Dans ce post (le dernier ?), deux de quatre chansons du chanteur polonais Dariusz Krupicz / Magma - je n’arrive pas à trouver la 3ème et 4ème sur le net (zostan, &To jest milosc to ciala sa dwa) , qu’il y a maintenant longtemps je voulais de faire écouter ou réécouter. Mais ta décision de rupture est passée par là, avant que cela ne se fasse.
Depuis, elles m’ont souvent accompagné sur le trajet Ba. / V. J’ai rarement traversé Br. sans l’une d’elles !!
Ces chansons font partie des chansons d’amour qui me touchent le plus, aux côtés de quelques autres, que nous avons pu autrefois écouter ensemble...
Google ou Robert sauront les traduire.
Je m’étais promis que ces chansons, que je n’arrive toujours pas à ce jour à faire écouter à C. (trop accrochées à toi), je les posterai un jour ici. Voilà, je le fais.
Peut-être les apprécieras tu toi aussi. Peut-être même, réussiras tu à te les « approprier » en les dissociant de moi, et alors à les écouter avec cet autre C…. comme j’aurais aimé les écouter avec toi.
Sois heureuse.
MAJ 12/10/2015 : Sois heureuse ; mais ne crois pas que je n'ai plus mal !! Mes douleurs restent entières, celle de t'avoir perdu (même si, même si....) et que je saurais taire vis à vis de K. et E. si tu me permettais de les revoir, aussi bien que celles vis à vis de K. et E.
Tu t'en fous ? Au moins au point de ne rien changer à tes manières de faire, manifestement... Je ne peux rien contre cela. Mais, ne crois pas, ne crois pas, que je n'ai plus mal. Le jour où je n'aurais plus mal, je fermerai ces pages. Tout le temps où ces pages resteront ouvertes, cela voudra dire que j'ai toujours mal, et que, et que....
MAJ 20/10/2015 : Retour de la M. hier au soir, ce lundi 19/10, par le train de 19h37. Pas la peine de t'indiquer mon heure d'arrivée à I. : j'imagine que tu t'en souviens (au moins en gros !) vu le nombre de coup de fil que l'on a échangé, à une certaine époque, quand j'arrivais à I. après avoir pris ce train...
Je me suis couché un peu avant minuit. Mais, impossible de trouver le sommeil.
Il est 0h40. Toi, j'imagine qu'en ce moment tu dors paisiblement (ou bien tu es en
plein câlin avec C. ...). Moi, mon sommeil s'est une nouvelle fois
échouée sur ton refus persistant de me permettre de revoir K. et E. De
quoi as-tu peur, aujourd'hui encore ???? Ou si ce n'est pas une question
de crainte, pour quoi faire me refuser cela, aujourd'hui encore ? Pour
quoi faire, a minima, refuser de m'expliquer, ne serait-ce qu'en
quelques mots par email, pour quoi faire me refuser cela ? Pour quoi
faire, ou ne pas faire, me refuser tout dialogue, ne serait-ce qu'écrit ?
Quand je suis parti pour B. en voiture, je n'ai pas réussi à ne pas regarder vers le terrain de Skate, dans l'espoir d'y apercevoir K. Je n'ai pas réussi non plus à poursuivre sur le contournement pour ne pas traverser V. Dans l'espoir d'y apercevoir K. ou E. Je n'ai pas plus réussi à ne pas regarder dans le parc près de La Poste, dans l'espoir d'y apercevoir E.
Je suis même passer dans ta rue... Avec la crainte de t'y voir, et dès lors de susciter ta colère. Avec en revanche, l'espoir d'y apercevoir K. ou E. Je me serais alors arrêté 30 secondes, le temps d'un bisou (s'ils l'acceptaient) et de dire : "Comment allez vous ? Bien... Super ! Je pensais à vous ; c'est pour cela que j'ai fait le crochet.... Je ne vous ai pas oublié ; vous aurez toujours une place dans mon cœur, et j'aurai toujours plaisir à vous revoir. Bonnes vacances ! Le bonjour à votre mère, à vos grands parents, à Thomas, Mélanie, etc. etc.
Ce trajet que je viens de faire ce soir est l'un des derniers du genre : je devrais quitter la région parisienne fin décembre. Retour en L...Lol, c'est à peu près à la même époque que je rejoindrais le rang des divorcés en bonne et due forme ! Peut-être alors n'aurais-je cependant pas fini de me refaire une apparence (dentiste...). Comme quoi, il peut être trop tard pour pleins de choses ; mais jamais trop tard pour mieux faire !!!
Sois heureuse (sans moi), puisque... , vu que... Mais, pour quoi faire me refuser, aujourd’hui encore, toute relation, quelle quelle soit, avec K. et E. ? Pour quoi faire refuser, aujourd’hui encore, de m'expliquer pour quoi faire tu me refuses, aujourd’hui encore, toute relation, quelle quelle soit, avec K. et E. ? Pour quoi faire refuser de prendre pour eux aujourd'hui encore ??? J'avoue que je ne comprends pas. Peut-être suis-je très con de ne pas comprendre ; mais, je ne comprends pas.
Je viens de me relire. Il est 01h51. Le réveil va être difficile... Je ne t'en veux pas (trop). Un peu quant même. Un peu plus qu'un peu, en cet instant, à vrai dire.... Demain, cela redeviendra juste "Un peu". Je ne peux pas croire que tu agisses méchamment !
Bonne suite de semaine de vacances avec K. et E. Ne te gènes pas, ne vous gêner pas pour m'adresser un "coucou", si ton cœur t'en dit ; si compassion, empathie, colères apaisées, te le disent.
Le 30 de ce mois, ce sera la Saint K. Je lui enverrai une carte chez toi. Tu vois, je ne te prends pas "en traitre" ! Acceptes, stp, quand elle arrivera, de la lui donner... Bonne suite de nuit. Beaux rêves à vous trois, même si tu ne te souviens toujours jamais de tes rêves.
mardi 29 septembre 2015
lundi 28 septembre 2015
Christian... (maj)
De retour chez moi, vu sur FB en parcourant mon fil d'actu : "Bon dimanche à toi frangine et à Christian. ..."
Christian... Ton copain ? J'imagine. Cœur qui se sert, connement, puisque...
Sois heureuse avec Christian. Soyez heureux, tous les trois, avec Christian, puisque...
Cela ne change rien à ce que je ressens, aux manques que j’éprouve. A ce que j'ai vécu en moi quand nous nous sommes croisés en voiture ce samedi, en fin d'après midi, en début de soirée. Était-ce perceptible ? L'as tu perçu ? K. et E. l'ont-ils perçu ?
Quoi qu'il en soit, sois heureuse avec Christian ; soyez heureux, tous les trois, avec Christian, puisque...
Soit heureuse sans moi, avec un autre, puisque tel est ton choix. Soyez heureux sans moi, puisque tel est ton choix. Puisses-tu me permettre au moins un jour de revoir tes enfants..Leur dire que la vie est ainsi, leur dire que je n'ai jamais triché avec eux, et que quoi qu'il en soit, ils pourront toujours, en cas de besoin, compter sur moi. Toi aussi d'ailleurs ! Mais cela est une autre histoire.
D'un coté, Christian, de l'autre, Christine... Cela ressemble à "une mauvaise plaisanterie" ! La vie, ma vie en tous cas, a un drôle d'humour !Je le trouve aujourd'hui un peu noir....
Christian... Ton copain ? J'imagine. Cœur qui se sert, connement, puisque...
Sois heureuse avec Christian. Soyez heureux, tous les trois, avec Christian, puisque...
Cela ne change rien à ce que je ressens, aux manques que j’éprouve. A ce que j'ai vécu en moi quand nous nous sommes croisés en voiture ce samedi, en fin d'après midi, en début de soirée. Était-ce perceptible ? L'as tu perçu ? K. et E. l'ont-ils perçu ?
Quoi qu'il en soit, sois heureuse avec Christian ; soyez heureux, tous les trois, avec Christian, puisque...
Soit heureuse sans moi, avec un autre, puisque tel est ton choix. Soyez heureux sans moi, puisque tel est ton choix. Puisses-tu me permettre au moins un jour de revoir tes enfants..Leur dire que la vie est ainsi, leur dire que je n'ai jamais triché avec eux, et que quoi qu'il en soit, ils pourront toujours, en cas de besoin, compter sur moi. Toi aussi d'ailleurs ! Mais cela est une autre histoire.
D'un coté, Christian, de l'autre, Christine... Cela ressemble à "une mauvaise plaisanterie" ! La vie, ma vie en tous cas, a un drôle d'humour !Je le trouve aujourd'hui un peu noir....
jeudi 17 septembre 2015
Cette fois, je vais y arriver (maj)
Cette fois, je vais y arriver à lâcher prise à ne plus te déranger.
Il le faut bien puisque je ne cesse de me heurter à un mur aujourd'hui manifestement infranchissable et me prendre, me déchirer dans les fils barbelés qui l'entoure. Et à faire du mal à....
Un jour peut-être cependant tu commenceras à réaliser que je ne me suis acharné, que je n'ai vraiment dérapé, qu'après que tu aies construit ce mur.
Un jour peut-être cependant tu prendras conscience que dans les semaines et les mois qui ont précédés ta décision de rupture j'ai passé plus de temps avec tes enfants qu'avec les miens, et que oui, je n'ai pas su dans ces conditions, ne pas développer des sentiments sincères et profonds à leur égard.
Démesurés, semblent-ils manifestement, à tes yeux et à ceux de tes proches.
Ou alors, vous croyez que je ne suis pas sincère ; que tout cela, ce n'est que du bluff ; qu'à travers eux, c'est toi que je vise !
Un jour, en septembre 2014, je crois, tu m'as fait remarquer que "avant, tu n'envoyais pas de ce SMS à K. ...". Je le voyais régulièrement. Tu me donnais de ses nouvelles, de leurs nouvelles à lui et à sa sœur pratiquement tous les soirs. Parfois, quand c'était. E. qui décrochait, K. me récriait un petit mot gentil, E. me passait le bonsoir de K., me disait un petit mot sur lui, sur eux. Ne crois pas que je ne suis pas sincère. Ne crois pas que je les instrumentalise odieusement.
Simplement, je n'ai pas su les aimer "au rabais" ! Rien à voir avec l'idée de prendre la place du père. M'as-tu jamais vu tenter cela ?!! Et le fait que j'ai eu l'impression de ne plus rien représenter en tant que moi même pour tes proches sinon un boulet accroché à tes basques n'a rien changé à mes sentiments à l'égard de K. et de E..
A ce propos : pas un seul coup de fil spontané d'aucun d'entre eux dans les jours, les semaines, les mois qui ont suivi. Normal peut-être, mais je me suis profondément senti humilié, de ressentir que je n'avais jamais été pour eux que le "rôle" : ton copain. Et que donc, dans la foulée de ta décision de rupture, je n'étais plus que mon nouveau rôle : "un ex" qui ne doit pas trop compter sur les "tu seras toujours le bienvenu".
Quand on est vraiment "tu seras toujours le bienvenu", et que l'on commence à déconner, les portes, elles s'ouvrent pour aider, ou elles se ferment pour enterrer ?
Dés que j'ai commencer "à faire des vagues", j'ai été gentiment ; mais chaudement inviter à prendre le large vis à vis de...tous. Pas seulement de toi ; mais de tous tes proches ! Normal, peut-être ; mais très blessant. Je sais, je me répète encore une fois !
Oui, je n'ai pas été câblé pour comprendre que ta décision de rupture et ma difficulté à la vivre, devait entrainer de manière légitime, normal, et assez abrupte (cf nos échanges sur septembre /novembre 2014), la fin de toutes relations entre moi et K. et de E.
Et oui, la manière dont tu t'es braquée par rapport à mes difficultés à me tenir à la distance que tu voulais placer entre toi et moi, et K. et E. et moi, t'as fait construire ce mur qui m'a fait.... péter bien des plombs. Si tu avais su /pu répondre positivement à mes premières sollicitations, sans doute toute l'histoire de ces mois écoulés depuis, aurait été différente. Aussi aux secondes, insistantes (la fête à N., le paquet de bonbons que j'avais amené et finalement posé sur ta voiture). Mais tu devais être trop en colère. Et quand tu es en colère... Et que...combien alors y'a-t-il eu autour de toi à cette époque de personnes pour tenter d'apaiser, plutôt que de jeter de l'huile sur le feu ? Je serais curieux de le savoir !
Pour essayer de mettre du sens là-dedans, je me dis (et on m'y aide) que tu crois, que vous croyez, toi et à tes proches, que le maintien d'une relation entre et moi et eux ne serait pas bon pour eux, pour leur équilibre. Brouillage de repères ? Risque de rejet vis à vis d'un autre homme qui pourrait (ou est ) rentré dans ta vie et pourrait devenir ce beau père officiel que.... ? Risque d'incompréhension / de réprobation (d'incompréhension / de réprobation persistante ?) de leur part à ton égard d'avoir mis fin à notre relation ? Que sais-je encore, que tu penses, que tes proches pensent, que la société entière pense et que je peine à concevoir ? J'ai en tête de ta part ou de ta sœur des "Kentin ne sait plus quoi te répondre !", "Laches le !", "TU VAS le rendre fou !!". N'est-ce pas le mur qui a engendré ces moments-là ?
Oui, je pense que ce mur est triste, moche, et dommageable, non seulement pour moi ; mais aussi pour K. et E. Mais, bon , si j'ai bien compris, faut que je fasse avec, puisque je suis impuissant à faire partager ce en quoi il me semble absurde et pas bon.
Un jour peut-être tu percevras autrement. Après tout, même le mur de Berlin, un jour a fini par tomber ! Mais si cela n'arrive pas, ilva bien falloir FAUT que je réussisses à faire avec. Comme dirait Spinoza, être fort, c'est accepter ce qui s'impose à soi, et contre quoi on ne peut rien
Sans rancune. Avec de la tristesse à effacer, de l'amertume à oublier ; mais sans véritable rancune. Mes meilleurs vœux de bonheur à vous trois, pour les jours, les semaines, les mois, les années à venir.
Il le faut bien puisque je ne cesse de me heurter à un mur aujourd'hui manifestement infranchissable et me prendre, me déchirer dans les fils barbelés qui l'entoure. Et à faire du mal à....
Un jour peut-être cependant tu commenceras à réaliser que je ne me suis acharné, que je n'ai vraiment dérapé, qu'après que tu aies construit ce mur.
Un jour peut-être cependant tu prendras conscience que dans les semaines et les mois qui ont précédés ta décision de rupture j'ai passé plus de temps avec tes enfants qu'avec les miens, et que oui, je n'ai pas su dans ces conditions, ne pas développer des sentiments sincères et profonds à leur égard.
Démesurés, semblent-ils manifestement, à tes yeux et à ceux de tes proches.
Ou alors, vous croyez que je ne suis pas sincère ; que tout cela, ce n'est que du bluff ; qu'à travers eux, c'est toi que je vise !
Un jour, en septembre 2014, je crois, tu m'as fait remarquer que "avant, tu n'envoyais pas de ce SMS à K. ...". Je le voyais régulièrement. Tu me donnais de ses nouvelles, de leurs nouvelles à lui et à sa sœur pratiquement tous les soirs. Parfois, quand c'était. E. qui décrochait, K. me récriait un petit mot gentil, E. me passait le bonsoir de K., me disait un petit mot sur lui, sur eux. Ne crois pas que je ne suis pas sincère. Ne crois pas que je les instrumentalise odieusement.
Simplement, je n'ai pas su les aimer "au rabais" ! Rien à voir avec l'idée de prendre la place du père. M'as-tu jamais vu tenter cela ?!! Et le fait que j'ai eu l'impression de ne plus rien représenter en tant que moi même pour tes proches sinon un boulet accroché à tes basques n'a rien changé à mes sentiments à l'égard de K. et de E..
A ce propos : pas un seul coup de fil spontané d'aucun d'entre eux dans les jours, les semaines, les mois qui ont suivi. Normal peut-être, mais je me suis profondément senti humilié, de ressentir que je n'avais jamais été pour eux que le "rôle" : ton copain. Et que donc, dans la foulée de ta décision de rupture, je n'étais plus que mon nouveau rôle : "un ex" qui ne doit pas trop compter sur les "tu seras toujours le bienvenu".
Quand on est vraiment "tu seras toujours le bienvenu", et que l'on commence à déconner, les portes, elles s'ouvrent pour aider, ou elles se ferment pour enterrer ?
Dés que j'ai commencer "à faire des vagues", j'ai été gentiment ; mais chaudement inviter à prendre le large vis à vis de...tous. Pas seulement de toi ; mais de tous tes proches ! Normal, peut-être ; mais très blessant. Je sais, je me répète encore une fois !
Oui, je n'ai pas été câblé pour comprendre que ta décision de rupture et ma difficulté à la vivre, devait entrainer de manière légitime, normal, et assez abrupte (cf nos échanges sur septembre /novembre 2014), la fin de toutes relations entre moi et K. et de E.
Et oui, la manière dont tu t'es braquée par rapport à mes difficultés à me tenir à la distance que tu voulais placer entre toi et moi, et K. et E. et moi, t'as fait construire ce mur qui m'a fait.... péter bien des plombs. Si tu avais su /pu répondre positivement à mes premières sollicitations, sans doute toute l'histoire de ces mois écoulés depuis, aurait été différente. Aussi aux secondes, insistantes (la fête à N., le paquet de bonbons que j'avais amené et finalement posé sur ta voiture). Mais tu devais être trop en colère. Et quand tu es en colère... Et que...combien alors y'a-t-il eu autour de toi à cette époque de personnes pour tenter d'apaiser, plutôt que de jeter de l'huile sur le feu ? Je serais curieux de le savoir !
Pour essayer de mettre du sens là-dedans, je me dis (et on m'y aide) que tu crois, que vous croyez, toi et à tes proches, que le maintien d'une relation entre et moi et eux ne serait pas bon pour eux, pour leur équilibre. Brouillage de repères ? Risque de rejet vis à vis d'un autre homme qui pourrait (ou est ) rentré dans ta vie et pourrait devenir ce beau père officiel que.... ? Risque d'incompréhension / de réprobation (d'incompréhension / de réprobation persistante ?) de leur part à ton égard d'avoir mis fin à notre relation ? Que sais-je encore, que tu penses, que tes proches pensent, que la société entière pense et que je peine à concevoir ? J'ai en tête de ta part ou de ta sœur des "Kentin ne sait plus quoi te répondre !", "Laches le !", "TU VAS le rendre fou !!". N'est-ce pas le mur qui a engendré ces moments-là ?
Oui, je pense que ce mur est triste, moche, et dommageable, non seulement pour moi ; mais aussi pour K. et E. Mais, bon , si j'ai bien compris, faut que je fasse avec, puisque je suis impuissant à faire partager ce en quoi il me semble absurde et pas bon.
Un jour peut-être tu percevras autrement. Après tout, même le mur de Berlin, un jour a fini par tomber ! Mais si cela n'arrive pas, il
Sans rancune. Avec de la tristesse à effacer, de l'amertume à oublier ; mais sans véritable rancune. Mes meilleurs vœux de bonheur à vous trois, pour les jours, les semaines, les mois, les années à venir.
mardi 15 septembre 2015
Bonne journée (maj)
dimanche 13 septembre 2015
Bonne nuit à K. et E. ...
Bonne nuit à K. et E. ... qui doivent être en train de dormir, à l'heure là.
Bonne nuit à toi aussi, en dépit de tout.
Bonne nuit à toi aussi, en dépit de tout.
Quasi systématiquement depuis au moins la rentrée (maj)
Quasi systématiquement depuis au moins la rentrée, mes premières pensées au réveil vont vers toi, K. et E. Et je me réveille tout crispé, le corps totalement noué, les poumons brulant de la tonne de cigarettes fumées la veille, et la tête lourde du trop plein d'alcool absorbé.
Tu peux m'aider à sortir de cela.
J'ai cassé ton amour, Ok. Et tu ressens cela comme irréparable, ok. Mais, stp, mets fin à ton silence et permets moi de revoir et d'échanger, juste un tout petit peu, juste de temps en temps, juste de loin en loin, avec K. et E. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois, pour les entendre me dire qu'ils n'ont plus / pas envie d'autres fois. Seul moyen pour moi, je crois, de réussir à faire le deuil.
SOS. SOS. SOS SOS.
Ce qui, en plus du fait objectif de ne plus les voir, me pourrit le plus, je crois, bien, ce sont le sentiment de profonde injustice et l'impression de profond mépris de ta part. En l'état, les trois, me rongent, me consument de l'intérieur.
SOS. SOS. SOS SOS.
Tu peux m'aider à sortir de cela.
J'ai cassé ton amour, Ok. Et tu ressens cela comme irréparable, ok. Mais, stp, mets fin à ton silence et permets moi de revoir et d'échanger, juste un tout petit peu, juste de temps en temps, juste de loin en loin, avec K. et E. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois. Juste une fois, s'ils n'ont plus envie d'autres fois, pour les entendre me dire qu'ils n'ont plus / pas envie d'autres fois. Seul moyen pour moi, je crois, de réussir à faire le deuil.
SOS. SOS. SOS SOS.
Ce qui, en plus du fait objectif de ne plus les voir, me pourrit le plus, je crois, bien, ce sont le sentiment de profonde injustice et l'impression de profond mépris de ta part. En l'état, les trois, me rongent, me consument de l'intérieur.
SOS. SOS. SOS SOS.
samedi 12 septembre 2015
J'ai pensé.... SOS
J'ai pensé à vous en boucle toute la journée, fumant cigarette sur cigarette, buvant....
C'est dingue, je sais.
SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS.
C'est dingue, je sais.
SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS. SOS.
Bon week-end à K. & E.
Pensées. Et tristesse en moi de ne pas pouvoir leur exprimer ne serait-ce que cela : "Bon week-end à vous deux !"
K. ! E. ! Vous me manquez. D'une manière différente de votre mère ; mais vous me manquez aussi terriblement. Et je trouve cela profondément injuste d'être privé de tout contact avec vous deux.
K. ! E. ! Bon week-end à vous deux !
J'espère qu'un jour on se reverra, et que nous pourrons à nouveau partager des choses et des moments de joie.
K. ! E. ! Vous me manquez. D'une manière différente de votre mère ; mais vous me manquez aussi terriblement. Et je trouve cela profondément injuste d'être privé de tout contact avec vous deux.
K. ! E. ! Bon week-end à vous deux !
J'espère qu'un jour on se reverra, et que nous pourrons à nouveau partager des choses et des moments de joie.
vendredi 11 septembre 2015
Cette nuit, j'ai rêvé...
.... que je m’arrêtais chez tes parents, sur le trajet de V., à un moment où toi, K. et E. y étaient.
Accueil chaleureux de Doc ; mais rejet devant la porte, par toi, ton père, ta mère. En arrière plan, E. le regard baissé, et K. qui me regarde, puis me tourne le dos d'une manière qui m'a semblé me dire : "Ma mère t'as dit qu'elle ne t'aimait plus... Oublies nous, comme elle veut que l'on s'oublie !"
J'ai versé des rivières de larmes dans ce rêve en tentant de vous faire comprendre ce que je ressens, de vous faire comprendre que...
Puis, je me suis à demi réveillé en prise avec une énorme vague de tristesse impuissante. Elle m'a ensuite habitée jusqu'au matin, à chaque demi réveil suivant. Et reste encore là, en moi, en ce moment où j'écris ces mots.
Elle restera encore là, en moi, je ne sais combien de temps, à se cogner à ton rejet méprisant, qui m'apparait toujours dénué de compréhension, d'empathie et de la moindre pitié.
Je ne comprend pas ton aveuglement.
Accueil chaleureux de Doc ; mais rejet devant la porte, par toi, ton père, ta mère. En arrière plan, E. le regard baissé, et K. qui me regarde, puis me tourne le dos d'une manière qui m'a semblé me dire : "Ma mère t'as dit qu'elle ne t'aimait plus... Oublies nous, comme elle veut que l'on s'oublie !"
J'ai versé des rivières de larmes dans ce rêve en tentant de vous faire comprendre ce que je ressens, de vous faire comprendre que...
Puis, je me suis à demi réveillé en prise avec une énorme vague de tristesse impuissante. Elle m'a ensuite habitée jusqu'au matin, à chaque demi réveil suivant. Et reste encore là, en moi, en ce moment où j'écris ces mots.
Elle restera encore là, en moi, je ne sais combien de temps, à se cogner à ton rejet méprisant, qui m'apparait toujours dénué de compréhension, d'empathie et de la moindre pitié.
Je ne comprend pas ton aveuglement.
jeudi 10 septembre 2015
Bonne nuit et beaux rêves à K. et E.
Tristesse de ne pas pouvoir leur souhaiter cela de temps en temps par téléphone....
mardi 8 septembre 2015
A toi, ça dit quoi ?
Je viens de déposer dans le répertoire que tu sais de ma dropbox, la lettre de mon employeur inaugurant officiellement ma procédure de licenciement.
A moi, elle me redit que j'ai été vraiment très con et aveugle ces quatre dernières années ! Je te le répète : j'y ai cru et je me suis battu pour, à fond, de manière démesurée et insensée, dans l'espoir que cela me permettrait de nous construire un beau futur. Je m'y suis pris comme un manche. Tu n'as pas compris, ou pas cru, ou pas supporter.A mes yeux, le résultat est le même : un immense gâchis.
Et à toi, aujourd'hui, ça dit quoi ?
A moi, elle me redit que j'ai été vraiment très con et aveugle ces quatre dernières années ! Je te le répète : j'y ai cru et je me suis battu pour, à fond, de manière démesurée et insensée, dans l'espoir que cela me permettrait de nous construire un beau futur. Je m'y suis pris comme un manche. Tu n'as pas compris, ou pas cru, ou pas supporter.A mes yeux, le résultat est le même : un immense gâchis.
Et à toi, aujourd'hui, ça dit quoi ?
samedi 5 septembre 2015
Qui de nous deux ? (maj)
Qui de nous deux est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?
Ton silence, tes refus m'empoisonnent. Ou, si tu préfères, je m'empoisonne de ton silence et de tes refus ! Cela, quoi qu'il en soit, ne change pas grand chose au résultat.
Tu le sais, je te l'ai écris et tu l'as lu. Et pour autant, tu ne changes rien à tes comportements à mon égard !
Qui de nous deux est le plus cruel avec l'autre ?
Si seulement, si seulement, tu changeais, ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, moins destructeur en moi, tes comportements à mon égard !
Penses-tu la même chose dans l'autre sens, penses-tu la même choses de mes comportements (mes écrits, mes messages, ici, ou directement à toi ou à tes proches...) à ton égard ? Peut-être. S'il te plais, dis-moi ce que tu penses, autrement que par ton silence, ton silence qui m'écrase !
Qu'est-ce que cela me couterait de changer mes comportements à ton égard (dans un sens plus positif, moins destructeur pour toi ?), là, sans même que tu bouges quoi que ce soit aux tiens, à mon égard ? Quelques degrés de folie et de désespoir de plus ! Chaque fois que j'écris, j'ai l'impression que, si je ne le fais pas, je vais péter un plomb de plus !!! Je résiste, le plus que je peux, et puis je craque, j'écris, un peu, me semble-t-il, comme dans un mouvement d'exorcisme. Peux-tu comprendre cela ? Je n'arrive pas à avancer avec ton silence !
Qu'est-ce que cela te couterait de changer ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, aux impacts moins destructeurs en moi, tes comportements à mon égard ? Une blessure d'orgueil ?
Qu'est-ce qui t'empêche ? La peur que je pénètre à nouveau plus avant dans le cercle de ta vie ?
Je ne sais pas, je ne vois pas, je ne comprends pas. S'il te plait, aides moi à comprendre !
J’aimerais tellement te parler pour que l'on sorte de ce cercle vicieux ! Je crois profondément que nous parler nous aiderait, en tout cas, m'aiderait, à sortir de ce cercle vicieux ! Je n'arrive tellement pas à en sortir, en l'état ton comportement actuel à mon égard. C'est tout le sens du SOS que je t'ai adressé, en vain, jusqu'à présent.
Qui de nous deux est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?
Bien de mes mots et de mes actes, depuis ta décision de rupture ont pu, ont dû te blesser. Crois moi pourtant : je ne cherche pas à te blesser ! Je me débats en animal pris au piège de la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Et surement, cela faisant, je te griffe, t'écorche, et te mords. K. et E. aussi ? Le cas échéant, j'en suis profondément désolé. Mais, crois-moi, cela n'a jamais été, et n'est toujours pas, ce que je veux. Cela n'a jamais été et n'est toujours pas ce que je souhaite
Oui, ce post, comme bien d'autres avant lui, est un aveu de faiblesse et d'impuissance à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi, la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture
Je voudrais que les choses bougent ! Je voudrais sortir de ce cercle vicieux. Je n'en ai peut-être pas l'air ; mais j''essaie chaque jour. Crois moi. Mais, emmurer dans dans ton silence, et tes refus, je n'y arrive manifestement pas.
Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste une forme de nausée, une immense lassitude, à l'égard de toutes les choses, tristes et moches, et de bien des comportements (de moi, de toi, de mes proches, et tes proches), qui ont suivi ta décision de rupture, qui ont suivi mes manières, et tes manières, de lui donner suite.
De là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste aussi une forme de dégoût à l'égard de moi-même, et de faiblesse et e mes impuissances, à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi, la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Le seul jugement que je puisse m'autorise sur une personne, c'est sur moi. Et c'est pas glorieux.
Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté, plus beaucoup d'amour propre.
SOS.SOS.SOS. Je fais des efforts ; mais SOS.SOS.SOS.
Toi, quels efforts faits-tu ? Ne pas me poursuivre en justice pour harcèlement ? Ne pas commanditer qu'on me casse la gueule ? Dissuader qu'on viennent me casser la gueule ? Tout cela à la fois ? Continuer à t'occuper de ma mère en dépit de ? Au passage, je 'en remercie pour elle, pour moi aussi de ce que tu continues à faire pour elle en dépit de moi.
Mais, s'il te plait, au nom de tout ce que tu voudras, faits des efforts de plus pour répondre directement, de toi à moi, à mes ressentis de besoins, à ma détresse. Même si tu n'es pas obligé ; même si ce que je te demande là te semble surhumain ! Je t'en conjure.
Qu'est-ce qui t'empêche ? Aujourd'hui, je n'arrive pas à me / nous sortir de là, sans mots de toi.
Ton silence, tes refus m'empoisonnent. Ou, si tu préfères, je m'empoisonne de ton silence et de tes refus ! Cela, quoi qu'il en soit, ne change pas grand chose au résultat.
Tu le sais, je te l'ai écris et tu l'as lu. Et pour autant, tu ne changes rien à tes comportements à mon égard !
Qui de nous deux est le plus cruel avec l'autre ?
Si seulement, si seulement, tu changeais, ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, moins destructeur en moi, tes comportements à mon égard !
Penses-tu la même chose dans l'autre sens, penses-tu la même choses de mes comportements (mes écrits, mes messages, ici, ou directement à toi ou à tes proches...) à ton égard ? Peut-être. S'il te plais, dis-moi ce que tu penses, autrement que par ton silence, ton silence qui m'écrase !
Qu'est-ce que cela me couterait de changer mes comportements à ton égard (dans un sens plus positif, moins destructeur pour toi ?), là, sans même que tu bouges quoi que ce soit aux tiens, à mon égard ? Quelques degrés de folie et de désespoir de plus ! Chaque fois que j'écris, j'ai l'impression que, si je ne le fais pas, je vais péter un plomb de plus !!! Je résiste, le plus que je peux, et puis je craque, j'écris, un peu, me semble-t-il, comme dans un mouvement d'exorcisme. Peux-tu comprendre cela ? Je n'arrive pas à avancer avec ton silence !
Qu'est-ce que cela te couterait de changer ne serait-ce qu'un peu, dans un sens plus positif, aux impacts moins destructeurs en moi, tes comportements à mon égard ? Une blessure d'orgueil ?
Qu'est-ce qui t'empêche ? La peur que je pénètre à nouveau plus avant dans le cercle de ta vie ?
Je ne sais pas, je ne vois pas, je ne comprends pas. S'il te plait, aides moi à comprendre !
J’aimerais tellement te parler pour que l'on sorte de ce cercle vicieux ! Je crois profondément que nous parler nous aiderait, en tout cas, m'aiderait, à sortir de ce cercle vicieux ! Je n'arrive tellement pas à en sortir, en l'état ton comportement actuel à mon égard. C'est tout le sens du SOS que je t'ai adressé, en vain, jusqu'à présent.
Qui de nous deux est le plus cruel avec l'autre ? Moi, avec mes écrits et mes messages ? Toi, avec ton silence, et tes refus, que je vis, comme extrêmement méprisants à mon égard ?
Bien de mes mots et de mes actes, depuis ta décision de rupture ont pu, ont dû te blesser. Crois moi pourtant : je ne cherche pas à te blesser ! Je me débats en animal pris au piège de la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Et surement, cela faisant, je te griffe, t'écorche, et te mords. K. et E. aussi ? Le cas échéant, j'en suis profondément désolé. Mais, crois-moi, cela n'a jamais été, et n'est toujours pas, ce que je veux. Cela n'a jamais été et n'est toujours pas ce que je souhaite
Oui, ce post, comme bien d'autres avant lui, est un aveu de faiblesse et d'impuissance à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi, la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture
Je voudrais que les choses bougent ! Je voudrais sortir de ce cercle vicieux. Je n'en ai peut-être pas l'air ; mais j''essaie chaque jour. Crois moi. Mais, emmurer dans dans ton silence, et tes refus, je n'y arrive manifestement pas.
Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste une forme de nausée, une immense lassitude, à l'égard de toutes les choses, tristes et moches, et de bien des comportements (de moi, de toi, de mes proches, et tes proches), qui ont suivi ta décision de rupture, qui ont suivi mes manières, et tes manières, de lui donner suite.
De là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté. Juste aussi une forme de dégoût à l'égard de moi-même, et de faiblesse et e mes impuissances, à maîtriser, à gérer de bonne manière, pour toi, pour moi, la perte de ton amour et de tout ce qui a suivi ta décision de rupture. Le seul jugement que je puisse m'autorise sur une personne, c'est sur moi. Et c'est pas glorieux.
Aussi je réitère le SOS que je t'ai adressé. Qu'importe qu'il soit un aveu de faiblesse et d'impuissance ! Là où j'en suis intérieurement, je n'ai plus d'orgueil, plus de fierté, plus beaucoup d'amour propre.
SOS.SOS.SOS. Je fais des efforts ; mais SOS.SOS.SOS.
Toi, quels efforts faits-tu ? Ne pas me poursuivre en justice pour harcèlement ? Ne pas commanditer qu'on me casse la gueule ? Dissuader qu'on viennent me casser la gueule ? Tout cela à la fois ? Continuer à t'occuper de ma mère en dépit de ? Au passage, je 'en remercie pour elle, pour moi aussi de ce que tu continues à faire pour elle en dépit de moi.
Mais, s'il te plait, au nom de tout ce que tu voudras, faits des efforts de plus pour répondre directement, de toi à moi, à mes ressentis de besoins, à ma détresse. Même si tu n'es pas obligé ; même si ce que je te demande là te semble surhumain ! Je t'en conjure.
Qu'est-ce qui t'empêche ? Aujourd'hui, je n'arrive pas à me / nous sortir de là, sans mots de toi.
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