Feras tu l'amour cette nuit avec quelqu'un ?
Avec un homme ? Avec une femme ?
Feras tu / auras tu fait à l'heure où tu liras ces lignes (je crois, là, que tu les liras....) l'amour avec quelqu'un, quelqu'une cette nuit, sans penser à moi, sans penser aux sentiments que je te porte toujours, sans penser aux sentiments que je porte toujours à tes enfants, sans penser à ce bonheur qui pourrait être notre, si tu voulais bien y croire, y croire à nouveau, y croire vraiment ?
C'est dur de conquérir le bonheur ! Qu'avons nous fait pour conquérir le bonheur ? Pour ma part, je crois savoir, même si je me suis planté, jusqu'à présent.
samedi 31 janvier 2015
Je t'imagine....
Je t'imagine de sortie... Et j'imagine, j'imagine.... douleur. En un mot : Jalousie !
Qu'est-ce que j'aimerais que tu ne sois pas de sortie, et m'appelles, m’appelles, m'appelles, par tel, sms, fb, nuage de fumée, éclair dans le ciel... que sais-je ! Mais que tu m'appelles, m’appelles, m'appelles.... et me demandes de te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre. Te rejoindre.
Qu'est-ce que j'aimerais que tu ne sois pas de sortie, et m'appelles, m’appelles, m'appelles, par tel, sms, fb, nuage de fumée, éclair dans le ciel... que sais-je ! Mais que tu m'appelles, m’appelles, m'appelles.... et me demandes de te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre, te rejoindre. Te rejoindre.
Il semblerait....
Il semblerait que tu lises cette page, puisque depuis mon commentaire d'hier relatif à ta page FB, je ne vois plus rien de ce qui s’apparente à ce que j'ai commenté hier. Pffffffffffffffff.
Les boules, encore un peu plus : tu agrandis le mur ; et cela me fait mal ! Il n'y avait rien de méchant pourtant dans mon commentaire ! Juste cette boulette d'avoir une nuit durant laisser ton prénom apparent.
Les boules. Les boules. Les boules. Et j'aimerais te voir. Et j'aimerais qu'on parle. Il y a tant de choses que j'aimerais te dire et que je ne peux exprimer par écrit. Il y a tant de choses que je ne pourrais comprendre qu'en t'entendant me parler.
Ce soir, samedi soir, sans tes enfants. Es-tu à V. ? Es-tu chez B. ? Vas-tu / es-tu parti t'amuser, sortir, écouter de la musique, danser, draguer ? Autant de questions douloureuses pour moi. Qu'est-ce que j'aimerais être avec toi !!!!!!!!!!!!!
Les boules, encore un peu plus : tu agrandis le mur ; et cela me fait mal ! Il n'y avait rien de méchant pourtant dans mon commentaire ! Juste cette boulette d'avoir une nuit durant laisser ton prénom apparent.
Les boules. Les boules. Les boules. Et j'aimerais te voir. Et j'aimerais qu'on parle. Il y a tant de choses que j'aimerais te dire et que je ne peux exprimer par écrit. Il y a tant de choses que je ne pourrais comprendre qu'en t'entendant me parler.
Ce soir, samedi soir, sans tes enfants. Es-tu à V. ? Es-tu chez B. ? Vas-tu / es-tu parti t'amuser, sortir, écouter de la musique, danser, draguer ? Autant de questions douloureuses pour moi. Qu'est-ce que j'aimerais être avec toi !!!!!!!!!!!!!
vendredi 30 janvier 2015
Que ?
Nouvelle rupture de rideau ! Bref.
Que fais-tu à cet instant précis ; où es-tu
à cet instant précis ?
Je brule d’envie à cet instant précis de te poser
cette question que je viens d'écrire par SMS ; mais, ce serait commencer par te bombarder de
SMS, ce que je me suis interdit ! Ce que aussi tu m’as interdit.... Et cela se
comprend, à défaut de « je le comprends ». Je dois en tout cas le
respecter.
Là, ce n’est pas te bombarder de SMS : cette page, tu
peux y venir, au grès…. de ce que tu ressens. Et je ne sais pas si tu y viens
ou pas !!!!!
De fait, sans doute, je m’y parle autant que je «t’y parles » !
Alcool en intraveineuse ou presque. Si tu lis, je ne
devrais pas écrire ça : souvenir de ton grand-père, mépris que tu portes à
la surconsommation d’alcool ; cela n’est pas fait pour me rehausser à tes
yeux que d'écrire cela !
Je ne crois pas que je sombrerai dedans totalement...pas plus que
dans le suicide. Mais ce passage de ma vie me semble m’en faire comprendre les ressorts,
comme pour les suicides. Je juge aujourd’hui moins sévèrement mon père. Et tous
ceux que je ne connais pas ou que par ouï dire qui… Parmi eux / elles, un
certain nombre dont tu m’as parlé « autrefois ».
Que de douleurs pour en arriver là !
Que de force nécessaire pour échapper à ce genre de cercle vicieux !
Tu ne m’as pas adressé un seul regard quand tu étais
ce matin chez ma mère, les yeux ostensiblement rivés ailleurs, même quand je t’ai
dit « salut ! » et que tu m’as répondu aussi « salut ». Et tu es une
nouvelle fois partie sans le moindre "au revoir". Je trouve cela vraiment triste, triste.
T’as pas répondu non plus à aucune de mes deux SMS, toujours muré dans ta volonté/
ta décision de non réponse à mes messages. Sérieux, je ne te bombarde plus de messages : aussi, je peine à comprendre ; et je trouve cela aussi immensément triste !!
Que fais-tu à cet instant précis ; où es-tu, avec
qui es-tu, à cet instant précis ?
Seule sur ton canapé ? Moi, je me suis couché.
Moi ici, toi « là-bas », pas très loin….
Trop con, trop con, trop con. On pourrait être, je crois, si bien ensemble !!!!!
Un SMS suffirait de toi pour que j’accoure.
Et au-delà de cette envie, de ce désir, qu’est-ce que
j’aimerais que tu m’accordes ces minutes d’échange en tête à tête que je te
demande. Aujourd’hui ? Demain ? Après demain ? Le rêve n’est pas
interdit !
Sur ta page FB j'ai repéré : " ... a ajouté O... à sa liste de personnes qui l’inspirent." Et puis, "L'e...". Envie de me tuer ? Ne serai-ce qu'un peu ou de manière "symbolique" ? Aucun rapport avec moi ? Je ne sais que penser.
mercredi 21 janvier 2015
Et merde !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
lundi 19 janvier 2015
(Parenthèse)
Admiration sans borne pour les quarante ans de mariage de tes parents.
Je ne sais pas ce qu'ils ont traversé comme bas dans leur vie de couples.
Mais le fait me semble là : leur amour a in fine résisté.
Ton père en a-t-il fait, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Je ne sais pas. En tout cas, il a su faire ce qu'il fallait, au moins tout le nécessaire minimal qu'en attendait ta mère ! Puisqu'ils sont toujours ensemble.
Tu l'as pas bien vu, ou je ne te l'ai pas bien montré (c'est comme tu veux !), j'ai la sensation d'avoir fait passionnément. J'ai aussi fait à la folie ; mais dans une folie qui clairement t'a éloignée, plutôt que rapprochée !!!!!!!!!!!!!!
Je m'en veux terriblement de ne pas avoir su faire gaffe comme il aurait fallu que je fasse gaffe pour que ton amour ne s'étiole pas, de la manière dont il s'est étiolé.
Je t'aime toujours ! Et, Dieu, comme j'envie ton père d'avoir su faire ce qu'il fallait pour préserver l'amour de ta mère !!
Respect et admiration pour eux deux. Sincèrement. Profondément.
Peut-être liras-tu ce post. Peut-être le liras-tu en ricanant : pfff, pffff, pffff, il a pas été foutu de tenir cinq jours de silence !
Peut-être ne liras-tu pas ce post et que c'est quelque autre que je ne connais pas qui lira ce post en ricanant : il a pas tenu cinq jours de silence !
J'm'en fous ! J'm'en fous ! Depuis que je t'ai perdu, je n'ai plus beaucoup d'amour propre, plus une once de fierté.
Aussi :j 'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! Même si cela me fait mal de rompre ce silence. Injonctions contradictoires. Perdant sur tout les tableaux.
Mais, ce soir, la pensée des quarante ans de mariage de tes parents exacerbent des douleurs bien plus intenses. Alors, merde, j'écris ces mots.
Et, puisque je suis là, puisque j'en suis là... bonne fin de soirée à toi, à K. et à E. Bonne nuit à vous trois ; je vous souhaite, comme en pensées chaque soir, de beaux rêves, tout en couleurs.
Je ne sais pas ce qu'ils ont traversé comme bas dans leur vie de couples.
Mais le fait me semble là : leur amour a in fine résisté.
Ton père en a-t-il fait, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie ? Je ne sais pas. En tout cas, il a su faire ce qu'il fallait, au moins tout le nécessaire minimal qu'en attendait ta mère ! Puisqu'ils sont toujours ensemble.
Tu l'as pas bien vu, ou je ne te l'ai pas bien montré (c'est comme tu veux !), j'ai la sensation d'avoir fait passionnément. J'ai aussi fait à la folie ; mais dans une folie qui clairement t'a éloignée, plutôt que rapprochée !!!!!!!!!!!!!!
Je m'en veux terriblement de ne pas avoir su faire gaffe comme il aurait fallu que je fasse gaffe pour que ton amour ne s'étiole pas, de la manière dont il s'est étiolé.
Je t'aime toujours ! Et, Dieu, comme j'envie ton père d'avoir su faire ce qu'il fallait pour préserver l'amour de ta mère !!
Respect et admiration pour eux deux. Sincèrement. Profondément.
Peut-être liras-tu ce post. Peut-être le liras-tu en ricanant : pfff, pffff, pffff, il a pas été foutu de tenir cinq jours de silence !
Peut-être ne liras-tu pas ce post et que c'est quelque autre que je ne connais pas qui lira ce post en ricanant : il a pas tenu cinq jours de silence !
J'm'en fous ! J'm'en fous ! Depuis que je t'ai perdu, je n'ai plus beaucoup d'amour propre, plus une once de fierté.
Aussi :j 'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! J'm'en fous ! Même si cela me fait mal de rompre ce silence. Injonctions contradictoires. Perdant sur tout les tableaux.
Mais, ce soir, la pensée des quarante ans de mariage de tes parents exacerbent des douleurs bien plus intenses. Alors, merde, j'écris ces mots.
Et, puisque je suis là, puisque j'en suis là... bonne fin de soirée à toi, à K. et à E. Bonne nuit à vous trois ; je vous souhaite, comme en pensées chaque soir, de beaux rêves, tout en couleurs.
mercredi 14 janvier 2015
En attendant...
mardi 13 janvier 2015
Tu m’as dit…
« Ce n’est
pas de l’amour, c’est du harcèlement ». Tristesse que tu ressentes
cela comme ça, tristesse que tu ne vois plus, ou ne veuille plus voir,
percevoir, l’amour que je te porte, celui aussi que je porte à K. et E.
Ou
était-ce, une provocation ?
Ou était-ce une injonction : ce n’est pas
comme cela qu’il faut exprimer l’Amour !!!! Les manières « dont je.... ». masquent-elle à ce point la nature, la « beauté/ pureté» de mes sentiments ???? J'arrive pas, j'arrive pas,, j'arrive pas à faire autrement que comme je fais ! DÉSOLÉ.... (combien de fois m'as-tu reproché d'utiliser ce mot ? Lol :-(
Gène de fait également, que tu
ressentes cela comme ça : pas de fumée sans feu ?
« Tu ne
verras pas mes enfants, tout le temps où tu ne changeras pas de comportement ».
Tristesse. Déchirement. Sensation d’injustice. Pour autant je vais m'efforcer de....
« Non, je
ne veux pas prendre tes cadeaux pour K. et E. ». Tristesse. Infinie tristesse.
« Tu ne
leur manque pas ». Déchirement, déception à un endroit donné, par miroir avec ce
qu’ils me manquent EUX ! MAIS, aucun sentiment négatif à leur égard pour
autant : ils sont enfants, et il faut bien qu’ils s’adaptent : si je
ne leur manque pas ; tout est bien alors pour eux tel que c’est !
« Non moi...». Qu'ils me voient leur dire qu'ils me manquent, me voit même avoir du mal à retenir quelques larmes les premières fois... leur feraient DU MAL ??? Vraiment, profondément, je ne crois pas. Sur l'instant, peut-être un peu. Mais pas dans leur construction d'eux même, et de ce que l'on doit affronter dans la vie. Encore moins si... je ne leur manque pas !!
« Droit de garde....». Pffffffffffffffffff Non, non, non, non ! Refuge facile de caricaturer ainsi à outrance !!!!! ??????????? Du coup, dire « NON.» est plus facile ; semble plus légitime, laisse l'esprit plus tranquille ????????????
« …ou alors
ma famille est con ?!» Jamais
de ma vie, je ne penserais cela ! C’est juste qu’ils soient plus réceptifs
à ce que tu ressens, qu’à ce que je ressens. De défendre ce que tu exprimes,
plutôt que ce que j’exprime. De s’opposer à ce que tu te sens subir aujourd’hui
à travers moi, qu’à ce que je vis, et ce que je subis à travers ta décision de
rupture et la manière dont tu la conduites (avant/pendant/après). Et c’est
« normal » ! Y compris (à commencer par ?) les perceptions
du mieux pour K. et E.
« Pas vie
de de merde ! » J’ai jamais dit, jamais pensé que tu vivais une
vie de merde sans moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Tentative de ma part de
clin d’œil, en dépit de tout, au-delà de tout, en « raccord » avec
nos « (r)accords » complicités/ compréhensions/autodérisions
passé(e)s ratée !!!! Où est passé ton sens de l’humour ? Totalement
effacé par tes colères, tes rancunes ? Quelqu’un a dit : « on
peut rire de tout ; mais pas avec n’importe qui ». Je pensais pouvoir
rire, le temps de ce cadeau, de cela avec toi : « Vie de merde, les ex ». D’autant
que, dedans, c’est plus les travers de « ex » comme moi qui sont
pointés, que de « ex » comme toi.
Et j’ai conscience de pas faire «tout comme il faut » sans réussir à percevoir vraiment ce que je ne fais pas comme il faut face à ton désamour.
Et j’ai conscience de pas faire «tout comme il faut » sans réussir à percevoir vraiment ce que je ne fais pas comme il faut face à ton désamour.
J’ai dû en oublier. Je les retrouverais peut-être, peut-être pas.
« Pas vie
de de merde ! » Je le répète : j’ai jamais dit, jamais pensé
que tu vivais une vie de merde sans moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Mais,
oui, je pense toujours que je pourrais te rendre heureuse si tu… Et je SAIS que
je pourrais être heureux si tu… Et je trouve toujours que c’est trop con, trop
con, trop con….
Hier, LUNDI soir, je suis reparti de chez ma mère pour
Paris. J’aurais aimé –oui ! -, que je reparte plutôt de chez toi, en
attendant un « chez nous ».
Et revenir chez toi, après demain soir. Et ainsi de suite, toutes les semaines
(T. est majeure maintenant !), en attendant d’arriver à mieux.
Ironie du sort (si je puis dire, même si ce n’est pas
exactement approprié !) : tout ce que j’aurais dépensé en énergie,
espoir insensé, à l’épuisement, dans le cadre de mon boulot aura sans doute en
plus était en total pure perte : Do. est mort aujourd’hui au niveau
national, licenciement en perspective cet été. Bref, tout faux, sur toute la ligne !
C'est ma vie, on dirait !
dimanche 11 janvier 2015
samedi 10 janvier 2015
Tu me manques, comme tu me manques !
Tu me manques, bordel, comme tu me manques ! Qu'est-ce que j'aimerais être avec toi !!!!!! C'est dingue comme tu me manques et comme j'aimerais être avec toi.
mercredi 7 janvier 2015
mardi 6 janvier 2015
T'as une recette ?
T'as une recette pour que je ne t'aime plus et que tu ne me manques plus ? Lol (jaune).
Mais bordel !
Mais bordel ; pour quoi faire je t'écris encore cela, pour quoi faire je t'écris encore sur cette page, que sans doute tu ne lis plus depuis longtemps !!!!
C'est balo
Je rêvais un peu d'une carte de bon anniversaire de la part de K. et de E. Rêve déçu ; mais je ne leur en veux pas Je me reproche plutôt à moi d'avoir rêver de cela.
lundi 5 janvier 2015
dimanche 4 janvier 2015
Tu vas me dire de c'est con
Tu vas penser que c'est con, débile, déplacé : j'aurais aimé, j'aimerais, un mot de toi en ce jour. Un court SMS, un petit mail, (un coup de fil ?), un simple post sur ma page FB, que sais-je, n'importe quel signe de ?bienveillance, ?non indifférence, ?pensées, ?non ignorance de mon existence et du fait que c'est le jour de mon anniversaire Je sais pas.
Ni ta mère, ni ta sœur, ni Thomas, ni, ni, ni.... c'est pas pareil bien sur ! Et pourtant j'aurais bien aimé aussi un petit message Fb de leur part. Pas "bon anniversaire" parce qu'ils se doutent qu'il n'est pas bon ; mais un signe témoignant que je ne suis pas devenu rien pour eux, en dehors d'un souvenir du passé et "d'un boulet du présent pour toi".
Pour autant, je peux comprendre que cela n'aurait pas été simple pour eux de trouver les mots....
Ni pour toi sans doute.
Bref. Bonne rentrée demain à K. et à E. Bonne suite de nuit à eux. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi.
Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi.
Ni ta mère, ni ta sœur, ni Thomas, ni, ni, ni.... c'est pas pareil bien sur ! Et pourtant j'aurais bien aimé aussi un petit message Fb de leur part. Pas "bon anniversaire" parce qu'ils se doutent qu'il n'est pas bon ; mais un signe témoignant que je ne suis pas devenu rien pour eux, en dehors d'un souvenir du passé et "d'un boulet du présent pour toi".
Pour autant, je peux comprendre que cela n'aurait pas été simple pour eux de trouver les mots....
Ni pour toi sans doute.
Bref. Bonne rentrée demain à K. et à E. Bonne suite de nuit à eux. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi.
Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi. Bonne nuit à toi.
Claude Nougaro - Docteur
Allez, encore un petit peu....
Elle est belle cette chanson !
Mis à part le fait que je ne sois plus jamais près de toi, c'est exactement ce dont il faut que je me "libère" ! Lol. Allez, prends le avec sourire.
Elle est belle cette chanson !
Mis à part le fait que je ne sois plus jamais près de toi, c'est exactement ce dont il faut que je me "libère" ! Lol. Allez, prends le avec sourire.
Il faut que je me ressaisisse
Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant ! Il faut que je me ressaisisse, et que je te laisse tranquille, et que
je te laisse vivre ta vie sereinement sans t'inonder de mes états d'âme
t’obligeant sans doute, malgré tes silences, à te soucier de moi à ton corps défendant !
Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y aIl faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive.
Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi.
Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y aIl faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive.
Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi. Pardonnes-moi.
samedi 3 janvier 2015
Bisous
Bisous en pensées. C'est ridicule, sans doute ; bisous quant même ! J'ai eu envie de t'écrire : "Bisous". C'est fait. "Bisous soir", bisous matin"....bisous !
vendredi 2 janvier 2015
Je... toujours...
Je t'aime toujours. Quelque part au moins, je t'aimerai toujours, et j’éprouverai toujours la nostalgie de notre amour.
Et je considérerai toujours l'échec de notre relation comme l'un des, sinon l'échec le plus triste de ma vie. Parce que même si j'ai tout fait de travers, j'y ai mis tout mon cœur, toute mon âme, toute ma foi en la vie et au bonheur possible, ainsi que tout l'énergie que je pouvais. Même si j'ai tout fait de travers.
Tout de toi continue de me manquer en continu ! A quoi ça sert, à quoi ça rime, quel est le but puisque toi, tu ne te sens plus m'aimer ??? !!!!
Et qu'est-ce qui fait que je ne n'arrive pas à m’empêcher d'étaler ici le spectacle de mes souffrances et de ma désolation ? Soit juste certaine que ce n'est pas pour te culpabiliser.
Et je considérerai toujours l'échec de notre relation comme l'un des, sinon l'échec le plus triste de ma vie. Parce que même si j'ai tout fait de travers, j'y ai mis tout mon cœur, toute mon âme, toute ma foi en la vie et au bonheur possible, ainsi que tout l'énergie que je pouvais. Même si j'ai tout fait de travers.
Tout de toi continue de me manquer en continu ! A quoi ça sert, à quoi ça rime, quel est le but puisque toi, tu ne te sens plus m'aimer ??? !!!!
Et qu'est-ce qui fait que je ne n'arrive pas à m’empêcher d'étaler ici le spectacle de mes souffrances et de ma désolation ? Soit juste certaine que ce n'est pas pour te culpabiliser.
Réussir...
Réussir à ne plus me faire mal en pensant en boucle à toi.
Réussir à me tourner sereinement et joyeusement vers mon futur, même si celui-ci est sans toi.
Réussir à ne plus souffrir, comme j'en souffre, de ton désamour.
Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive, même si pour aujourd'hui, c'est encore raté.
Réussir à me tourner sereinement et joyeusement vers mon futur, même si celui-ci est sans toi.
Réussir à ne plus souffrir, comme j'en souffre, de ton désamour.
Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive. Il faut que j'y arrive, même si pour aujourd'hui, c'est encore raté.
jeudi 1 janvier 2015
Encore une fois meilleurs voeux
Encore une fois mes meilleurs vœux à vous trois pour cette année 2015 qui commence.
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