et fais-tu encore beaucoup pour tenter d'éviter que je me sente ainsi humilié, méprisé. Et je ne le vois pas ? Et je ne le mesure pas ? J'aimerais parler de cela avec toi, dans l'espoir que cela ne soit pas un dialogue de sourds, et que cela me fasse plus de bien que de mal, et avec la crainte que cela soit un dialogue de sourds, et me fasse plus de mal que de bien... C'est peut-être d'ailleurs ce qui te retient : la crainte que cela soit un dialogue de sourds ! Qui te fasse mal ? Qui me fasse mal ? Qui nous fasse mal à l'un comme à l'autre ? Et ne m'aide pas à "lâcher-prise" ? J'aimerais savoir ; mais je ne ne sais.
Tout ce que je sais à l'instant, c'est qu'au fond de ma gorge et de mon estomac, ce matin, alimentée par une forme de ressentiment, comme une envie de te souhaiter une journée de merde ! Pas de grands malheurs, non ; juste une petite journée de merde te procurant un peu de mal-être.
C'est moche comme pensée ! Je la refrène tant bien que mal. Mais, ce matin, je n'ai aucune envie de te souhaiter une bonne journée ! Je me sens trop humilié, méprisé.
K. et E. n'y sont pour rien. Bonne journée à eux deux.
Je crois bien que c'est la deuxième fois que cela m'arrive, cette envie de te souhaiter une mauvaise journée. C'est moche que j'en arrive là. Tristesse. Il faut que je lâche prise ! Il faut que je lâche prise, en te gardant simplement mes bras ouverts au cas où.
jeudi 24 mars 2016
Incommunicabilité
Tes mots me manquent. Les miens te dérangent.
Rien ne t'oblige. Et moi, je dois me retenir.
Terrible incommunicabilité !
Bonne fin de soirée, bonne nuit, cependant.
Rien ne t'oblige. Et moi, je dois me retenir.
Terrible incommunicabilité !
Bonne fin de soirée, bonne nuit, cependant.
mercredi 23 mars 2016
Bonne fin de soirée (MAJ)
"Bonne fin de soirée, S."
Mots communs, d'une banalité... Pfffffff. N'est-ce pas ! Comme "Bonne journée" ou encore "Bonne nuit". Mais chaque fois que je les écris ici, ils n'en contiennent pas moins des vagues d'amour.
Après tant de temps, en dépit de tant de douleurs, à quoi elle tient cette indéfectibilité de mes sentiments ?
[...]
Bonne nuit, S. Un mec au moins (moi !) souhaiterait t'épouser, si tu le voulais bien. Un mec au moins (moi !) souhaiterait partager sa vie avec la tienne, au quotidien, jour après jour, faire tout ce qu'il peut pour fabriquer avec toi de bonnes heures, pour fabriquer avec toi du bonheur. Ne prends pas cela comme un fardeau.
Bonne nuit, S.
Mots communs, d'une banalité... Pfffffff. N'est-ce pas ! Comme "Bonne journée" ou encore "Bonne nuit". Mais chaque fois que je les écris ici, ils n'en contiennent pas moins des vagues d'amour.
Après tant de temps, en dépit de tant de douleurs, à quoi elle tient cette indéfectibilité de mes sentiments ?
[...]
Bonne nuit, S. Un mec au moins (moi !) souhaiterait t'épouser, si tu le voulais bien. Un mec au moins (moi !) souhaiterait partager sa vie avec la tienne, au quotidien, jour après jour, faire tout ce qu'il peut pour fabriquer avec toi de bonnes heures, pour fabriquer avec toi du bonheur. Ne prends pas cela comme un fardeau.
Bonne nuit, S.
Cafard, gros coup de cafard
En boucle sur le courriel sans réponse que je t'ai envoyé, je broie du noir à n'en plus finir. Où, quand et comment cela va-t-il s’arrêter ?
mardi 22 mars 2016
Tu ne m'as pas (encore ?) répondu
Tu ne m'as pas répondu. Ou : tu ne m'as pas encore répondu ; mais cela va venir. Je voudrais y croire ; mais je doute. Colère, indifférence, haine, rancœur, autre ? Je me demande ce qui fait que tu ne me répondes pas.
Moi....
Bonne nuit.
Moi....
Bonne nuit.
Tristesse profonde
As-tu bien dormi ? Moi, non !
Je me sens con, mal en point, malade, très, très triste, et abimé. Naufragé au milieu de l'océan de mes mal-être.
On dirait bien que je touche à nouveau le fond. Ou suis-je en train de m'enfoncer à nouveau encore plus ? Il ne faut pas ! Sensation de déchéance. Tristesse profonde. Colère contre moi-même aussi de stagner de la sorte.
Il faut que je me sorte de mes désespérances, par rapport à toi, par rapport au chômage, etc. Par rapport à toi, en particulier ; c'est sans doute la clef. Déchirement.
Je regrette la longueur et la lourdeur de mon courriel d'hier. Mais sa teneur est sincère, ainsi que toutes les prières que j'y ai formulées à ton intention. Et l'espoir que tu me dises que ce n'est pas à cause de moi que tu n'as encore jamais été voir ma mère à la maison de retraite.
Bonne journée à toi.
Ou, meilleure journée possible à toi, si je te l'ai un peu empoisonné. Je te prie de me pardonner, si je te l'ai un peu empoisonné.
Bonne journée à K. et E.
Je me sens con, mal en point, malade, très, très triste, et abimé. Naufragé au milieu de l'océan de mes mal-être.
On dirait bien que je touche à nouveau le fond. Ou suis-je en train de m'enfoncer à nouveau encore plus ? Il ne faut pas ! Sensation de déchéance. Tristesse profonde. Colère contre moi-même aussi de stagner de la sorte.
Il faut que je me sorte de mes désespérances, par rapport à toi, par rapport au chômage, etc. Par rapport à toi, en particulier ; c'est sans doute la clef. Déchirement.
Je regrette la longueur et la lourdeur de mon courriel d'hier. Mais sa teneur est sincère, ainsi que toutes les prières que j'y ai formulées à ton intention. Et l'espoir que tu me dises que ce n'est pas à cause de moi que tu n'as encore jamais été voir ma mère à la maison de retraite.
Bonne journée à toi.
Ou, meilleure journée possible à toi, si je te l'ai un peu empoisonné. Je te prie de me pardonner, si je te l'ai un peu empoisonné.
Bonne journée à K. et E.
lundi 21 mars 2016
M'entendras-tu, me comprendras-tu, me répondras-tu ?
M'entendras-tu, me comprendras-tu, me répondras-tu sur ce courriel que je t'ai envoyé aujourd'hui ? M'entendras-tu, me comprendras-tu, me répondras-tu sur ce courriel que je t'ai envoyé aujourd'hui ?
J'aimerai que oui. Je souhaite que oui. Je veux encore croire que oui, même si tu as du le trouver dans ta boite email depuis quelques heures déjà et que...Et que...
M'entendras-tu, me comprendras-tu, me répondras-tu sur ce courriel que je t'ai envoyé il y a quelques heures maintenant ? En espérant que oui, je te souhaite sincèrement une bonne nuit. Ce courriel, il ne faut pas qu'il gâche ta nuit ! Je ne l'ai pas écrit pour ça ; je ne l'ai pas écris pour qu'il t'empoisonne. Aussi, je te souhaite sincèrement une bonne nuit
Bonne nuit. Bonne nuit. Bonne nuit. Bonne nuit.
Bonne nuit aussi à K. et E.
J'aimerai que oui. Je souhaite que oui. Je veux encore croire que oui, même si tu as du le trouver dans ta boite email depuis quelques heures déjà et que...Et que...
M'entendras-tu, me comprendras-tu, me répondras-tu sur ce courriel que je t'ai envoyé il y a quelques heures maintenant ? En espérant que oui, je te souhaite sincèrement une bonne nuit. Ce courriel, il ne faut pas qu'il gâche ta nuit ! Je ne l'ai pas écrit pour ça ; je ne l'ai pas écris pour qu'il t'empoisonne. Aussi, je te souhaite sincèrement une bonne nuit
Bonne nuit. Bonne nuit. Bonne nuit. Bonne nuit.
Bonne nuit aussi à K. et E.
samedi 19 mars 2016
Samedi soir sans les enfants
Je t'imagine de sortie.
Peu-être feras-tu l'amour cette nuit...
Pincement au cœur de ne pas être celui (celle ?) avec qui tu feras l'amour cette nuit.
Pour autant... bonne nuit à toi !
Peu-être feras-tu l'amour cette nuit...
Pincement au cœur de ne pas être celui (celle ?) avec qui tu feras l'amour cette nuit.
Pour autant... bonne nuit à toi !
Tu me manques !
Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tu me manques ! Tout de toi me manque toujours !
D'une certaine manière, tout est dans ces simples mots.
Reconquérir ton amour..... Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire !!!!
D'une certaine manière, tout est dans ces simples mots.
Reconquérir ton amour..... Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire ? Est-ce possible ? Comment faire !!!!
vendredi 18 mars 2016
J'ai croisé E.
J'ai croisé E. en fin d'après-midi en allant à la Maison de retraite voir ma mère. Comme elle a grandi !
Je lui ai fait signe ; elle aussi, il me semble.
Le temps que je me gare sur le parking visiteur de la Maison de retraite, elle arrivait en courant devant votre entrée. :-( S'est-elle sauvé pour ne pas me voir ? A-t-elle cru que je ne voulais pas m’arrêter ? Je m'interroge.
Et je me dis que j'aurais du m’arrêter à sa hauteur ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules !
Je lui ai fait signe ; elle aussi, il me semble.
Le temps que je me gare sur le parking visiteur de la Maison de retraite, elle arrivait en courant devant votre entrée. :-( S'est-elle sauvé pour ne pas me voir ? A-t-elle cru que je ne voulais pas m’arrêter ? Je m'interroge.
Et je me dis que j'aurais du m’arrêter à sa hauteur ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules ! Les boules !
Ne plus être
A cet instant, comme une forme d'envie de ne plus être.
Ça passera (N'aies crainte : je ne vais pas me tuer !).
Je me bats pour reconquérir le plaisir de vivre, un job, voir, un jour peut-être, l'Amour.
Mais bon, en attendant, c'est pas cool cette affreuse sensation de vide et de lassitude.
Bonne journée à toi et tes enfants qui me manquaient toujours terriblement.
Ça passera (N'aies crainte : je ne vais pas me tuer !).
Je me bats pour reconquérir le plaisir de vivre, un job, voir, un jour peut-être, l'Amour.
Mais bon, en attendant, c'est pas cool cette affreuse sensation de vide et de lassitude.
Bonne journée à toi et tes enfants qui me manquaient toujours terriblement.
mercredi 16 mars 2016
mardi 15 mars 2016
lundi 14 mars 2016
De toute mon âme
De toute mon âme, je pense à toi.
Ce soir, sans tristesse, sans résignation non plus. Emplie d'une forme bizarre d'espoirs.
Bonne nuit à toi. Fais de beaux rêves.
P.S. J'aimerais bien pouvoir te rejoindre dans tes rêves ! :-)
Ce soir, sans tristesse, sans résignation non plus. Emplie d'une forme bizarre d'espoirs.
Bonne nuit à toi. Fais de beaux rêves.
P.S. J'aimerais bien pouvoir te rejoindre dans tes rêves ! :-)
Bonne journée
Ce matin l'envie de l'écrire est plus forte que toutes les bonnes raisons de ne pas l'écrire : Bonne journée à toi. Bonne journée à K et et E.
dimanche 13 mars 2016
Quelques kilomètres et des abîmes
Quelques kilomètres seulement nous séparent ; mais aussi des abîmes d'incompréhension.
TristesseS.
TristesseS.
vendredi 11 mars 2016
Bonne fin de semaine
Bonne fin de semaine à toi, bonne fin de semaine à vous trois.
Ce week-end va être pour toi un week-end avec tes enfants.
Un week-end de plus que j'aimerais passer avec vous, comme autrefois. Mais non, ce n'est pas possible. Aujourd'hui tu ne veux plus. Aujourd'hui, tu ne veux plus de moi. Tristesse impuissante.
Samedi, j'irais à la soirée Couscous du village. J'aurais bien aimé vivre cela avec vous.
Comme j'aimerais... !
Bonne fin de semaine à toi, bonne fin de semaine à vous trois.
Ce week-end va être pour toi un week-end avec tes enfants.
Un week-end de plus que j'aimerais passer avec vous, comme autrefois. Mais non, ce n'est pas possible. Aujourd'hui tu ne veux plus. Aujourd'hui, tu ne veux plus de moi. Tristesse impuissante.
Samedi, j'irais à la soirée Couscous du village. J'aurais bien aimé vivre cela avec vous.
Comme j'aimerais... !
Bonne fin de semaine à toi, bonne fin de semaine à vous trois.
jeudi 10 mars 2016
mercredi 9 mars 2016
En boucle toujours !
Je pense toujours à toi, à vous, en boucle.
Et c'est terrible, vu que...
Mais bonne journée ensoleillée à toi, à vous.
Et c'est terrible, vu que...
Mais bonne journée ensoleillée à toi, à vous.
dimanche 6 mars 2016
J'aurais tellement de choses à te dire
Je me sens las, fatigué, impuissant, perdu.
Me hais-tu ?
J'ai aligné les conneries, te concernant, concernant K. et E. depuis ta décision de rupture.
As-tu là-dedans une part de responsabilité ? Je n'arrive pas à ne pas croire que oui. Et, toi, j'imagine, tu n'arrives pas à ne pas croire que non ! C'est sans doute comme ça.
Je me sens las, fatigué, impuissant, perdu. Et aussi baigné dans une sorte de calme mélancolique.
Une sorte de calme mélancolique que je retrouve dans la musique de cette chanson polonaise que je reposte ici et qui m'a si souvent accompagné.
Quelque part, j'entends dans la musique de cette chanson tout ce que j'aimerais pouvoir te dire et te témoigner.
Si tu pouvais l'écouter en cherchant à accueillir positivement en toi tout ce qu'elle transporte en elle.
Si tu pouvais l'écouter, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle apaise tes colères à mon égard.
Si seulement tu le voulais bien ; si seulement c'était possible !
Bonne nuit. Bonne nuit à toi.
Me hais-tu ?
J'ai aligné les conneries, te concernant, concernant K. et E. depuis ta décision de rupture.
As-tu là-dedans une part de responsabilité ? Je n'arrive pas à ne pas croire que oui. Et, toi, j'imagine, tu n'arrives pas à ne pas croire que non ! C'est sans doute comme ça.
Je me sens las, fatigué, impuissant, perdu. Et aussi baigné dans une sorte de calme mélancolique.
Une sorte de calme mélancolique que je retrouve dans la musique de cette chanson polonaise que je reposte ici et qui m'a si souvent accompagné.
Quelque part, j'entends dans la musique de cette chanson tout ce que j'aimerais pouvoir te dire et te témoigner.
Si tu pouvais l'écouter en cherchant à accueillir positivement en toi tout ce qu'elle transporte en elle.
Si tu pouvais l'écouter, encore et encore, jusqu'à ce qu'elle apaise tes colères à mon égard.
Si seulement tu le voulais bien ; si seulement c'était possible !
Bonne nuit. Bonne nuit à toi.
Patrick Bruel, Kahimi Karie - Tout le jour toute la nuit (audio)
Merveilleux souvenir d'un week-end avec toi à I..
Souvenir aujourd'hui douloureux.
Si seulement tu pouvais percevoir tout l'amour que je te porte encore aujourd'hui et ressentir encore à mon égard ne serait-ce qu'une once de cet amour.
Souvenir aujourd'hui douloureux.
Si seulement tu pouvais percevoir tout l'amour que je te porte encore aujourd'hui et ressentir encore à mon égard ne serait-ce qu'une once de cet amour.
samedi 5 mars 2016
Bloqué sur FB pour E.
Tristesse
Mais, oui, je n'aurais pas du publier la chanson que j'ai publié, avec le commentaire que j'avais mis !
Je n'ai pas pensé à ce moment là à E.
Je te demande pardon pour cela.
J'ai retiré ; mais trop tard.
Regrets.
Mais, oui, je n'aurais pas du publier la chanson que j'ai publié, avec le commentaire que j'avais mis !
Je n'ai pas pensé à ce moment là à E.
Je te demande pardon pour cela.
J'ai retiré ; mais trop tard.
Regrets.
vendredi 4 mars 2016
Week-end sans les enfants
C'est un week-end sans K. ni E. qui va démarrer pour toi ce soir. Qu'est-ce que j'aimerais le passer avec toi !
Envie de te serrer dans mes bras, de t'entendre, de te voir, de parler avec toi, de te toucher, de te sentir....
Envie de faire l'amour avec toi, partout chez toi. Tu te souviens : lit, canapé, salle de bain, cuisine...
Rêve d'huile chocolat et de pierres chaudes.
Envie aussi de faire plein de choses en société avec toi, ce que je n'ai pas su faire avec toi autrefois.... Ta présence à mes cotés, ma présence à tes cotés, avec en moi les projets dont je rêvais pour nous, suffisaient à me combler !
Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !
Chaque fois que je vais à la Maison de retraite, et que je me gare ou reprend ma voiture sur le parking visiteur, et que je vois en contrebas ta voiture garée devant chez toi.... j'ai le cœur en miette.
Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !
Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".
Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi.
E. a "liké" sur FB certains de mes post le week-end dernier. Ce fut pour moi un plaisir immense de constater qu'elle ne m'avait pas oublié. Depuis, plus rien. Je me dis que sans doute, toi, ou son père, ou toi et son père, lui avait interdit. Tristesse.
Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi. Et la coupure avec tes enfants me blesse toujours aussi.
Si seulement ce week-end, ce soir, tu m'appelais pour me dire : "Viens... Passes me voir... Tu veux bien passes me voir ?"
Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".
Moi, je reste certain, certitude profonde, que je pourrais te rendre heureuse dans une vie de couple, que nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.
Qu'est--ce qui empêche cela aujourd'hui ?
Quelles blessures, quelles blessures que je t'ai faites ; quelles rancœurs en toi à mon égard, quelles colères de toi, contre moi ? Quelles autres choses que je ne réussis pas exprimer ? Quelles autres choses que je ne réussis pas à percevoir ?
J'en suis certain, nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.
Si seulement je pouvais abattre ce qui empêche !
Je brule d'envie de t'envoyer ce post par courriel. Je ne le ferais pas ; tu m'as demandé d’arrêter de t'envoyer des messages. Puisses-tu venir ici et lire ce post !
Envie de te serrer dans mes bras, de t'entendre, de te voir, de parler avec toi, de te toucher, de te sentir....
Envie de faire l'amour avec toi, partout chez toi. Tu te souviens : lit, canapé, salle de bain, cuisine...
Rêve d'huile chocolat et de pierres chaudes.
Envie aussi de faire plein de choses en société avec toi, ce que je n'ai pas su faire avec toi autrefois.... Ta présence à mes cotés, ma présence à tes cotés, avec en moi les projets dont je rêvais pour nous, suffisaient à me combler !
Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !
Chaque fois que je vais à la Maison de retraite, et que je me gare ou reprend ma voiture sur le parking visiteur, et que je vois en contrebas ta voiture garée devant chez toi.... j'ai le cœur en miette.
Si seulement tu pouvais croire à nouveau en moi, en toi et moi, en nous !
Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".
Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi.
E. a "liké" sur FB certains de mes post le week-end dernier. Ce fut pour moi un plaisir immense de constater qu'elle ne m'avait pas oublié. Depuis, plus rien. Je me dis que sans doute, toi, ou son père, ou toi et son père, lui avait interdit. Tristesse.
Ne me juges pas mal, je t'en prie. Ne me juges pas mal ! J'en supplie tous les dieux de toutes les croyances ! Ne me juges pas mal ; je suis toujours, et sans doute irrémédiablement, amoureux dingue de toi. Et la coupure avec tes enfants me blesse toujours aussi.
Si seulement ce week-end, ce soir, tu m'appelais pour me dire : "Viens... Passes me voir... Tu veux bien passes me voir ?"
Et je me demande : "Aujourd'hui, es-tu, te sens-tu, à nouveau amoureuse de quelqu'un ?".
Moi, je reste certain, certitude profonde, que je pourrais te rendre heureuse dans une vie de couple, que nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.
Qu'est--ce qui empêche cela aujourd'hui ?
Quelles blessures, quelles blessures que je t'ai faites ; quelles rancœurs en toi à mon égard, quelles colères de toi, contre moi ? Quelles autres choses que je ne réussis pas exprimer ? Quelles autres choses que je ne réussis pas à percevoir ?
J'en suis certain, nous pourrions être heureux ensemble, en couple, en couple ensemble.
Si seulement je pouvais abattre ce qui empêche !
Je brule d'envie de t'envoyer ce post par courriel. Je ne le ferais pas ; tu m'as demandé d’arrêter de t'envoyer des messages. Puisses-tu venir ici et lire ce post !
jeudi 3 mars 2016
mercredi 2 mars 2016
Grey's...
Ce soir sur TF1, début de la saison 11 de Grey's....
J’imagine que tu regardes.
Et je revoie en moi des moments où nous regardions des épisodes ensemble, serrés l'un contre l'autre, sur ton canapé.
...
Tu me manques toujours. Excepté, évidement, ton désamour et tous les refus que tu m'as opposé depuis ta décision de rupture, tout de toi me manque toujours !
Bonne nuit à toi.
J’imagine que tu regardes.
Et je revoie en moi des moments où nous regardions des épisodes ensemble, serrés l'un contre l'autre, sur ton canapé.
...
Tu me manques toujours. Excepté, évidement, ton désamour et tous les refus que tu m'as opposé depuis ta décision de rupture, tout de toi me manque toujours !
Bonne nuit à toi.
Inscription à :
Articles (Atom)