Liras-tu, ne liras-tu pas ce post ? Es-tu revenu ou pas sur ces pages depuis cet appel du 15 août ?
Je ne le sais pas. Évidement !
Je me dis que peut-être tu viendras jeter un œil, vu que je n'ai pas (su ?) résister à envoyer un message à K. en ce jour de rentrée...
Je ne m'en excuse pas auprès de toi.Si l'envoi de ce massage te met en colère, j'espère que tu n'en perçois pas moins ce qu'il porte comme sentiment d’affection contrariée, comme sentiment d’affection blessé. "Trop possessif....", m'as-tu dit J’essaie sincèrement de revisiter mes actes à l'égard de K. et de E. après ta décision de rupture. Trop possessif ?
Intérieurement, je m'en excuse néanmoins auprès de lui, si cela l'a saoulé. En espérant qu'il comprendra, au moins un jour.
Et j'espère qu'il aura passé le message à E. Sur la base de comment elle était venue vers moi dans son premier élan au supermarché, je crois qu'elle apprécierait qu'en ce jour j'ai eu une pensée spéciale pour elle.
J'ai passé un week-end sympa dans les Vosges. Je t'écris cela pour exprimer ceci : dans les meilleurs moments de bien-être, j’aurais aimé que tu sois là pour partager cela avec toi. Quand ça va pas, je ressens que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux. Où ça va pas, parce que justement, c'est un événement que j'aurais voulu vivre avec toi (par exemple de circonstance, les rentrées scolaires, cette rentrée scolaire de E. en 6ème....). Ou ca va pas trop,et je ressens toujours que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux .
Bref, je continue de penser à toi, à vous, tous les jours, plusieurs fois par jour. Et tu continues de me manquer tout le temps, en toutes circonstances, que ça aille en moi, ou pas ! Con / pas con, c'est ainsi.
C'est la première fois que je reviens ici depuis le 15 / 16 août. Je n'ai encore jamais relu ce que j'ai écrit alors. Je sais que je le ferais et que je mettrais à jour ce post, "Épilogue ?" Il y a des choses que je veux ajouter.
J'espère que tu vas bien, et K. et E. et toute ta famille de qui je suis coupé. Mais je n'arrive toujours pas à t’espérer heureuse en amour. C'est nul ; mais c'est ainsi. Et je crois toujours que je pourrais te rendre heureuse, dépasser avec toi ce qui me reste de mes travers qui....
Bonne nuit, S.
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