« Ce n’est
pas de l’amour, c’est du harcèlement ». Tristesse que tu ressentes
cela comme ça, tristesse que tu ne vois plus, ou ne veuille plus voir,
percevoir, l’amour que je te porte, celui aussi que je porte à K. et E.
Ou
était-ce, une provocation ?
Ou était-ce une injonction : ce n’est pas
comme cela qu’il faut exprimer l’Amour !!!! Les manières « dont je.... ». masquent-elle à ce point la nature, la « beauté/ pureté» de mes sentiments ???? J'arrive pas, j'arrive pas,, j'arrive pas à faire autrement que comme je fais ! DÉSOLÉ.... (combien de fois m'as-tu reproché d'utiliser ce mot ? Lol :-(
Gène de fait également, que tu
ressentes cela comme ça : pas de fumée sans feu ?
« Tu ne
verras pas mes enfants, tout le temps où tu ne changeras pas de comportement ».
Tristesse. Déchirement. Sensation d’injustice. Pour autant je vais m'efforcer de....
« Non, je
ne veux pas prendre tes cadeaux pour K. et E. ». Tristesse. Infinie tristesse.
« Tu ne
leur manque pas ». Déchirement, déception à un endroit donné, par miroir avec ce
qu’ils me manquent EUX ! MAIS, aucun sentiment négatif à leur égard pour
autant : ils sont enfants, et il faut bien qu’ils s’adaptent : si je
ne leur manque pas ; tout est bien alors pour eux tel que c’est !
« Non moi...». Qu'ils me voient leur dire qu'ils me manquent, me voit même avoir du mal à retenir quelques larmes les premières fois... leur feraient DU MAL ??? Vraiment, profondément, je ne crois pas. Sur l'instant, peut-être un peu. Mais pas dans leur construction d'eux même, et de ce que l'on doit affronter dans la vie. Encore moins si... je ne leur manque pas !!
« Droit de garde....». Pffffffffffffffffff Non, non, non, non ! Refuge facile de caricaturer ainsi à outrance !!!!! ??????????? Du coup, dire « NON.» est plus facile ; semble plus légitime, laisse l'esprit plus tranquille ????????????
« …ou alors
ma famille est con ?!» Jamais
de ma vie, je ne penserais cela ! C’est juste qu’ils soient plus réceptifs
à ce que tu ressens, qu’à ce que je ressens. De défendre ce que tu exprimes,
plutôt que ce que j’exprime. De s’opposer à ce que tu te sens subir aujourd’hui
à travers moi, qu’à ce que je vis, et ce que je subis à travers ta décision de
rupture et la manière dont tu la conduites (avant/pendant/après). Et c’est
« normal » ! Y compris (à commencer par ?) les perceptions
du mieux pour K. et E.
« Pas vie
de de merde ! » J’ai jamais dit, jamais pensé que tu vivais une
vie de merde sans moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tentative de ma part de
clin d’œil, en dépit de tout, au-delà de tout, en « raccord » avec
nos « (r)accords » complicités/ compréhensions/autodérisions
passé(e)s ratée !!!! Où est passé ton sens de l’humour ? Totalement
effacé par tes colères, tes rancunes ? Quelqu’un a dit : « on
peut rire de tout ; mais pas avec n’importe qui ». Je pensais pouvoir
rire, le temps de ce cadeau, de cela avec toi : « Vie de merde, les ex ». D’autant
que, dedans, c’est plus les travers de « ex » comme moi qui sont
pointés, que de « ex » comme toi.
Et j’ai conscience de pas faire «tout comme il faut » sans réussir à percevoir vraiment ce que je ne fais pas comme il faut face à ton désamour.
Et j’ai conscience de pas faire «tout comme il faut » sans réussir à percevoir vraiment ce que je ne fais pas comme il faut face à ton désamour.
J’ai dû en oublier. Je les retrouverais peut-être, peut-être pas.
« Pas vie
de de merde ! » Je le répète : j’ai jamais dit, jamais pensé
que tu vivais une vie de merde sans moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais,
oui, je pense toujours que je pourrais te rendre heureuse si tu… Et je SAIS que
je pourrais être heureux si tu… Et je trouve toujours que c’est trop con, trop
con, trop con….
Hier, LUNDI soir, je suis reparti de chez ma mère pour
Paris. J’aurais aimé –oui ! -, que je reparte plutôt de chez toi, en
attendant un « chez nous ».
Et revenir chez toi, après demain soir. Et ainsi de suite, toutes les semaines
(T. est majeure maintenant !), en attendant d’arriver à mieux.
Ironie du sort (si je puis dire, même si ce n’est pas
exactement approprié !) : tout ce que j’aurais dépensé en énergie,
espoir insensé, à l’épuisement, dans le cadre de mon boulot aura sans doute en
plus était en total pure perte : Do. est mort aujourd’hui au niveau
national, licenciement en perspective cet été. Bref, tout faux, sur toute la ligne !
C'est ma vie, on dirait !
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