Fin de publication de l'album "Après midi mécanique"
En fait, même durant cet "apm mécanique", je n'ai pas pu m’empêcher de penser à toi ; à ton père aussi pour l'occasion
A un moment donné, inattendu, je me suis retrouvé envahi par le souvenir de la nuit où tu m'avais dit que, ta tante, ou ta grand mère, je ne sais plus, t'avait dit que tu étais une vielle âme.
Tu te souviens, de cette nuit ?
Te souviens-tu de cette nuit ?
J'ai eu l'impression cette nuit-là, que tu m'aimais d'un amour aussi gigantesque que celui que je te porte.
Je ressentais ces amours -le tien et le mien - comme éternels !
Et puis, et puis, depuis.... tu m'as plaqué.... tu m'as jeté !!!
Je ne comprends toujours pas, comment, cet amour-là, le tien, qui me semblait énorme, aussi énorme que le mien, a pu se dessécher sans que je perçoives son agonie. Je m'en veux, je m'en veux ! Terriblement ! Je t'en veux aussi, un peu.
Souvenirs, souvenirs, des week-end en tête à tête, avec toi. Je nous revois, je te revois, partout, partout, chez toi. Comme j'aimerais revivre tout cela, dans des partout, partout, "chez nous" !!!! Les moments et les endroits où nous avons fait l'amour, bien entendu ! Mais pas que ces moments là.
Je t'aime. et j'aimerais te manquer.Cela malheureusement pour moi, n'as pas l'air d'être le cas. Tu m’appellerais autrement, n'est-ce pas ?!
Je t'aime. Tristesse. Mais je te souhaite, heureuse. Où que tu sois, avec qui que tu sois, bonne soirée à toi ! L'essentiel, finalement, c'est ça.
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