Bonne nuit ; je te souhaite de beaux rêves. Demain... demain matin, a minima, nous allons nous apercevoir. Je vais te dire "bonjour" ; tu me répondras sans doute "salut", comme la dernière fois. Mais, stp, tournes ton regard vers moi, au moins où tu me répondras. Pas d'agression dans cette demande. Simplement : imagines la gifle que c'est, pour moi, ton regard qui m'évite quand je te dis simplement : "bonjour". Oui, mon visage porte sans doute les traces de ces derniers mois ! Et alors ? Moi, seul, au moins de certains points de vue, en suis responsable. Alors, pour quoi faire éviter de me regarder, pour quoi faire éviter que nos regards se croisent ? Oui, je t'aime toujours, - si "toujours" a a du sens ; mais, je t'en prie, acceptes pour autant de croiser mon regard. Oui, j’aimerais enfin que tu acceptes les cadeaux pour K. et E. et.....même le tien ! Mais, je t'en prie, acceptes pour autant de croiser mon regard, demain. Après demain, c'est....- je m'étais promis que je "n'en parlerais pas" ; raté, ! - et tu devines ce dont je révérais ; Mais, je t'en prie, acceptes pour autant de croiser mon regard, demain. Ce soir, d'une certaine manière au moins, je ne suis ni dans la douleur, ni dans la colère , ni dans .... dans aucun sentiment négatif ! Juste tourné vers de grands rêves, que tu ne m'as jamais dis comme de nouveaux possibles, et un petit espoir : que, demain, a minima, quand je te dirais bonjour.... Bref.
En attendant, je te souhaite une bonne nuit. |
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