Je ne devrais pas…. Je ne devrais
pas écouter des choses comme ça en pensant à toi, n’est-ce pas ?
Toi et moi, tu me l’as dit et redis :
« C’est fini, fini, fini. C’est mort, mort, mort »
Las, je ne m’en sors pas !
Si un miracle pouvait ramener ton
amour un jour, je serai là, je serai là
Si un miracle pouvait mettre à bas le mur un jour, je serai là, je serai là
J’ai changé bien des choses qui ont tué ton amour.
Et si nous recommencions notre histoire, j’arriverais à changer ce qui reste en moi et qui pourrait à nouveau tuer ton amour.
Ma connerie a bâti ce mur, si solide, que je ne peux pas passer à travers
N'y a-t-il vraiment aucune chance de recommencer ? Je sais, je sais, je sais, toi et moi, tu me l’as dit et redis : « C’est fini, fini, fini. C’est mort, mort, mort ». Et pourtant, n'y a-t-il vraiment aucune chance de recommencer ? Je bute toujours là-dessus
Je reste englué dans…
Je t'aime
Si tu pouvais essayer, S., essayer
De croire encore en mon amour, en l’amour avec moi
Je serai là, je serai là
J'ai heurté sans doute bien plus que ta fierté, et je me doute de
Ce que tu as enduré
Je rêve toujours que tu me donnes une nouvelle chance. Insensé ???? Insensé surement puisque tu me l’as dit et redis : «Toi et moi, c’est fini, fini, fini. Toi et moi, c’est mort, mort, mort. » !! Et que tu as un autre copain, et que... et que.. et que.... Mais il y a en moi cette chose qui me dit « Cela ne peut pas être la fin ! » ; et je n’arrive pas à la faire taire en moi cette voix (perfide ?) qui me crie cela et m’empêche d’accepter que toi et moi, c'est fini, fini, fini ; c’est mort, mort, mort ».
Si un miracle pouvait mettre à bas le mur un jour, je serai là, je serai là
J’ai changé bien des choses qui ont tué ton amour.
Et si nous recommencions notre histoire, j’arriverais à changer ce qui reste en moi et qui pourrait à nouveau tuer ton amour.
Ma connerie a bâti ce mur, si solide, que je ne peux pas passer à travers
N'y a-t-il vraiment aucune chance de recommencer ? Je sais, je sais, je sais, toi et moi, tu me l’as dit et redis : « C’est fini, fini, fini. C’est mort, mort, mort ». Et pourtant, n'y a-t-il vraiment aucune chance de recommencer ? Je bute toujours là-dessus
Je reste englué dans…
Je t'aime
Si tu pouvais essayer, S., essayer
De croire encore en mon amour, en l’amour avec moi
Je serai là, je serai là
J'ai heurté sans doute bien plus que ta fierté, et je me doute de
Ce que tu as enduré
Je rêve toujours que tu me donnes une nouvelle chance. Insensé ???? Insensé surement puisque tu me l’as dit et redis : «Toi et moi, c’est fini, fini, fini. Toi et moi, c’est mort, mort, mort. » !! Et que tu as un autre copain, et que... et que.. et que.... Mais il y a en moi cette chose qui me dit « Cela ne peut pas être la fin ! » ; et je n’arrive pas à la faire taire en moi cette voix (perfide ?) qui me crie cela et m’empêche d’accepter que toi et moi, c'est fini, fini, fini ; c’est mort, mort, mort ».
Je t'aime encore
Je t'aime encore
Je t'aime encore, et je peine à vivre sans ton amour, Plus de trois ans maintenant, et je n’arrive toujours pas à vivre dignement sans ton amour !
Je t'aime encore.
Demain je vais revoir, croisé avant-hier sur Badoo, la
deuxième femme avec qui j’ai fait l’amour. J’avais alors 18 ans, et elle, 23.
Peut-être / sans doute ferons-nous l’amour
Je crains que je vais aller la voir en pensant à toi. C’est terrible !
Dimanche, je devais sans doute voir aussi une autre femme « rencontrée » elle aussi sur Badoo. Même topo !
Je crains que je vais aller la voir en pensant à toi. C’est terrible !
Dimanche, je devais sans doute voir aussi une autre femme « rencontrée » elle aussi sur Badoo. Même topo !
Je repense à la chanson « en dessous de la ceinture »
Est-ce ainsi, quand on se sent le cœur brisé, et hanté par les fantômes d’un passé dont on ne réussit pas à faire le deuil, que l’on est condamné à cela ?
Est-ce ainsi, quand on se sent le cœur brisé, et hanté par les fantômes d’un passé dont on ne réussit pas à faire le deuil, que l’on est condamné à cela ?
Tu m’as dit il y a maintenant très, très longtemps que tu
comprenais ma peine
La peine s’est transformée en désespoir
Et ce désespoir, et mes conneries qui ont été avec, ont bâti entre nous un mur, si solide, que tu ne peux /veux même plus ni me voir, ni m’entendre. Tristesse, tristesse, tristesse.
La peine s’est transformée en désespoir
Et ce désespoir, et mes conneries qui ont été avec, ont bâti entre nous un mur, si solide, que tu ne peux /veux même plus ni me voir, ni m’entendre. Tristesse, tristesse, tristesse.
Si seulement tu pouvais lire ces lignes et m'adresser un signe positif, un espoir, sinon d'amour, de possible amitié future, un signe positif de compréhension de la réalité de ma souffrance, une tentative d'apaisement de ce qui me tourmente.
Et sincèrement désolé, si je te tourmente toi, en t'exposant à nouveau mes tourments.
J'espère que tu vas bien, K. et E. aussi, ainsi que..... tous ceux que tu aimes, ta famille, tes ami(e)s, et blablabla.
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