mercredi 27 septembre 2017
vendredi 22 septembre 2017
A un moment précis où je pensais à toi
Une visite ce matin, à un moment précis où je pensais à toi ; était-ce toi, ? Était-ce toi ?!
Je me sens toujours t'aimer, le cœur triste.
Bonne journée à toi, bon weekend à toi. Blablabla.
Je me sens toujours t'aimer, le cœur triste.
Bonne journée à toi, bon weekend à toi. Blablabla.
dimanche 17 septembre 2017
Ce weekend se fut terrible
Ce weekend se fut terrible : j'ai pensé à toi en boucle. J'ai passé bien plus d'heures à penser à toi qu'à penser à autre chose... Impossible de "te" chasser durablement de mon esprit. Les boules.
J'ai peur de comment çà être quand je serais (à nouveau) au chômage.
Je me demande comment toi tu vas. Bien, je suppose et j'espère. Évidement, tu ne m'en diras rien.
Bonne fin de soirée.
Bonne nuit. A toi. A vous.
P.S. maj 21h00 : je t'imagines devant Apocalypse now. Avec ton copain ? Blablabla. Je sais, c'est con de penser à un truc comme ça.
J'ai peur de comment çà être quand je serais (à nouveau) au chômage.
Je me demande comment toi tu vas. Bien, je suppose et j'espère. Évidement, tu ne m'en diras rien.
Bonne fin de soirée.
Bonne nuit. A toi. A vous.
P.S. maj 21h00 : je t'imagines devant Apocalypse now. Avec ton copain ? Blablabla. Je sais, c'est con de penser à un truc comme ça.
jeudi 14 septembre 2017
...certains jours plus que d'autres
Il y a 10 jours, jour pour jour, j'ai écrit "cela est toujours très dur".
Je viens de rajouter "..." au titre de ce post du 04/09.
Pour que cela fasse avec le titre de celui-ci : "cela est toujours très dur...." "...certains jours plus que d'autres".
Si tu lis ce post, si un jour, tu lis ce post, tu l'auras deviné : ce 14/09/2017 fait partie de ces "...certains jours plus que d'autres".
A quoi cela tient ? Je ne saurais le dire ; je n'arrive pas à le percevoir.
Je me demande quand tu liras ce post si tu le lis. Je me demande quand tu es venu sur ces pages pour la dernière fois. Et je me demande : si tu lis ce post peu de temps après que je l'ai écris, alors même que plusieurs jours durant avant tu n'es pas passé sur ces pages, qu'est-ce que cela signifie ?
Je continue de penser à toi, etc tous les jours ; il y a d-ce qui fait es moments où quand je pense à toi, j'ai l'impression que je traine aussi quelque part dans ton esprit. L'intensité de ce que je ressens peut-il engendrer cela ? Ma raison dit "non" ; un "bout de moi" voudrait clairement que ce soit "oui".
Tu m'as dit et redit que nous deux, c'est mort, et tout le monde me conjure de me rendre à cette évidence. Et pour autant je n'arrive toujours pas à passer à autre chose. Deux "pistes" sur Badoo, une à L où habitait JC, l'autre à T. Si seulement....
Qu''est qui fait que je n'arrive pas à faire le deuil ? Quand un proche meurt, je sais que rien ni personne n'y peut rien. En quelques mois maintenant, depuis le décès de mon père, acceptation complète.
Concernant nous deux, il suffirait évidement que toi... Et quand je rapproche cela de ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble, je peine toujours autant à me résigner au fait que tu ne perçoives pas cela, que tu ne ressentes pas cela.
Depuis ta décision de rupture, j'ai levé bien des obstacles objectifs que je n'ai pas su lever avant. Et pour le reste, je suis certain qu'avec ton soutien, je réussirai tellement je t'aime à vaincre tous mes démons qui ont participé à casser ton amour (à commencer par "2 de tension !") ; je réussirai à aller vite sur ce sur quoi tu souhaites que je sache aller vite. Et à prendre de la distance par rapport au boulot ; à accepter d'échouer dans le boulot ; à ne plus tenter de manière déraisonnable à me "refaire" une belle trajectoire professionnelle . Je crois avoir appris de mes erreurs. C'est ce qui fait ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble.
Je sais bien, intellectuellement, que quand les poissons sont morts au fond de l'aquarium, faute d'oxygène, on peut rajouter tout l'oxygène que l'on veut, ils ne ressuscitent pas pour autant. Je le conçois, intellectuellement.
Pour autant, émotionnellement, je n'arrive toujours pas à me résoudre au fait d'avoir tuer ainsi ton amour. Et que ce soit ainsi, sans appel. Et que je n'ai d'autre issue.
Tout, en dehors de moi, et toute ma raison, me disent que ne pas réussir à faire le deuil de ton amour, c'est me condamner à me continuer sentir malheureux ; c'est gaspiller les secondes, les minutes, les heures, les jours, les semaines, les mois, les quelques années (statistiquement, ça doit être de l'ordre de grandeur là !) qu'il me reste à vivre. Pour autant, je trébuche toujours là-dessus.
Fait chier ! Je t'aime toujours à la folie. Je n'arrive pas à en sortir ; quelle galère !
Je viens de rajouter "..." au titre de ce post du 04/09.
Pour que cela fasse avec le titre de celui-ci : "cela est toujours très dur...." "...certains jours plus que d'autres".
Si tu lis ce post, si un jour, tu lis ce post, tu l'auras deviné : ce 14/09/2017 fait partie de ces "...certains jours plus que d'autres".
A quoi cela tient ? Je ne saurais le dire ; je n'arrive pas à le percevoir.
Je me demande quand tu liras ce post si tu le lis. Je me demande quand tu es venu sur ces pages pour la dernière fois. Et je me demande : si tu lis ce post peu de temps après que je l'ai écris, alors même que plusieurs jours durant avant tu n'es pas passé sur ces pages, qu'est-ce que cela signifie ?
Je continue de penser à toi, etc tous les jours ; il y a d-ce qui fait es moments où quand je pense à toi, j'ai l'impression que je traine aussi quelque part dans ton esprit. L'intensité de ce que je ressens peut-il engendrer cela ? Ma raison dit "non" ; un "bout de moi" voudrait clairement que ce soit "oui".
Tu m'as dit et redit que nous deux, c'est mort, et tout le monde me conjure de me rendre à cette évidence. Et pour autant je n'arrive toujours pas à passer à autre chose. Deux "pistes" sur Badoo, une à L où habitait JC, l'autre à T. Si seulement....
Qu''est qui fait que je n'arrive pas à faire le deuil ? Quand un proche meurt, je sais que rien ni personne n'y peut rien. En quelques mois maintenant, depuis le décès de mon père, acceptation complète.
Concernant nous deux, il suffirait évidement que toi... Et quand je rapproche cela de ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble, je peine toujours autant à me résigner au fait que tu ne perçoives pas cela, que tu ne ressentes pas cela.
Depuis ta décision de rupture, j'ai levé bien des obstacles objectifs que je n'ai pas su lever avant. Et pour le reste, je suis certain qu'avec ton soutien, je réussirai tellement je t'aime à vaincre tous mes démons qui ont participé à casser ton amour (à commencer par "2 de tension !") ; je réussirai à aller vite sur ce sur quoi tu souhaites que je sache aller vite. Et à prendre de la distance par rapport au boulot ; à accepter d'échouer dans le boulot ; à ne plus tenter de manière déraisonnable à me "refaire" une belle trajectoire professionnelle . Je crois avoir appris de mes erreurs. C'est ce qui fait ma certitude que nous pourrions être heureux ensemble.
Je sais bien, intellectuellement, que quand les poissons sont morts au fond de l'aquarium, faute d'oxygène, on peut rajouter tout l'oxygène que l'on veut, ils ne ressuscitent pas pour autant. Je le conçois, intellectuellement.
Pour autant, émotionnellement, je n'arrive toujours pas à me résoudre au fait d'avoir tuer ainsi ton amour. Et que ce soit ainsi, sans appel. Et que je n'ai d'autre issue.
Tout, en dehors de moi, et toute ma raison, me disent que ne pas réussir à faire le deuil de ton amour, c'est me condamner à me continuer sentir malheureux ; c'est gaspiller les secondes, les minutes, les heures, les jours, les semaines, les mois, les quelques années (statistiquement, ça doit être de l'ordre de grandeur là !) qu'il me reste à vivre. Pour autant, je trébuche toujours là-dessus.
Fait chier ! Je t'aime toujours à la folie. Je n'arrive pas à en sortir ; quelle galère !
lundi 4 septembre 2017
Cela est toujours très dur...
Liras-tu, ne liras-tu pas ce post ? Es-tu revenu ou pas sur ces pages depuis cet appel du 15 août ?
Je ne le sais pas. Évidement !
Je me dis que peut-être tu viendras jeter un œil, vu que je n'ai pas (su ?) résister à envoyer un message à K. en ce jour de rentrée...
Je ne m'en excuse pas auprès de toi.Si l'envoi de ce massage te met en colère, j'espère que tu n'en perçois pas moins ce qu'il porte comme sentiment d’affection contrariée, comme sentiment d’affection blessé. "Trop possessif....", m'as-tu dit J’essaie sincèrement de revisiter mes actes à l'égard de K. et de E. après ta décision de rupture. Trop possessif ?
Intérieurement, je m'en excuse néanmoins auprès de lui, si cela l'a saoulé. En espérant qu'il comprendra, au moins un jour.
Et j'espère qu'il aura passé le message à E. Sur la base de comment elle était venue vers moi dans son premier élan au supermarché, je crois qu'elle apprécierait qu'en ce jour j'ai eu une pensée spéciale pour elle.
J'ai passé un week-end sympa dans les Vosges. Je t'écris cela pour exprimer ceci : dans les meilleurs moments de bien-être, j’aurais aimé que tu sois là pour partager cela avec toi. Quand ça va pas, je ressens que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux. Où ça va pas, parce que justement, c'est un événement que j'aurais voulu vivre avec toi (par exemple de circonstance, les rentrées scolaires, cette rentrée scolaire de E. en 6ème....). Ou ca va pas trop,et je ressens toujours que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux .
Bref, je continue de penser à toi, à vous, tous les jours, plusieurs fois par jour. Et tu continues de me manquer tout le temps, en toutes circonstances, que ça aille en moi, ou pas ! Con / pas con, c'est ainsi.
C'est la première fois que je reviens ici depuis le 15 / 16 août. Je n'ai encore jamais relu ce que j'ai écrit alors. Je sais que je le ferais et que je mettrais à jour ce post, "Épilogue ?" Il y a des choses que je veux ajouter.
J'espère que tu vas bien, et K. et E. et toute ta famille de qui je suis coupé. Mais je n'arrive toujours pas à t’espérer heureuse en amour. C'est nul ; mais c'est ainsi. Et je crois toujours que je pourrais te rendre heureuse, dépasser avec toi ce qui me reste de mes travers qui....
Bonne nuit, S.
Je ne le sais pas. Évidement !
Je me dis que peut-être tu viendras jeter un œil, vu que je n'ai pas (su ?) résister à envoyer un message à K. en ce jour de rentrée...
Je ne m'en excuse pas auprès de toi.Si l'envoi de ce massage te met en colère, j'espère que tu n'en perçois pas moins ce qu'il porte comme sentiment d’affection contrariée, comme sentiment d’affection blessé. "Trop possessif....", m'as-tu dit J’essaie sincèrement de revisiter mes actes à l'égard de K. et de E. après ta décision de rupture. Trop possessif ?
Intérieurement, je m'en excuse néanmoins auprès de lui, si cela l'a saoulé. En espérant qu'il comprendra, au moins un jour.
Et j'espère qu'il aura passé le message à E. Sur la base de comment elle était venue vers moi dans son premier élan au supermarché, je crois qu'elle apprécierait qu'en ce jour j'ai eu une pensée spéciale pour elle.
J'ai passé un week-end sympa dans les Vosges. Je t'écris cela pour exprimer ceci : dans les meilleurs moments de bien-être, j’aurais aimé que tu sois là pour partager cela avec toi. Quand ça va pas, je ressens que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux. Où ça va pas, parce que justement, c'est un événement que j'aurais voulu vivre avec toi (par exemple de circonstance, les rentrées scolaires, cette rentrée scolaire de E. en 6ème....). Ou ca va pas trop,et je ressens toujours que si nous étions ensemble, ça irait beaucoup mieux .
Bref, je continue de penser à toi, à vous, tous les jours, plusieurs fois par jour. Et tu continues de me manquer tout le temps, en toutes circonstances, que ça aille en moi, ou pas ! Con / pas con, c'est ainsi.
C'est la première fois que je reviens ici depuis le 15 / 16 août. Je n'ai encore jamais relu ce que j'ai écrit alors. Je sais que je le ferais et que je mettrais à jour ce post, "Épilogue ?" Il y a des choses que je veux ajouter.
J'espère que tu vas bien, et K. et E. et toute ta famille de qui je suis coupé. Mais je n'arrive toujours pas à t’espérer heureuse en amour. C'est nul ; mais c'est ainsi. Et je crois toujours que je pourrais te rendre heureuse, dépasser avec toi ce qui me reste de mes travers qui....
Bonne nuit, S.
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