La semaine écoulée s’est achevée, et une autre a démarré.
Pour cette semaine qui démarre, bonne semaine à toi ! Bonne semaine
aussi à K. et à E.
Je le souhaite aussi pour d'autres que vous trois - mes enfants, les
autres membres de ma famille, etc ; mais ce n’est pas pareil...
Je vous souhaite à toi, à K. et à E., que les sept jours qui viennent vous
soient favorables et agréables. D’autant que très bientôt, ce sera ton
anniversaire.
Si je n’avais pas été aussi con, peut-être serions-nous dans des préparatifs
pour fêter ton anniversaire avec toute ta famille, dans une maison à nous. Mais
j'ai été trop con, noyé dans mes peurs, mes croyances fausses et mes
aveuglements. J'ai détruit l'amour que tu me portais sans m'en rendre compte.
C'est l'une des plus grandes blessures de ma vie. Et elle reste à ce jour celle
dont je réussis le moins à cicatriser.
Sens-tu les bouffées d’amour que porte mon souhait de bonne semaine ?
J’aimerais que tu puisses ressentir ce souhait et ces bouffées d’amour positivement,
et non comme un boulet accroché à tes basques. Si ce n’est pas possible
aujourd’hui, un jour futur…
Ce nouveau post est une fois de plus un palliatif à l'impossibilité de te
parler. Avec une fois de plus, cet espoir insensé que tu le reçoives
positivement.
J'ai vécu et vu ce weekend plein de moments que j'aurais aimé partagé avec
toi. Le moins saugrenu n'est pas une réparation d'aspirateur. Voir F. et A. ,
ce couple d'amis que tu n'as pas connu et que je voulais tant que tu rencontres,
les avoir vu complices, en train de réparer à quatre mains leur aspirateur, m'a
fait intensément penser à toi. J'aurais voulu vivre quelque chose comme ça avec
toi. Je sais que j'ai raté bien des occasions ! Je m'en veux. Je donnerais je ne
sais pas quoi pour vivre un jour un moment comme ça avec toi ! « Jamais ! »,
penses-tu sans doute à l’instant. Je sais. Malheureusement.
Est-ce que cela t'est déjà arrivé, dans les deux années écoulées, ne
serait-ce qu'un bref instant, un instant fugace, fugitif, de regretter que
je ne sois pas là à tes côtés pour partager un truc avec moi ?
Qu'est-ce qui fait en toi, que toi et moi, c'est fini, fini, fini ? Qu'est-ce
qui fait qu'en toi, alors que les circonstances ont changé, tu ne veuilles pas
nous donner une nouvelle chance ? J'espère que ce n'est pas la peur que je ne
supporterais pas que tu me quittes à nouveau !!! Ce serait trop con ; moi, je
serais prêt à prendre le risque, à prendre tous les risques !!!!
Qu'est-ce qui fait que tu es certaine que tu ne pourrai pas être heureuse
avec moi ? As-tu aujourd'hui un nouvel amour dans ta vie ? Ou ce que nous nous
faisons vivre depuis deux ans (ce que je te fais vivre, si tu préfères !!) t'a-t-il
pour l'heure blessé au point que.... Je ne le voudrais pas ; même si avoir
un nouvel amour autre que moi dans ta vie... est bien la seule chose de positive que je ne
réussis pas à te souhaiter !! Alors même que je l'ai souhaité très fort pour la
mère de mes enfants, avant, pendant notre relation, et après ta décision de
rupture, et que je suis content pour mes enfants que ce soit le cas aujourd'hui
pour leur mère !
T’imaginer en amours avec un autre est toujours douloureux pour moi.
Que se passerait-il, en toi, en moi, pour toi, pour moi, si tu acceptais de
m'accorder un tête à tête, d'une heure ou deux, avec la volonté partagée, de
part et d'autre, d'être sincèrement à l'écoute de l'autre, et totalement
sincère envers l'autre et avec soi-même ? Qu'est-ce qui fait que tu refuses de répondre à cette
simple question ?!!
Je radote. Je sais ! Tous tes refus et tes rejets, toutes mes
frustrations... avec ces deux tas, je n'arrive pas à ne pas radoter. C'est triste.
Bref ! Pour cette semaine qui démarre et qui sera la semaine de tes quarante et un
an, bonne semaine à toi, S. Je souhaite aussi que toutes les choses que je
viens d'écrire ici ne t'attristent pas, ne te mettent pas en colère, blablabla.