lundi 27 avril 2015

Bonne rrentrée & bons tout

J'espère  sincèrement que K. et E. ont passé de bonnes vacances. Et une bonne rentrée pour leur dernière ligne droite avant l'été.

Impossible pour moi de ne pas penser à ces vacances là  de l'an dernier, les dernières vacances passées avec vous.

Beaux souvenirs pour moi tout en ayant conscience aujourd'hui que pour toi il y avait déjà alors un sérieux malaise. Je revois ton effarement (ton désespoir ?) face au "coup" de tout mes courriers non ouverts, non traités,qui ont du en remettre une sacré couche dans ton "raz le bol" après l'épisode des caves, et celui de ta cuisine, pour laquelle je n''ai rien fait.

Je m'en veux ; je regrette ; blablabla.

Cela me semble tellement con d'avoir été aveugle. Je crois que si j'avais su, perçu notre amour en danger, cela m'aurait fait faire les nécessaires pour redresser la barre, le nécessaire pour conserver ton amour. C'est trop con que je n'ai rien vu venir ; c'est trop con que la seule manière ferme dont tu as régi, c'est plus tard, par la rupture. Je crois sincèrement qu'il aurait pu en être autrement. Blablabla.

C'est trop con aussi, je trouve, notre relation sado / maso actuelle. Si par mes mots je te fais aussi mal que ton silence me fait mal, qu'est-ce que je dois te faire mal !

Mes mots de colère, mes mots d'indignation sont ceux de mes douleurs engendrées par ta décision de rupture, développées par les remparts et les barbelés que tu as érigés entre toi et moi, entre tes enfants et moi. Ne me vois-tu pas me débattre et m'écorcher vif en leur sein ? Toujours incapable, impuissant à m'en sortir, pris au piège de nos incapacités respectives à faire autrement que comme l'on fait. Blablabla. Bref.

Bref.  J'espère  sincèrement que K. et E. ont passé de bonnes vacances.Et une bonne rentrée pour leur dernière ligne droite avant l'été. C'est dingue l'amour ! Tu ne m'aimes plus au point de me laisser m'écorcher vif au milieu des remparts et barbelés. Et moi je vous aime toujours au point de peut-être t’écorcher vive aussi à travers mes mots.

Je cherche une issue, vraiment. Cela  serait aussi pratique pour moi que pour toi que je réussisse à ne plus souffrir de ne plus partager de relation d'amour avec vous (amour de couple avec toi, amour de "vous-n'êtes-pas-mes-enfants-mais-je vous-aime-pratiquement-comme-mes-propres-enfants", avec K. et E.). Je n’arrive pas, je n'arrive pas, je n'arrive pas.

Je m'efforce sincèrement de "te remplacer" .  D'une certaine manière, K. et E. aussi. Clément, Benjamin, Valentin...Et vlan, cela tends à s'ajouter, pas à remplacer ! Rigoles pas, c'est pas drôle !

Bref.   J'espère  sincèrement que K. et E. ont passé de bonnes vacances. Et une bonne rentrée pour leur dernière ligne droite avant l'été. Le plus con, sans doute, c'est que je souhaite vraiment, profondément cela.

Aussi que toi, mis à part moi, tu ailles bien. Bonne nuit à toi.  Le plus con, sans doute, c'est que ce soir je te souhaite également, vraiment, profondément cela. S'il existe une vie après la mort, et que l'on conserve par delà la mort notre individualité, ou ne serait-ce que le souvenir de notre individualité, et que l'on puisse  "en causer", je suis vraiment curieux de ce qu'alors, on se racontera. Blablabla.

Bonne nuit à toi, vraiment, profondément. Bons vents aussi, pour les jours, les semaines, les mois, et les années à venir.

PS N'hésites jamais à m'appeler, si le cœur t'en dit. A n'importe quelle heure. N'importe quand. Aujourd'hui, demain, dans des lustres. Et n'hésites pas à croire que j''aimerai toujours K. et E. et que quelque part je t'aimerai toujours aussi. Car, c'est vrai ! Cela ne m'arrange pas ; mais mon amour de toi, mon amour d'eux est ainsi. A un moment donné, sans doute, toutefois, il sera trop tard pour "dans cette vie là"Dans ce que je ressens, ce n'est pas le cas aujourd'hui. Toi, tu m'as dit "plus jamais rien entre nous deux". J'aimerais que tu ressentes les choses différemment. Ce serait horrible que tu le ressentes différemment, trop tard. Blablabla. Bonne nuit à toi, vraiment, profondément. Bons vents aussi, pour les jours, les semaines, les mois, et les années à venir. Avec, ou sans,  moi.



Bonne rentrée à K. et E.

Il  ne sauront pas donc que je leur souhaite cela ; mais je le leur souhaite de tout cœur : bonne rentrée à K. et E. Bonne fin d'année scolaire à eux deux !

Je trouve dommage de ne pas pouvoir leur souhaiter cela directement blblabla

samedi 25 avril 2015

Loser II

Il me semble que le fait que je vais me faire lourder dit à quel point, si jamais d'aucun pouvait en douter,  je ne mentais pas en disant que c’était compliqué !

Naïvement, ou stupidement, ou aveuglément - les trois, en fait ! -, je pensais qu’à force d’efforts et d’investissements personnels, je viendrais à bout de cette complexité, que je franchirais ou éviterais toutes les embuches, que je vaincrais toutes les difficultés..... Par certains égards, symptôme d'un ego à certains endroits, démesuré ?

Deux mille dix à deux mille quatorze, et en particulier deux mille douze à deux milles quatorze (2015, aussi !), j’aurais sacrifié des pans entiers du présent d’hier pour une chimère de lendemains meilleurs !

Que tu le crois ou non, que tu en aies conscience ou non, dans ma tête, c’était pour des lendemains meilleurs, avec toi, avec vous. Aussi pour mes enfants, pour ma fille, bien entendu....

Autrement dit,  pour l’ensemble !  Pour concilier ce qui dans ma tête me semblaient être les exigences de bons lendemains pour moi,, avec toi, avec  toi et K. et E., en tenant compte de mes enfants, de ma fille en particulier.

"Ad hocing" que tout cela ? Je ne le pense pas : je me revois en parler à demi-mot avec ton père de ce futur dont je rêvais devant un reportage télé sur Paris. La perspective de l’échec en moins, je crois bien que je décrivais alors les mêmes choses qu’ici...Peut-être s'en souvient-il, lui aussi !

Je me suis trompé ; Dieu, que je me suis fourvoyé ! A part ma fille (et l’acquisition de quelques nouveaux savoirs faire professionnels, pfff), c’est dingue ce que j’aurais in fine  perdu dans cette histoire : quelques pans de ma santé, du fric à travers toutes mes négligences collatérales, et surtout toi, toi et tes enfants, nos partages, votre amour. Peut-être même votre estime et votre respect !

Seule consolation : l’opportunité de rechercher et trouver, peut-être, un  boulot sur Bar le Duc, Toul, Nancy, Epinal, plutôt que dans la région parisienne.

Quand je pense à toi et à ta décision de rupture en face de tout cela, je me demande : n’avais-tu pas compris, n’y as-tu pas cru, n’avais-tu pas assez confiance en moi, en nous, voyais-tu le mur arriver et as-tu choisi d’abandonner le navire qui prenait l’eau, était-ce trop, trop d’efforts, trop long, trop longs à  attendre, pour toi ? Je me perds toujours en conjonctures et conjectures !

Un jour, un jour peut-être, me décriras-tu plus clairement (plus sincèrement ?)  qu’à travers  ce maigre « tes petits travers ne m’amusent t plus », toutes  les choses  que tu as ressenties et qui t’ont poussées vers la sortie. Tu sais, ce  « tes petits travers ne m’amusent t plus »,  je le  ressens toujours comme indigent et profondément destructeur me concernant, vu la manière dont ta décision de rupture m’a pulvérisée, façon camion de 35 t que tu reçois en pleine gueule, en qui te roule sur la panse.

Je ne t’en veux qu’à moitié, là-dessus. On dit que les chemins de l’enfer sont pavés de bonnes intentions. Ce maigre « tes petits travers ne m’amusent t plus » que tu m'as balancé eu guise d'explication partait peut-être d’une  noble intention de me ménager. Tu ne pouvais sans doute pas prévoir qu'il deviendrait, et resterait des mois durant, et reste, aujourd’hui encore pour moi, un énorme  pavé sur le chemin de mes enfers. Bref.

I'm still a loser! But, anyway, I hope that can change. Hopes, that's life, isn’t it?


vendredi 24 avril 2015

J'ai perdu

I said : I really feel like a fucking loser! I must say more than that: I also feel like a very, very, very well fucked loser... I feel so much like that ! Just a kind of nightmare. Don't worry : like life, it's going to pass.

T'as gagné !

SMS de souhait de bonne fin de vacances envoyé hier à K.

Resté sans réponse.

Faut croire que t'as gagné, que tu as eu ce que tu as voulu : débarrasser tes enfants de l'affection qu'ils me portaient  ! Impression triste que tu as super bien réussi cela.

Fière de toi ? Moi, tu vas peut-être trouvé cela con : cela me fait super mal. Cette pensée me fait super mal.

Te gènes pas d'avoir une petite pensée ce soir pour moi quand tu retrouveras K. et E.  !

PS : autre bonne chose pour moi de la journée d'hier : on m'a officiellement inviter à une rupture conventionnelle de contrat, pour éviter le licenciement économique, à la fin de l'année au plus tard (Ma mère n'en sait rien ; pas une allusion à ma mère, là-desssus, stp). Tout les sacrifices (très cons, je te l'accorde !) que j'aurais effectué pour ce projet ne m'auront vraiment servis à rien.

I just feel to be  just  a complete total fucking loser !

vendredi 17 avril 2015

T'écrire encore....

T'écrire encore.... en dépit d'efforts, j'arrive toujours pas à faire autrement...
Pas vu ni K. ni E. ni toi, aujourd’hui puisque tu n’as pas voulu qu'il en soit ainsi.
C’est ton choix. Je le trouve malheureux.
Diner avec ma mère. Tu m’appellerais, me demanderais de passer chez toi, que je crois que j’accouerais immédiatement.
Tu ne veux plus de moi, ou agis comme tel. Je crois là encore que c'est un choix maalheureux.
Es-tu plus heureuse ainsi, que quand nous étions "ensemble" ?
Mon de frustration d'une certaine manière  sans doute. Moins d'amour propre blessé ?
Je continue de penser que cette rupture que tu as voulu et persiste à vouloir est dommage.  Pour moi. Je crois / ou je veux croire aussi, pour toi également.
Je l'ai dit, pas encore mille fois, mais... je crois vraiment qu'on pouvait être, qu'on pourrait être encore, heureux ensemble. Bien plus que j'imagine que tu ne l'es aujourd'hui.. Si seulement.... tu gérais mieux les frustrations provisoires occasionnées par "mes petits travers qui ne t'amuse plus" ?
Sur le long cours, perçois bien tu.....
Si seulement  tu pouvais m’appeler, me faire un signe, pour.... simplement qu'on en cause ?

mardi 14 avril 2015

Dommage

Dommage, dommage, que tu ne communiques plus avec moi par autre chose que tes silences. Je crois que ce serait mieux / moins pire si tu faisais autrement. Je ne cherche pas "à te commander". J'éprouve le besoin d'un dialogue. Est-ce si dur que cela de ne pas me le refuser ?
J'espère que mis à part moi, et tout ce que je fais peut te causer comme jjrgjezgebr ,  tu vas bien (ton bras, et tout et tout....).
 Je comprends qu'on puisse ne pas me comprendre ; toi, a fortiori : pratiquement toute la société  dans laquelle  on vit aujourd'hui clame que je déconne et que tu as raison de faire comme tu fais ! Je trouve cela quant même assez "injuste".
...

Bonne journée à vous trois

Bonne journée à toi, à K. à E.....

Bisous K.

Bisous E.

Pas facile de vous oublier, les monstres !

Pas facile pour moi d'accepter, d'admettre que ce que je ressens aujourd'hui encore pour vous n'a plus à être

....

lundi 13 avril 2015

Toi, je sais pas ce que tu ressens...

Toi, je sais pas ce que tu ressens... ; mais moi je sais ce que je ressens !

Et je ne te souhaite pas, ni maintenant, ni jamais de ressentir ce que je ressens !

Je ne sais pas non plus ce que K; et E, pensent éprouvent aujourd'hui à mon égard (?indifférence ? défiance, ? Ras le bol)  ; mais moi, de mon  coté, cela reste amour  et n'est aujourd’hui qu'amour, manque, frustrations et sentiment d’injustice, ...

N'es-tu vraiment pas capable de faire la différence entre ton amour cassé pour moi et celui que je continue de porter à te enfants.

N'es-tu vraiment pas capable de ressentir que ce n'est pas une tentative de prise d'otage de ma part ?

Ne peux-tu vraiment pas croire que les sentiments que je leur porte sont beaux, dignes et grands ? Ne peux-tu vraiment pas te défaire de cette sensation qu'il y a un piège là-dedans, des risques néfastes pour K. et E. ?

Peut-être un jour tu la concevras, tu la comprendras, cette énorme sensation d'injustice que je ressens, contre vents et marées, contre tous ceux dans ta famille, dans ma famille, dans  mes amis qui me traitent, d'une manière ou d'une autre, de dingue et considèrent que de tes enfants, je ne devrais plus rien en avoir à branler . De manière "à peine" caricaturale : klenex, les enfants des ex, basta, juste des mioches dont il faillait faire semblant de les aimer pour pouvoir baiser leur mère (leur père, suivant le cas) !!! C'est ainsi que tu vois les choses ? C'est ainsi que tu vois ce qu'étaient mes rapports avec K. et E. ?????.

De quoi-as tu eu peur, de quoi as-tu peur ? Qu'ils te reprochent de ne plus m'aimer alors que eux continueraient (auraient pu continuer)  de m'apprécier encore ? Est-ce si difficile que cela à gérer, ce genre de choses ? As-tu vraiment si peu confiance, en toi, en eux, pour ne pas croire dans votre capacité à gérer cela positivement ?

Je parie que tu  vas te dire que c'est dans ma capacité à moi gérer cela que tu ne crois pas  !! N'est-ce pas un peu facile, très  pratique,  pour te simplifier TA vie, à toi ? A eux aussi; à court terme peut-être.....Mais, sur le long terme, tu sais ce que j'en pense !!!!

Et dans tout les cas, je suis quoi, moi et ce que je ressens là-dedans ??? Une merde, une crotte indigne de toute considération et d'efforts allant au delà de ce que tu as consenti jusqu'ici ?

Ne veux-tu passer vendredi qui vient avec K. et E. chez ma mère (je sais que tu est en congés) que Kentin remercie de vive voix ma mère pour les fraises (comme tu l'as évoqué) et que moi, je puisse, s'ils le veulent bien , serrer K. et E. dans mes bras ?

Pensée....


Bonnes vacances à vous trois

Souvenirs de l'an passé : acro branches, géocaching, piscine...
Nos câlins aussi !
Ton bras également .....
Souvenirs, souvenirs.... Nostalgie.

Quoi qu'il en soit,  bonnes vacances à vous trois.

Gros bisous, gros câlins en pensées à K. et E.  Peu de chance que tu leur transmette de vive voix cela ; mais n'hésites pas le prochain moment où tu les serreras dans tes bras à leur transmettre en pensées ces pensées positives de ma part. Je me dis que ce serait déjà ça !

Bonne semaine de vacances à vous trois !

dimanche 12 avril 2015

Pour....

Pour l'alcool... aujourd'hui, c'est raté !  Lol (un zest citron). Echec du jour à gérer mes pensées blessées, culpabilisantes, shiziophréniques (Le manque de toi, le manque de K. et de E., toi, Christine, ma manière d'être entier avec elle quand je suis avec elle, ma manière de manquer avant tout autre chose de  toi, de K. et de E. dés que je ne suis plus avec elle, ma manière de "la tromper ??"  - iede vouloir croire en elle et moi sans réussir pour autant à me détacher de l'idée de "toi et moi" ?. L'un des aspects de mes folies en somme / de ne pas trouver comment survivre et rejoindre la vie autrement que de cette manière peu glorieuse  ??? !!


Tu te souviens de mon credo à ton égard : "on se dit / se dira, tout (ce qui compte) !" Tu peux en douter ; mais la / les  seule(s) fois ou je ne l'ai,pas fait "immédiatement", je l'aurais fait, de toute manière.  " Je continue en somme !
Dis le moi TOI sin tu veux que j’arrête (pas par Mélanie..). Si tu me l'as déjà dit, dsl, j'ai,oublié.... Rappelle-le moi ! Appelles-moi, stp !!!!!! Si tu ne veux définitivement, indéfiniment, plus de moi, stp, dis-le moi, ou écris-le moi, tu nous rendras service, à toi, à,moi, à.... tout le monde sans doute.

Cela ne coûte pas cher, un dernier coup de fil, un dernier  courriel, un dernier SMS ! Financièrement.... Cela peut en revanche redéfinir  ton choix de vie, ma vie.... Mais, financièrement, un coup de fil, un courriel, un  SMS.... cela ne te couterait pas cher et pourrait psychologiquement jouer tellement !!!!! Sur moi, au moins......

Ce serait...

Par hasard, tu ne participerais pas à la marche C & G de V. le dimanche....( avec B. ;-) ?
Avec K. et E. .... Ou K. et E. avec leur père ?
Ou  M. et T. ....
ou, ou ....
Pour ma part je vais la faire avec C.

Je trouve que ce serait "drôle ?"/ "bizarre?" / glauque?", "la vie"?.de t'y rencontrer toi, ou d'y rencontrer K., E., T. ou M. ou qui que ce soit connu par ton intermédiaire.

En tout cas, ainsi, tu sais que j'y serais. Et si tu y es inscrite et que cette info te donne envie de te désinscrire, dommage. Si elle te donnes envie de t'inscrire....."Welcome" !

samedi 11 avril 2015

Es-tu h....?

Je n'ai pas su répondre à tes rêves, tes envies, tes ambitions, comme tu l'aurais souhaité. Acte. J'ai fini par usé ta patience, ta foi, tes espoirs. Tu as même fini par décidé de rompre.Acte, également (mais les marche arrières sont toujours possibles ?). Question....Es-tu heureuse aujourd'hui ? Es-tu  plus heureuse aujourd'hui, sans moi, "qu'avec moi" ? Ce n'était pour toi pas l’idéal, le  Rêve  quand nous étions ensemble (sinon tu n'aurais pas rompu !!!!).... Mais, TOUT bien compté, est-ce mieux aujourd'hui pour toi que quand "nous étions ensemble" ?  "Nous" ne te manque-t-il jamais comme il me manque à moi.... terriblement ? L'idée de demain et après demain pour toi, est-ce toujours mieux sans moi, qu'avec moi ? "Mes petits travers", comme tu m'as dit , ne t'ont plus amusés. Acte. Mais, TOUT bien compté,cella ne vaudrait-il pas, aujourd'hui encore, aujourd'hui encore plus qu'hier, le coup que tu t'en accommodes, le temps que TU M'AIDES A LES ATTÉNUER jusqu'à ce qu'ils ne t'incommodent plus   ? Qu'es-ce qui fait que tu ne l'a pas plus fait hier ? Juste manque de confiance en moi ? Manque de confiance en toi aussi ? Manque de confiance en "nous" ? Manque de confiance dans le pouvoir de l'amour ? Manque de confiance dans les hommes en général ? Manque de confiance en les êtres humains en général ? Mal, avant ta décision de rupture, je me suis mal battu pour notre amour,battu  totalement de travers,battu  totalement à coté de la plaque. Acte. Depuis ta décision de rupture ? Pas mieux ou pire semblent crier les faits ! Pourtant qu'est-ce que j'aimerais que tu comprennes, que tu ressentes, que tu.....
Parfois je me demande : n'as-tu réellement aucune envie, aucune, aucune, nulle part en toi, de "retenter l'aventure  avec moi" ; ou t’accroches-tu à ta décision de rupture et de "plus jamais rien en nous", parce que, "simplement", quelque part, c'est plus simple et, d'une certaine manière, plus confortable pour toi, moins risqué pour toi de faire ainsi, même si, même si.... Pire.... que ce ne serait pas bien vis à vis de K. et E. de faire un numéro de "girouette" qui pourrait être lui-même suivi d'un nouveau volte face !!! Vivre sans risque ? Vivre en minimisant les risques ?
Comme tu ne me dis rien, comme tu ne me réponds, rien, je peux m'enferrer  dans milles pensées fausses, quelles qu'elles soient.... Et tu laisses faire, et tu me laisses faire, sans rien faire, sans rien dire. Et je n'arrive pas à comprendre pour quoi faire tu fais cela ainsi, et blablabla (ethno)

jeudi 9 avril 2015

Pour quoi faire ?

Pour quoi faire me lis-tu, dés lors où tu ne réagis nullement et ne semble rien prendre en compte de ce que j'écris ?

N'aies crainte :
1) je ne risque plus de me suicider ;
2)  je ne doute pas de réussir à freiner ma consommation d'alcool  et de tabac, même si tu m'ignores totalement ;
3) je risque pas de kidnapper ni K., ni E.

Si donc tu me lis par peur que je fasse une grosse connerie, tu peux arrêter..."? ton calvaire" !

Si tu me lis par pitié, tu peux arrêté aussi ! Entre pitié et mépris.... la frontière est mince.

Si en revanche tu m'as lu jusqu'ici parce qu'au fond de toi il te reste quelque forme d'amour, même ténue, pour moi... J'en rêve, j'en rêve !!!

Au fond de toi, tout au fond de toi, pour quoi faire me lis tu aujourd'hui ?

mardi 7 avril 2015

Sensation de.... Qu'est-ce que j'aimerais...

Sensation de....tu viens de me lire ; qu'est-ce que j'aimerais que tu m'appelles, ou a minima m'écrives, pour me dire, me donner des signes explicites, de là où tu en es !!

Entre deux (plus, en fait !)

D'un coté, ne plus écrire ici parce que c'est, me semble-t-il, un peu comme "pisser dans un violon", vu que tu ne réagis pas, même si, confusément, je pense, je ressens que tu lis, peut-être pas tous les jours ; mais tout, quant même.
De l'autre, cette envie qui reste, de t'exprimer pratiquement jour après jour,  et que tu saches, ce que je pense, ce que je ressens. Pour quoi faire ? Dans l'espoir de, a minima, d'un mieux que maintenant. Lequel a minima ? Question simple, sans réponse évidente.

Par ailleurs, harcèlement ou pas harcèlement ? Est-ce que je te harcèle de mes mots ? Est-ce que mes deux gentils SMS à K. sont du harcèlement ? Je ne le ressens pas ainsi. D'autant moins que je ressens tes silences, ou comme une forme de harcèlement, ou comme des formes d'invitation à persévérer.

Qu'est-ce que j'aimerais que tu m'appelles, ou a minima m'écrives, pour me dire, me donner des signes explicites, de là où tu en es !!

J'ai pensé à cela dans cette journée  :  si tu présentes (ou as déjà présenté) un nouvel amour (homme/ femme) à K. et E. et que de nouveau, à tes yeux, après qu'il ou elle est bien construit une relation affective avec eux, tu le  / la dégage parce que, par exemple, "ses petits travers ne t'amusent plus"  ? Que feras tu ? Feras-tu à nouveau, d'une certaine manière : "quand on veut se débarrasser de  son chien, on dit qu'il a (ou lui inocule)  la rage ?

C'est très con peut-être, JTM toujours, et je garde foi en toi, et je continue d'espérer en nous. Et le cas échéant, le maintien sans faille de tes silences ne sont pas la meilleure manière de me signifier  que, de ton point de vue, je fais fausse route


Qu'est-ce que j'aimerais que tu m'appelles, ou a minima m'écrives, pour me dire, me donner des signes explicites, de là où tu en es !!
.
   

lundi 6 avril 2015

Hasard & Je ne sais pas ce que je dois en penser

Le hasard, c'est celui de t'avoir croisé peu après la sortie de V, sur la route du retour vers P. Quelle probabilité y avait-il à cela ? Quel sens accordé à cela ? Rien d'autre que celui d'un événement fortuit qui ne porte rien en son sein que le croisement sur cette route de nos deux voitures, avec leur histoire, avec nos histoire ? Celui d'un événement herméneutique ? Je ne sais. Je ne sais pas.

Mon "Je ne sais pas ce que je dois en penser", toutefois, ne s'applique pas à cela. Mais aux SMS envoyés, un hier, l'autre aujourd'hui, à K., et restés l'un et l'autre sans réponse.

Raz le bol de sa part ? Je ne sais quoi en penser ! C'est à ce fait que s'applique mon  "Je ne sais pas ce que je dois en penser". Relation profondément abimée sinon totalement flinguée ?

Si tel est le cas, je trouve cela moche  et dommage. J'y aurais alors à coup sur ma part de responsabilité à travers les manières dont j'ai fait. Mais, toi,  me semble-t-il, encore plus que moi !!  Et c'est, me semble-t-il, une des choses de ta vie dont tu peux le moins être fière.

Tu me l'avais dit, en gros, à plusieurs reprises à des moments où les choses allaient bien entre nous : la vocation des "ex", c'est de dégager de la vie des enfants quand on décide d'en faire des "ex" !  Tu t'en souviens ? Su tu t'en souviens pas, essaies de t'en souvenir, stp. En creux, cela  te dira peut-être que, quelle que soit les conneries que j'ai pu faire et dont tu peux sans doute confortablement te dire que c'est moi, et moi seul, qui est fait pour que les choses en arrivent là.... que tu as pratiquement tout fait pour qu'il en devienne ainsi : il me semble que tu as posé (non sans brio !) aux bons endroits tous les pièges qu'il fallait, et dans lesquels je suis tombé, pour que les choses en arrivent là. Non ? Réfléchis bien... Toujours "Pffff !!! Non !!!" Réfléchi s’y encore un peu, stp....

Toi, je sais pas ; mais moi,  à,mes yeux, c'est vraiment, me semble-t-il, une des choses de ta vie dont tu peux le moins être fière.

C'est peut-être hier et aujourd'hui plus simple et plus facile pour toi à gérer qu'il en soit ainsi.  Je reste en revanche pas du tout certain que ce soit le mieux de ce que tu aurais pu faire pour tes enfants. Je peux me tromper. Certes ! Mais je ne crois pas me tromper.

Je t'écris ces choses-là sans véritable rancune. Mais avec une immense tristesse, pour moi, pour K. et E., pour toi aussi. Je pense qu'en vérité personne n'y a rien gagné, même pas toi !

samedi 4 avril 2015

Tristesse

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mercredi 1 avril 2015

Pfffffffffffffffffffff

Promesse à toi même et à moi-même de ne plus me répondre ? Les promesses, certaines au moins, ne sont-elles pas faites pour être rompues (si c'est mieux ainsi) ? Promesses, vérité.... parfois au moins, la vérité du ici et maintenant de l'instant importe plus, apporte plus que les promesses d'hier, il me semble. Non ?

Cela me ferait plaisir....

Quoi qu'il en soit de tout le reste, cela me ferait plaisir que Vendredi matin (Je ne serais pas encore à Paris - T. a cours samedi matin), tu prennes chez ma mère les cadeaux que j'avais achetés à la fin de l'année dernière pour K. et E.. J'aimerais, si tu mle veux bien, que tu les leur donnes pour....
... Pâques

 Si cela t'ennuie, ne leur dis pas qu'ils viennent de moi. Mais je trouve que c''est trop con que ces cadeaux qui leur sont destinés et n'iront dès lors à personne d'autre, restent là, chez ma mère, en haut sur le bureau de la chambre. Non ? Pas toi ?

Cela me ferait plaisir que tu acceptes qu'ils les aient. Cela me ferait plaisir de savoir qu'ils les ont.