lundi 2 février 2015
Départ Paris...
Départ Paris... le cœur triste, triste, triste. Triste de ne pas repartir de chez toi, triste de tout ce qui s'est passé et ne s'est passé ce week-end. Les boules, en somme (une fois de plus !).
Ne prends pas ces mots écrits ci-dessus comme des reproches. Ce n'est pas leur sens. Ce n'est pas ma volonté. Ma volonté, c'est dire combien je t'aime, combien je t'aime, combien je t'aime. L'importance de cette tristesse que je ressens n'est pas autre chose que le miroir, en noir et gris, de l'immensité de mon amour.
Qu'est-ce que j'aimerais avoir un mode d'emploi pour regagner ton cœur. Je le suivrai à la lettre, de A et Z...et même bien au-delà.
Et toujours je me demande qu'est-ce qui fait - aujourd'hui - que tu ne crois plus en nous, en moi, à ce bonheur possible ensemble.
Avant la fin de l'année, je serais divorcé. Petit à petit, je règle "mes affaires", je m’efforce de plus négliger aucune chose importante, de mieux équilibrer mes "dépenses" d'énergie et de temps, de ne plus faire l'autruche, pour rien. C'est encore chaotique ; mais je crois sincèrement que je vais dans la bonne direction sur ces plans là, et que "je tiens le bon bout".
Bisous à Kentin et Elisa. En pensées, si tu ne veux pas le leur dire de ma part
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