jeudi 30 juin 2016

Accordes moi, stp

Accordes moi, stp, cet échange que je t'ai demandé !

Je me répète et je peux me tromper ; mais je crois vraiment que cela m'aiderait à avancer de pouvoir parler avec toi.

Je n'arrive pas à ne pas sans cesse retourner dans ma tête, jour après jour, toutes les choses dont je voudrais pouvoir parler, avec toi. Ne serait-ce qu'une fois, ne serait-ce qu'une fois.

Je...

Je t'en prie,

dimanche 26 juin 2016

Bonnes...

Bonne fin de soirée de Dimanche à K. et E.
Bonne nuit à K. et E. avec des rêves... et aucun cauchemar...

Bonne semaine aussi à K. et E. , aussi bonne dernière semaine d'école à K. et E. ; le 4 et le 5 juillet, ça ne compte pas ! J'espère qu'ils ont tous les deux passés une bonne année scolaire, avec plein de satisfactions, de bons résultats, etc.

Je me demande où et quand vous partirez en vacances. Juillet, Août ? Au bord de la mer, j'imagine. Souvenirs, souvenirs...

Bonne semaine à toi aussi ?  Oui, bonne semaine à toi aussi, même si, même si...

Accordes moi, stp, cet échange que je t'ai demandé. Je peux me tromper ; mais je crois que cela m'aiderait à avancer de pouvoir parler avec toi. Au moins, je ne retournerais plus sans cesse dans ma tête, jour après jour, toutes les choses dont je voudrais pouvoir parler, ne serait-ce qu'une fois, avec toi.

Même si, même si... bonne semaine à toi aussi.

mardi 21 juin 2016

Je viens de...

Je viens de  t'apercevoir, ainsi que K. Douleurs.

Vague souvenir d'un visage d'homme aperçu un jour tout à coté de ta voiture sur cette place...  Je me demande si tu es en amour avec un homme qui habiterait dans une des maisons au bord de cette place.

Vague souvenir du visage de cet homme aperçu un jour tout à coté de ta voiture sur cette place... Je le rapproche de celui d'un gars sympa qui a réparé la débroussailleuse de ma mère samedi dernier. Douleurs.

Cela peut te sembler je sais pas quoi que j'éprouve là ces douleurs que j'éprouve. Je me dis pour ma part que, quelque part au moins, c'est dingue. C'est dingue et douloureux. Pour autant, je n'arrive pas à en sortir.

Je n'arrive pas à m'en sortir !

lundi 20 juin 2016

Ce "midi"

Je m’apprête à manger seul à N. Je t'imagine finissant ou en train de manger à V.
Nous aurions pu manger ensemble et, en moi, mon cœur me dit que cela aurait pu être bien, pour toi, comme pour moi.

Mais toi, tu ne le veux pas ; toi, tu n'en as pas envie ; toi, tu ne le crois pas ; toi, tu m'as demandé de sortir définitivement de ta vie.

Si seulement tu voulais prendre le risque de remettre en question tes choix à mon égard !

Et je me demande : qu'est-ce qui pèse le plus aujourd'hui dans ton rejet de moi ? Mes petits travers qui ne t'ont plus amusés il y a maintenant un peu plus de deux ans ? Ou les manières dont je me suis comporté depuis ta décision de rupture ? Notre écart d''âge ? Le fait que tu sois aujourd'hui amoureuse de quelqu'un d'autre ? La peur de retenter l'aventure de l'amour ? Dans une forme d'obstination, le refus de retenter l'aventure de l'amour avec moi, genre "J'ai décidé de rompre. J'ai décidé que tu devais sortir de ma vie. Je ne reviendrai pas en arrière, même si nous devions pouvoir, comme tu le dis, être heureux ensemble !" ? Un peu de tout cela ? Autre ? Je me demande.

J'aimerai qu'un jour

J'aimerai qu'un jour tu te dises en pensant à moi : "C'est trop bête, nous aurions pu être heureux ensemble.".

Ou bien mieux encore : "C'est trop bête, nous pourrions être heureux ensemble.". Et que dans la foulée, tu reviennes vers moi.

Je pense au père de K. et de E. et je me demande si il regrette lui aussi d'avoir perdu ton amour, et s'il aimerait lui aussi regagner ton amour.

Et je me demande encore : que faudrait-il que je fasse pour avoir "une chance" de regagner ton amour ?

dimanche 19 juin 2016

Bonne semaine à K. et E.

Bonne fin de soirée, bonne nuit, beaux rêves et bonne semaine à venir à K. et E.

A toi ? Non. Là, j'ai pas envie. J'ai trop mal de penser sans cesse à toi, alors que tu ne m'aimes plus, alors que tu ne veux plus entendre parler de moi.

Est-ce que je te souhaite de passer une bonne petite semaine de merde ?

Allez, je voudrais "juste" qu'à certains moments, t'aies mal comme j'ai mal. Je suis pas "trop" vache : juste à certains moments, même pas autant que moi. C'est quand même mesquin  de ma part. Oui.

Fête des pères

T. vient de m'appeler pour souhaiter une bonne fête des pères. J'avais oublié que c'était la fête des pères aujourd'hui !

Si K. et E. étaient avec toi ce week-end, peut-être les as-tu laisser ce midi avec leur père. Et je t'imagine à B., chez tes parents, avec ta sœur, avec T., et leurs enfants.

Tu vois, tout me fait penser à toi !

Du temps de ton amour, quand K. et E. parlaient de petit frère / petite sœur, j'aurais du tenter de te convaincre avec eux, et tenter de réunir les conditions permettant que... J'ai pas fait ; j'ai pas su faire. Les boules.

samedi 18 juin 2016

Samedi soir, je... mais, toi tu ne veux plus

Samedi soir. Je ne pense pas à toi parce que c'est samedi soir ; je pense à toi tous les jours, des dizaines de fois par jour !

Et quand je ne pense pas à toi, les plus banales, les plus anodines des choses te ramènent dans mon esprit. Je suis incapable de faire un lit sans nous voir en train de faire ton lit, incapable de plier des serviettes de toilettes, sans penser à la manière dont tu plies les serviettes de toilettes, incapable de regarder la mer en photo, sans penser à d'autres photos de la mer, idem pour les arbres. Etc. Etc. C'est comme si tous mes neurones étaient câblés pour. Pfff Comment effacer ça ???

Samedi soir. J'aimerai intensément être avec toi ; mais toi tu ne veux plus. Je n'arrive pas à ne pas me demander ce que tu fais.  Je me souviens "K et E... 2ème et quatrième weekend de chaque mois." Mais je ne sais plus si alors ils sont avec toi, ou avec leur père. Pas le cœur à rechercher. Alors je me demande si tu es avec eux chez toi, ou de sortie, ou sans eux chez toi, ou dans les bras de quelqu'un(e).  Tiens, à ce propos, je me suis demandé l'autre jour si C.H. était cette amie qui tenait tant à toi... Et si tu avais renoué avec elle. C'est idiot, je sais que je me demande une chose comme celle-là.

Le fait là : Samedi soir ; j'aimerai intensément être avec toi ; je me demande ce que tu fais et l'idée que tu puisses être dans les bras de quelqu'un(e) tandis que moi je ne peux plus te prendre dans mes bras m'étreint le cœur.

Je sais bien que je ne devrais pas penser à tout ça, que ça me fait du mal de penser à tout ça. J'arrive pas. Ce soir en tout cas, j'ai pas réussi. parfois, ça marche un peu. Je me dis : "Stop ! Penses à autre chose !!" Je cherche un truc auquel il faut que je pense, et je réussis à fixer mes idées dessus. Mais ce soir, ça marche pas ; ça marche pas ; ça marche pas  !!!!

Je t'aime toujours. J'arrive pas à en sortir.

mercredi 15 juin 2016

Ma maman dans le journal d'aujourd'hui (maj)

Dans le journal d'aujourd'hui, au cas où tu éprouverais encore quelque chose son égard, en dehors de mépris et indifférence la plus totale, saches qu'il y a une photo de ma maman.

Tu avais dit à mon frère que tu irais la voir, et tu ne l'as pas fait. Savais-tu que tu n'irais pas la voir quand tu as dit cela à mon frère ? Si "oui", pourquoi ce mensonge ? Si "non", qu'est-ce qui fait que tu n'as jamais pris ne serait-ce qu'une demi heure de ta vie pour passer la voir ?

Tu sais, elle se sent trahie dans ses sentiments à ton égard, vu qu'elle attendait ta visite, vu que mon frère lui avait dit que tu lui avais dit que... Mais je suis certain qu'elle apprécierait toujours de te voir et te pardonnerait de n'être jamais passé jusque là.

T'aurais qu'à lui dire que c'est à cause de moi que tu n'es jamais passé jusque là ! Et n'aies crainte, si je devais passer la voir à un moment où tu serais avec elle, je rebrousserais chemin dés que j'entendrais ta voix ou distinguerais ta silhouette, avant même sans doute que l'une de vous deux perceviez mon arrivée.

Je conçois que tu puisses ressentir comme légitimes de ta part tout ce que je t'ai reproché depuis deux ans sauf cela : le fait d'avoir dit à mon frère que tu irais la voir, et de ne jamais l'avoir fait.

Même si cela te coûte, oui, j'aimerai que tu passes voir ma maman. Pas pour me dire "Victoire, j'ai gagné !". Simplement, ce serait chouette parce que je suis certain qu'elle apprécierait toujours de te voir. Même pas souvent, ne serait-ce qu'une ou deux fois par an. Et elle te pardonnerait de n'être jamais passé jusque là.

Tu te souviens, tu m'avais dit que ta relation avec ma mère était importante pour toi. Sa relation avec toi était importante pour elle. Après ta décision de rupture entre nous, j'ai fait tout ce que j'ai pu pour que cela n’entache pas ta relation avec elle. Parfois, c'était très dur pour moi. Et tu fais ça ; et tu lui fait ça ! Je ne comprends pas.!

Quand j'y pense comme ce soir, ma colère est...

Pffff !Pffff ! Pffff !!

Tu attends quoi pour passer la voir ? Qu'elle soit au cimetière ?

dimanche 12 juin 2016

Bonne semaine à venir (MAJ)

La semaine de ton anniversaire s’achève. Je me demande si tu auras passé une bonne semaine. Si tu as lu mes trois post publiés depuis jeudi, tu sais que pour moi ce fut assez horrible. Si tu as lu ces post, j'espère que cela ne t'a pas gâché de gros moments.

Cela aurait-il été moins affreux pour moi si j'avais perçu  un signe de compassion à mon égard de ta part ? Je crois que oui.  J’ai mal de la perte de ton amour ; mais je souffre aussi terriblement des manières dont tu as rejeté la plupart de mes sollicitations depuis ta décision de rupture. J'ai mille torts, je te l'accorde ! Mais sans t'en rendre compte sans doute, tu as souvent tiré sur l'ambulance. A chacun de mes espoirs d'être entendu déçu, cela a été un couteau remué dans mes plaies.

Tu m'as dit la dernière fois que tu es venu à N. un truc du genre : "Et ce n'est pas possible d'être gentil avec toi car sinon tu vas te faire des illusions". Je crois que tu aurais pu être (que tu pourrais être ?) plus gentille avec moi, pour reprendre l'expression que tu as employée, sans pour autant me bercer d'illusions.

Je n’écris pas cela pour te faire mal. Oui, je ne vais pas bien ; mais, non, je ne suis pas devenu un psychopathe. Écrire ce qui précède, c'est un appel une fois de plus à un changement dans la manière dont tu réponds à mon mal-être. Je voudrais que tu acceptes de me parler, de m’entendre, de m’écouter, de me répondre, face à face.

Si tu m’accordais cela, je ne me dirais pas que c’est une victoire de ma part. J’aurais juste l’espoir que cela m’aide à sortir de l’ornière. Espoir insensé ? Je ne crois pas. Est-ce insensé de de ne pas percevoir cet espoir comme insensé ? Je ne sais pas. Je ne sais plus rien.

Bonne semaine à toi pour la semaine qui va démarrer. Bonne semaine aussi à K. et à E.

Contradictoire d'avoir écris ce que j'ai écrit et de te souhaiter une bonne semaine ?  Je ne sais pas. Je ne sais plus rien.

J'ai écris ici il n'y a pas si longtemps que je m'étais habitué à ce que tu ne lises plus ce que j'écrivais ici. Ce n'est plus le cas ! Je me suis réhabitué à l'idée que tu lises. Et j'ai à nouveau du mal avec l'idée que tu ne lises plus. C'est pathétique, non ?

Peut-être l'ai-je déjà écrit ici : je te demande pardon de ne pas avoir réussi à gérer comme il aurait fallu ta décision de rupture, et tout ce qui a suivi ; je te demande pardon pour le mal que cela t'as fait et le mal que cela te fait peut-être encore. Je veux réussir à m'en sortir. Je peine.

Tristesse

J'aurais envie que tu ressentes aujourd'hui combien je me sens triste aujourd'hui.

A certains instants, j'ai l'impression de sombrer totalement. Il ne faut pas que je sombre totalement !

Est-ce que, simplement la perception de moins de mépris de ta part à mon égard, la sensation d'un peu de compréhension  de ta part à mon égard, moins de silences de ta part à mon égard, et moins de rejets de ta part à mon égard, m'aiderait ? Est-ce que cela m'aiderait ?

Ce midi, tu vas sans doute fêter ton anniversaire en famille à B. Et moi je suis là, à N., triste, si triste.

vendredi 10 juin 2016

Bon anniversaire

C'est le jour J. Bon anniversaire S. !




Je n'ai pas osé t'envoyer de carte. J'espère résister tout au long de cette journée à la tentation du SMS... Cela va te sembler bête ; mais, là, j'espère que tu liras ce post aujourd'hui. Et j'aimerais qu'aujourd'hui tu aies une pensée pour moi, une pensée bienveillante pour moi.

Bon anniversaire S. ! Comme l'an dernier, je me souviens de tes anniversaires que j'ai fêté avec vous. Il y a deux trois ans, il y a trois quatre ans. Je me souviens aussi d'il y maintenant deux ans... Et de l'an dernier, où j'ai aussi écris ici avec tristesse le jour de ton anniversaire. Je me demande comment tu vas, comment vont K. et E. aussi.

Je me suis réveillé en pensant à ton anniversaire. Les images à nouveau défilent dans ma tête. Et je t'aime toujours. Je t'embrasse très fort en pensées. Et je me demande le cœur serré : en serais-je encore là dans un an, dans deux ans, dans dix ans !

Je...

"Veux-tu m'épouser ?" ; voilà ce que j'aimerais pouvoir te demander en ce jour !!! Folie ? Non : amour.

Je te le demande : veux-tu m'épouser, S. ? Ne réponds pas ce "Non !" que tu as forcément aujourd'hui en tête !! Simplement, ne veux-tu pas prendre le risque qu'on se revoit, et que petit à petit, peut-être, ton amour renaisse ?  Depuis deux ans, les circonstances ont changé. Je suis enfin divorcé. J'habite à deux pas de chez toi. Je n'ai plus les mêmes peurs et les mêmes croyances insensées, Etc. Et on s'entendait bien, non ? En ce jour de tes 41 ans, je te le demande : ne veux-tu pas prendre le risque qu'on se revoit, et que, peut-être, petit à petit l'amour que tu me portais renaisse en toi ?

Je crois profondément que l'on pourrait être heureux ensemble. Qu'est-ce qui fait que tu ne le crois pas / ne le crois plus ?!! J'aimerais pouvoir en parler avec toi.

J'espère que tu vas bien. J'espère que K. et E. vont bien. J'espère que vous allez bien tous les trois.

Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. ! Bon anniversaire, S. !


jeudi 9 juin 2016

J-1

A 09:24,

Demain, ce sera ton anniversaire.

J'ai renoncé à t'envoyer une carte. J'y ai beaucoup pensé. J'en ai très envie ; cela se fait d'envoyer une carte d'anniversaire aux personnes que l'on aime, à défaut de pouvoir leur parler !

Mais je me dis que ce serait trop intrusif alors que tu m'as écris que tu voulais que je sorte définitivement de ta vie.

Alors je te le souhaiterai ici.

Ton désamour, ton rejet total de toute relation avec mon moi, ton rejet total de toute relation entre moi et tes enfants, et désormais aussi avec le reste de ta famille, le fait que tu n'aies jamais été voir ma mère à la Maison de retraite, le chômage, la solitude, l'échec de ma fille en médecine, mon fils qui ne fait toujours rien, ma honte quant aux manières dont j'ai gâché ma vie, la honte aussi quelque part de la manière dont je m'accroche à tes basques .... j'en passe... c'est dur pour moi.

C'est lourd en moi  !

Quand tu as rompu, tu m'as dit que tu comprenais ma peine. Mesures-tu  l'étendue de ma détresse actuelle ?

A 20:02,

Je suis allé à POE, à C...y, cet après-midi. En sortant je suis passé au bureau de tabac où travaille M. ; J'avais oublié que l'on était pas lundi. Ta soeur tournait le dos à l'entrée et discutait avec la patronne. Je ne sais pas si elle m'a vu passé devant la vitrine. Je ne sais pas si elle a reconnu ma voix. Je n'ai pas osé lui faire signe, ni me récrier : "Bonjour M. !". C'était affreux en moi ; j'avais envie de lui parler ; mais pour dire quoi ! Tout ce que j'ai sur le cœur ? Impensable, bien entendu. Je suis reparti la gorge serrée. Je crois que le patron a perçu mon malaise. Je ne sais pas si il en a compris l'origine. Peut-être que oui, s'il se souvient de qui j'étais.

Ai-je à ce point la peste que tu ne veux plus aucun contact entre moi et tes proches ?

Éprouves-tu une forme de peine pour moi, tout en en ayant marre de moi & co et en te disant que tu n'y peux rien ? Ou en as-tu vraiment rien à faire ?



lundi 6 juin 2016

Bonne semaine & quelques autres mots (MAJ)

La semaine écoulée s’est achevée, et une autre a démarré.

Pour cette semaine qui démarre, bonne semaine à toi ! Bonne semaine aussi à K. et à E.

Je le souhaite aussi pour d'autres que vous trois  - mes enfants, les autres membres de ma famille, etc ; mais ce n’est pas pareil...

Je vous souhaite à toi, à K. et à E., que les sept jours qui viennent vous soient favorables et agréables. D’autant que très bientôt, ce sera ton anniversaire.

Si je n’avais pas été aussi con, peut-être serions-nous dans des préparatifs pour fêter ton anniversaire avec toute ta famille, dans une maison à nous. Mais j'ai été trop con, noyé dans mes peurs, mes croyances fausses et mes aveuglements. J'ai détruit l'amour que tu me portais sans m'en rendre compte. C'est l'une des plus grandes blessures de ma vie. Et elle reste à ce jour celle dont je réussis le moins à cicatriser.

Sens-tu les bouffées d’amour que porte mon souhait de bonne semaine ? J’aimerais que tu puisses ressentir ce souhait et ces bouffées d’amour positivement, et non comme un boulet accroché à tes basques. Si ce n’est pas possible aujourd’hui, un jour futur…

Ce nouveau post est une fois de plus un palliatif à l'impossibilité de te parler. Avec une fois de plus, cet espoir insensé que tu le reçoives positivement.

J'ai vécu et vu ce weekend plein de moments que j'aurais aimé partagé avec toi. Le moins saugrenu n'est pas une réparation d'aspirateur. Voir F. et A. , ce couple d'amis que tu n'as pas connu et que je voulais tant que tu rencontres, les avoir vu complices, en train de réparer à quatre mains leur aspirateur, m'a fait intensément penser à toi. J'aurais voulu vivre quelque chose comme ça avec toi. Je sais que j'ai raté bien des occasions ! Je m'en veux. Je donnerais je ne sais pas quoi pour vivre un jour un moment comme ça avec toi ! « Jamais ! », penses-tu sans doute à l’instant. Je sais. Malheureusement.

Est-ce que cela t'est déjà arrivé, dans les deux années écoulées, ne serait-ce qu'un bref instant, un instant fugace, fugitif, de  regretter que je ne sois pas là à tes côtés pour partager un truc avec moi ?

Qu'est-ce qui fait en toi, que toi et moi, c'est fini, fini, fini ? Qu'est-ce qui fait qu'en toi, alors que les circonstances ont changé, tu ne veuilles pas nous donner une nouvelle chance ? J'espère que ce n'est pas la peur que je ne supporterais pas que tu me quittes à nouveau !!! Ce serait trop con ; moi, je serais prêt à prendre le risque, à prendre tous les risques !!!!

Qu'est-ce qui fait que tu es certaine que tu ne pourrai pas être heureuse avec moi ? As-tu aujourd'hui un nouvel amour dans ta vie ? Ou ce que nous nous faisons vivre depuis deux ans (ce que je te fais vivre, si tu préfères !!) t'a-t-il pour l'heure blessé au point que.... Je ne le voudrais pas ; même si avoir un nouvel amour autre que moi dans ta vie... est bien la seule chose de positive que je ne réussis pas à te souhaiter !! Alors même que je l'ai souhaité très fort pour la mère de mes enfants, avant, pendant notre relation, et après ta décision de rupture, et que je suis content pour mes enfants que ce soit le cas aujourd'hui pour leur mère !
T’imaginer en amours avec un autre est toujours douloureux pour moi.

Que se passerait-il, en toi, en moi, pour toi, pour moi, si tu acceptais de m'accorder un tête à tête, d'une heure ou deux, avec la volonté partagée, de part et d'autre, d'être sincèrement à l'écoute de l'autre, et totalement sincère envers l'autre et avec soi-même ? Qu'est-ce qui fait que tu refuses de répondre à cette simple question ?!!

Je radote. Je sais ! Tous tes refus et tes rejets, toutes mes frustrations... avec ces deux tas, je n'arrive pas à ne pas radoter. C'est triste.

Bref ! Pour cette semaine qui démarre et qui sera la semaine de tes quarante et un an, bonne semaine à toi, S. Je souhaite aussi que toutes les choses que je viens d'écrire ici ne t'attristent pas, ne te mettent pas en colère, blablabla.

vendredi 3 juin 2016

Pensées

Je suis pour le weekend chez ce couple d'amis que j'aurais tant voulu que tu connaisses, dont je t'avais montré la maison. Pensées.

jeudi 2 juin 2016

Omniprésente dans mon esprit

J'ai rêvé de toi. Je me suis réveillé avec toi dans mon esprit, omniprésente dans mon esprit. Il faut que je réussies à penser à autre chose ! Les boules.

mercredi 1 juin 2016

Il y a deux ans, jour pour jour

Il y a deux ans, jour pour jour, tu démarrais une semaine d'arrêt maladie pour ton problème d'épaule que j'avais malmené après nous être couché.
J'aimerais que tu sois en forme aujourd'hui, que tu n'aies plus ce type de douleurs ni aucune autre.
Je demande combien à peser à l'époque mes négligences par rapport à ta santé dans ta décision de rompre.
Avoir raté notre histoire d'amour me transperce toujours le cœur. Je t'm toujours ! Je me sens toujours t'aimer ; je n'arrive toujours pas à me débarrasser de cette sensation d'amour que j'éprouve à ton égard, de ce sentiment d'amour que je te porte.

En l'état, cela m'arrangerait bien pourtant !