Les seules choses au monde qu'il y a peut-être de plus con que tes silences, tes non réponses, tes refus, tes comportements à mon égard, ce sont peut-être mes posts sur cette page, mes insistances, mes sensations (déplacées ?)de profondes injustices concernant ma complète mise à l'égard de tes enfants, sans (au moins dans les faits !) aucune considération pour mes sentiments à leur égard.
Je me dois de respecter ton désamour. Je le sais. Et je te respecte aussi.
Mais, toi, ne peux-tu vraiment pas respecter mes sentiments...sans parler de moi ?
Les seules choses au monde qu'il y a peut-être de plus con que tes
silences, tes non réponses, tes refus, tes comportements à mon égard, ce
sont peut-être mes posts sur cette page, mes insistances, mes
sensations (déplacées ?)de profondes injustices concernant ma complète
mise à l'égard de tes enfants, sans (au moins dans les faits !) aucune
considération pour mes sentiments à leur égard.
Nous voilà bien avancés !
Quels pas faudrait-il que je fasse ?
Quel pas pourrais-tu faire, toi ?
Quels pas faudrait-il que je fasse ?
lundi 29 juin 2015
vendredi 26 juin 2015
Comment... (maj)
Comment va K. ?
Comment va E. ?
Comment vas-tu, toi ?
J'espère que K. et E. vont bien !
Et, ce soir, je n'arrive pas à écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", en le pensant comme je le pense pour K. et E....
Cela passera peut-être ; cela passera sans doute ; cela passera, je l'espère !
Je n'en trouve pas moins infiniment triste (dans la juxtaposition de mes ressentis de ce soir avec la force de nos anciens "je t'aime." - en tous cas, au moins des miens !!!) que la conjonction de nos manières de faire et de nos ressentis, me conduise à ce genre d'émotions.
Qu'est-ce qui est le plus "de travers" ? Mes manières de faire et mes ressentis ? Tes manières de faire et tes ressentis ?
Ne te trompes pas : je ne parle pas là de nos sentiments : mon amour persistant (inébranlable ?) et ton désamour. Mais de ce qui les accompagne ; de ce qu'ils ont engendré en nous, dans notre relation, à travers leur confrontation.
Soit dit en passant, je crois aussi percevoir, comprendre, de "mieux en mieux" ce qui, dans mes manières de faire / de ne pas faire, mes manières de dire / de ne pas dire, mes manières de plomber la joie du présent sans avoir réussi à continuer à te faire ressentir que c'est "pour les joies de demain" a engendré ton désamour. Manifestement, tu t'es dit, tu as ressenti, que c'était moi tout entier, et et que ce n'était pas réparable !
Je persiste à penser que tu t'es trompé, que c'était réparable, et que, merde, c'est trop con que compte tenu de mes limites, tu n'as pas trouvé les bonnes manières de faire pour m'amener, m'aider à corriger, dépasser cela. Tu penses peut-être avoir tout fait pour ; j'ai pas vu. Tu penses peut-être que cela aurait été peine perdue ; je ne le crois pas. Je crois en revanche, dur comme fer, tu le sais bien, que c'est un énorme gâchis, et que c'est trop con. Je reviendrai peut-être un jour là-dessus, ou pas.Le cas échéant, ça s’appellera : "Toi aussi, fait gaffe à l'amour !".
Ce soir, je ne sais si je t’écrirai cela.
En attendant, en résumé,... la force de nos anciens "je t'aime." ne méritait-elle pas autre chose ? J'ai merdé. Tu as aussi merdé, en amont de ta décision de rupture en laissant les choses pourrir. C'est en tout cas ce que je pense. A tort, ou à raison de ma part, concernant ce "tu as merdé [aussi]" que j'affirme.
Te diras-tu, à cet instant de ta lecture (je pense que tu liras ce post !) que je suis vraiment complétement "barge" ? Je ne sais. Peut-être. Et je me dis, à cet instant de mon écriture, que si u penses cela, à l'instant de ta lecture, ce sera un bon échappatoire, pour toi, une bonne manière de ne pas assumer. Je peux me tromper , bien entendu ; en fait, toi seule peut savoir ce qu'il en est vraiment.
Passons sur ce sujet de "l'avant" (aka, avant ta décision de rupture) !
J'exprimais donc à propos de "l'après" : qu'est-ce qui est le plus "de travers" ? Mes manières de faire et mes ressentis ? Tes manières de faire et tes ressentis ? C'est certain, j'ai pas tout fait des meilleures manières possibles ! Mais je crois, tout en ayant parfaitement conscience que je peux, là encore, me tromper, que sur ce terrain-là, tu me bas d'un tas de grandes longueurs !
Aussi, ce soir, je n'arrive pas à écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", en le pensant comme je le pense pour K. et E....
Et je trouve infiniment triste que TES (à tort ou à raison) manières de faire me conduisent à ce genre de ressentis, à ce genre d'émotions, chargées ce soir de rancœurs et d'amertumes.
Demain.... Demain ? Ce sera quoi si les choses continuent ainsi (tes silences, tes interdictions....) ? Haine, indifférence, ignorance totale, mépris,dégout, haine ? Je redoute la haine, si difficile ensuite à gommer.
Je repense à ces instants où nous étions enlacés "chez moi", à I., sur ces chansons d'antan chantées par P. Bruel. Avant de faire l'amour. D'une manière qui reste pour moi l'une des plus touchante doont j'ai fait l'amour. Tu t'en souviens aussi ? Je pense que tu t'en souviens aussi ! C t tellement beau (MOI en tout cas, je le ressens ainsi!). Peut-e^tre que toi aujourd'hui, cela te fais sourire (jaune) ou rire (de moquerie, sur le registre du Pfffff).
Moi, en tout cas, je trouve que c'est dingue l'abime qui sépare ces moments-là d'aujourd'hui ! Pas toi ? Je suis incrédule face à cette bascule. Elle me vrille la tête et les tripes tellement elle me désespère de moi, ou (à travers toi et l'évolution de ma relation avec toi) du genre humain, ou (à travers toi et l'évolution de ma relation avec toi) des relations entre les êtres humains, ou de moi avec les autres êtres humains - peut-être moi seul suis-je en cause. Et tout tes silences, toutes tes interdictions, me disent que tu penses qu'il en es ainsi.
SOS. Toi, tu vis cela comment ?! Purement et uniquement une auvaise pioche à travers moi, et je ne suis qu'un sale con, un point c'est tout ???
J'aimerai tellement savoir ce que tu en penses aujourd'hui ! J'aimerai tellement ne pas ressentir, à force de sensations de blessures, et de pas trouver autres choses pour survivre, cette non envie de t'écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !".
J'aimerai tellement de plus ressentir cette envie de t'écrire que je n'ai pas envie de t'écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", par opposition à mes souhaits pour K. et E. J'aimerais tellement réussir à faire la part des choses, avec toi.
Moi, comment je vais ? L'état de ma relation avec toi mise à part, les absences de relations que tu m'imposes avec K. et E. mises à part, les condamnations de ta famille et de ton entourage à mon égard (que je trouve injustes !) mises à part, les sensations, douloureuses et amères, que ta famille et ton entourage me renvoient que mes relations avec eux n'étaient pas de vraies relations entre eux et moi ; mais juste des relations interchangeables entre eux et mon rôle (ton copain d'alors !) mis à part, l'échec du projet D. mis à part, mon prochain licenciement mis à part, mes problèmes de divorce et en liaison mes problèmes financier, mis à part, ça va....
Allez, je réussis au moins quant même à souhaiter que physiquement (ton bras, ton dos....) tu ailles bien ! Pour le reste... oui, ce soir, j’assume cela l’estomac noué, j'aimerai fort, intensément, que tu culpabilises, et que cela te fasse ne pas te sentir bien, te fasses te senti mal, et que tu prennes (enfin ?) conscience des effets destructeurs à mon égard de tes manières de faire et de ne pas faire depuis ta décision de rupture.
J'aimerai, oui, à l'instant, que tu vois dans ta tête, ces cadeaux que tu n'as jamais voulu prendre, et que tu te dises en les voyant dans ta tête, oui, c'est vraiment con et dégueulasse, de ne pas les accepter, et de ne pas les donner, pour ceux destinés à K. et E. !!! Et que c'est in fine, aussi con et dégueulasse,de m'avoir rayé des contacts FB de K.
Bonne santé à toi, oui ! Mais pas bonne nuit, ou pas bonne journée, en fonction du moment où tu liras ce post.
Oui, c'est peut-être dégueulasse ; mais j'ai envie que tu te sentes mal vis à vis de toi même en lisant ce post ! Tu veux me faire "plaisir" ? Devant la glace de ta salle de bain, penses à ce post en te regardant dans cette glace Penses aussi à ce que sont à ce jour tes manières de faire et de ne pas faire à mon égard depuis ta décision de rupture. Si, à partir de là, tu quittes cette posture avec un grand sourire et le cœur léger, c'est que vraiment je suis un sale con, ou que, quelque part, tu t'es comporté en vraie salope ! Moi, je ne vois pas d'autres alternatives. Mais, of course, je peux me tromper.
Si, alors, dans ta salle de bain, en face de ta glace , dans un authentique mouvement d'introspection, une larme, ou ne serait-ce que l'ombre d'un larme coule sur l'une de tes joues, alors, peut-être, tout n'est pas perdu dans notre capacité à ne pas transformer définitivement nos "je t'aime" d'antan en d'immenses tas de boues putrides.
Si ce post te donnes envie de bouffer je ne sais quelle saloperie... STOP !! Quoi qu'il soit, tu vaux mieux que cela !
Questions : Est-ce que je vaux mieux que la bouteille de vin que je viens de boire sans bouffer en écrivant ce post ? Ou, est-ce que cette bouteille de vin que je viens de boire sans bouffer en écrivant ce post fait qu’aujourd’hui je mérite d'être noyé comme un chien galeux, comme un chien enragé ?
Une fois de plus. Une dernière fois ? SOS. Tu connais mes numéros de téléphone, les possibilités de me faire signe, de m’adresser des signes.
Blablabla....
Bon tout à K. et E.
Bonne santé à toi.
Pour le reste te concernant, ce soir, cette nuit, c'est pfffffffffffffffffffff. Pff Pfff !!!
Tu ne me fends pas seulement le cœur ; mon âme aussi !
Comment va E. ?
Comment vas-tu, toi ?
J'espère que K. et E. vont bien !
Et, ce soir, je n'arrive pas à écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", en le pensant comme je le pense pour K. et E....
Cela passera peut-être ; cela passera sans doute ; cela passera, je l'espère !
Je n'en trouve pas moins infiniment triste (dans la juxtaposition de mes ressentis de ce soir avec la force de nos anciens "je t'aime." - en tous cas, au moins des miens !!!) que la conjonction de nos manières de faire et de nos ressentis, me conduise à ce genre d'émotions.
Qu'est-ce qui est le plus "de travers" ? Mes manières de faire et mes ressentis ? Tes manières de faire et tes ressentis ?
Ne te trompes pas : je ne parle pas là de nos sentiments : mon amour persistant (inébranlable ?) et ton désamour. Mais de ce qui les accompagne ; de ce qu'ils ont engendré en nous, dans notre relation, à travers leur confrontation.
Soit dit en passant, je crois aussi percevoir, comprendre, de "mieux en mieux" ce qui, dans mes manières de faire / de ne pas faire, mes manières de dire / de ne pas dire, mes manières de plomber la joie du présent sans avoir réussi à continuer à te faire ressentir que c'est "pour les joies de demain" a engendré ton désamour. Manifestement, tu t'es dit, tu as ressenti, que c'était moi tout entier, et et que ce n'était pas réparable !
Je persiste à penser que tu t'es trompé, que c'était réparable, et que, merde, c'est trop con que compte tenu de mes limites, tu n'as pas trouvé les bonnes manières de faire pour m'amener, m'aider à corriger, dépasser cela. Tu penses peut-être avoir tout fait pour ; j'ai pas vu. Tu penses peut-être que cela aurait été peine perdue ; je ne le crois pas. Je crois en revanche, dur comme fer, tu le sais bien, que c'est un énorme gâchis, et que c'est trop con. Je reviendrai peut-être un jour là-dessus, ou pas.Le cas échéant, ça s’appellera : "Toi aussi, fait gaffe à l'amour !".
Ce soir, je ne sais si je t’écrirai cela.
En attendant, en résumé,... la force de nos anciens "je t'aime." ne méritait-elle pas autre chose ? J'ai merdé. Tu as aussi merdé, en amont de ta décision de rupture en laissant les choses pourrir. C'est en tout cas ce que je pense. A tort, ou à raison de ma part, concernant ce "tu as merdé [aussi]" que j'affirme.
Te diras-tu, à cet instant de ta lecture (je pense que tu liras ce post !) que je suis vraiment complétement "barge" ? Je ne sais. Peut-être. Et je me dis, à cet instant de mon écriture, que si u penses cela, à l'instant de ta lecture, ce sera un bon échappatoire, pour toi, une bonne manière de ne pas assumer. Je peux me tromper , bien entendu ; en fait, toi seule peut savoir ce qu'il en est vraiment.
Passons sur ce sujet de "l'avant" (aka, avant ta décision de rupture) !
J'exprimais donc à propos de "l'après" : qu'est-ce qui est le plus "de travers" ? Mes manières de faire et mes ressentis ? Tes manières de faire et tes ressentis ? C'est certain, j'ai pas tout fait des meilleures manières possibles ! Mais je crois, tout en ayant parfaitement conscience que je peux, là encore, me tromper, que sur ce terrain-là, tu me bas d'un tas de grandes longueurs !
Aussi, ce soir, je n'arrive pas à écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", en le pensant comme je le pense pour K. et E....
Et je trouve infiniment triste que TES (à tort ou à raison) manières de faire me conduisent à ce genre de ressentis, à ce genre d'émotions, chargées ce soir de rancœurs et d'amertumes.
Demain.... Demain ? Ce sera quoi si les choses continuent ainsi (tes silences, tes interdictions....) ? Haine, indifférence, ignorance totale, mépris,dégout, haine ? Je redoute la haine, si difficile ensuite à gommer.
Je repense à ces instants où nous étions enlacés "chez moi", à I., sur ces chansons d'antan chantées par P. Bruel. Avant de faire l'amour. D'une manière qui reste pour moi l'une des plus touchante doont j'ai fait l'amour. Tu t'en souviens aussi ? Je pense que tu t'en souviens aussi ! C t tellement beau (MOI en tout cas, je le ressens ainsi!). Peut-e^tre que toi aujourd'hui, cela te fais sourire (jaune) ou rire (de moquerie, sur le registre du Pfffff).
Moi, en tout cas, je trouve que c'est dingue l'abime qui sépare ces moments-là d'aujourd'hui ! Pas toi ? Je suis incrédule face à cette bascule. Elle me vrille la tête et les tripes tellement elle me désespère de moi, ou (à travers toi et l'évolution de ma relation avec toi) du genre humain, ou (à travers toi et l'évolution de ma relation avec toi) des relations entre les êtres humains, ou de moi avec les autres êtres humains - peut-être moi seul suis-je en cause. Et tout tes silences, toutes tes interdictions, me disent que tu penses qu'il en es ainsi.
SOS. Toi, tu vis cela comment ?! Purement et uniquement une auvaise pioche à travers moi, et je ne suis qu'un sale con, un point c'est tout ???
J'aimerai tellement savoir ce que tu en penses aujourd'hui ! J'aimerai tellement ne pas ressentir, à force de sensations de blessures, et de pas trouver autres choses pour survivre, cette non envie de t'écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !".
J'aimerai tellement de plus ressentir cette envie de t'écrire que je n'ai pas envie de t'écrire "J'espère que toi aussi tu vas bien !", par opposition à mes souhaits pour K. et E. J'aimerais tellement réussir à faire la part des choses, avec toi.
Moi, comment je vais ? L'état de ma relation avec toi mise à part, les absences de relations que tu m'imposes avec K. et E. mises à part, les condamnations de ta famille et de ton entourage à mon égard (que je trouve injustes !) mises à part, les sensations, douloureuses et amères, que ta famille et ton entourage me renvoient que mes relations avec eux n'étaient pas de vraies relations entre eux et moi ; mais juste des relations interchangeables entre eux et mon rôle (ton copain d'alors !) mis à part, l'échec du projet D. mis à part, mon prochain licenciement mis à part, mes problèmes de divorce et en liaison mes problèmes financier, mis à part, ça va....
Allez, je réussis au moins quant même à souhaiter que physiquement (ton bras, ton dos....) tu ailles bien ! Pour le reste... oui, ce soir, j’assume cela l’estomac noué, j'aimerai fort, intensément, que tu culpabilises, et que cela te fasse ne pas te sentir bien, te fasses te senti mal, et que tu prennes (enfin ?) conscience des effets destructeurs à mon égard de tes manières de faire et de ne pas faire depuis ta décision de rupture.
J'aimerai, oui, à l'instant, que tu vois dans ta tête, ces cadeaux que tu n'as jamais voulu prendre, et que tu te dises en les voyant dans ta tête, oui, c'est vraiment con et dégueulasse, de ne pas les accepter, et de ne pas les donner, pour ceux destinés à K. et E. !!! Et que c'est in fine, aussi con et dégueulasse,de m'avoir rayé des contacts FB de K.
Bonne santé à toi, oui ! Mais pas bonne nuit, ou pas bonne journée, en fonction du moment où tu liras ce post.
Oui, c'est peut-être dégueulasse ; mais j'ai envie que tu te sentes mal vis à vis de toi même en lisant ce post ! Tu veux me faire "plaisir" ? Devant la glace de ta salle de bain, penses à ce post en te regardant dans cette glace Penses aussi à ce que sont à ce jour tes manières de faire et de ne pas faire à mon égard depuis ta décision de rupture. Si, à partir de là, tu quittes cette posture avec un grand sourire et le cœur léger, c'est que vraiment je suis un sale con, ou que, quelque part, tu t'es comporté en vraie salope ! Moi, je ne vois pas d'autres alternatives. Mais, of course, je peux me tromper.
Si, alors, dans ta salle de bain, en face de ta glace , dans un authentique mouvement d'introspection, une larme, ou ne serait-ce que l'ombre d'un larme coule sur l'une de tes joues, alors, peut-être, tout n'est pas perdu dans notre capacité à ne pas transformer définitivement nos "je t'aime" d'antan en d'immenses tas de boues putrides.
Si ce post te donnes envie de bouffer je ne sais quelle saloperie... STOP !! Quoi qu'il soit, tu vaux mieux que cela !
Questions : Est-ce que je vaux mieux que la bouteille de vin que je viens de boire sans bouffer en écrivant ce post ? Ou, est-ce que cette bouteille de vin que je viens de boire sans bouffer en écrivant ce post fait qu’aujourd’hui je mérite d'être noyé comme un chien galeux, comme un chien enragé ?
Une fois de plus. Une dernière fois ? SOS. Tu connais mes numéros de téléphone, les possibilités de me faire signe, de m’adresser des signes.
Blablabla....
Bon tout à K. et E.
Bonne santé à toi.
Pour le reste te concernant, ce soir, cette nuit, c'est pfffffffffffffffffffff. Pff Pfff !!!
Tu ne me fends pas seulement le cœur ; mon âme aussi !
mercredi 17 juin 2015
dimanche 14 juin 2015
Fait gaffe... (maj 3)
Manque de toi, manque de ton amour....
Cela, je dois l'accepter. Inéluctable, sans ton amour.
Manque de toute relation avec K. et E. ....
Non, je ne prends pas "en otage" qui que ce soit, quoi que ce soit en écrivant cela, en te répétant, ressassant sans cesse cela !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ce manque là n'est pas inéluctable. Il est le fruit que d'un ou plusieurs gros travers de toi.
Ça se combat, ça se gère, ça se dépasse les travers !! En tous cas, on peut lutter contre !!!
Je lutte contre les miens.....
Toi, perçois-tu le coté dépassable de cette privation de toute relation avec K. et E. ?
Ou, sinon, ne peux-tu vraiment pas m'expliquer, me faire comprendre, comprendre, comprendre en quoi cette privation, est justifiée, juste et bien. Ou pour le moins, justifiée, ou juste, ou bien... A minima, n'est pas injuste, injustifiée et mal....
Un jour tu m'as dit "fait gaffe à l'Amour".
Toi, S., fait gaffe à tes désamours !!!!! Fait gaffe à la manière dont tu conduit tes désamours !!!
Ne perçois-tu vraiment pas les "pouvoirs / effets" destructeurs que peuvent avoir tes manières de faire (et de ne pas faire) sur ce registre ?
Certes, tu n'es pas responsable de la manière dont on reçoit les choses (dont j'ai reçu, et continue de recevoir ces choses....) !!
Mais quand tu sais la manière dont on peut les recevoir, quelle responsabilité as-tu vis à vis de la manière dont tu tiens, ou ne tiens pas compte, ou ne tiens pas assez compte, et ne luttes pas, ou ne luttes pas assez, ou ne luttes pas de bonne(s) manière(s) contre les dévastations occasionnées ?
Ce soir, je me demande : combien d'hommes dans ta vie, avant moi, blessés comme je le suis, par tes manières de faire ?
Vis à vis de leur relation avec tes enfants, aucun je pense, a minima avant moi. Pour le reste... ? Quelques uns de tes amants / amours passés évoqués légèrement par toi me reviennent à l'esprit. Ont-ils, d'une manière ou d'une autre, autant "morfler" que moi ??? Oui / non ? Je pense aussi au père de tes enfants. Tellement décrit en noir, par toi, ta mère, ton père.... Et je me demande : "Tiens, lui, qu'est-ce qu'il a subi ?" Sommes nous tous, tes ex, si "noirs", et toi, si "blanche" que le disent "les histoires officielles", celles qui se racontent, j'imagine, chez tes parents....
Pourquoi cette part d'ombre en toi, tellement lumineuse par ailleurs ????!!!!
Et aujourd'hui ? Dans cette première année "d'après moi /nous" ?
Et demain ? Et après demain ?
Un jour tu m'as dit "fait gaffe à l'Amour". Oui, la manière dont j'ai mal conduit mes amours a fait mal, à toi, et à d'autres, plusieurs fois, avant toi. J'en ai conscience ; je le perçois. Non sans gène.
Et le fera peut-être encore mal. J'en ai conscience ; je le perçois aussi. Avec appréhension et quelque forme de honte . Voilà pour moi.
Et toi ?
Toi, S., fait gaffe à tes désamours !!!!!
Fais gaffe aux effets destructeurs des manières dont tu conduits tes désamours !
Tu sais, prévenir à l'avance "tu sais, si un jour cela ne va pas plus, je mets le clignotant, et je quitte la route sans crier garre [et je m'évertue à t'effacer totalement de ma vie, NDLR] ..." ne suffit pas à éviter les dégâts.
Cela ne suffit pas à éviter les dégâts, tellement, je pense, nul ne peut croire, avant de le prendre en pleine gueule, que tu puisses te conduire de manière aussi inappropriée, aussi inadéquate, aussi méprisante, à la fois pour l'autre, et ce qui a été.
Et les ressentis de tes enfants ? J'écris "Et les ressentis de tes enfants ?", avec un point d'interrogation. C'est dans ma tête une vraie question à laquelle je n'ai pas la réponse. Toi seule, et K. et E., et vos proches, peuvent aujourd'hui avoir la réponse à cette question. La fuir ou pas. Y répondre en votre fort intérieur, en toute honnêteté, ou pas. Toi, bien entendu, au premier rang.
Chiche de m'inviter à un "apéro vendredi soir" pour qu'on en cause avec K. et E. ?! Même pas cap', hein ! Ok, c'est un peu salaud de t'écrire cela....
Mais, si je t'en crois, et si je crois les quelques échanges des douze derniers mois que j'ai,pu avoir avec ta sœur ou ta mère, tout le monde assure, a minima, en creux, que je ne leur manque aucunement. Peut-être. A un endroit donné, avec du mal ; mais à un endroit donné, quant même, c'est vrai, je le souhaite sans doute quelque part au fond de moi -de manière égoïste ou égocentrique, ou juste humaine, je ne sais - leur manquer., au moins un peu.... Mais, non ! C'est moche ce souhait. En tout cas, qu'ils aillent quant même bien (quant même.....) ! C'est tout le mal que je leur souhaite.
Parfum de schizophrénie : j'ai tellement mal de ne plus les voir, que je peine à imaginer que je ne leur manque aucunement. Et ailleurs, je souhaite ne pas leur manquer, qu'ils aillent bien, sans échange, poursuite explicite, de l'affection qu'il y avait entre moi et eux.
Je ne parle pas de "E., le copain de leur mère" ; mais de "moi, E. qui les serrait dans mes bras, qui les embrassait, qui jouait avec eux, qui plaisantait avec eux, qui les aimait..., qui... blablablabla"
S., fait gaffe à tes désamours !!!!! Au moins pour les prochaines victimes, à défaut de réviser tes comportements à mon égard.
Évidement, n'hésites pas à m'appeler ou à m'écrire, quand tu veux, qu'on en cause !!!
Cela, je dois l'accepter. Inéluctable, sans ton amour.
Manque de toute relation avec K. et E. ....
Non, je ne prends pas "en otage" qui que ce soit, quoi que ce soit en écrivant cela, en te répétant, ressassant sans cesse cela !!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ce manque là n'est pas inéluctable. Il est le fruit que d'un ou plusieurs gros travers de toi.
Ça se combat, ça se gère, ça se dépasse les travers !! En tous cas, on peut lutter contre !!!
Je lutte contre les miens.....
Toi, perçois-tu le coté dépassable de cette privation de toute relation avec K. et E. ?
Ou, sinon, ne peux-tu vraiment pas m'expliquer, me faire comprendre, comprendre, comprendre en quoi cette privation, est justifiée, juste et bien. Ou pour le moins, justifiée, ou juste, ou bien... A minima, n'est pas injuste, injustifiée et mal....
Un jour tu m'as dit "fait gaffe à l'Amour".
Toi, S., fait gaffe à tes désamours !!!!! Fait gaffe à la manière dont tu conduit tes désamours !!!
Ne perçois-tu vraiment pas les "pouvoirs / effets" destructeurs que peuvent avoir tes manières de faire (et de ne pas faire) sur ce registre ?
Certes, tu n'es pas responsable de la manière dont on reçoit les choses (dont j'ai reçu, et continue de recevoir ces choses....) !!
Mais quand tu sais la manière dont on peut les recevoir, quelle responsabilité as-tu vis à vis de la manière dont tu tiens, ou ne tiens pas compte, ou ne tiens pas assez compte, et ne luttes pas, ou ne luttes pas assez, ou ne luttes pas de bonne(s) manière(s) contre les dévastations occasionnées ?
Ce soir, je me demande : combien d'hommes dans ta vie, avant moi, blessés comme je le suis, par tes manières de faire ?
Vis à vis de leur relation avec tes enfants, aucun je pense, a minima avant moi. Pour le reste... ? Quelques uns de tes amants / amours passés évoqués légèrement par toi me reviennent à l'esprit. Ont-ils, d'une manière ou d'une autre, autant "morfler" que moi ??? Oui / non ? Je pense aussi au père de tes enfants. Tellement décrit en noir, par toi, ta mère, ton père.... Et je me demande : "Tiens, lui, qu'est-ce qu'il a subi ?" Sommes nous tous, tes ex, si "noirs", et toi, si "blanche" que le disent "les histoires officielles", celles qui se racontent, j'imagine, chez tes parents....
Pourquoi cette part d'ombre en toi, tellement lumineuse par ailleurs ????!!!!
Et aujourd'hui ? Dans cette première année "d'après moi /nous" ?
Et demain ? Et après demain ?
Un jour tu m'as dit "fait gaffe à l'Amour". Oui, la manière dont j'ai mal conduit mes amours a fait mal, à toi, et à d'autres, plusieurs fois, avant toi. J'en ai conscience ; je le perçois. Non sans gène.
Et le fera peut-être encore mal. J'en ai conscience ; je le perçois aussi. Avec appréhension et quelque forme de honte . Voilà pour moi.
Et toi ?
Toi, S., fait gaffe à tes désamours !!!!!
Fais gaffe aux effets destructeurs des manières dont tu conduits tes désamours !
Tu sais, prévenir à l'avance "tu sais, si un jour cela ne va pas plus, je mets le clignotant, et je quitte la route sans crier garre [et je m'évertue à t'effacer totalement de ma vie, NDLR] ..." ne suffit pas à éviter les dégâts.
Cela ne suffit pas à éviter les dégâts, tellement, je pense, nul ne peut croire, avant de le prendre en pleine gueule, que tu puisses te conduire de manière aussi inappropriée, aussi inadéquate, aussi méprisante, à la fois pour l'autre, et ce qui a été.
Et les ressentis de tes enfants ? J'écris "Et les ressentis de tes enfants ?", avec un point d'interrogation. C'est dans ma tête une vraie question à laquelle je n'ai pas la réponse. Toi seule, et K. et E., et vos proches, peuvent aujourd'hui avoir la réponse à cette question. La fuir ou pas. Y répondre en votre fort intérieur, en toute honnêteté, ou pas. Toi, bien entendu, au premier rang.
Chiche de m'inviter à un "apéro vendredi soir" pour qu'on en cause avec K. et E. ?! Même pas cap', hein ! Ok, c'est un peu salaud de t'écrire cela....
Mais, si je t'en crois, et si je crois les quelques échanges des douze derniers mois que j'ai,pu avoir avec ta sœur ou ta mère, tout le monde assure, a minima, en creux, que je ne leur manque aucunement. Peut-être. A un endroit donné, avec du mal ; mais à un endroit donné, quant même, c'est vrai, je le souhaite sans doute quelque part au fond de moi -de manière égoïste ou égocentrique, ou juste humaine, je ne sais - leur manquer., au moins un peu.... Mais, non ! C'est moche ce souhait. En tout cas, qu'ils aillent quant même bien (quant même.....) ! C'est tout le mal que je leur souhaite.
Parfum de schizophrénie : j'ai tellement mal de ne plus les voir, que je peine à imaginer que je ne leur manque aucunement. Et ailleurs, je souhaite ne pas leur manquer, qu'ils aillent bien, sans échange, poursuite explicite, de l'affection qu'il y avait entre moi et eux.
Je ne parle pas de "E., le copain de leur mère" ; mais de "moi, E. qui les serrait dans mes bras, qui les embrassait, qui jouait avec eux, qui plaisantait avec eux, qui les aimait..., qui... blablablabla"
S., fait gaffe à tes désamours !!!!! Au moins pour les prochaines victimes, à défaut de réviser tes comportements à mon égard.
Évidement, n'hésites pas à m'appeler ou à m'écrire, quand tu veux, qu'on en cause !!!
jeudi 11 juin 2015
Bonne nuit
Bonne nuit, bonne nuit à toi.
Juste envie de t'écrire cela, là, là, ici et maintenant, en le souhaitant très fort. Même si cela peut te sembler con, ou déplacé, ou incongrue, ou triste ou.....
Si tu me lis, je ne sais pas comment tu peux le recevoir ce "bonne nuit" !!!!! Prends le simplement bien.
Bonne nuit, bonne nuit à toi.
Juste envie de t'écrire cela, là, là, ici et maintenant, en le souhaitant très fort. Même si cela peut te sembler con, ou déplacé, ou incongrue, ou triste ou.....
Si tu me lis, je ne sais pas comment tu peux le recevoir ce "bonne nuit" !!!!! Prends le simplement bien.
Bonne nuit, bonne nuit à toi.
Je....
Je pensais l’ambition de tes 40 ans à portée de nos mains.
Je pensais pouvoir te rendre heureuse.
Je me suis complétement trompé, au moins dans les manières de faire ; manifestement, d'une manière ou d'une autre, concrètement, je me suis totalement planté !!
Chemins des enfers pavés des meilleures intentions (le mien de chemin en tout cas, lol). Mais, je réussirai à rebrousser ce chemin; j'y crois.
Te retrouverais-je sur les pas de ce retour, ou après ce retour à la Vie, à la raison ? En simple croisement ou à mes cotés ? Quelles sont les probabilités de la deuxième option ? Zéro absolu ? Je voudrais croire au moins en l'option 1.
Dors bien cette nuit d’anniversaire, S. ! Que la paix et la force soient avec toi. Formule con ? Formule "cucul". Dans sa forme, sans doute. Dans son fond, pas du tout ! Dors bien cette nuit de ton quarantième anniversaire, S. !
Bises / bisous.
Je pensais pouvoir te rendre heureuse.
Je me suis complétement trompé, au moins dans les manières de faire ; manifestement, d'une manière ou d'une autre, concrètement, je me suis totalement planté !!
Chemins des enfers pavés des meilleures intentions (le mien de chemin en tout cas, lol). Mais, je réussirai à rebrousser ce chemin; j'y crois.
Te retrouverais-je sur les pas de ce retour, ou après ce retour à la Vie, à la raison ? En simple croisement ou à mes cotés ? Quelles sont les probabilités de la deuxième option ? Zéro absolu ? Je voudrais croire au moins en l'option 1.
Dors bien cette nuit d’anniversaire, S. ! Que la paix et la force soient avec toi. Formule con ? Formule "cucul". Dans sa forme, sans doute. Dans son fond, pas du tout ! Dors bien cette nuit de ton quarantième anniversaire, S. !
Bises / bisous.
mercredi 10 juin 2015
Bon...
mardi 9 juin 2015
Ca va toi ? Moi...
Ça va toi ? A minima, je ne te pose pas de problèmes existentiels au point où tu ressentirais l'envie / le besoin de t'excuser de quoi que ce soit (par exemple - un seul ! - ne pas avoir répondu à mon "bonjour" la dernière fois où l'on s'est vu...).
Moi ? Je m'efforce péniblement, difficilement, de ré-avancer, de refaire "surface".
Ton silence à mon égard, ton refus de tout dialogue avec moi, les manières dont tu m'as privé de tout contact avec K. et E. ne font pas partie des choses les plus faciles à gérer, pour moi.
Évidement, tu le sais déjà ?
Évidement, il y a pire dans la vie que ce que je ressens de ce que tu me fais / ne me fais pas depuis ces mots : "tes petits travers ne m'amusent plus".
Évidement, d'autres que moi auraient pu faire avec tout ça beaucoup plus facilement que moi.
Oui, j'ai "la rage" au sens figuré !
Mais je ne trouve pas que ce soit le cas au sens propre ! Alors, oui, j'ai mal et je te trouve, comment dire... très dur avec moi, et même, injuste avec moi.
Oui, c'est peut-être injuste que de t'écrire cela ; mais, c'est, tout bêtement, tout simplement, la manière dont je ressens tout cela.
Qu'est-ce que j'aimerais que tu me comprennes ! Et que cette compréhension abatte ton silence à mon égard, et tes refus de tout dialogue avec moi.
Qu'est-ce que j'aimerais que tu ne te sentes ni fâchée, ni blessée par ces mots. Simplement que tu les comprennes et qu'ils ne t'empêchent pas de dormir sereinement.
Bonne nuit, crois moi, bonne nuit à toi.
Moi ? Je m'efforce péniblement, difficilement, de ré-avancer, de refaire "surface".
Ton silence à mon égard, ton refus de tout dialogue avec moi, les manières dont tu m'as privé de tout contact avec K. et E. ne font pas partie des choses les plus faciles à gérer, pour moi.
Évidement, tu le sais déjà ?
Évidement, il y a pire dans la vie que ce que je ressens de ce que tu me fais / ne me fais pas depuis ces mots : "tes petits travers ne m'amusent plus".
Évidement, d'autres que moi auraient pu faire avec tout ça beaucoup plus facilement que moi.
Oui, j'ai "la rage" au sens figuré !
Mais je ne trouve pas que ce soit le cas au sens propre ! Alors, oui, j'ai mal et je te trouve, comment dire... très dur avec moi, et même, injuste avec moi.
Oui, c'est peut-être injuste que de t'écrire cela ; mais, c'est, tout bêtement, tout simplement, la manière dont je ressens tout cela.
Qu'est-ce que j'aimerais que tu me comprennes ! Et que cette compréhension abatte ton silence à mon égard, et tes refus de tout dialogue avec moi.
Qu'est-ce que j'aimerais que tu ne te sentes ni fâchée, ni blessée par ces mots. Simplement que tu les comprennes et qu'ils ne t'empêchent pas de dormir sereinement.
Bonne nuit, crois moi, bonne nuit à toi.
dimanche 7 juin 2015
Pensées
Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées.. Pensées............................................
samedi 6 juin 2015
Bon...
Bon samedi soir.....
Samedi soir pour toi avec K. et E. ou sans K. et E. ?
J'ai perdu le repère ; je ne sais.
Dans tous les cas, bon samedi soir à toi !
Te souviens-tu de nos samedi soir ?
Ceux avec K. et E. ; ceux sans eux ?
Ils m'allaient bien ! Les uns, autant que les autres. De manière différente. Les uns, autant que les autres, même si ils étaient devenus quelque part pour moi, les uns comme les autres, des "pis aller" en attendant d'autres samedi soirs où, toi et moi, nous aurions été "toujours ensemble", où nous aurions vraiment vécus ensemble.
Je pensais qu'il en était de même pour toi.... Et que tu aurais la patience de, le courage de, la foi en.... Erreur.
Ce samedi soir...samedi soir pour toi avec K. et E. ou sans K. et E. ? Je ne sais. Et je me pose la question.
Sans K. et E. ? Peut-être alors, vas-tu "sortir". Peut-être, alors, vas-tu "draguer". Peut-être, alors, cette nuit, vas-tu faire l'amour, avec "un autre".
Un autre que tu ne connais pas encore ? Ou un autre qui occupe "déjà" une place dans ta vie ? Un autre qui sera pour tes enfants le beau père que je voulais être ? Je ne sais !
Avec combien d'hommes as-tu fais l'amour depuis ta décision de rupture ? C 'est con, sans doute, que je me pose cette question !!! Mais je me la pose... "Pointe" de jalousie. Manque.... Et... Pffff !
Samedi soir pour toi avec K. et E. ou sans K. et E. ?
J'ai perdu le repère ; je ne sais.
Dans tous les cas, bon samedi soir à toi !
Te souviens-tu de nos samedi soir ?
Ceux avec K. et E. ; ceux sans eux ?
Ils m'allaient bien ! Les uns, autant que les autres. De manière différente. Les uns, autant que les autres, même si ils étaient devenus quelque part pour moi, les uns comme les autres, des "pis aller" en attendant d'autres samedi soirs où, toi et moi, nous aurions été "toujours ensemble", où nous aurions vraiment vécus ensemble.
Je pensais qu'il en était de même pour toi.... Et que tu aurais la patience de, le courage de, la foi en.... Erreur.
Ce samedi soir...samedi soir pour toi avec K. et E. ou sans K. et E. ? Je ne sais. Et je me pose la question.
Sans K. et E. ? Peut-être alors, vas-tu "sortir". Peut-être, alors, vas-tu "draguer". Peut-être, alors, cette nuit, vas-tu faire l'amour, avec "un autre".
Un autre que tu ne connais pas encore ? Ou un autre qui occupe "déjà" une place dans ta vie ? Un autre qui sera pour tes enfants le beau père que je voulais être ? Je ne sais !
Avec combien d'hommes as-tu fais l'amour depuis ta décision de rupture ? C 'est con, sans doute, que je me pose cette question !!! Mais je me la pose... "Pointe" de jalousie. Manque.... Et... Pffff !
mercredi 3 juin 2015
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